mercredi 31 août 2011

Rubrique l'atelier Hajat


Crépuscule d’automne
Fumée de popote
Mince filet
*
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CHAMP DE GARANCE
VILLAGE DE MONTAGNE
BLEU PROFOND

Capitaine chinois
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Fil bleu du printemps
Une noix
El duente
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La béchamelle d’automne
Le frêne dans la rivière
Une purée de brouillard
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Une rape sur le soleil
Une texture rouge
Turquoise le ciel
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Frankie l’atelier l’Hajat avec Melle F

mardi 30 août 2011

De l’homme aux yeux couleurs d’huîtres :Version fin de saison un« haras – kyrie »



Version fin de saison un« haras – kyrie »
*
De l’homme aux yeux couleurs d’huîtres

Descend de l’autobus de La Rochelle un homme au teint basané aux bras tatoués,
Il va se jeter un p’tit rouge. Il sait que sa fille fait un voyage au bagne chaque année pour son anniversaire. Il va la voir, elle est fiable , si lui ne l’a jamais été : il aimerait bien la récupérer, le temps qu’il se refasse la main et se récupère le magot.
*
Un verre deux verres trois verres, les langues se délient , tout le monde ne parle que l’assassinat de l’apothicaire, il écoute la description de la suspecte , ce ne peut être que sa fille les uns la disent blonde aux yeux bleus, les autres brune, aux yeux noirs, cheveux rouges aux yeux bleus verts. Elle est tellement belle avec ses grands pieds comme la star américain qui passa sa vie en charentaise dés qu’elle arrivait au studio et ne revêtait ses groles qu’au plan large.
En elle, chacun projette son éternel féminin , dans le récit des fantasmes, chacun s’arrange à être plus prés du sien.

- « CARAMBA ET MILLE SABORDS ma fille en garde à vue à La Rochelle . Quel atavisme ! Père sortant fille dedans. »

Dans la ruelle au milieu des roses trémières conciliabule des chats , ils se miaulent donnant leur adieu, s’ils ne dégagent pas de l’île, ils vont être tués à la mort aux rats et vieilles dentelles, il y a une crypte formidable à l’île d’Aix ; la bonne du curé est une femme à chats, elle les adoptera , Mika , le chat de l’homme aux yeux couleurs d’huîtres viendra leur faire visite quand son maître aura fait son rendu au metteur en scène du film « le nain jaune ».

Une gran maman est arrivée dans l’île avec son gouvernant Isidore et un p’tit drôle aux cheveux d’or aux yeux de « chine toc » elle a rouvert la Villa Palmarès en villégiature dans le monastère , ancien orphelinat , derrière l’église de Saint Martin . Elle est nouvelle dans les épisodes elle a beaucoup travaillé avec Valère Navorina, elle a appris avec lui que les rognures , les ratures, les censures des textes , il les récupère toujours et écrit, écrit des heures des nuits des moi, mois, de leur substantifique moelle il en fait des pièces qui glacent la « partaire », et « l’échévéché ». Pour une raison concernant un point de la vie du petit garçon elle souhaite pouvoir rencontrer PEARL .
*
Dans sa cabane au milieu des parcs de claires au milieu des marais salants, l’homme aux yeux couleurs d’huîtres à son établi de mixage, sous ses deux lampes rose jumelles Daum, la pantoufle bleu à carreau accrochée au mur juste sous les fils où sèchent ses piments d’Espelette , sa récolte de bolets , de girolles , de trompettes de la mort, sous le casque des sons il travaille , coupe passe d’une bande à l’autre… Il n’est pas numérisé. Le chat lèchE sa petite chatte de gouttière enceinte.
*
Sur la petite plage derrière le bagne , le couple la femme et le varan prennent le soleil sous le regard attentif à leur gros réveil qui ponctue leur changement de pile et face. Pour leur peau si « encaillée », écaillée.
*
Le "bedaineux" restaurateur remonte de la cave ses bocaux de pailla, et de soupe de poisson, le crime attire du monde son auberge ne va pas désemplir enfin il se frotte le ventre, il va récupère son manque à gagner de son juillet en soupe à l’oignon , et des grogs des jours de pluie qui avait coupé l’appétit des vacanciers.
*
A l’hôtel du diable , ils ouvrent leur dépendance . éventent les édredons les couettes.
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Le Gilou avait dit à sa Charentaise qu’il allait s’acheter une douzaine d’huîtres ; il faut toujours se garantir des portes de revenir, même s’il n’avait pas envie de revenir des bacs à huîtres il faut savoir finir avec panache ses huîtres d’amour , Et ben il était ben content de lui quand il reçut la nouvelle de la garde à vue de sa copine aux nuits folles vosgiennes à la saucisse de Morteau et au chou farci.
Comme si de rien était il est vite revenu dans les bras de la Charentaise , elle n’aura même pas vue son changement de flux ,
*
Une limousine ivoire avec un chauffeur qui parle qu’anglais avec un accent russe à couper au couteau tourne autour en se grattant la coupe de rocker platine avec ses santiags qui remontent sur le devant très pointu au moins de 7 -10 centimètres. Pendant que dedans HMB le mentor de « Pearl » se démène avec quatre IPOD .
*
*
Ainsi dans la version frankiesque , se termine ce « bête seller » première saison impromptu de fin d’été .
*
DE TEMPS EN TEMPS
A la rubrique du jeudi elle vous donnera des nouvelles de gran maman et du petit garçon,
A bientôt
*
Peut-être une saison deux, vous avez votre mot à dire ainsi les autres auteurs

