mardi 13 mai 2014

journal d'une cuisine

merci de votre comprehension de ma si rare présence sur le web 
je tris je jette et n'en vois pas la fin . 
gros bisous





 un petit coin de repos
des personnes qui font un travail humain de trés haute qualité

9 commentaires:

  1. le rangement c'est ma bête noire!! si tu voyais ma pièce musique tu aurais peur!!!
    moi aussi il faut que je m'y mette!!

    RépondreSupprimer
  2. En tout cas sur cette page il n'y a rien à jeter, tout à garder précieusement !

    RépondreSupprimer
  3. tu fais peau neuve? le rangement et le nettoyage nous font parfois du bien... une bise du sud...encore...

    RépondreSupprimer
  4. Courage Frankie, tu vas t'en sortir !
    GROS BECS

    RépondreSupprimer
  5. Ah! Il faut pouvoir le faire... Trier et jeter sans regrets!
    Tu finiras bien par en voir la fin!

    RépondreSupprimer
  6. Je pense à toi...je ne sais pas trier et me séparer... un jour il faudra bien que je fasse comme toi !
    cette page est à garder comme elle est : superbe.
    je t'embrasse Frankie

    RépondreSupprimer
  7. C'est toujours difficile de jeter ou de donner, on pense toujours que ça pourrait servir. Bonne fin de journée.

    RépondreSupprimer
  8. Moi , c' est juste une fois que j' ai jeté que j' en ai besoin...!!
    Il faut apprendre à abandonner l' inutile ...c' est essentiel...:-))
    Bisous Frankie

    RépondreSupprimer
  9. « je tris je jette et n'en vois pas la fin … »

    Trier, c’est facile. Jeter ça l’est beaucoup moins : je dirais volontiers « Dis-moi comment tu jettes - et ce que tu jettes - je te dirai qui tu es »
    C’est que les souvenirs sont tenaces. On ne peut s’en débarrasser comme ça. Les objets qui les rendent manifestes sont comme des _reliques_ qui demandent à être conservées ; comme si une part de nous-même y était attachée.
    C’est vrai, Chère Frankie, c’est votre cuisine que vous êtes en train de ranger. Et alors ? On sait bien qu’Héraclite disait qu’il y avait des Dieux dans la cuisine aussi : pourquoi pas des reliques ?
    Je vous embrasse chère Frankie,
    Jean-Pierre

    RépondreSupprimer