mercredi 30 septembre 2009

Rire à gorge déployée


Kelly l'homme aux 25 guitares
et mes nouvelles fréquentations "h" l'homme aux 120 guitares
vraiment !!!!!!!!
Rire aux éclats, très fort

Peut-on vraiment déployer sa gorge comme d'autres déploient le tapis rouge à Cannes ou la banderole en tête de la manifestation ?
Probablement pas, à moins d'être bizarrement constitué ; et, même s'il s'agit d'une métaphore, l'usage de ce verbe semble rester mystérieux.

Apparue à la fin du XVIe siècle, l'expression évoque bien la partie antérieure du cou, celle dans laquelle peut parfois se loger un chat, mais pas la gorge féminine qui nécessite un soutien.
Elle a été précédée d'autres versions utilisant des verbes tout aussi étranges dans ce contexte, comme "rire à gorge rompue" ou bien "rire à gorge étendue" (très proche de notre 'déployée'). Et on a même vu, plus tard, "rire à gorge déboutonnée".
Autant d'images qui supposent que le gosier ou la gorge d'où sort le rire, s'agrandit démesurément pour le laisser passer lorsqu'il est intense.

dimanche 27 septembre 2009

Fil rouge



Fil conducteur d'une énigme, d'un jeu.
Idée directrice, quelque chose qui donne une cohérence à un ensemble disparate.
Elément répétitif, point de repère qui revient régulièrement dans une discussion, un récit, une présentation.


L'origine de cette expression !?
La première trace que l'on connaît de son emploi se trouve chez Goethe, en 1809, dans "Les affinités électives".

Voici ce qu’il y écrit : « Tous les cordages de la flotte royale, du plus fort au plus faible, sont tressés de telle sorte qu'un fil rouge les parcourt tout entiers et qu'on ne peut l'en extraire, sans que l'ensemble se défasse, et le plus petit fragment permet encore de reconnaître qu'ils appartiennent à la couronne ».

Ce fil rouge était donc à la fois un élément permettant de repérer l'appartenance du cordage, mais aussi quelque chose dont l'absence le rendait inutilisable.
D'où le parallèle avec les points de repère dans un récit ou le maintien de la cohérence d'un ensemble.

samedi 26 septembre 2009

proméne toi dans mon jardin tu y croiseras . .

le dormeur sous la protection de Bouda

Réminiscence d'un film en tournage avec une sarbacanne

le bruit d'une sarbacanne d'hier en tournant sur un film dont bientôt je vous communiquerai un lien du blog de ce film ,
j'ai repensé au film "Paris je t''aime"
où je reprensais le er arrondissement de parsi en lisant la pleiade dans le métro et absorbée par ma lecture je laissai mon fils saccagé le magnifique touriste américain joué par un des acteurs fétiches des frères Coen.
d'où la photo précédente. De Victoires internationnal film. Claudie Ossard

Gazette des pensées du jour de Frankie

quelques mots sur un blog,un almanachet la plume
du coq à l'âne rebondit, sans prétention
dans ma besace de chemins comment restée verticale, aprés les mises à l'horizontalepar celle qui se conjugue avec les kamasoutras A force de raclées de fortunes,
Des Coups du Trafalgar à nos rêves d’amour fou
je m'émerveille d'un rien de la naissance d'un instant.
D’un essaim d’abeille d’un naissain d’huîtres.
(Mon berger des abeilles Jean michel, mon berger des huîtres Louis)
La nature crie au secours de partout

Soyons forts et fiers de ses victoires les plus infimes...
Crééons dans des conditions cow-boys, scioux, rock an roll
L'exigence n'est humaine qu’ assortie d'indulgence. Il y a belle lurette que notre égo a été bâillonné
Le narcissisme aux oubliettes comme Marie Stuart
Nous ne pouvons plus jouez à Becket
attendre d’être validé(e) par Godot
Faites comme moi ,
laissez emporter par le chant des voyelles dans la commissure de consonnes
les merveilles du quotidien,
l’art dans la rue en le nommant
ou le fixant

àla fenêtre
dans nos oreilles,
être en état de musique avec le frémissement des feuilles,
l’aboiement apeuré du chien Bambou
qui confond le bruit d’une feuille avec sa peur des fantômes
il empêche ma mère de dormir au fond de mes bras –
dans ma ferme à Mendibouroua,
réveille l’enfant Fredéric dans le berceau
Nourrissons l’ être sauvage qui palpite au fond de notre cœur..
, confions la responsabilité de nos actes à l'amour

N’oublions pas que la vengeance
c’est la vie qui en est chargée

Lavons nous les mains pour ça
Sans se sentir des « Ponce Pilate » pour autant

Lavons nous les mains pour la grippe,
saluons nous à la japonaise
C’est fort appréciable
prendre le regard de l’autre s’y plonger,
aller jusqu’à la taille,
Remettre la tête à la verticale
Se sourire
Faite l’expérience et confiez la moi
. . .
petits mots avec Yann, Louis, Jean Michel, Francis K, D. Doudou, Pascal
Merci de ces folriléges de mots et impressions

"Le crin de damoclés"


Vous reconnaissez tous l'auteur de ce tableau !

