vendredi 30 septembre 2011

Tom Waits Me et Tire Palette en bref épisode 2 "repentir" de l'atelier d'écriture l'Hajat






Tom Waits Me
C’est bien çà
C’est fou quand on s’est tout dit
Que plus rien ne se passe
On cherche à faire sortir le bâton merdeux du puits


Tire Palette
J’aimerai l’embrasement satanique d’un hortensia bleu et d’une pivoine rose
Non çà fait trop layette, une pivoine carmin ; Carmonisée.

Tom Waits Me
Tu as vue sur la plage tous les matins


Tire Palette
Oui, le danseur noir donne son cours de comédie musicale
Il a des pommettes « fessiales » saillantes, à souhait.

Tom Waits Me
Oui, j’ai maté et tasse de thé .

Elles sont si rebondies « al dente » qu’il est capable de tenir une plume entre elles , sans la tenir par son anneau recto


Tire Palette
Recto Verso ?

Tom Waits Me
HUM !

LE COEUR D'"Ortensia bleu"

bye frankie pain


( à suivre)

jeudi 29 septembre 2011

retour de Tom Waits Me et Tire Palette en petit épisode repentir de l'atelier d'écriture l'Hajat






«Laissez-vous être silencieusement attiré par la force de ce que vous aimez vraiment.»
— Rumi

WORKING PROGRESS
NOUS POURRIONS L'ENTENDRE AVEC LA DAME EN JAUNE EN TIRE PALETTE ET
Tom Waits Me : FRANKIE PAIN


L’ortensia bleu

Tom Waits Me
Oui je comprends pourquoi on m’appelle « passé simple »
et je les léche la fente arrière

Tire palette
T’es pas polie

Tom Waits Me
J’ai pas dit le cul, ni les fesses , ni le derrière, à la rigueur j’aurai dit le popotin

Tire Palette
Tu n’as été capable de mettre au monde un bébé qu’un hortensia bleu

Tom Waits Me
D’abord çà fait moins mal quand çà passe

Passé simple et bleu
Bleu de l’âme çà se décline en hortensia bleu
Tu as une logique à tout épreuve
Tu veux rajouter une louche
Un "édrodon",
Un étron,
Un écumoire


Tire Palette
Ta frimousse est belle comme une pivoine prête à choir sur le gazon

Tom Waits Me
Gazon maudit : c’est ce que je préfère.


Tire Palette
Tes joues se pâment comme les angelos de noël en haut du sapin couper pour cette occasion

Tom Waits Me

Toi tes pommes de joues sont une grenade éclatée en rubis
T’as pas intérêt de tomber dans la profession de l’éleveur de coude tu friseras le cramoisis

Tom Waits Me
Autour de quel pot tournes tu ?


Tire Palette
La moutarde .
suite demain

où suis je ?



rubrique à volo, voli vola dujeudi : expression française :« L'erreur est humaine »



« L'erreur est humaine »


S'utilise lorsqu'on cherche à atténuer la responsabilité de celui qui a commis une erreur


Cette expression est la traduction approximative de la locution latine

errare humanum
est (« se tromper est humain »)
qui est la version raccourcie de

errare humanum est, perseverare diabolicum

(« se tromper est humain, persévérer est diabolique »).

Elle signifie qu'il est parfaitement normal que l'homme puisse se tromper.

Mais si se tromper une fois est parfaitement excusable,

il devient impardonnable de persévérer

de reproduire la même erreur.

Si l'homme est imparfait, forcément faillible,

nous sommes censés apprendre de nos erreurs.

Voilà donc une excuse que l'on est bien content de pouvoir faire sienne
lorsqu'on a commis une bévue, la première fois où on la commet.

Cette expression est généralement attribué à Sénèque,
même si certains la considèrent comme postérieure,
le latin de cette époque n'utilisant généralement pas le terme diabolique, paraît-il.

on trouve d'autres formes de la même affirmation chez Tite-Live

(cinquante ans plus vieux que Sénèque)


ou Cicéron (encore cinquante ans plus âgé que Tite-Live).

lundi 26 septembre 2011

Quelques pensées pour respirer la journée





Ralph Waldo Emerson

La marque constante de la sagesse est de voir le miraculeux dans le banal.


Multatuli

Chagrin et joie dépendent plus de ce que nous sommes que de ce qui nous arrive.


Novalis

C’est vers l’intérieur que va le chemin mystérieux.


Christian Montelle

L'oeil nous révèle la beauté extérieure.

L'oreille nous révèle la beauté intérieure.


Jeanne Moreau

Ce qui est important, c’est cette lumière intérieure qui est en tous.



Lanza del Vasto

Tais-toi beaucoup pour avoir quelque chose à dire qui vaille d'être entendu. Mais encore tais-toi pour t'entendre toi-même.





Spinoza

L'être d'un être est de persévérer dans son être.


Thich Nhat Hanh

En me réveillant, ce matin, je souris. Vingt-quatre heures toutes neuves se tiennent devant moi.


Albert Camus

Créer, c'est aussi donner une forme à son destin.


