mardi 31 mars 2015

sagesse tenir les pois cassés hors de son périmétres




 « Les gens naissent pour être aimés.

Ils vivent pour l’amour, mais c’est la seule chose introuvable aujourd’hui.



Mata A mritanandamayi.

1 Platon

L'amour rétablit notre unité primitive.


2 Arnaud Desjardins

La spiritualité, c’est ce qui transcende les oppositions et les conflits.

3 frankie Map's Monde
Transcende quand  il n'y a plus grand trace d'amour dans son réel, permet de gagner  un pas en avant.

 

4 Guy Corneau

Rencontrer le meilleur de soi, c'est éprouver la force de notre élan créateur et sentir la pulsion de vie qui nous anime. C'est retrouver l'océan en soi, le ciel étoilé en soi, chaque partie de l'univers en soi ; et l'exprimer pour notre plus grande joie.


 

5 Kahlil Gibran

Et si vous pouviez garder votre cœur en émerveillement devant les miracles quotidiens de votre vie, votre douleur ne vous semblerait pas moins merveilleuse que votre joie.

6 Rabindranath Tagore

L'amour est l'ultime signification de tout ce qui nous entoure. Ce n'est pas un simple sentiment, c'est la vérité, c'est la joie qui est à l'origine de toute création.



 7 Théophile Gautier

Ma joie tient à ce que je rentre dans mon élément, et l'on est toujours mal hors de son élément. L'eau ne convient pas aux oiseaux non plus que l'air aux poissons.


8 Khalil Gibran

Plus profondément le chagrin creusera votre être, plus vous pourrez contenir de joie.


9 Soeur Emmanuelle

On ne possède pas le bonheur comme une acquisition définitive. Il s'agit à chaque instant de faire jaillir une étincelle de joie. Ne l'oublions pas : "Souris au monde et le monde te sourira."



10 Graham Greene

La joie est tributaire de la souffrance. La souffrance est partie essentielle de la joie. Quand nous avons faim, songez comme la nourriture nous paraît bonne !

 

11 Charles Trenet

Il faut garder quelques sourires pour se moquer des jours sans joie.




lundi 30 mars 2015

la cuisine sanglante







faire les pochettes de livre !!!
lire avant le texte car qaund vous êtes de dos les futurs lecteurs doivent sentir dans votre échine  si vous allez découper un lapin ou.....

alors comment vous la sentez mon échine



belle semaine je fais m'envoler en penser dans ma bergerie du pays basque
le soleil m'y invite.


promenez vous bien.

tendrement vôtre.

Frankie Map's Monde

samedi 28 mars 2015

instantanée de la semaine

Le nez dans mon écriture
la vue
sur une race de chien
et tous les voyages dans Paris avec les images et le cahier
très bon samedi   si vous voulez lire c'est le billet précedent 
                    "L'étalon reproducteur"
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Tendresse de Frankie





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et belles instantanées et bon voyage à leur monde.



vendredi 27 mars 2015

Ecrit de Frankie Pain : "L'étalon reproducteur"





Quand Charlie  passe dans ce château c’est toujours un bonheur. Le châtelain est un psychanalyste à la marge des écoles  référenciées mais il accomplit son travail avec le butinage savant   usant sans antinomie des concepts  de ses pères du 2O iéme siècle. 

Charlie passe régulièrement se poser après  son tour du Médoc dans les châteaux où elle donne avec sa fille Lili – violoncelliste- des contes. Elle met la musicienne au bus Citram de Pauillac et elle va  se reposer au château, Villa  de Palladio  en ruine, bien restaurée  par une  ancienne relation de Charlie. Avec l’accord du propriétaire, ils lui ont fait une véranda aménagée pour son ouvroir d’écriture  et une pièce pour toutes les commodités d’un campement confortable. Charlie aime à dire de ce coin sa « palombière  ».  Son âmi  Peter : « ma chère Charlie le Médoc est un far ouest, le jour où l’inconscient y arrivera,  l’humanité sera sauvée…. les hommes  de cette contrée Charlie sont   surtout très misogynes… »  Peter lui recommande  de    ne pas  porter pas haut en gorge sa « palombière » car un jour sur le chemin de son îlot « Douanier  Rousseau » c’est un fusil qui la fera gravir en direct le paradis. Pas son Eden. Charlie est très vigilante. Sa petite Lili a encore  besoin d’elle.