« Epée de Damoclès »





Péril imminent et constant.


Danger qui plane sur quelqu'un.


Bien que l'histoire qui en est à l'origine ait été racontée par Horace et Cicéron , cette expression n'est employée qu'à partir du début du XIXe siècle


A la fin du Ve siècle avant J.C., Damoclès était un courtisan de Denys l'Ancien , tyran de Syracuse .Au cours d'un banquet, alors que Damoclès lui disait combien il enviait son pouvoir et sa richesse, Denys chercha à le convaincre que la vie d'un tyran n'était pas aussi agréable qu'il le croyait.Il faut bien reconnaître qu'entre les comploteurs et empoisonneuses prêts à l'envoyer ad patres à tout bout de champ, les épouses, concubines et maîtresses qu'il fallait satisfaire, l'argent volé aux pauvres qu'il fallait dépenser, ..., la vie d'un tyran n'était finalement pas bien rose.Bien entendu Damoclès n'en crut pas un mot.Denys le fit alors s'asseoir sur son trône, prit son épée, arracha un crin de la queue de son cheval, y attacha l'épée et la suspendit la pointe en bas au-dessus de la tête de Damoclès en lui disant : "Profite bien maintenant de ce banquet et amuse-toi ! Tu vas rester à ma place jusqu'à sa fin et je te garantis que tu ne verras plus les choses de la même manière"


.Effectivement, Damoclès, dont la vie ne tenait plus qu'à un crin, eut mal à bien profiter de la suite du banquet. Ce crin était un cheveu dans sa soupe royale la sereinité n'était pas sa compagne pour apprécier pleinement sa nouvelle situation.

mercredi 23 septembre 2009



Aujourd'hui c'est le jour de la fin de l'été !
Ce soir a 21h19 précisément avec le solstice, commencera l'automne !
Arrivent les plus beaux moments du jardin et de la nature .
La luminosité n'est plus la même , les couleurs ternissent .
Les chevelures des arbres se dessèchent .
Et pourtant comme c'est beau , comme la nature est sensuelle

Si l’automne fut douce au soir de ta beauté
,Rends-en grâces aux dieux qui veulent qu’à l’été
Succède la saison qui lui ressemble encore,
Ainsi que le couchant imite une autre aurore
Et comme elle s’empourpre et comme elle répand
Au ciel mystérieux des roses et du sang !
Ce sont les dieux, vois-tu, qui font les feuilles mortes
D’un or flexible et tiède au vent qui les emporte,
Et dont l’ordre divin veut que les verts roseaux
Deviennent tour à tour, uniques ou jumeaux,
Et, selon que décroît leur taille à la rangée,
L’inégale syrinx ou la flûte allongée.
Ce sont eux qui, des fleurs de ton été, couronnent
Ta jeunesse mûrie à peine par l’automne
Et qui veulent encor que le parfum enfui
De la fleur se retrouve encore au goût du fruit
Et que, devant la mer qui baisse et se retire,
Une femme soit belle et puisse encor sourire.

Henri de Régnier 1864-1936
extrait du site de Pierre le grand masseur

dimanche 20 septembre 2009

Frankie Pain avant la bataille premier clap avant qu'existe Lulu


Nous ne sommes pas ce que nous jouons
fort heureusement
c'est dröle comme parfois c'est difficile de le faire entendre.

J'éditerai sur ce blog
je me suis fait un peu biographe
pour ce personnage pour qu'elle soit là
même pour une seconde pardon trois seconde de montage !

si çà peut interreser
faites le savoir
à deux et demi années avant ma retraite
je trouve normale de commencer
à ranger les sépulcres des rôles
pour les nouvelles générations
je ne livrerai pas
(cela pourra être rigolo)

je ne livrerai pas , les mystères de fabrication
mais les avertis en toucherons quelque chose
ce ne sera pas
comme des hieroglyphes,

j'ai pas eu ma photo en première page des magazines ,
j'ai été une bonne ouvrière du cinéma français
un peu d'autres pays quand même (sourires)