Allez voir sur la liste des blogs que je vous ai mis le billet précèdent
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FRANKIE PAIN



La liste des auteurs du" bête seller"




















L'HUÏTRE AVANT L'absorption







la bourgade des enfants retrouvés epéisode 3 ET 5
DEVENU
LA VILLA PALMARES EN VILLEGIATURE

devenu
AFIN DEMAIN D4ALLER CUEILLIR SUR LES DIFF2RENTS BLOG SURPRISE UNE VERSION DE LA FIN


AVEC REMERCIEMENTS à TOUS DE CETTE AVENTURE
Epistolière à l’iode et aux embruns et aux lecteurs


LA LISTE DES AUTEURS

ttp://lamangou1.blogspot.com/ FRANKIE PAIN
http://toutamohamotu.blogspot.com/
laura
http://croukougnouche.blogspot.com/ AGNES/CROUK
http://almanachronique.blogspot.com/POMME
Sébastien Haton, dresseur de verbes au vert
mon blog d'écritures : http://sebastienhaton.blogspot.com/
mon autre blog : http://lenversduverbe.blogspot.com/


FRANKIE QUI AVAIT COLLE UNE IMAGE AVEC DES ASSIETTES D'HUITRE ET UNE CHATTE ET
ET
COMME UN PAYS DE COCAGNE

BYE BYE DE FRANKIE



le bête seller, alors la fin de la saison demain sur les blogs de chacun des auteurs !?



alors ! ouaf ouaf ! comment çà va finir ? wouaf waouf ?


radiographie des échanges au début de pas cap "on l'écrit" pour dire court




Oh, ben si vous aimez ça... j'vais pas m'gêner...
La dame aux crevettes, elle est pas près de fricoter avec le mec au chat....
10 août 2011 03:45

croukougnouche a dit…
Oh! alors! tu vas pas nous la jouer fée de mauvaise augure! le mec aux yeux pairs il a de la ressource , et le chat de derrière les tonneaux qu'il est en accointances avec depuis belle lurette , c'est un sacré pirate des cœurs! et les crocs qu'il a!! attendez un peu voir!
10 août 2011 04:17

almanachronique a dit…
Ah! Ca va saigner alors!!!!Grrrrr!!!
10 août 2011 05:04

FRANKIE PAIN a dit…
il serait ben l'heure de voir l'ami
"SEBASTIEN HATON DU VERBE AU VERT"
du chevalier au rhinocéros prendre la suite

mais je sens que dans l'alambique des mots mijote mijote

demain sur les blogs respectifs peut-être pleuvra -t-il les mots qui clôtureront la première saison de ce "bête seller" d'été

"31 AOUT C4EST UNE BONNE DATE POUR UNE FIN"

conclure disait Lacan à la fin d'une analyse...
NOTRE écrit COLLECTIF NE DURA PAS LE TEMPS D4UNE ANALYSE CHEZ LACAN.

rendez-vous sur les différents blogs

comme une fermière avec son panier fait les différents nids pour récolter ses oeufs.


COUVRONT-ILS CET HIVER ?

JE SUIS PASSEE à Delphes ce matin

la Pythie n'a jamais été aussi silencieuse

qui fait la roche fait signe

qui fait signe fait mouche

qui fait mouche
va à la pêche à la truite

ou aux moules
pour rester dans la métaphore crustacés


belle journée chers lecteurs....

FRANKIE





lundi 29 août 2011

rubrique mardi les bobos : remédes à l'être




Sean Penn

J'ai survécu à pas mal de colères. Je les ai remplacées par de l'amour. La vie n'est qu'une longue guérison.

rubrique : rire du lundi et très bonne rentrée 2011- 2012











nous ferons une belle ascension de cette nouvelle année comme un bon SERVIN

Nous voici avec les nouvelles grilles de France Culture, et pour nos chers chaîne TV
qui n'auront pas de mal à être meilleur que celle de notre été.
grandes décisions ! et beaucoup d'inventions pour le bubjet car il passera à la machine et faut bien penser à une une réduction du tissu . Vous en êtes déjà rendu
compte alors je vous offre
un petit décoincage de maxillaire
c'est simplet
n'ayant pris de vacances mon cerveau est un peu ramolo !

pour les puristes tirées à quatre épingles de la perfection

bonne semaine




bientôt le bassin d'arcachon si DIEU LE VEUT ! IN challa !

