dimanche 27 avril 2014

l'instatanée pour Armarita tête multiples retard




L’instantanée  multi- têtes de la semaine
Vous me voyez un peu de loin en ce moment
Je prépare la peinture pour ma cuisine  alors  je suis dans le tri  l’évacuation du trop
Et cela me prend tout mon temps
Alors mes instantanée de la semaine
 
1
Le " rose de Pauillac" crée de mes trois géraniums

2
Le coin de mon Hermitage  méditation

3,
Le Sébastian de mes écrits de l’an dernier
Dessiné sur un morceau de bois en dessous du baobab

4
Zita du feuilleton Odette et monsieur Souche
 la chatte et Fatoumata sur la plage de l’ile de Gorée

5
Mise à autre chose de la déco infantilisante du pull jaune pleine laine

 6
La robe du printemps

7 petit voyage en Asie  gare de l’est
pour fêter pâques avec l’ami

8 taxi pour l’Asie





1 frankie pain Photo
 2frankie pain Photo
 3 frankie pain Photo
 4 frankie pain Photo
 5 frankie pain Photo
6 frankie pain Photo
7frankie pain Photo
8
à venir plustard, résistance de mon vieux coucou

avec le retard , je vous engage à aller chez armarita pour voir toutes les autres instantanées de la semaine



et les grappes d'instantanées
 qui vous y attendent
en cliquant sur le lien

je passerai vous voir en fin de journée.
 
http://mesinstantanes.blogspot.fr/


mercredi 23 avril 2014

eldorado à l'autre, de l'autre N°2 "la logeuse le coeur dans l'Harissa"

je viens de prendre plus de Giga pour ma machine, je serai donc mi juin plus presente sur vos blog mais je viendrai en fin de semaine regarder vos instantanées de la semaine et ceux que vous avez produit en attendant




j'irai au coin de la rue pour vous visiter c'est de mal en pire la rapidité de mon engin , bonjour merci de vos visites et de vos petits mots





L’eldorado de l’autre

2
La logeuse
Le malheur disait mon Viel ami Psychanalyste de la dynastie des bouchons de Châtrons :« le drame chez l’homme c’est de vouloir avoir :la passion et l’amour. Ce sont des choses totalement antinomiques. » Lacan disait  « on offre à l’autre ce que l’on a pas , à quelqu’un qui n’en a que foutre ».
Aujourd’hui c’est le vendredi saint. Notre Seigneur vit  une de ses plus dures épreuves : la mise en croix, les crachats, les trous au cœur, la couronne d’épines, la trahison d’un frère de cœur.
Et l’histoire de mon Eldorado à l’autre   : 




« La logeuse au  cœur dans l’Harissa »

-         Allo ! Puis parler à Malick ?
-         Il n’est pas là.
-         Ah ! oui suis je bête ! vous êtes sa logeuse. Bon , vous lui direz que sa femme vient d’accoucher de leur troisième enfant et en plus cette fois-ci c’est un garçon. Il va être heureux.
Et dans le téléphone :
elle se met à faire le chant des youyous de satisfaction.



Mon amie  s’effondra. Je suis allée lui rendre visite en cardio. Elle avait frisé l’AVC. : « Je te demande de mettre  ses affaires sur la terrasse. »
…Il partait de temps en temps il disait se planquer. Il était refugié politique,  en errance dans le sud ouest.  De temps en temps des voitures séjournées devant sa maison dans son quartier maraichers de la Benauge, c’était repérable. Des têtes d’hommes que tu n’avais pas envie de croiser dans une ruelle à l’heure entre chiennes et louves.
 Avec lui, elle avait atteint son point

 d’acmé, le point sans limite : l’Himalaya, 

les toundras de Mongolie, les orgasmes en 

chapelet ses cordelières des Andes. Sur le 

bras de l’homme était tatoué en arabe : «  

personne ». Notre Piaf avangardiste de 

l’extrême en chair  amour, nous l’avait 

chanté, dans son légionnaire.


Elle était ethnologue, elle lui avait offert 

l’hospitalité après une rencontre à Saint 

Michel. Comment ne pas s’éprendre  de 


 l’étranger,  elle amoureuse de l’Anecdote 

Kabyle, de Tamanrasset, du désert de sel. 

Avoir le voyage chaque jour au tableau A 


 de son planning, certes devenu un tableau 

C. Elle avait conjugué de beaux 

sentiments : 


 l’empathie, la solidarité, la compassion, la 

fraternité, le flirt du « couch surfing 

canapé » il était passé à  la chaufferette 

enflammante de son lit.

Certains jours il disparaît par les jardins 

de la terrasse, retour quelques jours après,  
 çà allait parfois jusqu’à un mois. Il 

réapparaissait silencieux : « moins tu en 

connaitras  mieux ce sera pour toi ». Why 

not ! Un peu d’adrénaline en plus c’est 

dans l’attente que le désir prend son plus 

grand essor. 
  