vendredi 18 septembre 2009

Le conte du vendredi d'Henri Gougaud


J'arrive il dira
attention il peut être partout

Le monstre

C’est un de ces vieux contes vrais du temps où les bêtes parlaient. Donc, sachez qu’en ces jours bénis vivait la biche la plus belle qui se puisse voir au Mali. Ses yeux ? Deux cieux. Ses cils ? Cent arcs tendus pour capturer ton âme. Son rire ? Une source de vin, et sa grâce une brise fraîche au soleil brûlant de midi. Tous les vivants de la savane, à l’heure où s’en venaient au ciel la lune et son troupeau d’étoiles, semblaient soudain se souvenir qu’ils avaient à lui raconter une urgente histoire d’amour.
Un soir, au crépuscule rouge, comme elle préparait son dîner, un lièvre vient, la queue au vent. Oh, le parfum de la marmite ! La salive lui monte aux dents. Il en bave, son œil s’embrume. Oh, cet appétissant ragoût ! Il en oublie madame Biche. Il se sent une faim de loup. Il couche ses longues oreilles, tend au ciel son museau tremblant et se met à brailler ce chant plus tonitruant qu’un tam-tam de mille démons avinés :
Je suis le monstre imperturbable !
Morbleu ! Je croquerai le nez
Du roi Lion, ce vieux minable
S’il veut m’empêcher de dîner !
La biche entend. Elle s’épouvante. Elle abandonne son fourneau, elle fuit, gémissante, éperdue. Alors le lièvre entre chez elle, il se goinfre, lèche le plat, il pète, il rote et il s’en va.
Le lendemain même tumulte, même fuite, même muflée. Ainsi passent dix crépuscules. Le lièvre prend quelques kilos, la biche flotte dans sa robe. Un jour s’en vient le roi Lion. Il entre, il la voit, il s’étonne. Il fait la grimace, il lui dit :
- Tu as maigri. Tu me déçois. J’espérais te voir plus fringante.
Elle lui répond que chaque nuit un monstre tombe du ciel noir devant la porte de sa case et lui dévore son ragoût.
- Qu’il vienne donc, dit le Lion. Ce soir, ma biche, je te place sous ma royale protection.
Le ciel pâlit, la biche allume un joli feu sous le chaudron. Légumes, boulettes, sel, poivre, bouquet d’épices, tour de main. Un fumet à fondre d’amour va tranquillement prendre l’air. Fracas soudain, tohu-bohu, tintamarre, charivari.
Je suis le monstre imperturbable !
Morbleu ! Je croquerai le nez
Du roi Lion, ce vieux minable
S’il veut m’empêcher de dîner !
- Houlà, danger, sauve qui peut, gémit le monarque à crinière. Fuyez, ma biche, je vous suis ! Débandade. Le lièvre dîne et s’en retourne à son terrier.

Le lendemain vient l’éléphant, puis le zébu, l’hippopotame, le buffle et le serpent python. Crépuscule, boucan d’enfer, épouvante, gémissements. Aucun n’ose affronter le monstre qui, du coup, grossit à vue d’œil.

Un chien s’en vient un soir d’orage. La biche tremblante s’enfouit sous son lit de feuillage sec. Le chant terrible retentit. Aboiement bref dans la cahute. En langage humain :
- Qui va là ?
« Ma parole, se dit le lièvre, ce bougre-là n’a pas eu peur. Serait-il plus monstre que moi ? » Prudent, il risque un œil dedans, voit le chien fermement assis, l’œil sévère, le front hautain. L’autre esquisse un sourire éteint.
- Oh, je vois que la table est mise, dit-il. Eh bien, bon appétit.
Il s’en va dans la brume grise. Il trotte encore, à ce qu’on dit.
(Henri Gougaud, dans « Contes et recettes du monde »)


tapez henri Gougaud
vous êtes sur son site
aller dans Blog
et comme moi vous pouvez recevoir chaque jour de ses pensées
c'est très agréable...

jeudi 17 septembre 2009


La péche miraculeuse dans le Morbillan aux large de l'île aux moines




C'est déjà loin la marchande de journaux d'Amélie Poulain

Mots d'humeur un rot aux faussaires des sentiments humains



Mais que serait l'amour sans caresse???

Sans que la main devine loin sous la peau

Sans les vibrations qui font que le corps appartient et s'évade.

Quand le corps s'enfuit et revient pour repartir encore..

Et ces douces et terribles attentes qui font oublier que nous pensons.

Que resterait-il de ces étreintes si le temps passé n'était fait que de "petits plaisir locaux"?????

Moi aussi je suis resté longtemps sans faire l'amour parce que ces conditions n'étaient pas

Qu'importe la beauté extérieure des corps si ils ne se "parlent" pas.

Ou serait le plaisir?

VOUS me rassurez , Françoise et je vous en remercie.

jean-claude

Une éphémère,excellence de la correspondance hier !


Un roman fleuve au pistile du pissenlit

Braconeur de lumière !

excellent !
les éphémères, et les loupcioles

Il est passé par ici , il ne repasse pu : le furet du bois des dames !