Deux anges font la causette :
- Quel temps fera-t-il demain ?
- Nuageux.
- Ah ! Tant mieux, on pourra s'asseoir.

C'est le petit chaperon rouge qui va apporter une galette à sa grand-mère.
Tout d'un coup, il rencontre le loup derrière un arbre et lui dit :
- Qu'est-ce que tu as de grands yeux !?
Et là, le loup prend peur et s'en va en courant. Le petit chaperon un peu surpris continue son chemin. Un peu plus loin, il revoit le loup derrière un rocher et lui dit :
- Qu'est-ce que tu as de grandes oreilles !?
Là, pareil le loup s'en va en courant. Le petit chaperon continue alors sa route, sûr de lui et revoit le loup derrière un buisson. Il lui dit :
- Qu'est-ce que tu as de grandes dents !?
Et là le loup énervé lui répond :
- Bon tu vas me laisser faire toilette tranquillement maintenant ?
*
*

Au restaurant, le garçon demande au client :
- Comment avez-vous trouvé le beefsteak ?
- Tout à fait par hasard, en soulevant une frite !
*
*

C'est une chauve-souris vampire couverte de sang qui revient en zigzaguant à sa grotte et se pose pour piquer un petit somme. Mais les autres chauves-souris, réveillées par l'odeur du sang, la harcèlent pour savoir où elle en a tant trouvé.
- Oh non! Laissez-moi dormir! Gémit la chauve-souris ensanglantée
- Non! Dis-nous où tu as eu tout ce sang! hurlent les autre. Finalement, la chauve-souris ensanglantée cède et dit aux autres de la suivre. Après dix minutes de vol silencieux dans la nuit noire, elles plongent dans une vallée, puis dans une forêt. Et à l'entrée d'une clairière la chauve-souris ensanglantée dit:
- On y est! Vous voyez cet arbre là-bas ?
- Oui! Oui! crient les autre chauve-souris vampire, la salive à la bouche.
- Eh ben, moi je l'avais pas vu..
*
*
Un artiste-peintre se rend à la galerie qui expose ses oeuvres pour jauger de l'intérêt que suscitent ses toiles auprès des amateurs d'art.
Le responsable des lieux lui explique sans détour:
-En fait, j'ai une bonne et une mauvaise nouvelle à vous annoncer. La bonne nouvelle, c'est qu'un investisseur est venu l'autre jour pour une évaluation globale des oeuvres que vous présentez chez nous. Il nous a demandé si vos toiles prendraient de la valeur après votre disparition.
- Et que lui avez-vous répondu ?, interroge le peintre.
- Nous lui avons dit que sans nul doute, les prix de vos oeuvres doubleraient après votre mort… Et il a acheté les 18 tableaux en exposition.
- Excellent !, réagit le peintre. Et la mauvaise nouvelle alors ?
Le propriétaire de la galerie explique, un peu hésitant:
- Hé bien, c'est que cet acheteur, c'est votre médecin généraliste !
*
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C'est deux gars qui embauchent une femme qui est belle et séduisante.
Les deux gars veulent coucher avec elle.
Le premier tente sa chance et réussit à la ramener chez lui, le lendemain il voit son collègue et dit :
- Alors elle était bonne ?
L'autre lui répond :
- Bof... ma femme est bien meilleure !
Le deuxième réussit à son tour à la ramener chez lui, le lendemain son collègue dit :
- Alors ? Elle était bonne ?
Son collègue, lui répond alors :
- T'avais raison ta femme et bien meilleure
*
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Un gars dans une administration est complètement envahi de souris dans son bureau.
Il fait passer un dératiseur qui après avoir fait le tour de la question lui dit:
- Je vais vous laisser un chat pour quelques temps. Ce sera plus simple.
Le chat est donc laissé pour quelques jours dans le bâtiment, et très vite, on ne voit plus aucune souris.
Le fonctionnaire, très content des services du chat demande au dératiseur si il peut l'adopter définitivement. Comme le dératiseur est d'accord, le chat reste dans les locaux.
Quelques mois plus tard, les souris font leur réapparition dans le bâtiment...
Le gars refait passer le dératiseur et lui demande ce qui a pu se passer.
Le dératiseur répond:
- C'est le chat... Maintenant qu'il est titularisé...
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- Moi j'ai toute l'année des ampoules dans les mains.
- Vous faites un travail difficile?
- Non, je suis vendeur au rayon électricité.
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Un gars malade se rend chez son toubib. Le docteur lui file des suppositoires et lui demande de revenir dans une semaine pour vérifier l'état de santé. Une semaine après donc, le gars revient dans un état encore pire qu'avant. Le docteur :
- Ma parole, je vous ai bien donne des suppositoires, non ?
- Bien sur Docteur.
- Et alors ! Vous les avez mangés ou quoi ?
- Ben évidemment, vous croyez que j'allais me les mettre dans l’ anus ?