Elle arrêta sa psychanalyse juste 

ébauchée, sous-loua sa maison  à un mec 

bien en muscles, et avec les trois mois 

d’avance de loyers elle prit un aller pour le

 tour du monde. Elle croisa l’amour , fit

 deux petits . Le couple,  les enfants ne lui 

fit pas oublier le Malick.  20 ans plus tard

 c’est « le grand Autre » qui a pu faire

 calme à la tournante « harmataenne » du

 cœur à l’harissa.


Auteure Françoise Frankie  Pain La Mangou


Droit de reproduction reservés



belle semaine et visite bientôt sur l'ordinateur du quartier et je vous espère en pleine forme

gros smashs c'est pas tous les jours les pâques

samedi 19 avril 2014

Instantanées de la semaine pour Armarita




L’orme pousse
Sous l’œil de lilas
De La couette de tilleul
Avant leur parfum
Moucheté tilleul
Tilleul et Fuji-Yama
Cascade chlorophylle sur façade
Sur la place  d’Istanbul kurde
Numéro 10 Glycine

 Avant leur parfum
Photo frankie
 De La couette de tilleul
Photo frankie
 Tilleul et Fuji-Yama
Photo frankie
 Sous l’œil de lilas
 Photo frankie
 Cascade chlorophylle sur façade
 Photo frankie
 Moucheté tilleul
 Photo frankie
 L’orme pousse
 Photo frankie
Numéro 10 Glycine
 Photo frankie

Tilleul fit trouver Glycine

L’ami photographe Patrick à Istanbul kurde.
Et retrouver mon sourire
Sourire effacé de trop d’heures de Solitude
Bues à la paille, sans paille, chaudes, tièdes, froides, en glaçon
Sueurs froides
Quand la solitude vous fait toucher
avec l’ongle  du gros orteil la démence


et allez donc voir 
notre chére Aramarita
 et les grappes d'instantanées
 qui vous y attendent
en cliquant sur le lien

je passerai vous voir en fin de journée.
 
http://mesinstantanes.blogspot.fr/ 

dimanche 13 avril 2014

un dimanche frisquet, sagesse, lilas, el dorado de l'autre des prémices

chaud chaud
dimanche des rameaux 
la maison est bénie grâce à une petite voisine 
Elle  est allée à la messe pour ses amies du quartier  Mon petit brin est sur le bureau 
mon petit grain toujours  dans ma tête,
 dans mon cœur, pas de graines en mon ventre encre dans la plume

Je viens de terminer une superbe nouvelle
 je ne peux vous la mettre 
 elle a une vie pour l'édition.

Je pense à vous souvent , mon zinzin  va jusqu'à pour s'ouvrir  prendre une heure
alors  et le temps de choper les images et aussi  fou alors je seiche quand je vois la pile de linge m'attendre
mes travaux de cuisine programmés chaque jour
oui, je rénove la cuisine 24 mai

un amoureux de douceur m'a porté un gros bouquet de lilas violet et blanc
ainsi que des fleurs un peu comme
 les fleurs d'oranger
il n'a  pas laissé  mots.
j'adore ces formes subtiles de discrétion
comme quoi tout n'est pas comme
 dans "L'eldorado de l'autre"
ce détail aura sa place quand j'aurai fait ma petite enquête 

je vous souhaite une très belle semaine et je passe  vous voire avec vos productions et votre instantanée

une petite phrase 
question de boostée vers les belles vibrations.

prenez le panier d'osier celui que l'on prends dans les roseraies de la longueur d'une grande rose.

bye bye lovers writters  see you soon

1

Jeff Foster

Il y a deux craintes principales: perdre ce que vous avez, et de ne pas obtenir ce que vous voulez. Il y a une solution: Tomber en amour avec où vous êtes.



2

Charles Coutarel

Le seul intérêt de reconnaître ce que l'on est réellement, en dehors de sa valeur intrinsèque, c'est de trouver la Paix du Cœur et de l'Esprit. Autrement nul besoin. C'est libre. Avec cette Paix, une Joie innocente émerge... Une grâce simple..


3

Jason Lapointe

Il faut savoir oser affronter l'inconnu pour goûter aux joies de la liberté intérieure...



4

Guy Corneau

Comme tous les arbres, comme toutes les plantes, nous sommes destinés à grandir, à nous déployer et à nous épanouir pour notre plus grand plaisir et celui de notre entourage. Certaines racines sont si vivaces qu’elles passent à travers une fondation de béton pour poursuivre leur route. Telle est la force du ferment de joie qui nous fonde.