Un braconeur de lumière !

l'art de plonger sans se mouiller.

l'accroche du faussiare expert en faux des sentiments humains. !

Si vous avez besoin de conseil , ne vous en privez pas !

Créez vous un compte chez Gmail gratuit et vous pouvez très facilement me laissez des commentaires

belle journée à vous

Droit d'inventaire



« Le droit d'inventaire »

Le droit d'établir, à propos d'une chose passée, une liste de ce qui en a été positif et ce qui en a été négatif.

Cette formule, avec ce sens moderne, est très récente, puisqu'elle semble n'apparaître qu'à la fin du XXe siècle[1].

Un 'inventaire', c'est une opération qui consiste à dénombrer et énumérer des éléments (dans un stock, une succession...).

Il peut donc parfaitement être découpé en deux parties, l'une comportant des choses positives et d'autres des négatives à propos d'une chose passée.

Il peut être fait par un enfant, à propos du comportement de ses parents à son égard, ou bien, par exemple, par un élu, à propos de ce que lui a laissé son prédécesseur.

S'accorder un droit d'inventaire, c'est s'autoriser à faire un tel constat dans le but, en général, de le partager avec d'autres et, bien souvent, d'être plutôt critique envers ce qu'on juge.[1]

Peut-être a-t-elle été prononcée pour la première fois, de manière largement publique, par Lionel Jospin en 1995 à propos de ce qu'avait fait François Mitterrand en tant que président.

mercredi 16 septembre 2009

Avez-vous trouver votre chemin de Damas ?





Ecrire avec Philippe atelier du 8 mai 2008
à vous si vous voulez écrire une histoire
à partir de ces inducteurs la 3éme est la première et la première la troisième
et rejoingnez l'atelier des compagnons de plumes et d'images de Frankie
envoyez sur mail
pour en savoir plus
ou pour m'envoyer l'histoire que je publierai sur ce blog
à bientôt

« Trouver son chemin de Damas »



Se convertir à une doctrine (après l'avoir combattue)



Trouver sa voie






En effet, la spécialité de Damas n'est pas la planche en bois bien que cette ville soit la capitale de la Syrie.



Cette mise au point étant faite, mettons-nous, suffit d'un bon GPS pour trouver le chemin de Damas,






à l'époque de Saul, lorsque l'expression est apparue,



Tomtom n'était pas né,



Saul vivait à l'époque de Jésus, et son passe-temps favori était de persécuter les chrétiens avec beaucoup d'ardeur.



Alors que, peu d'années après la crucifixion du Christ, il allait à Damas en mission pour faire et ramener des prisonniers chrétiens à Jérusalem, il eut soudain la vision d'une lumière venue du ciel ; il entendit une voix lui dire "Saul, Saul, pourquoi me persécutes-tu ?".



"Qui es-tu seigneur ?" demanda Saul.



Et la voix répondit "Je suis Jésus que tu persécutes".



C'est là, sur le chemin de Damas, que Saul, qui pendant trois jours fut privé de la vue, de boisson et de nourriture, eut la révélation qui provoqua sa conversion et fit de lui un prêcheur convaincu que Jésus était le fils de Dieu.



Tellement convaincu, même, qu'il devint le douzième apôtre, sous le nom de Paul, en remplacement de Judas dont on sait pourquoi il avait perdu sa place.






Cette introduction laisse à penser..



l'avez vous trouver votre chemin de Damas !!? ?

mardi 15 septembre 2009

préparation du Lulu dans "l'instinct de la mort" et contes de Henri Gougaud


Moçaïlama était prophète. Il parlait fort. On l’écoutait. Il avait une rivale, Chedja, prophétesse notoire, estimée des mendiants du souk. Elle aussi guérissait les chauves, et les coliques des enfants. Elle dit un soir à ses disciples :
- Dreux prophètes, c’est un de trop. Ou c’est votre Chedja que le Très-Haut inspire, ou c’est Moçaïlama. En route, je veux l’affronter.
Moçaïlama apprit bientôt que Chedja et ses miséreux cheminaient vers son campement. il s’en effraya grandement. Un vieux lui dit :
- Point de souci. Emplis ta tente de parfums. Répands dans l’air le musc, la rose, le jasmin. Allume ça et là quelques grains d’aloès. Enfin, quand leur fumée embrumera les lampes, fais amener Chedja. Ces multiples senteurs étonneront ses sens. Alors tu poseras ta bouche sur la sienne et ton corps lui dira où est le juste Dieu.
Chedja parvint au campement à l’heure où la lune paraît. Moçaïlama lui prit la main et la fit entrer sous sa tente. Ses narines aussitôt frémirent. Elle sourit, gémit, tendrement.
- Ô femelle aux longs cils ! murmura son rival.
Au matin, quand ils reparurent, Chedja dit aux gens rassemblés :
- Notre débat fut long, sincère et profitable. Allah nous a reçus tous deux au paradis.
On servit le thé à la menthe et l’on accorda les violons. Un parfum vaut mille paroles. La musique est la voix de Dieu.
(Henri Gougaud, L’Almanach