BYE BYE JE VOUS AVAIS PRevenue simplet !
bye bye frankie





dimanche 28 août 2011

Lecteurs, lectrices du « bête seller »,toute votre attention



la fiancée de MIKA EST BIEN HEUREUSE DE LE VOIR REVENIR


Lecteurs, lectrices du « bête seller », les auteurs de ce « l’homme aux yeux

couleurs d’huîtres » clore la saison de cet impromptu de fin d’été .

MERCREDI JE VOUS CONSEILLE D’ALLER FAIRE UN PETIT TOUR sur leurs différents blogs










LES LAMPES DU STUDIO D'ENREGISTREMENT DE L'HOMME




les roses de l'an dernier de la villa palmarés en villégiature






alors blonde , brune ou rouge auburne




les enfants retrouvés





samedi 27 août 2011

sunday, sunday good morning !



Chers lecteurs et lectrices merci de vous tendres intentions

pour vous souhaitez mon "sunday, sunday good morning !"

UN DE MES coupS de coeur de ma vie
le peintre DALI

LA FEMME AUX TIROIRS ET LA GIRAFE EN FEU ET SES DÉCLINAISONS




DALI LES VENUS


VENUS DE MILOS ET LA FEMME AUX TIROIRS









Girafe en feu est un tableau de Salvador Dali qui a été peint en 1935 lors de son exil pendant la guerre civile espagnole. C'est un tableau surréaliste
Il est dit selon Sigmund Freud que l'esprit humain est divisé en trois tiroirs
On peut donc penser par ce tableau que le grand peintre Dali a retranscrit cette citation dans son œuvre surréaliste.
Les tiroirs ouverts de la silhouette de la femme renvoient à ce qu'a dit Sigmund Freud. En effet on peut dire que le conscient , le subconscient et l'inconscient sont représentés dans ce tableau.
Cette toile représente selon nous deux femmes couvertes de tissus et une girafe en feu. Ce tableau se décompose en plusieurs plans: Au premier plan on peut voir une femme (avec des piquets qui le tienne) Elle a la tête rouge avec pour vêtements un grand voile bleu, sa jambe gauche est composé de 7 tiroirs qui sont plutôt petits et elle a un grand tiroir a la poitrine.
Au deuxième plan on aperçoit une girafe avec le dos en feu et une légère fumée qui s'en échappe
une deuxième femme (avec elle aussi des piquets)
on n'aperçoit pas de tiroirs mais dans sa main droites on peut imaginer qu'elle tien t un poignard.
Et au troisième et dernier plan il y a des montagnes qui sont noires et bleues et le ciel qui est lui seulement bleu.




Biographie d'Emily Dickinson
A la fin du billet
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Les anecdotes sur Emily Dickinson
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Virulente
Agée de quinze ans, Emily Dickinson montre, dans l'un de ses poèmes, toute sa détermination à lutter contre son éducation :
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'Le rivage est plus sûr, mais j'aime me battre avec les flots'.




LE SOURIRE AU PIED DE L'éCHELLE de HENRI miller
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Oeuvre abondante
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Depuis l'âge de vingt ans jusqu'à sa mort à cinquante-six ans, Emily Dickinson a écrit 1775 poèmes.
«Si je puis empêcher un coeur de se briser, je n’aurai pas vécu en vain.»
[ Emily Dickinson ]

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«Vivre est si sensationnel qu’il reste peu de temps pour faire autre chose.»
[ Emily Dickinson ]
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«Le succès semble plus doux A qui ne réussit jamais.»
[ Emily Dickinson ] - Extrait des Poèmes
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Le succès semble plus doux A qui ne réussit jamais.
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La nature est ce que nous savons Sans avoir l'art de l'exprimer.





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Par la soif, on apprend l'eau.
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Vivre est si sensationnel qu'il reste peu de temps pour faire autre chose.
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Prenez-moi tout mais laissez-moi l'extase et je serai plus riche que mes semblables.
*
L'herbe a si peu de choses à faire que je voudrais être du foin.
*
L'espoir porte un costume de plumes, se perche dans l'âme et inlassablement chante un air sans paroles ; mais c'est dans la tempête que son chant est le plus doux.
*
Nous ne vieillissons pas d'une année sur l'autre, nous nous renouvelons chaque jour.
Citations de Emily Dickinson -
Emily Dickinson naît dans la petite bourgade d'Amherst, au nord-est des Etats-Unis, haut lieu du puritanisme. Elevée dans cette tradition, elle s'oppose à ce courant de pensée, et se heurte à son père, homme politique et célèbre avocat. Cherchant à se construire par elle-même, et non pas par une religion, elle trouve refuge dans l'écriture. Tentant de trouver des réponses aux questionnements universels, elle aborde souvent le thème de l'absence. Son style en retrait, empli d'ironie, n'aura quasiment eu pour seul public que l'auteure elle-même. Emily Dickinson n'a, en effet, rencontré le succès qu'après sa mort. Ne quittant jamais sa demeure, elle y écrit en permanence. Ses relations amoureuses sont également épistolaires. Durant toute sa vie, cette femme noircit des pages blanches, obsédée par la peur du vide. Très tourmentée intérieurement, Emily Dickinson doit également supporter les nombreux décès consécutifs qui se produisent dans sa famille : son père, sa mère, son neveu, son amant. Souffrant d'une maladie des yeux à partir de 1864, elle s'isole dans sa maison. En 1884, le juge Otis Lord, qu'elle devait épouser, décède, Emily plonge dans une profonde dép
ression, et meurt deux années plus tard