L’effluve de ses narcisses et jacinthes en bain de soleil  bat son Açores .Charlie s’est servie le thé dans sa véranda,  les portes sont ouvertes. La douceur d’une belle journée printanière. Elle prend quelques notes à chaud de leurs spectacles,  les commentaires…, elle  boit tranquillement son thé en y trempant son cher Cake que Peter lui ramène d’Angleterre quand il va voir sa chère Angelande. Pour Angelande, Charlie est la femme de son fils. A force de dire «  non », ils ont accepté, çà arrange tout le monde, même Lili que cela fait sourire, et elle les taquine... Son regard balaie son cher décor la pinède au loin et l’étalon lévrier Afghan est à son poste : c’est là qu’il se place toujours quand Charlie est là. . Soudain  une sensation étrange la  trouble, son stylo encre levé,  la dernière gorgée de sa tasse, elle reste en suspension, elle hallucine : Burt l’étalon est une vision terrifiante d’un de ses anciens fiancés le fils des D. Jamais jusqu’à ce jour cette captation s’était produite. Elle observe, elle éclate de rire. Son Burt a été rasé sauf ses longs poils sur les oreilles et le panache de sa queue. Son cher visage, ses yeux qui vous font craquer de la couleur de ses iris au dégradé du noir au gris au beige à l’écru au blanc qui le dessinent aussi précisément qu’un  tableau Velasquez. Ce corps, sans son écrin de poils, ce creux du ventre du lévrier géant musclé,  l’impudeur de son entrecuisse. Ah ! Et mon pauvre Burt, c’est Lancaster dans «  The Swimmer » mais il avait un maillot de bain ! Sa nature « sous poils »  révélée. Sa gueule est bien fermée comme s’il  suppose que son absence de robe, - sa robe plus longue que de moutons les plus laineux  -oui  sa langue si débordante carmin sanguine au bout … pendante, en et  après sa course, là, chevillée dans sa gueule,  mon Burt quelle pudeur ! Son Marco Polo diabolique  l’homme à la course incroyable,  jusqu’au jour où Charlie découvrit qu’il s’amusait de voler à l’étage pour avoir des charges d’adrénaline. Elle l’avait surprise, elle l’avait vu son visage transmuer par un rire atroce, un rire sardonique quand il avait vu la panique dans les yeux de l’homme volé. Il était à la tête d’une grande fortune : la jeunesse dorée belge les parents payants toutes les originalités de leur fils, pas prodige,... La course de cet homme lévrier afghan sans poils. La décongélation de l’amour fut immédiate sans passer par le micro ondes. Rupture des fiançailles  Charlie lui fit avaler son rubis d’Indochine serti sur la belle griffe en or des ateliers de beau papa. Ce que Charlie regrettera le plus ce n’est pas sa vie sans compter, mais le couple de gouvernants qui  leur avait  été alloué par les parents du Marc.