si vous voulez comme moi avoir le bonheur de recevoir les phrase du Conteurs auteurs henri Gougaud

allez sur son site et tapez ensuite le blog et vous pouvez vous inscrire

vous pourrez aussi réagir aux phrases qui sera publié le lendemain


c'est agréable de commencer la journée avec des belles pensées


voyez ce matin je l'ai commencé avec


Quand je sus que l’amour était inestimable
sans que pourtant j’eusse de l’emprise sur lui
jusqu’au terme de ma vie
je m’épris à jamais de l’amour de l’amour.
(Ibn’ Arabi)


lundi 14 septembre 2009

Quel poisson pourri !

« Engueuler comme du poisson pourri »

Accabler d'injures

Au premier abord, il y a deux manières de comprendre cette expression qui date du début du XXe siècle

:- Soit il s'agit de "engueuler comme du poisson pourri [peut engueuler quelqu'un]",

ce qui semble assez peu probable car un poisson pourri est si tellement mouru
qu'il n'est plus vraiment en état d'engueuler qui que ce soit
(et quand bien même, a-t-on déjà vu un poisson pourtant bien vivant engueuler quelqu'un ?)

- Soit il s'agit de "engueuler comme [quelqu'un peut engueuler] du poisson pourri",

et là il faudra m'expliquer l'utilité de l'acte et l'effet que peut faire une engueulade à un poisson dans cet état

Dans les deux cas, l'expression semble donc extrêmement bizarre.

Mais Alain Rey () l'explique par une déformation probable du fait de traiter quelqu'un de poisson pourri, injure qui aurait pu naître dans le milieu des harengères ou marchandes de poisson traditionnellement fortes en gueule.

expression très fréquente en Charente Maritime

petit cadeau de Pomme - Affinité elective

> DO READ.
It is so right>
> A young wife sat on a sofa on a hot humid day, drinking iced tea and visiting with her Mother.
As they talked about life, about marriage, about the responsibilities of life and the obligations of
adulthood, the mother clinked the ice cubes in her glass thoughtfully and turned a clear, sober
glance upon her daughter
'Don't forget your Sisters,' she advised, swirling
the tea leaves to the bottom of her glass. 'They'll be more important as you get older.
No matter how much you love your husband, no matter how much you
love the children you may have, you are still going to need Sisters.
Remember to go places with them now and then; do things with them.'
'Remember that 'Sisters' means ALL the women...> your girlfriends, your daughters, and all your other> women relatives too. 'You'll need other women. Women> always do.'> > What a funny piece of advice!' the young woman> thought. Haven't I just gotten married?> > Haven't I just joined the couple-world? I'm now a > married woman, for goodness sake! A grownup! Surely > my husband and the family we may start will be all I> need to make my life worthwhile!'> > But she listened to her Mother. She kept contact> with her Sisters and made more women friends each> year. As the years tumbled by, one after another,> she gradually came to understand that her Mom really > knew what she was talking about. As time and nature> work their changes and their mysteries upon a woman,> Sisters are the mainstays of her life.> > After more than 50 years of living in this world,> here is what I've learned:> > THIS SAYS IT ALL:> > Time passes.> Life happens.> Distance separates.> Children grow up.> Jobs come and go.> Love waxes and wanes.> Men don't do what they're supposed to do.> > Hearts break.> Parents die.> Colleagues forget favors.> Careers end.> > BUT..........> > Sisters are there, no matter how much time and how> many miles are between you. A girl friend is never farther away> than needing her can reach. > > When you have to walk that lonesome valley and you> have to walk it by yourself, the women in your life> will be on the valley's rim, cheering you on,> praying for you, pulling for you, intervening on> your behalf, and waiting with open arms at the> valley's end.> > Sometimes, they will even break the rules and walk> beside you...Or come in and carry you out.> Girlfriends, daughters, granddaughters,> daughters-in-law, sisters, sisters-in-law, Mothers,> Grandmothers, aunties, nieces, cousins, and extended> family, all bless our life!> > The world wouldn't be the same without women, and> neither would I. When we began this adventure called> womanhood, we had no idea of the incredible joys or> sorrows that lay ahead. Nor did we know how much we> would need each other.> > Every day, we need each other still. Pass this on> to all the women who help make your life meaningful.> I just did. Short and very sweet:> > There are more than twenty angels in this world.> Ten are peacefully sleeping on clouds. Nine are> playing. And one is reading her email at this> moment.> > Send this message to ten of your friends including> me. If you get 5 replies, someone you love will> surprise you.> > Happy days!> > Don't break this; it's working>


