vendredi 30 août 2013

la photo de la semaine instantanée : la porte du feuilleton Navarro

Pour Armarita

en regardant des rediffusions de Navarro que j'ai servi dans le temps je découvre  la porte à laquelle je passe quand je vais à mon cher rendez vous porte 9 ; 

comme la chambre 6 une nouvelle de Tolstoï
alors  je vous ai fait un petit parcours

la porte du feuilleton Navarro alors que nous tournions dans des studios loin derrière la défense.

et un petit parcours de cette belle place mes bâtisseurs que la place des Vosges.















Un petit casse croute sur la route
en face du 113 de la rue de la Roquette le sandwiche grec  5 euros , copieux propre et en plus toilette ! ce sont des tunisiens.

et si vous souhaitez partir en voyage dans les autre instantanée de la semaine cliquez sur le lien
 
http://mesinstantanes.blogspot.fr/
 

jeudi 29 août 2013

épisode d'été: fin de la quatrième partie la noce de mélusine etdu Skipper



Troisième partie et fin du quatrième épisode
Le troisième épisode fut lu 394 fois

La Noce de Mélusine et du skipper !

 Léo -Léon le bucheron   Photo de frankie


La cabane des bucherons est à vue  la musique d’un piano mécanique  leur arrive.
Accueil  chaleureux de tous ces hommes (4). Une petite déco de fleurs liserons, branches de bruyère digitales sur la terrasse dans des pots de résines. La table est dressée. L’odeur de crépinettes sur les braises. Le casier d’huitres  est posé au centre de la table. Une fois tous assis, Alain se lève est fait un discours. Odette a choisi de s’asseoir en face de lui. -respect du concept-, noce certes mais de Mélusine.- Respectons les grandes noces blanches de l’homme qui dira oui, et la femme oui pour tous les jours.- Il est vexé.
À Alain rallant qu’elle ne s’assoit pas à côté de lui-tout doucement-
Ne pas confondre un dé à coudre d’amour et une piscine d’engagement.
La place des choses dans une maison.
Bonheur de voir de face ! Je te vois mieux.
Sourire charmeur
 A le regarder s’il connaissait Shakespeare,  il aurait pu s’imaginer dans «  La mégère apprivoisée ».

Odette avait retiré les rideaux à la cabane et s’en était drapés. Ils tiennent par des épingles à linge en bois et en plastique de couleur. Cela donne à sa marche nuptiale une lenteur. Ne pas défaire sa voilure. Elle avait tenue à la nudité en dessous pour respecter celle de Mélusine - celle du dimanche où elle s’échappe dans le donjon - en sa peau de serpent.
Sur sa tête une couronne des liserons blancs
sur une couronne de bruyère comme une couronne de lauriers à la Dante.

Odette avait conjugué dans la composition de son rôle la pièce de « L’homme à la peau  de serpent » de Tennessee William, le film « La nuit de l’Iguane », et « La chatte sur un toit brulant » de Tennessee.
Un charme pour chacun. Inspirée une nouvelle ou une composition pour chacun. A sa noce de Mélusine. Tout était à l’intérieur d’Odette dans un jeu minimum à la Robert Mitchum. Le climax.

Elle agissait sur le climat, elle voulait offrir peu de mots pour honorer Alain de cette belle improvisation sur le thème de la noce. Il avait dire lire  Flaubert « Madame Bovary » pour la noce. C’était un plan séquence ( jusqu’à 67 minutes) à la Belakart ( dernier film primé à Berlin : « Le cheval  de Nietzche»2013)
La forêt avait elle aussi son rôle à jouer : les sauts réguliers des écureuils, la tombée d’une pomme de pins,  le chien de Léo-Léon le bucheron avide  de caresse. Et la grande duchesse  des lieux : l’Océan Atlantique .« Flux , reflux » des vagues - termes si cher à Mauriac un des grands auteurs d’Aquitaine-. Un moment Odette pense à Aliénor d’Aquitaine, toujours entourée de ses poètes, c’était un peu çà.  Quelle belle coïncidence de terroir et d’histoire !
Alain contemple sa Mélusine, il la caresse des yeux, il est même un peu jaloux de ces paires d’yeux qui la savourent . La simple séduction de politesse. Elle est loin de lui pour qu’il y ait place sa patte de propriétaire.  Qu’il fasse confiance aux convives , ils savent pourquoi ils sont invités.
Alain à lui même
« En une femme même la plus joviale, généreuse peut si on la cherche déployée ses talents de garce ».
J’ai imposé mon silence, mon sceau imposé en toute relation continu. J’ai déployé trop tôt mon jeu . Ou, il avait voulu la mettre en colère pour  éprouver la  résistance d’Odette  à sa névrose de misogyne. C’était une alter ego. Plantage de cap.