BED AND IN A ARM OF THE MAN WITH YEES COLOR OF THE SEAN AND A TEMPETE
ET TRéS BON BREAK FAST IN

vendredi 26 août 2011

"Les échos de la coquille" lien avec " le bête seller"





Les chats manifestent sur le port de SAINT Martin en Ré

miaou miaou on a touché à notre race.

UNE BELLE JEUNE TOURISTE EN GARDE à vue AU COMMISSARIAT DE LA ROCHELLE

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tous témoins de quelques détails se faire connaitre laisser message dans le fond baptistaire à la gauche de la crique de l'église de SAINT Martin en Ré.
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de la même manière si vous avez vu un homme aux yeux couleurs d'huitres se promenant avec une charentaise à carreaux bleus
**
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merci à tous les consommateurs d'huîtres de cette semaine le chiffre des vente à doubler.

REDACTEUR MY WELL
DE LA VILLA PALMARES EN VILLEGIATURE



jeudi 25 août 2011

rubrique contes du friday, conte de sagesse demain le 27 JOUR DU RAMADAN



PHOTO PRISE PAR FREDERIC PAIN

jour où leur prophéte MAHOMET REçOIT LES TABLEs DU CORAN
beau grand jour pour vous
Fadela m'apprit cela ce soir en m'offrant un morceau de sa galette
deamin elle me porte le coucous
je lui prépare une tarte aux mirablles , je trouve merveilleux de partager la parole dans ses grands moments de prières



Les deux rêveurs

Dans la ville d’Ispahan, en Perse, vécut autrefois un paysan très misérable. Il n’avait pour tout bien qu’une humble maison basse couleur de terre ensoleillée. Devant cette maison était un champ de cailloux, au bout de ce champ une source et un figuier. C’était là tout son bien ;


Cet homme, qui travaillait beaucoup pour peu de récolte, avait coutume, quand le cadran solaire à demi effacé sur sa façade indiquait l’heure de midi, de faire la sieste à l’ombre de son figuier. Or, un jour, comme il s’était endormi, la nuque contre le tronc de son arbre, un beau rêve lui vint. Il se vit cheminant dans une cité populeuse, vaste, magnifique. Le long de la ruelle où il marchait nonchalamment étaient des boutiques foisonnantes de fruits et d’épices, de cuivres et de tissus multicolores. Au loin, dans le ciel bleu, se dressaient des minarets, des dômes, des palais de couleur d’or.


Notre homme, contemplant avec ravissement ces richesses, ces beautés, et les visages avenants de la foule alentour, parvint bientôt dans la lumière et l’aisance de ce songe béni, au bord d’un fleuve que traversait un pont de pierre. Vers ce pont il avança et soudain fit halte, émerveillé, au pied de la première borne. Là était, dans un grand coffre ouvert, un prodigieux trésor de pièces d’or et de pierres précieuses. Il entendit alors une voix qui lui dit :


- Tu es ici dans la grande cité du Caire, en Egypte. Ces biens, ami te sont promis.
A peine ces paroles allumées dans son esprit, il s’éveilla sous son figuier, à Ispahan. Il pensa aussitôt qu’Allah l’aimait et désirait l’enrichir. “En vérité, se dit-il, ce rêve ne peut être que le fruit de son indulgente bonté.” Il boucla donc son baluchon, cacha la clé de sa masure entre deux pierres du mur et s’en alla sur l’heure en terre d’Egypte, chercher le trésor promis.


Le voyage fut long et périlleux, mais par grâce naturelle le bonhomme avait le pied solide et la santé ferme. Il échappa aux brigands, aux bêtes sauvages, aux pièges de la route. Au bout de trois rudes semaines, il parvint enfin à la grande cité du Caire. Il trouva cette ville exactement comme il l’avait vue dans son rêve : les mêmes ruelles vinrent sous ses pas. il chemina parmi la même foule nonchalante, le long des mêmes boutiques débordantes de tous les biens du monde. Il se laissa guider par les mêmes minarets, au loin, dans le ciel limpide. Il parvint ainsi au bord du même fleuve que traversait le même pont de pierre. A l’entrée du pont, était la même borne. Il courut vers elle, les mains déjà tendues à la fortune, mais presque aussitôt se prit la tête en gémissant. Là n’était qu’un mendiant, qui lui tendit la main en quête d’un croûton de pain. De trésor, pas la moindre trace.