Olivier Apert performance Affinité élective


sa voiture de villégiature
l'auteur Olivier Apert
Dans le cadre des Journées du Patrimoine,
le 19 septembre 2009, à 19 heures 30

Lecture de Olivier Apert
accompagné par le musicien David Tuil

au Pavillon de l’Ermitage, une « folie Régence »,
148, rue de Bagnolet – Paris XXème

toute l’information en cliquant sur lien suivant
ctrl + clic
http://www.hippocampe-associe.com/article-34743136.html

Un partenariat: L’Hippocampe associé & Les amis de l’Ermitage
Entrée libre : il est demandé de réserver, soit par le lien contact du site Hippocampe
soit par téléphone au 09 72 99 77 56

Affinités electives

Vendredi 18 septembre à 21h
à La planche à pain (Paris)

Cabaret slam, contes, et chansons

autour d’Henri Gougaud

SLAM
KTRINE D
Ktrine allie à une conscience aigue de la vie dans les villes
une grande tendresse et une belle humanité.
« « Ca rigole au comptoir, ça aime à en crever
Même sur le trottoir, terriens de toute beauté ».
http://www.slameur.com/index3.html


Hema vidad
Nourrie de l’imaginaire celte et de la poésie de Paul Eluard,
la parole de Hema vidad est un torrent qui tour à tour cascade puis se brise.
Ses slams parlent de l’amour et des forces de la nature.

SLAM / CHANSON
Michel Dréano
Profondément citadin et les pieds bien ancrés dans la terre,
Michel Dréano traque l’émotion autant dans la métropole agitée que dans les landes de sa Bretagne natale.
Sa palette musicale, celle d’un guitariste-compositeur doté de qualités rythmiques,
déploie un «groove» chaleureux et acoustique.
« J’ai le blues ferroviaire, j’aime le verbe errer ».
www.myspace.com/micheldrano

*
CONTE
Corinne Fournier
Pour Corinne, chaque conte est un voyage plein de malice où se mêlent
amour et humour, désir et plaisir, jeux et rencontres. Dans ce voyage,
un mot peut en cacher un autre ou bien... le révéler !

Ludovic Souliman
Pour lui, le conte est une rencontre et un chemin, c’est aller et partager, et faire ce qu’il aime.
C’est une sensation de lui et de l’autre, un jeu, une façon de sourire au-dedans, de sentir et goûter la vie, intensément.
Il fait siens les mots de Hanna Arendt : « Une vie sans parole et sans action est littéralement morte au monde ».

*
CHANSON
Nathalie Solence« Le chant lumineux de Nathalie Solence vient du cœur. Son écriture incisive, qui raconte des histoires,des émois, des colères, vient de loin. Il faut vite la découvrir et se laisser surprendre par la force devie qu’elle irradie sur scène… Ses textes sont fins et ciselés, ses ritournelles toniques et fraternelles,et sa fragilité féminine ne saurait laisser passer son indignation face à l’injustice.… Nathalie Solence chante l’amour et dénonce la bêtise, en artiste généreuse et accomplie. »Yves-Marie DENNIEL (Festival Chant d’Elles)
http://www.friendship-first.com/nathaliesolence_fr.htm Jacques DeljéhierPoète, compositeur, interprète, Jacques Deljéhier sert les meilleurs auteurs de la chanson française dans une complicité totale entre l'instrument et la voix, en élaborant des arrangements originaux où chaque chanson est considérée comme unique. Rester fidèle à l'œuvre tout en se l'appropriant dans une démarche créatrice, voila ce qu’il propose aujourd'hui.http://www.deljehier.levillage.org/



Entrée libre, chapeau à la fin

Restauration possible avant le spectacle
Service de 19h30 à 21h sur réservation
Tél /Rés : 06 16 23 27 40
E-mail :
sylviedeberg@hotmail.com

La Planche à Pain
48, rue du Dessous-des-Berges (à l'angle de la rue Cantagrel) Paris 13e
Métro 14 - Olympiades ou Bibliothèque François Mitterrand

http://www.laplancheapain.levillage.org/
(plan d'accès sur le site)

dimanche 13 septembre 2009

Entre deux rages


Les faussaires en amour font hurler, sauf si leur art de caresser
fait que l'on s'envole à la 3eme porte du 7eme ciel et à une certaine altitude
les moutons
sont des boutons pressions blancs et noirs sur la gazon alpin.


"Où sont Nathanaêl ses fruits longtemps cherchés"
André Gide "les nourritures terrestres !"