Ses potes avaient un peu bu comblant leur retard, ils planaient, dégustaient les huitres, riaient du bien être et de l’étrangeté de la situation : leur  vieux loup accointé d’une mousmée et lui en  organisant la Noce. Surréaliste .Un film à la Buñuel : « Le charme d’un marin illusionné d’épousailles ». Comme des gosses ils partagent son jeu, interrogent  du regard la femme. Jusqu’à quel point cette femme est dupe ? Elle y joue avec grâce.

Gérard D., compositeur de country, de chants Cajuns fit l’ouverture de la cérémonie avec son violon après les crépinettes, les huîtres, le vin frais sec et fruité d’Alsace.

Alain se mordait les ongles quand même de lui avoir imposé le silence, elle si drôle quand elle parle. Ce qu’il ignorait : « les taiseux »  sont les personnages les plus forts sur la  scène. Les taiseux   sont les auberges espagnoles aux  fantasmes pour chacun et entre autres -quand ce sont de grand interprète- ils portent l’âme de l’auteur. Comme Odette le fit  dans son rôle de Princesse avec l’Ecrivain dans « La société de chasse » de Thomas Bernhard.

Après ce fut Michel P. qui prit le relais de musique, ils se connaissaient bien les musiciens, il ne pouvait passer après Lub. Cette musique au milieu des pins dans la fraicheur d’un soir d’été, avec l’humidité l’odeur de la résine se rependait dans l’air. Odette rêvait, pleurer dans son cœur.(Comme elle aimerait un jour se tromper). Alain n’osait plus la toucher,  elle avait pris une place d’Icône, magnifiée par chacun des hommes, là ses amis .Et la règle chez les rugbymans et les hauts sportifs était de ne pas toucher à la femme de l’autre.
 Mais après ce diner : à qui était la Femme ?
Odette,  à un instant, chacun avait cru, être l’homme de la Noce Mélusine.
 
Léo -Léon le bucheron avec son béret basque qui ne le quittait guère,  servit le civet de lièvre avec une confiture d’oignons violets et de mures de son jardin la forêt, sur  un lit de tagliatelles fraiches  ,  le draps du dessous de cèpes , drap du dessus des giroles , des trompettes de la mort, ravivés d’un voile d’ail et de persil.

Alain avait mis dans l’aiguillère un Pétrus et débouché un château Laffitte. Chacun buvait religieusement. Odette remercia d’un grand sourire généreux Alain de cette attention.
 Avant le dessert, Odette leur dit des extraits de poèmes d’Andrée Chedid, Michel P. se joint à la Diseuse. Odette était aux anges.   Les mots d’André Chedid,  entendre Michel P. , glisser les mots, les sertirent dans ses notes. Elle avait au moins 40 de fièvre. Elle nageait au delà de son rêve. Pour sa dernière séquence les Dieux l’avaient honorée de son temps dépensé  au cinéma français. C’est fou les détours du destin pour faire une ovation finale.

 Alain avait les yeux « saltones » : sortir de leur enclave. Fascinatio. Il réalisait juste, simplement ce qu’est une interprète dramatique. Gérard D avait les doigts qui bougeaient dans tous les sens sur la table dans l’empreinte de son violon. La malice de Bernard L. , Léo-Léon faisait le signe de la croix. Les mots d’Andrée Chédid touchent tous les cœurs. La force de sa poésie.

Léo-Léon servit la tourte landaise aux pruneaux d’Agen, Alain sortit un Viel Armagnac . Bernard L.
accompagné de Gérard D. et d’Alain à l’harmonica, rejoint de quelques notes de Michel P., un feu d’artifice musical.

Léo-Léon pendant ce « bœuf » tenait compagnie à Odette, il tape en rythme avec une fourchette sur les verres assiettes détournées.

Mélusine a disparu sur une barcarole joué par Michel P. .