Charlie se lève,remplit sa théière transparente, l’eau sur les fleurs de thé. Elle fixe son attention sur ces anémones de thé, leur éclosion, elle fait venir en tête, le violoncelle,  l’accompagnement de Lili dans «  son chevalier  à la tête de rhinocéros d’or »,   elle ne peut échapper à cette attraction malsaine à son cher Etalon lévrier afghan  enfin  l’image de Marc : partie. Très vite substituée à celle du fiancé photographe avec sa tonsure de silence au dessus de la tête. Malgré les  boucles  blondes auréolant son visage, il a une  ressemblance avec Jean Marais. La mémoire est précise, le lieu de leur rencontre : les entrepôts Lainé à Bordeaux, le grand vernissage de Sol Lewit,   le musée d’art contemporain. Charlie est au bras  de Mickaël Lonsdall qui ne comprend rien au jaune Lewit. Première ressortie dans le monde depuis sa rupture avec HMB. Un jour Charlie avait reçu une gerbe de fleurs mortuaires - anémones violettes à grande corole- à l’heure pile des 4 ans de leur  amour, le mot : « je suis cet animal étrange qui ne peut tenir ma passion plus de 1500 jours. Que ces fleurs étanchent tes larmes. Tu recevras des invitations de toutes les expositions où notre couple fut conviée. Tu t’apprendras à vivre sans moi, que l’art ne te quitte jamais… » Charlie est fébrile, les répétitions se continuent en soirée ce qui autorise à rester entre deux eaux, cela est pratique  pour colmater la venue des souvenirs d’HMB…Elle n’a pas vue le photographe l’observer, il a été cherché deux coupes de champagne. Mickaël Lonsdale refuse, elle  fait de même, le dandy  photographe  l’entraine légèrement à l’écart : «  vous êtes trop jolie » il prit sa nuque dans sa large main, s’ensuivit le baiser du siècle, engagé,…. de ceux qui invite à trouver une couche de passage ; des tapas du corps au plat de résistance, sans trou normand. Ils se sont fréquentés longtemps sur cet acquis. Toujours dans le monde. Il a vu toutes ses pièces,….  Un jour,  il convie Charlie en pleine cambrousse : Terre Neuve en  Périgord. Là Charlie le soir  pénètre la caravane du photographe, elle  se glisse dans son sac de couchage. Il sort comme un polichinelle de sa boite : - Non, mais çà va pas, hurle-t-il outré, agressif.- Elle le voit violemment nu. -Il est temps non ! Que l’un prenne les commandes. 1O ans. J’ai la fidélité d’une Pénélope. Cà commence à compter. Tu as usé ma patience, je commençais à douter de moi.-
- je suis homosexuel.    -  Ah ! …Le  baiser … J’ai mal au ventre de  Charlie….. !    - Ce baiser me permit de résoudre les doutes que l’on pouvait avoir sur moi, être le nouveau  après HMB c’était ma plus belle garantie, mes atouts, mon hétérosexualité.-     Il arrache un rideau  de la caravane, il  entoure la nudité…
Burt, mon bon chien, vas chez ton maître. Vas….
Le chien remue son long panache, ses yeux s’apitoient, et,  magie ou horreur de la synchronicité,  là c’est le père de la Lili. Les jeux olympiques de Tokyo, la beauté athlétique du lévrier afghan,  celle de l’athlète de la médaille d’or. Charlie a offert  le bouquet de fleurs aux médaillés. Tout est  bleu, ses yeux, le bleu de ses veines saillantes. Le bleu  dans le cœur des  aimantés  de la médaille d’or.   Au défilé de la fin des JO,  l’attraction se confirme,  ils se sont retrouvés dans le dédale de leur hôtel du village Olympique. L’effusion est si forte que  les lits jumeaux se sont séparés et eux le lendemain au petit déjeuner des berniques sur le rocher à marée basse. Le mont Fuji au cœur des nuages à son sommet et sommet  de leur étreinte. Le séjour dans le monastère du maître de l’athlète… Quand Charlie est rentrée en Franc, jamais elle n’a eu un tel mal d’avion, de mer, …. La puissance de leur amour a donné du galbe à sa jeune poitrine, elle est dans la fatigue du fuseau horaire, le retard à son printemps  féminin, classique en voyage.  L’emprise de cet état est grande, un jour elle a une gastrite,  elle  se rend aux urgences, elle en ressort avec la petite Lili dans ses bras. Le médaillé est comblé il avait le fantasme d’un bébé avec elle.  C’est bon pour la presse… les entrainements l’éloignent, rarement là. Un jour chez le coiffeur, elle lit la presse People : elle tombe sur la robe de mariage  de son JO. L’alliance l’a coupé des podiums, le daddy de Lili en fumée. Le violoncelle happa sa peine. Charlie fit tout pour que ce soit le champion qui offrit le violoncelle.
- Allo ! Peter  appelles ton étalon, je ne suis pas bien, pourrais le temps de mon séjour l’habiller d’un plaid.  S’il te plait. …. Oui, je viens manger avec toi ce soir.
Charlie prend une douche longue, longue, elle réentend Lili sur les marches du bus Citram : « tu vas vers tes nostalgies… ?! » Elle n’a pas compris sur le coup. Elle ne doute pas d’elle Charlie. Phrases au hasard comme elle aime en faire à sa mère Lili…. Ces histoires, elles les avaient habités, décousues, défaites au moment juste où continuer eut été un enfer qu’aucun être mérite. Ses deuils acceptés, nettoyés plusieurs fois qu’une.