Alors notre coureur de songes, à bout de force et de ressources, désespéra. “A quoi bon vivre désormais, se dit-il. Plus rien de souhaitable ne peut m’advenir en ce monde.” Le visage baigné de larmes, il enjamba le parapet, décidé à se jeter dans le fleuve. Le mendiant le retint par le bout du pied, le ramena sur le pavé du pont, le prit aux épaules et lui dit :


- Pourquoi veux-tu mourir, pauvre fou, par un si beau printemps ?


L’autre en sanglotant lui raconta tout : son rêve, son espoir de trouver un trésor, son long voyage. Alors le mendiant se prit à rire à grands éclats, se frappa le front de la paume, et désignant alentour comme un bouffon faramineux :


- Voilà bien le plus parfait idiot de la terre se dit-il. Quelle folie d’avoir entrepris un voyage aussi dangereux sur la foi d’un rêve ! Je me croyais d’esprit malingre, mais après toi, bonhomme, je me sens sage comme un sain derviche. Moi qui te parle, toutes les nuits, depuis des années, je rêve que je me trouve dans une ville inconnue. Son nom est, je crois Ispahan. Dans cette ville est une petite maison basse de terre ensoleillée, à la façade pauvrement ornée d’un cadran solaire à demi effacé. Devant cette maison est un champ de cailloux, au bout de ce champ une source et un figuier. Toutes les nuits, dans mon rêve, je creuse un trou profond au pied de ce figuier, et je découvre un coffre empli à ras bord de pièces d’or et de pierres précieuses. Ai-je jamais songé à courir vers ce mirage ?


Non. Je suis, moi, un homme raisonnable. Je suis resté à mendier tranquillement ma pitance sur ce pont fort passant. Songe, mensonge, dit le proverbe. Où Dieu t’as mis tu aurais dû demeurer. Va, médite et sois à l’avenir moins naïf, tu vivras mieux.
Le paysan, à la description faite, reconnut sa maison et son figuier. Le visage tout à coup illuminé, il embrassa le mendiant éberlué par cet accès subit d’enthousiasme et retourna à Ispahan, courant et gambadant comme un homme doué de joie inépuisable.

Arrivé chez lui, il ne prit même pas le temps d’ouvrir sa porte. Il empoigna une pioche, creusa un grand trou au pied de son figuier, découvrit au fond de ce trou un immense trésor.

Extrait de Contes des sages soufis de Henri Gougaud, Seuil.

villa palmarés en villégiature (suite petit garçon et gran ma de jeudi dernier









Petit Garçon
C’est dur d'écrire un roman
*
Gran Maman
C’est comme en montagne tu te crois au sommet tu tiens le fil
Et hop ce n'est qu'un col
Un autre fil est là...
*
Petit Garçon
AH ! T’es comme moi !
*
Gran Maman
Nous sommes débarquez "dare dare" dans notre baraque de l'île
Si nous ne trouvons PEARL, nous récupérerons bien à SAINT martin
L’homme aux yeux couleurs d'huîtres.



dessin d'AGNés/CROUK



*
Petit Garçon
Il a la charentaise bleue à carreau de Pearl,
Notre chance c'est qu'il va tout faire pour retrouver PEARL.
Ce qui s'est passé aux bars du bout de la jetée, ils ne sont pas prés de l'oublier
L’un l'autre,
*
Pearl est mon unique chance de trouver la trace de ma mère
*
*
Gran Maman
Burt le papa de Galice arrive pour l'anniversaire de ses 11 ans, il a mouillé dans pas mal de service secret , alors elle a pris l'autobus et elle préfère les pentes arrondies des Vosges et les potées avec son Gilou
*
Petit Garçon
pourquoi quand on a une perle de femme pareil on joue à saute charentaises gran maman
C’est peut-être un père comme çà que j'avais, pouah!
*
Gran Maman
Entre ce qui s'écrit et ce qui fut réellement passé il y a des montagnes entre la fabulation et la réalité, et la réalité tel qu'on la vit et ce qu'est la vie , alors MYWELL nous ferons notre possible de plus l'homme aux yeux couleurs d'huîtres il est secoué , pour que Mika face une telle brûlure à la cheville de la partenaire de L'homme c'est qu'il sentait vibrer chez son maître quelque chose de jamais ressenti auparavant,
*
Quand nous dans l'île le couple la femme avec le varan viennent toujours partager nos petites cérémonies alors ils seront là pour l'anniversaire de Galice, et tu verras ce varan parle comme l'ânon de la comtesse de Ségur
*
Si on allait prendre notre petit déjeuner
*
Petit Garçon
T’es comme moi Gran maman tu as lu toute la nuit les épisodes ?
*
*
*
*
Grand éclat de rires
*villégiature la villa Palmarés dans l'île.