Elle s’engagea sur le sentier de sable bien éclairé par la lune. Un bain de mer pour bénir tout « çà ». Les crêtes des vagues étaient phosphorescentes. Odette malgré la fraicheur se régalait   des vagues, des musiciens. Elle se donnait  à sa noce dans sa joie de l’eau, d’être portée, bercée, transportée.

Les pieds nickelés suivirent le même sentier, la rejoignirent,  plongèrent.  Rires, jeux, bercements des uns aux autres. Les corps, les sexes s’oubliaient, tout en étant omniprésents. Les sixplets (triplets+ triplets) de père Océan.
Léon sortit de l’eau plus tôt, il alluma le feu de branches et de pines de pin qu’il avait organisées l’après midi :  le « au cas où ! » Léo-Léon s’était dit : « son loup  de la mer ne pouvait à un moment donné que l’honorer sa Mer. Peut-être  avait- il pensé passer sa nuit de noce là ? ». Il avait mis sous une bâche recouverte de fougères et bruyères des plaides quelques vivres et potions magiques, des tam-tams. Léo-Léon les installa autour du grand feu. Et ce qui devait arriver, tous ils rejoignirent le feu, et le jour se leva dans leur chant et musique. La nuit de noces fut de chants- feu- vagues- rire- d’Océan.

 La pureté du ciel, quelques nuages saupoudrant le bleu si transparent avec le jaune citronné du soleil drainant  l’azur  sorti de ses draps safrané-rosé de l’aurore. L’odeur de fenouil sauvage des dunes et l’iode des algues, et une petite odeur de « yokman »* de coquillages qui se décomposait .
* le jus récolté de poissons séchés, sauce utilisée par les asiatiques phonétiquement.

Odette s’éclissa à la cabane. Elle demanda à Léo-Léon de la ramener au bac. Pendant sa toilette il lui avait préparé un gros petit déjeuner de café au lait, de tartines grillées au feu de cheminée, avec des rillettes, de la confiture de figues.
Léo-Léon
Je  suis vieux garçon, cette nuit, Mélusine j’ai vécu ma noce.
Odette
Léo-Léon, vous ressentez bien les choses, elle était aussi pour vous.
Léon
 L’embrasse chaleureusement sur les joues.
Merci Odette !
Gérard
Sacrée Mélusine,  j’ai composé une chanson pour vous,  je viendrai vous  la porter en Vendée en fiacre,  puisque ma grande phobie m’a lâché le poil,  oui,  je ne pouvais quitter ma rive gauche pour aller voir un film sur les Champs Elysée. Quelle leçon ! En regardant « l’Ours des mers » mon poto : film muet, j’en ai eu tout de suite la musique. Vous étiez Yvette Gilbert avec ce petit « quelque chose »  de Madame Arthur. Plus jamais, je ne pourrai faire une fausse coure. Vous m’y  aiderez. Cette noce de Mélusine. J’y étais. Vous avez fait de sa noce, notre Noce. D’habitude c’est moi Mélusine. Je peux vous embrasser.
Odette
Votre voix  attention, elle est celle des « sirènos » .
Oui . Vous viendrez en Vendée.
Mais vous aidez en quelque chose en love coaching ?  C’est inconscient qui choisit. Pascal Quignard dit : « que ce sont nos ancêtres , » alors le mystère de l’autre ?
 Vraiment puis-je me permettre d’être coach en ce domaine ?
Gérard
Sensible aux travaux pratiques
Alain.
Pardon, je te l’enlève.
 Ma Rose. Tu es tellement aimable. J’en suis raide de peur.
Odette ricane
C’est plutôt de ne pas avoir ta nuit de noces !
 Quand tu l’as voulu, c’était difficile de rompre le charme.
 Temps
 Et riche de ma première phrase : « dans un an jour pour jour tu auras ma réponse »,
 je t’ai vite servir un verre.
 J’ai toujours une fiole de gouttes. Elles me furent précieuses.
Je te versais dix gouttes. Dix  pas plus.
C’est moins vexant qu’un non.
Il nous fallait du temps : une veille bagnole,
faut compter un bon temps de chauffe après un grand hiver.
Alain
 T’as fait çà ?!
Coquine ! Quelle peste ! Dans le temps tu ne te défilais pas .
 Juste un petit coup derrière les dunes
Odette
ça non, quand on est un vieux couple , oui ! On se passe de l’avant ,de l’après .
 Le point A en saisie rythmée
et nous embarquons pour « six terres » sans foins -foins ni timbales et tous les deux
la queue de Mickey ! Ah ! AAAH ! Aaaaaaaaaaaah !
Nous  quittons la table avec en bouche :  «  ce p’tit coup, euh !  goût : de reviens-y vite,
 avec les tirs de prolongation nous marquons  plein de buts. Yes !
Nous  gagnons  le Mondial de Mappemonde Odette, et, de Skipper.
Les zazouellas* en guise d’acouphènes dans les oreilles.
* les flute des stades D’Afrique du sud pour le mondial de foot dans la mémoire d’une dyslexique l’auteure.