Des "as" dans ma vie, entre les lignes vous saurez

« Etre un as »
Être le meilleur dans son genre, dans l'activité qu'on exerce.
Comme de mes dernières rencontres en matière de massage, il a détrôné ma grande masseuse
faut le faire !
Aujourd'hui, l'as est la plus forte des cartes, il n'en a pas toujours été ainsi.
Mon assitante Martine est une as, mon agent aussi...ma "maîtresse" conteuse Martine Tollet -atelier de la parole.
Louis, mon marchand d'huitres la vilette le samedi, la Bastille le dimanche. Ma marchande de vêtement au marché Saint Michel. . .

C'est merveilleux de rencontrer des êtres d'exception. Nous sommes tout de suite aux parfums
dans la quintessence. Nous traçons . Le temps polit les intervales.

Carte majeure dans mon jeu de vie , comme pour Rukier est un as.
hier dans "Nous ne sommes pas couchés" çà a tangué sec, y avait du gite. Quel capitaine de corvette !
.Quand je suis en villégiature je me bataille avec mon entourage pour le regarder le plus tard possible.
Il me permet d'être réactive juste et drôle, et informée. . ..

Le un, ou as en latin, a très longtemps été un moins que rien, sans valeur.
La transformation de la perception de l'as vient de la guerre de 14-18
où les pilotes d'avion,
lorsqu'ils avaient du temps à perdre entre deux missions, jouaient à la manille
(), jeu de cartes inventé à la fin du XVIIIe siècle, o
où l'as vient juste avant le 10, la plus forte carte.
Ainsi, lorsqu'un pilote approchait du dixième ennemi abattu, il devenait un as,
par assimilation à son jeu préféré.
Cette expression réservée aux pilotes s'est ensuite étendue à tous les domaines.

Aux as de ma vie, et je souhaite être une "As" dans le film Henry, ils ont commencé la semaine le 7 septembre
condition rock and roll
pour moi premier clap samedi en 19

Allez les as et ceux qui ne le sont pas devenez le , la vie sera plus subtile et rigolote....

samedi 12 septembre 2009

Ma grande collaboratrice


Accompagnée une artiste de première ligne n'est pas tous les jours sereins

aux être de l'ombre de prendre un beau rayon de soleil ce ce bel automne

qui nous innonde chaque jour de ses doré et ocre lumineux.

merci Martine LM pour ton talent d'Etre et qualités de tes aptitudes.

Il y a des jours . . .

Où sur certains sujets nous prenons notre retraite
de la femme, par exemple,
ne voulant écrire trop de mots,
j'ai peint , pain , une aquarelle,
No Commente,
un jour peut-être j'aurai le courage d'affronter les éditeurs
pour mon livre, manuscrit
"L'eldorado du corps" (titre provisoire)
Vous comprendrez alors pourquoi dans certains rôles
nous ne nous alignons pas au cours du goût du,jour
sur les ages de la retraite
la femme est faite , comme l'homme, d'ailleurs pour être respectée,
inventée à chaque rencontre !
à plus tard bon week end.

jeudi 10 septembre 2009

Quelques années en moins frankie


vous avez de la chance pour le décor d'un film j'ai ressorti les antiquités
c'était l'époque de la sortie de Seul contre tous de Gaspard Noé

les kernes pour les ateliers d'écriture de frankie

pour tout renseignement
lamangou@yahoo.fr
commence le 16 mercredi ou le 23 septembre



Les kernes de la saison 2009-2010 d’écriture
Date 9 septembre création

1 La serpentine de l’onde dorée
2 Le cap Horn des sens .
3 Le retournement
4 La petite cabane du lagon
5 Nous montons en altitude.
6 sa carapace d’animal préhistorique


1 en étendard de danger
2 sa boussole du brouillard
dans la toundra humaine,
3 une marche d’approche au temple du Delta
4 celle qui porte cette terre , lààà !
5 au bout de cette longue route à l’autre
6 un Héphaïstos contemporain.


1 ces cadeaux .D’ordre divin.
2 accueille dans ses qualités infinies
3 La voix sur le « pique up »
4 la corde dans l’aigu
5 vibre avec la corde des graves
6 Reine de l’absence du dire


1 Le mille feuille
2 La question d’entrée ou de ne pas entrer
3 l’autre qui est passeur
4 inventaire des mots dits
5 des plages d’autres travaux
6 La bille de massage est


1 Ce beau tout .
2 Comment passer du vous au tu….
3 Et surtout ne pas s’y installer !
4 Laisser les mots à leur écrin.
5 cette main Rodienne
6 un kaléidoscope de sons


1 Comme un gant de toilette qui rafraîchit
2 Femme d’hiver ,Femme d’hier
3 Çà sort du four
4 Gipsy et Tristan
5 la frontière entre la vie et la mort
6 courage de laisser mes desirs l’emporter


1 Les compagnons d’écriture
2 je gardais les vaches les juments les moutons de Pierrot
3 le cercle des femmes
4 l'ombre des grands arbres du parc
5 chateau Puyseguin
6 le porc épique


1 tes pépétes
2 goûter à bras le corps L’aventure de ce. . .
3 de mon perchoir
4 paroles, rivière de beaux langages. Ici sur la terre de choses
5 s'oscire le bigorno
6

"Un chien de commissaire"


les fantasmes d'un personnage que frankie est entrain de préparé
toujours rendez vous dans 9 mois

Un secrétaire ou adjoint du commissaire de police, un agent de police, un inspecteur...