Neale Donald Walsch

L’âme est ce qui voit la beauté, même lorsque le mental la nie.


Nelson Mandela

C'est notre lumière, pas notre ombre, qui nous effraie le plus.


Ralph Waldo Emerson

Ce qui se trouve derrière ou devant nous n’a que peu d’importance, comparé à ce qui se trouve en nous.


Paulo Coelho

Quand on s’efforce de devenir meilleur, tout s’améliore aussi autour de soi.

Julien Green

Heureux d'être. D'être quoi ? D'être simplement.


Albert Camus

Je continue à croire que ce monde n'a pas de sens supérieur. Mais je sais que quelque chose en lui a du sens et c'est l'homme, parce qu'il est le seul être à exiger d'en avoir.


Emile-Auguste Chartier

Apprendre à ne plus penser, c'est une partie, et non la moindre, de l'art de penser.


Shakti Gawain

Vous devez d’abord être qui vous êtes vraiment, puis faire ce que vous avez à faire, pour obtenir ce que vous désirez.

Novalis

Jouer, c’est expérimenter le hasard.

Martin Luther King

Faites le premier pas avec foi. Il n’est pas nécessaire de voir l’intégralité du chemin. Faites juste le premier pas.



Thich Nhat Hanh

Chaque semaine, nous avons besoin d’une journée de paresse.


c'est ce que j'ai de plus difficile à faire
frankie

dimanche 25 septembre 2011

rubrique les lundi du RIRE l

Le wagon lit



Un homme et une femme qui ne se connaissent pas doivent partager le même wagon-lit.
Bien qu’un peu gênés d’avoir à partager autant d’intimité, les deux sont fatigués et tombent bien vite endormis. Lui sur la couchette du haut; elle sur celle du bas.
Vers 1 heure du matin l’homme se penche au dessus de la couchette du bas et réveille la dame :
- Madame .. Madame. Excusez moi de vous déranger. mais j’ai terriblement froid. Auriez-vous la gentillesse de me donner la couverture qui se trouve dans le casier ?
- J’ai une bien meilleure idée, répond la femme. Faisons semblant que nous sommes tous deux mariés depuis 10 ans. juste pour cette nuit. Ça vous va ?
- Wow ! Quelle idée intéressante vous avez, s’exclame l’homme. Je suis bien d’accord !
- Bon, dit-elle, va la chercher toi-même et fais pas chier.


Culoté ou pas



Deux couples d’amis jouent aux cartes.

Claude fait tomber ses cartes par terre et en se baissant pour les ramasser sous la table, il s’aperçoit que la copine de David, Jessica, n’a pas de culotte ! Surpris, il se cogne la tête et ressort tout rouge.
Plus tard quand il va à la cuisine chercher quelques bières, Jessica le suit et demande : As-tu vu quelque chose qui te plaisait sous la table ?
Claude dit :
- Oui, ça m’a plu !
Elle lui fait un clin d’oeil, sourit et lui répond :
- Tu peux l’avoir pour 100 euros.
Après une ou deux minutes d’hésitation, Claude répond qu’il est intéressé. Elle lui dit que puisque David travaille les vendredis après-midi et pas Claude, qu’il vienne chez elle ce vendredi vers 14h00.
Ce qu’il fit bien sûr.
Après avoir payé les 100 euros, ils vont dans la chambre et font l’amour dans toutes les positions pendant 2 heures puis Claude s’en va.
David rentre vers 18h00 et demande :
- Est-ce que Claude est venu cet après-midi ?
Choquée, Jessica répond :
- Oui, il est passé quelques minutes.
- Et est-ce qu’il t’a donné 100 euros ?
(Elle pense: “Zut, il est au courant !”)
A regret :
- Oui, il m’a donné 100 euros.
- Très bien, dit David, Claude est passé à mon bureau ce matin et m’a emprunté 100 euros et il a dit qu’il passerait chez nous pour me les rendre. C’est super d’avoir des amis honnêtes !…


LE DETECTEUR DE MENSONGES :



Un homme rentre de son travail avec un robot détecteur de mensonges.
Son fils de 12 ans rentre avec 2 heures de retard de l’école.
- Où étais-tu tout ce temps ? demande le père.
- J’étais à la bibliothèque pour préparer un devoir !
Le robot se dirige vers le fils et lui assène une claque…
Le père explique :
- Mon fils, ce robot est un détecteur de mensonges ! Tu ferais mieux de dire la vérité…
- Ok… J’étais chez un copain et nous avons regardé un film : Les 10 Commandements.
Et paf ! Le robot assène de nouveau une claque au fils…
- Aïe ! Bah oui ! En fait, c’était un film porno…
Le père :
- J’ai honte de toi ! À ton âge, je ne mentais jamais à mes parents !
Et paf ! Le robot assène une baffe au père…
La mère se marre :
- Décidément, c’est bien ton fils …
Et paf ! Une baffe à la mère…