Alain
Oh ! Yes, une vraie Zidane des slippings. Yes, we can!
Odette
La Souche de l’Hymen est à l’origine après l’exil parisien , et en fil de chanvre.
Je rêve qu’elle chante à nouveau ma Prunette, Nénette, Suzette, hi, hi hi !
 comme le chant des brames en forêt de Fontainebleau.
Mains pour la  dentelle  grandes paluches !
Dextérité d’un ouvreur de coffre fort !
Tu sais que les  orgasmes sont bavards.
Cette petite communauté d’hommes ,  pas possible.
 Si intriqués les uns avec les autres.
Alain
 lui prenant la main , lui rappelant le contact de la réalité Priapismique
T’a pas pitié de « çà ».
Odette
Whasiladofasol !
Le regard dans les yeux, pas besogneuse pour un sous, compatissante, gloussante d’un éclat de rire provoqué par       cet imprévu
Oh ! my dear, your pain,   no lo puedo lo uested querie ,
je ne te crucifie pas,
Alain, soit pieu ! elle rit encore,
une fois que nous avons  croisé  notre Unité mon cher Skipper,
plus de  raison de nous crapahuter hardi petit ou grand bonhomme,
 de nous chercher ou de nous y ensevelir disparaissent.
La quêquéte , quête est  autre, l’autre ….
Temps
Alain a les yeux qui tombent    ,la vue brouillée par  le désir hardant de l’enlever sur son dos,  de l’emmener  derrière la baraque du bucheron ainsi  avec son chanvre sous sa toison,  il va être le meunier , il fera de l’huile et de la farine de chanvre
à son cher moulin à parole qu’il a    aussi envie d’occire pour la faire taire.
Odette a tout lu dans la posture le regard et le reste
Nous devrions avoir un temps de phénomène
Alain
bête pharamine, r
De marie marmet

Léo-Léon
Votre limousine , Mélusine est prête !
Alain
Ahreu ?
La 504 Peugeot coupée décapotable rouge  est devant la terrasse,
Le chien  sur la banquette arrière qui jappe  doucement, la queue battant l’air
 Les instruments : le violon sous le menton, la flute aux lèvres, les deux mains prises dans les deux pianos de l’accordéon accompagnèrent la Odette - Mélusine  qui riait de les voir comme ce film de Jim Jarmuch ?! De ce groupe de rock russe des grandes forêts de Sibérie,  avec des chaussures dont les bouts remontent habillés en manteau noir, tous pareils. Ils  traversaient les Etats unis avec l’ancêtre mort sur le toit, pour enterrer dans une contrée des USA . Leur voiture était commerciale.
Alain
Allo ! Oui, la capitainerie !
La capitainerie
-
Alain
À bon !  un colis humain vous a été déposé !
C’est grand ? C’est gros ?
La capitainerie
-
Alain
Quoi je suis fils-père ?
La capitainerie
-
Alain
Comme fille -mère ?
La capitainerie
-
Alain
Un petit garçon.
Mon dieu !
Je suis là dans une heure.
Eclats de rire de tous les copains.
Riant. Un rire devenant jaune- jaune,
Gérard D.
Si ce n’est pas dans les meurs, cela peut le devenir.
Lub.
Gare aux trous dans les capotes
Michel P.
Faite gaffe aux trous des poules sur la route !
Fin
Du 4éme épisode de  La Partie du Marais.