Charlie arrive dans le grand salon du château. Peter lui tend les bras avec un sourire chaleureux et la serre fort contre elle. La famille des lévriers afghans est là sur le grand canapé rouge. L’étalon Burt avec un plaid d’un écossais de souche irlandaise. Le panier aux  petits chiots dans l’antre de la cheminée ronronne,  bruisse.  Burt vient saluer sa Charlie, il se couche à ses pieds,  dépose  délicatement  son museau  dans le tissu de sa jupe  bâillante entre ses deux jambes. Sa truffe noire,   les yeux fixent, Charlie lui sourit rassurante. Il l’a senti cet après midi, autre son Âmie. Charlie le caresse, lui parle, le félicite de sa belle portée.
Peter : j’ai fait des plateaux cheminée, et ce soir tu dors au château. Ton visage n’est pas remis c’est prés de moi que tu dormiras cette nuit. Quelques larmes coulent sur les joues de Charlie. En caressant la tête de Burt - Merci mon cher Burt. Tu m’as soigné cet après midi. Tu y aies pour rien.
Peter : quand on se couche dans de la mélasse ; la tondeuse n’est pas loin.
Éclats de rire  de Peter et de Charlie.

fin

de Frankie Map's MOnde

Droits réservés
                                  


Velasquez pour vous  tous et toutes et le cheval pour Mimi du sud


                              Belle lecture
et  à demain
l'instantanée                                                                                       

mercredi 25 mars 2015

Votre mémére frankie a repris la route des essais

que ne ferais je pour vous apporter de la surprise.

Chut droit de réserve

mais vous étiez dans mon cœur ;  vous ravir de douceur et de tendresse est mon vœu le plus cher

 je suis toujours sur mon texte du lévrier

mais s' il y a des textes qui se donnent en trois coups de chapeau  celui -ci est plus complexe....

je veux être le plus dans la fiction alors il faut laisser les nuits continuaient à écrire pour nous au fil de nos corrections.


je vous salue . Paris semble mieux respirer et m'étirer par le tram et les bus jusqu'à Boulogne  ne fut que plaisir  non fatigue  et la Seine la longer comme une conversation avec une amie

souvent troublées par le flot des mots au portable  qui n'ont rien de seduisants même si ça "pecho"  on entend  que le niveau a beaucoup baissé " aprés tout  ! qui se ressemble, s'assemble...
j'ai du mettre radio classique j'arrivais même plus à entendre les mots de mes auteurs chéris.







Frankie  Map 's monde

dimanche 22 mars 2015

instantanée de la semaine

Je n'ai pu faire la foto  mais ce que je pourrai vous donner à voir, à ressentir ce sont ces nuages de fumées, nuages ocres gris lourds comme un manteau d'un plomb liquide 

et le vertige que l'on a , les jambes qui flageolent et les gens comme vous qui rentrent dans les magasins où l'on sait où s'assoir,

 c'est la première fois que j'en suis dérangée physiquement d'une façon aussi  puissante " abbattante", , ,
les bus gratuits,  le métro aussi. Les bus qui roulent à 25 à l'heure et les autres aussi
les rues de Paris vident mais

 le soir porte de Vincennes  comme si la conscience civique et  écologique   débauchait à 20 H c'était à nouveau plein et
cela roulait à toutes "birzinques",

toutes "birzinques" ,toutes "birzinques" 

çà me rappelait l'époque où j'étais encore active dans  l'échange de petits bouts de moi.... et que le monsieur avec sa gueule de séduction, et d'enfant de choeur, au moment de la mise sous cellophane , "je suis marié je ne risque rien, ..."ce tableau était terrible car ma conscience ne me permettait de
côtoyer un transmetteur de la mort 

"ce n'est pas ma voiture , ce n'est pas ma vitesse...."

 maintenant çà empêche de vivre c'est trois derniers je l'ai vraiment éprouvé  cet atmosphère  jaune ocre  comme l’ictère du ciel

voilà ma photo de la semaine.

un triptyque cette ictère du ciel ,
 les rues vides de Parsi vers le Louvre,
 et le banc chez Gilbert  au carrefour du Boulevard Saint Michel et la rue des Écoles les personnes venant reprendre force sur le banc...


frankie grÖnde

auto portrait 

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et belles instantanées et bon voyage à leur monde.




vendredi 20 mars 2015

en amorce d'un écrit.... pétales de sagesse," Migration Guadalkivir"

aux rotatives
belle fin semaine
le soleil est partie zonée hors de Paris
l'eclipse j'ai oublié , tant la pollutions donnait du mal à respirer sur la Capitale

la pluie du jour nettoie
belle journée  pour vous 
je vous embrasse et à demain
Frankie Map's Monde



Nous sommes la Tunisie
Nous sommes La Tunisie 

Taisen Deshimaru

Nous devons trouver la voie du Milieu, sans pencher d'un côté ni de l'autre, mais en intégrant les deux.