5

Guy Corneau

Rencontrer le meilleur de soi, c'est éprouver la force de notre élan créateur et sentir la pulsion de vie qui nous anime. C'est retrouver l'océan en soi, le ciel étoilé en soi, chaque partie de l'univers en soi ; et l'exprimer pour notre plus grande joie.

6

 Michel Ravenne
La Joie n'appartient ni à hier ni à demain. Elle est là, maintenant. La Joie n'est pas une chose qui se passe … C'est pour cela qu'elle ne disparaît pas … Elle n'est jamais apparue.


7

Félix Leclerc

Le verbe aimer pèse des tonnes de chagrins, de joies, d'inquiétudes, de chair, de sang, de doutes, d'extases et de cris. Ne le fuis pas ! Le verbe ne pas aimer pèse encore plus lourd.



faites votre choix si çà vous cause un chouya




vendredi 11 avril 2014

Instantané pour Armarita

photo de frankie
photo de frankie
un petit clic sur le lien et vous êtes avec la liste de toute les instantanées chez Armarita
bonne semaine
belle journée
je passerai vous voir en fin de journée.

 
http://mesinstantanes.blogspot.fr/

le printemps est arrivé. "Ah! mon Eldorado !"


je devais écrire « l'eldorado du corps »,

photo de la production du film 
 "Le fabuleux destin d'Amélie Poulain"
Rôle la marchande de journaux


je l'ai fait, je l'ai lu dans une galerie d'art contemporain  à Paris lors d'une exposition de "nus nues" avec Mireilla Rosner qui connait bien mes textes. Il y avait 80 personnes autant d'hommes que de femmes et chacun avait été très intéressé, et heureux même. Je doutais  de l'intérêt de ce type de livre, et aussi le mâle, mal que cela fait...

 et puis dimanche sur le marché je parle au marchand de bijoux nous plaisantons, et il me demande conseil  avec ses copines, il n'a pas la main verte comme je peux m'exprimer et je repense à « ce livre qui dort... » , il m'encourage à le ressortir. Je le fais mais dans l'épure juste un, deux, trois détails et font font font les marionnettes… je pense que dans la vie suffisamment de personnes ont été écoute ardente pour leurs  amies, amis en souffrance, pour que nous soyons initiés  les histoires dans le détail  je n'en vois pas l'intérêt sauf le détail : celui qui tue ou qui ressuscite.

si vous avez des « short cut » de texte que vous vouliez confiez au blog ou au livre je suis prenante car c'est l'histoire de nous, nos  chemins à l'autre ,  de la rose qui appelle par son parfum envoutant  quel « jean cana »(phonétique) entre les épines et encore parfois le scénario est si bien fait que nous voyons trop tard, même si toutes les sirènes d'alarme en nous , de nos amis... il y a parfois des césures : faut être très profileur  pour l'imaginer...

dites moi si le vendredi

jour du poison, pardon poisson, jour maigre,

çà vous direz d'en avoir une petite chronique..

gros bisous belle lecture.


ce texte est hard,

toute personne sensible s'abstenir,

interdit aux moins de 18 ans.

Rencontrer l'autre : c'est parfois croisé le diable !


L'eldorado à l'autre.

Le bourreuhsain : une paille.


Ça nettoie. L’on te ramène dans la terre.


Ce miroir. 



Après coups : brisée.


Voir sa tronche en décalcomanie. Devenir

 éléphante woman. 

L’écho dimension variable suivant les

 brisures du miroir.


Constater. 


Trouver quelqu’un, le prendre par la

 manche,


voir avec moi ce qui se passe dans le

miroir.




Le marié  A. a  vue la gonflette en direct. à

 vue.


L’impact . Cet impact là.


Un mariage, où j’avais été invitée avec mon

 fiancé


sous mes yeux mon mec drague une femme,


rigole , lui roule des patins 


devant moi, 


disparait de la table revient 3 heures plus

 tard 


avec de la paille sur le smoking


ainsi que la femme crapahutée qui rit

 comme une toupie.


 Il fallait qu’elle le crie  son orgasme à

 toute l’assemblée

cette  vielle peau fripée.
 
Avec la queue qu’il a, 


 il suffit de s’empaler, d’attaquer,


 le point A et tu le lèves le lièvre


 qui rend fou et te zèbre l’échine. 


Fastioche !


Il n’y a qu’à dire merci à dame  nature. 


Plus ils sont bien servis sur la balan

ce du distributeur de miracles


plus dans leur main de la besogne


 n’est pas un poils qui  demeure , non :  une

 perruque* . 





* : Merci Ramalane pour son expression des ateliers des Ecritures de l’Hajat session : la Casa AmÖva.

l'auteure FFPLM
les droits sont réservés


Photo de la production : Film japonais "la maison de l'Orme "!?
c'était un titre provisoire.
Rôle  patronne d'un bistrot cossu de Saint Malo

très bon vendredi et à demain pour l'instantané gros bisous