Prochainement  pour la Rentrée
Le feuilleton de l’automne
Un épisode de passage est en écriture.
 avant que çà panne j'édite 

gros bisous


Photo de Frankie Par Thierry Picard Bleu

reprenez vous y en plusieurs fois  j'ai pas eu le coeur de couper...




mercredi 28 août 2013

vos mots m'ont donné de la belle joie


 


Une blague un homme dans l'eau qui à le prénom du skipper du feuilleton me fit  la cour aujourd'hui.
mon premier regard les doigts.
et dites donc vous avez une drôle de bague . sous une chevalière en or avec une pierre de volcan il y avait rutilante de sens une alliance , et  tout en nageant dans mon sillage il me dit oui, j'adore les bijoux !
et je riais !

eternelle réplique  pourquoi un homme marié çà vous géne  !
oui parce qu'il n'est jamais libre quand je me prend du bon temps

à c'est quand
le soir entre 21h et 23h et le week end
 pour noel
pour pâques et la toussaint.

pas autrement  ?

l'inspiration peut arriver à toute heure de la journée et je dois être là quand les anges passent.
je me suis dit que cela allait vous faire rire !

et que c'était mignon un home comme çà qui aie les bijoux

pour ceux qui ont besion de me joindre
dont Aurélia

lamangou@yahoo.fron ne sait jamais ce qui se cache sous les nappes de pique nique !

Par ailleurs j'écris une épisode par jour  et sachez que pour l'automne  ce sera l'été indien...
gros bisous








mardi 27 août 2013

allo ici frankie au coin de la rue cyberg sphére

Vos petits mots m'ont fait chaud le coeur , les boutons de patience dans ma poche s'usent
et le moral comme à être touchée alors comme une folle je nage , je nage








et je resiste mais c'est incroyable la place du blog dans la vie  vous me manquez tous et toutes

que le miracle se fasse , je vous salue  très dignement 

L'acteur  des fréres Cohen avec qui j'ai tourné mon fils du rôle lui envoyé des boules avec une sarbacanne d'où sa tête.. dans ce metro.
Bye



vendredi 23 août 2013

frankie est là, en panne depuis ( debut semaine) attend le dégel sous cannicule

ma fibre  qui me porte  le numérique à la maison est en panne dans tout l'immeuble ,
 peut être est-ce de là, ma panne de l'ordi sa folie et son ralentissement
enfin 
je commence à gérer le remplacement


"La noce de Mélusine(Odette) et du skipper"

est terminée depuis longtemps
çà gagne en détails chaque nuit me porte une correction
c'est tout à l'avantage du resultat.

Le feuilleton d'automne 
commencera le jour de l'automne 
et il y aura 
l'épisode de passage avant 
 entre la Partie du marais 

et
  le feuilleton d'automne
 "Odette tobib or not to be"
titre provisoire bien sur 
 j'attends une réponse d'éditeur pour recupérer le titre  de base de ce récit.



une rubrique va naître 

le retour du marché
comme Coffre ne sévit plus à la TV pour les petits budjets et que le" mieux" est soumis à de Lourdes coupes ,
avec les muses dont Mimi du sud
des petites recettes trouvailles ,

 pour le reste je n'ai pas la prétention d'apprendre quoique ce soit   à chacun et chacune des lectreurs et lectrices car 
je subodorre de très  bons chefs cuistots et cuistotes:
qui aime la langue aime la cuisine...

une rubrique de blague
 mais une par semaine car je n'ai pas intention de la chercher dans les blagues qui ne me ressemblent pas  sur le web
une par semaine je devrai trouver.

une photo virtuelle.
je me rends compte que je croise des personnes et la situation ne me permet pas de photographier pour  le blog alors ,  j'essaierai de trouver comme la photo virtuelle du jour de la fin du ramdam..

 et la collection d'automne de frankie pain 

cette panne m'aura fait trouver cette conversation écrite avec vous.


bref de quoi vous régaler et bien sur me regaler avec vous

 vivement la fin des pannes
la faim dépanne
comme vous le voudrez

je vous salue and je vous embrasse avec beaucoup de douceur , vous me manquez ...