Gran maman voit mieux ses tissus dans l'écurie
*
*
Tu sais il y une image que l'on ne peut inventer si on ne l'a pas vu, le passage de l'étudiante ce qu'elle vendait pour payer ses études dans l'épisode 5.
*
*
LE PETIT GARçon affiche au mur cette photo où il soit
*
Tu sens l'odeur des tartines qui grille
Isidore nous appelle avec l'odeur celui là, comment je ferai si il n'était là.
*
*
*
*
*
Petit Garçon
Mais tu pleurs Gran Maman !
*
Gran Maman
Je suis une mon versant des larmes
C’est une grande et belle histoire
Pleurer ne me coupe pas l'appétit et tant d'amour se mêle à ces larmes mon chéri, mon COEUR!
*
*
*

Petit Garçon
Encore
Encore toi
Ma nouvelle vie
Encore

mardi 23 août 2011

AVIS à LA POPULATION DES LECTEURS demain les suites du "Bête seller"








AVIS à LA POPULATION DES LECTEURS demain les suites du "Bête seller"




il y aura le 7épisode ,le 8 , 9, 10
*
trois mousquetaires femmes autores
*
et un chevalier
*
à demain EN LECTURE CHEZ http://croukougnouche.blogspot.com/

*
à ceux qui nous suivent déjà à ceux qui vont nous découvrir
si vous voulez vous mettre à jour des épisode précédents allez à la semaine dernière la rubrique du mercredi "bête seller " l'HOMME AUX YEUX COULEUR D'HUÎTRES. »

DANS LA COLONNE DE DROITE
*
VOUS Y TROUVEREZ LA LISTE DES AUTEURS
*
ET LES PERIGRINATIONS
*
De PEARL , DES CHATS, " l'HOMME AUX YEUX COULEUR D'HUÎTRES , du
*
PHARMACIEN ET .....
BON LECTURE

N'OUBLIEZ PAS de nous laissez vos impressions

comme à la télé il y a saison un

saison deux

vos avis détermineront d'une nouvelle saison


je vous souhaite grand plaisir de lecteurs










chers lecteurs sachez que dans mon coeur je n'ai pas de fautes d'orthographe


Chers Lecteurs,

Vous qui me lisez régulièrement je tiens encore une fois vous dire que si je fais des fautes d’orthographe ce n’est pas par irrespect, c’est par dyslexie, ces derniers temps j’ai du travaillé sur beaucoup de choses mon temps était compté et mon attention captée par la quête de ……
Je vais donc pendant quelques temps me réduire en mots afin de ne pas vous toucher.
Vous pourriez me dire le dictionnaire excite, je pense ne pas l’ignorer, le « becquerel » aussi je connais ainsi que les règles de l’emploi d’une virgule, étant un interprète et que pour interpréter il m’arrive dans de grand texte de passer une nuit sur une virgule.

J’écris vite, parfois je ne me relis pas, des recherches de travail dans tous les sens m’absorbent,

C’est pure folie que de mettre des billets alors des toits sont menacés , l’art de l’écriture ne peut il exister que quand on est dans le confort.

Alors lecteurs sachez que je ne vous insulte pas en écrivant avec quelques fautes, ce que je sais c’est que dans mon cœur il n’y a pas de faute d’orthographe et les 300 personnes qui me visites et m’écrivent chaque jour m’aide à lutter pour relever ma situation professionnelle
Me dopent et que loin de moi de vous être irrespectueux ;

De plus j’ai une très vielle machine qui se met à faire des majuscules quand çà lui chante
Alors le temps est passé, je ne peux que détruire ne pas écrire ou prendre le risque de fâcher,
Quelques uns, quelqu’unes, quelques
Chez moi ce n’est pas chez fauchon
Je suis autodidacte, mon premier dictionnaire que j’ai appris par cœur était le dico de « CAVANA » je l’ai appris par cœur pour me donner du vocabulaire,
Je changeais d’école deux fois par an mon père un globe-trotter, et il avait raison de me mettre dans les écoles du pays traversé que dans les écoles françaises dont les ambassades nous commandaient,
Mes maîtres avec l’accent et les lèvres très importantes pour la maîtrise de la consonne se recevait parfois très loin du becquerel,
Par contre ce que l’apprenait dans les cours d’école de leurs jeux de la palabre,
Vivre dans l’angoisse de cinq ans de guerre d’un père au front
Çà vous trace des distorsions terribles dans la grammaire
Quand ce sont vos années d’apprentissage
Ici
C’est le souk,
Mon écrit c’est les sens mémoires des multiples mémoires, c’est un cœur qui donne, qui se mêle de beaucoup de choses
Car mon métier m’a obligé de créer la palette des sentiments humains et de vivre dans la réception la plus profonde de chaque chose
Souvent mes « amis » me disent mais faut çà glisse.
Comment pourrais je interpréter les auteurs qui livrent dans un texte parfait des indicible maux, pensées subtiles que l’on cueille sans qu’ils les aient nommé, les choses les plus tenues qui vibrent dans leur cœur , leur cerveau qui boue et exulte.