Rûmi

L'art de la connaissance, c'est de savoir ce qui doit être ignorer.



Si tu souhaites être une mine de joyaux, ouvre l'océan profond à l’intérieur de ton cœur.


 Viens à moi sans toi, je viendrai à toi sans moi.

Nous avons traversé les ténèbres de l’océan et l’immensité de la terre. Nous avons enfin trouvé la fontaine de Jouvence. Elle nous attendait patiemment, au cœur de nous-mêmes.


Lorsque vous cherchez l'amour de tout votre coeur, vous trouverez qu'il fait écho à travers l'univers.


Migration Guadalkivir

tableau N°2
dialogue des personnages d'un tableau 

Pastel mésange
 Tu as vu Âmie Garance ! Notre coin a été découvert.
Âmie Garance
 Je me suis chapeautée d’un ébouriffage rien que pour toi. Ridicule je vais être. Toucher à ma race. Mes plumes.
Pastel mésange
Après tout elles sont de notre monde : des petits êtres de la nature avec une bête à bon Dieu, un papillon, et  une araignée …  La lumière dont nous sommes peintes :  jaune canari -, et pourquoi pas jaune mésange citronnée- , bleu « turquoise »… ces êtres de la nature furent   hélés à nos ailes,  notre âme , mie de pain , thé. J’abuse du  langage des oiseaux.  Le courage des oiseaux quand même.
Peut-être des  dragon fly…..
Âmie Garance
Tu deviens mystérieuses aucun dragon dans le coin,   remets sous ton aile ta parano mon Âmie Pastel .Ne parles pas anglais.
Pastel mésange
Dragon fly,  cuicui c’est libellule.
Âmie Garance
Vivons tranquillement nos retrouvailles –si longtemps, si longtemps - sans nous étreindre d’ailes. Nous pelotonner de duvets. Nous grisons de nos piapia-lleries. Mon Dieu quelle idée ton pic vert  a eu de t’embarquer pour le Guadalkivir !

Pastel mésange
Etre la mésange d’un pic vert  militaire de carrière  ça réserve des voyages en soute à bagages, des permissions pas souvent et rarement programmées, mais Garance  toutes les espèces d’oiseaux que tu découvres aux rives du Guadalkivir, il y a des éperviers, des aigles, des corbeaux échassiers d’une ampleur d’ailes,…. tu te pâmes dans les airs.
La nature chante, le ruisseau s’égosille voulant rivaliser avec l’évocation du Guadalkivir, les 5 petits fées  de la nature chantent « l’ondine des prés «  dont l’interprétation de Frankie Pain dans « Méfie toi de l’eau qui dort » de Jacques  Deschamps resteinoubliable pour qui a eu le bonheur de voir ce film où Frankie Pain est la reine des Ondines telle  Chelly Winter dans la Nuit du chasseur.
Et plus loin dans les oreilles ébaubies de nos mésanges,  l’ouverture de l’armure verte de la rose, le défrisement des pétales de rose.
Âmie Garance
Humes cette rose, elle  nous conquière.
Pastel mésange
C’est une anglaise !
Âmie Garance
Une andalouse :  Abandonna

Droits réservés
de Frankie Map'sMonde




Les tableaux que nous avons offerts au dialogue pour continuer l’idée d’Hél de faire dialoguer les personnes des tableaux.
Là nous avions en aquarelle deux mésanges où le plumé est dans les turquoises et les beaux jaunes, sur d’un arbre. Une branche à l’horizontal,  l’autre à la verticale
Et au dessous de ces oiseaux,  une brassées de petits êtres de la nature entre la libellule, les petites fées, jouant sur une balançoire avec une coccinelle, une autre un papillon autour la nature dans l’éveil du printemps avec rose, clochettes blanche jaunes. Ligne harmonique entre les verts et  les couleurs des mésanges.et une belle gammes de blanc et de blanc écru.