 
photo de frankie pain


dimanche 18 août 2013

instantanées de la semaine



Photos de la semaine







 Pauline , frankie, Yohann, Eloy
avec leur Autorisation
photos frankie

C’est le weekend end du 15 aout. Paris est désert, le blog est désert.
 Après quelques actions nécessaire à toute bloggeuse qui respect sa ligne éditoriale et le respect de ses lecteurs, je repars en goguette photographique et souffle sur le chemin de mon petit indien au chiffre de consultation  bonne équation et rapidité de consultation.
 La terrasse ensoleillé de Hamed le Zanzibar café en face du 121de la rue de Ménilmontant, je commande un pastis. Hamed me fait les gros yeux, cela change de ma menthe à l’eau. Rien dis je  c’est le goût des vacances du sud il me sert avec son sourire d’homme épuisé, il n’a plus le moyen d’engagé quelqu’un pour le seconder il se fait  les heures d’ouverture à la fermeture. Je sors mon petit bureau ambulant : relecture de la dernière parie du quatrième épisode ;
La terrasse est plein sud le clocher de la bâtisse du 121  peut être, un clocher comme un minerai. Où sommes-nous ? Chez Hamed  nous sommes en transit ce sont nos vacances  en transit.
Je remets en place avec douceur une maladresse d’un homme africain, la palabre est reçue avec  une joie de communication.
J’ouvre mes notes  et mon attention est saisie par un jeune  homme les questions les réponses  nous cheminons allégrement d’un poney au cheval et son job, le blog etc.
Quelques confidences de l’instant
Ses potes arrivent.
Je parle  avec l’africain qui me parle de son pays le Burkina Faso, il m’offre
Un pot. Le soleil fidèle, crée de l’éclat à cette terrasse de los « olbidados » des vacances, la sympathie nous sert la pince.
La madame d’Hamed arrive avec ses des deux petits dont un en larmes, Hamed prend le petit dans ses bras et lui fait faire un tour de vélo dans l’arrière salle du café et leur offre des malabars plus gros que leur bouche.
Quelques petites heures défilent entre deux lectures des réecritures. Eloy est là avec son charme et son talent de l’écoute, le rie est l’invité ses potes arrivent. Pauline, et Yohann. J’ose leur demander une photo pour le blog des instantanées d’Armarita  c’est ok. Une photo juste une, ils sont ok. On se chamaille conviviale ment pour l’autorisation de mettre sr le blog, j’ai l’accord.
Et en partant  et si l’on faisait une photo tous les 4.
Et comment faire. Un  trouve la solution. Et nous voilà les 4.
 Belle semaine cher lecteurs
La mamie Mnouchkine, Pina Bosch
Nous voyons comme la culture Allo ! Nabila, ne franchit pas toujours la culture des ancêtres comme moi. Au moins en cette soirée des ponts ce sont faits
J’ai salué cet adorable monde la croisée des pays et des générations, merci à eux  tous
Je partage avec vous
Demain j’éditerai la fin du 4eme épisode du Skipper et de mademoiselle Odette !
Pour Armarita
Virtuelle sans l’être
Semaine difficile, la nouvelle de ma retraite les propositions
Ouille.
No comment ! Mais pas possible à prendre dans ses conditions là !
Un blocage  de mes années d’Hôpital bref…
L’ordi  au coin de la rue pour ne pas prendre des heures pour une petite consultation.
Autoportrait  pas belles d’émois simple  contrôle pour avancer.  Ne stay in a same place !

  Petit à petit la caille dodue se regonfle. Et sortie vendredi pour des images de samedi.
Le sourire est là, j’attends mon autobus une belle brune devant moi quand je lève les yeux de mon François Cheng  « le livre  du vide médian ».
Tout habillée de noire chevelure de lionne et du poignet de renfort noir. Je lui dis mon sentiment sur sa beauté, « la beauté est une rencontre » François Cheng
La dame beauté regarde à sa droite et je la suis.
Je reviens à elle.
«  Oui, il faut de la beauté et de la force, avec toutes mes pensées chaleureuses. »
Echange de sourires. Plus fort que tous les mots les mots.
« C’est si rare » me dit-elle !  Merci. »

 
La petite devait avoir douze ans, sa tête ne tenait pas droite, elle avait un petit minois magnifique une poupée de chiffon de rose et de vert vêtu.
Au revoir, mon mari est là ». Elle a disparu avec sa petite.
Série sur instantané  moment fort de la semaine, la force du regard.

Belle semaine et  allez donc vous promener chez Armarita vous aurez la liste des tous les instantanées, il y a beaucoup de vacances mais  j’en ai déjà regardé.
Bye bye  blogosphère amigas bravas