DEMAIN CE N’est pas moi qui héberge la suite « du bête seller » heureusement pour les autres auteurs qui ont une parfait orthographe, et grammaire.

Si j’ai pu vous outrer, vous donner envie de vomir, vous ulcérer pardon.
JE NE PEUX être autrement

Dés que l’argent coule à flot je prendrais une secrétaire, je dicterai elle tapera
En attendant je vais faire piano pour respecter les déranger,
Quand je serai à la retraite promis je doublerai mon temps avant d’éditer

A bientôt ceux qui me prennent comme çà car si vous l’avez remarqué une fois sur l’autre un mot est bien à l’endroit
Je suis comme un océan j’ai la marée haute la marée basse, les marée d’équinoxe,
Et tous les changements de couleurs du ciel qui vont avec.

Chez moi c’est comme les huîtres
- je ne mangerai des huîtres que quand elle seront en boite qu’il suffira d’ouvrir la boite pour avoir 4 douzaines.

Chez moi, on prend la pinasse on va à l’île aux oiseaux chez l’ostréiculteur nous achetons un casier d’huîtres, nous mettons les huîtres sur la table chacun avec son couteau.
Voilà

Et je vous demande pardon écrire c’est prendre le risques de n’avoir pas en premier jet le jaillissement et la perfection
Google est parfait pour les sujets bien traités bien photographiés

Un blog c’est une plume, une forme, un contenu pardon et désolé monsieur de vous avoir si dérangé


lundi 22 août 2011

rubrique mardi les bobos : remédes à l'être




Louis jouvet disait que les souvenirs rêvés ou les souvenir vécus se confondent aprés

alors je revis les belle scène que j'ai joué avec des acteurs mythiques
les un m'ont inspirée, les autres le furent vraiment.

AU CENTRE MOI JOUANT LE RÔLE Simone Well


LES DAYS DREAMS
DES BEAUX Rêves éveillés et une belle prère aprés
athée,
juive,
la thora, les souffis
ect

et les pieds dans vos charentaises
vous avez la solution
la vibration dit oui,
l'hésitation dites non


l'instinct est plus fort que vous !


kiss for your good day sweeltly


pour rester avec l'innocence



la petite championne,



no comment



votre blogeuse très bon lundi
je suis courte j'ai plusieurs grosse marmite à clôturer alors
se sera régime peu de mots cette semaine
l'esprit est là


la puissance de l'innocence préservez les mon dieu !


lundi du rire chez la mèmére frankie


il y a eu trois grandes révolutions juives.

LA PREMIERE jESUS / TOUT AMOUR

la deuxième , freud ; tout sexuel.

LA TROISIéME : Einstein : tout relatif

samedi 20 août 2011

sunday, sunday good morning !







deux chevaux
et madame la marquise tout va très bien
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vous connaissez la crépinette ?
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non ?
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oui!
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vous le saurez en lisant mardi soir
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les échos des coquilles
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numéro 2
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votre chère frankie prends son quartier de je ne sais quoi ailé !
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hélée
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le paysan chinoie dont le cheval balnc est partie
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n'est pas simplement revenu
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avec une horde de chevaux sauvages
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avec une jeune fille
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elle entre dans la décennie la plus grande de l'histoire de l'être
*
elle ne me connait pas
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déjà sur face book
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elle me demande d'être son amie
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et en plus
je ne l'ai jamais rencontrée
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elle m'écrit
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quand est-ce que l'on se revoit
*
elle est très imaginative
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elle m'e,nvoie une photo qui m'a fait craquer
*
le cheval blanc

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et elle
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pour ceux qui n'ont pas traversé cette semaine du blog
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se disent
mais la frankie pain débousole
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nous ne pouvons faire des résumés
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acceptez les fragments
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dans la fraîcheur d'un coeur de lis tu pardon laitue
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tiquer
*
taguer
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voyager
*
sans came
*prendre un trip
*
à certains endroits
*
nous nous sommes
*
multipliés
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je pars séance tenante
à QUINPER UN CONCOURS HIPPIQUE ET épique est organisée
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dont les bénifices iront à la VILLA PALMARES
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DES ENFANTS RETROUVAilles des leurs progénies et "teur" DANS LA PUISSANCE DU TOUT POSSIBLE LEUR PARENTS
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Rose de PAUILLAC m'a missonnée

bye bye
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*
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si vous étes perdue
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avant de dire elle est folle
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faites gafFE

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depuis le colonel Chabert de BALZAC
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CELUI QUI DIT QUE QUELQU4UN EST FOU EST UN CRIMINEL .

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bye chers lecteurs
j'espère que l'on me permettra de revenir vite
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frankie pain

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la blogeuse