Qu'il s'appelle Dulé (en France), Messaoud (en Algérie) ou Mbonanga (en Afrique du Sud),

un bon chien se doit d'obéir à son maître et, par exemple, doit donc s'asseoir quand on lui dit "assis !

"Eh bien si l'on en croit notre expression, il en est de même du personnel affecté à un commissariat : il doit impérativement obéir aux ordres strictement professionnels du commissaire comme "ramène-moi un café" ou bien "va m'acheter un paquet de cigarettes".


Cette expression qui assimile le personnel du commissariat à des chiens est assez méprisante pour la gent (l'agent ?) policière.Car si l'on peut naïvement ne voir que le côté fidèle du chien, il semble plutôt que le terme ici en reprend l'acception négative qui fait qu'une personne méprisable est traitée de chien ou qui a provoqué la naissance de locutions comme "un temps de chien" ou bien "une vie de chien".

mercredi 9 septembre 2009

frankie gourmande


Ce qu'il reste d'Henry
aprés rendez vous dans 9 mois pour découvrir le mystère
du texte ci dessus

un fan de frankie dans le film "Seul contre tous"

le 28/08/2008
Je ne veux pas réduire Frankie à ce rôle car elle est mille femmes en une. Elle est pétrie d'amour, de passions, de tendresse. C'est un fruit à pulpe, un fruit de la passion. Elle me touche énormément, je l'aime, j'aime sa façon de se donner entièrement à un rôle, de l'explorer dans son moindre détail bien que rien ne soit trivial et à ne rien laisser au hasard, qui n'existe pas non plus d'ailleurs. On a envie qu'elle fasse partie de nos vies car c'est un soleil, une tempête, une merveille de la nature. J'aimerai la voir à l'écran plus souvent.

mardi 8 septembre 2009

La plage de Saint Jean de Luz : le voeu


Saint jean de Luz
J’ai pris la décision de devenir comédienne professionnelle sur cette plage septembre 1973.
Après pendant un stage avec les comédiens mimes de Paris Isaac Alvarez.
Je viens de me livrer à un pèlerinage quelle joie de retrouver ce pays où j’étais fermière à Villefranque sur la route d’Ustarizt à la ferme Mendibouroua et je gardais les vaches les juments les moutons de Pierrot Iribarne de lasse prés de saint Jean Pied de Port.
C’est formidable.

"Faire godaille"


Verser un peu de vin dans une assiette contenant un reste de soupe et boire le mélange directement à l'assiette.

Claude Chabrol n'est pas l'inventeur de cette coutume qui remonte à très loin et qui se pratique en toute convivialité entre les personnes présentes autour d'une table, dans des milieux forcément pas trop huppés, principalement[1] dans le sud-ouest de la France.Selon le DHLF (), le mot 'chabrol' ou 'chabrot' nous vient de l'occitan de l'ouest utilisant les tournures 'fa chabroù' (faire chabrot) ou 'beire a chabro' (boire à chabrot) où 'chabro' signifie 'chevreau'.Quel est le lien entre ce chevreau et ce mélange de soupe et de gros rouge qui tâche ? Malheureusement, les explications officielles manquent cruellement.

En Charente maritime mon pays de naissance c'est faire godaille


mercredi 2 septembre 2009

"Ad vitam aeternam"



« Ad vitam aeternam »


Pour toujours, à perpétuité


C'est Woody Allen qui a dit que "l'éternité, c'est très long, surtout vers la fin".

Cette expression latine évoque également l'éternité puisqu'elle signifie littéralement "pour la vie éternelle", ce qui suffit à expliquer son sens moderne.
Elle se raccourcit parfois en 'advitam'.

"Ad vitam aeternam"

« Ad vitam aeternam »


Pour toujours, à perpétuité


C'est Woody Allen qui a dit que "l'éternité, c'est très long, surtout vers la fin".

Cette expression latine évoque également l'éternité puisqu'elle signifie littéralement "pour la vie éternelle", ce qui suffit à expliquer son sens moderne.
Elle se raccourcit parfois en 'advitam'.