De l’art de ricocher

Un homme se trouve dans la banque au moment où un voleur y commet un hold-up.
Le voleur prend les personnes présentes en otage et demande au premier d’entre eux :
- M’avez-vous vu voler la banque ?
Le 1er otage répond “oui”, le voleur lui tire alors une balle dans la tête.
Il passe au 2ème otage, lui pose la même question – M’avez-vous vu voler la banque ?
L’homme répond :
- Moi non, mais ma femme a tout vu…


Les régles du matcho
C’est un macho qui vient de se marier avec une femme sexy. Le lendemain des noces, il dit à sa femme :
- Bon, alors ma chérie, maintenant dans cette maison, il va y avoir quelques règles à respecter. Tout d’abord, il faut savoir que je rentrerai à la maison si je le veux et à l’heure que je veux. Et je ne veux pas de chamailleries pour autant au moment où j’arrive. Je veux aussi qu’il y ait un bon repas sur la table en une demie-heure si j’ai envie de bouffer. Je ne veux aucune discussion quand je m’en vais pêcher, chasser, boire un coup ou voir un match de foot avec les copains. C’est bien compris ?
Alors la jeune mariée lui répond :
- Pas de problème, c’est d’accord pour moi. J’aurai juste une seule règle à édicter, quant à moi : tous les soirs à 21 heures, il y aura du sexe à la maison, que tu sois là ou pas…



troisième acting on the wordl "terre"

Terre terre terre terre


4 terres
Pour porter en terre, il faut être quatre
Terre terre terre taire

Fausse Commune
incassable
pas casée

pas dans les lieux communs de la beauté :
trop belle pour grosse
trop intelligente pour belle

« Enlaidie toi, grossis- toi »
Et tu auras à becqueter

bout en train des courts

soutire, Soutine, sa tire son essence
les voleurs avec les jerricanes son oralité

dans les scénarios après
ses expressions même pas dégainées

tout était écrit

Tes rôles ne peuvent être que des monstruosités
on achète chez l’arabe du coin au dernier moment
on ne fait pas de projet sur toi
surtout pas chez Fauchon
avec toi nous sommes toujours fauchés

T’es pas une affaire
Tu es un dépannage

Terre terre taire terre

Tu as un spectre large
Range toi

Range toi et soit là
quand ils te voudront
faire leur bouffer
L’ dentier
Ouvre tes yeux sur des agents requins

Le chien quand on lui donne un os va au fond du jardin l’enterre

Fais mieux que lui

Terre taire terre terre

L’ami « 30 kg de moins » dit : « tu enterres ton métier. »

-J’enterre ma vie de jeune fille

-Ah bon pourquoi ?

-Aucun homme ne veut mêler ses pinceaux avec un artiste

Sa couverture narcissique sera pour sa femme

Soit belle et tais –toi !

Tu le peux pas , le nursing qui s’y trimbale


Être artiste
Penser plus , rêver plus ,
Ah c’est çà ton travail il dit en mesurant tout ce temps

Comment faire avec une artiste même
si on ne s’ennuie jamais

Le jour où elle aura percé, je saurais me manifester
ces êtres là sont des crêpes que l’on retourne

L’artiste élève leurs sens, leurs émotions
comme un élevage de bisons
ou un élevage d’ esturgeons sauvages
alors leur ventre est mou
leur cœur c’est pire

J’ai le temps de voir venir

Elle, ce matin là j’étais venue m’installer dans le bureau de monsieur
pour partager ses silences
dans son monologue intérieur
il était irisé de calculs comme un mec en pleine crise de calculs renaux
crise de coliques néphrétiques

taire terre terre terre

Ca sent le cramé barrons-nous avant

Avant
elle l’a marqué et lâcher ses derniers watous
de son art divin de faire l’amour ,
une artiste baise comme Sapho & Aphrodite cousues
en fonction primitive
c’est la déesse Callipyge & tous les génies
de la nature de la forêt de Brocéliande.

Le sexe sert surtout à leur art.


Avoir un flair de chien d’arrêt


Où est la poésie dans tout cela !

« Du riffifi chez la femme artiste »

&&&&&Le vol du pourpier
Le vol de ma méthode
Le vol de mon atelier
De mon art
De mon décor
Pour 100 EUROS
&&&&
Il y en a qui ont le sens des porc-portions
&&&

Les liquidations
de la perte
veillons aux angles
certains arrondissements
Pas l’aronde étoile Simca
l’étoile qu’l’on met dans un train
avec un aller simple
« Ca va aller, ca va aller »

Elle veut cette artiste connaître une germination nouvelle au printemps

Je ne filerai pas la métaphore longtemps sur le sujet

Le réel ne se paraphrase pas
Lacan disait : « le réel n’est pas symbolisable »

Mettre les gaz
s’envoler dans un nouveau champ d’exploitation
Sans trop se presser
de remplacer une illusion par une autre illusion
Plus subtile, plus séductrice.

Nolo et Semours sur canal
« Nous avons tourné la page
A chaque chose il y a une fin
Participant, participe , participera
La page est tournée c’est fini »

au rendez-vous de Paris première
Leur nouvelle page ce lien entre les deux
Couples, duo, clowns du réel politique

De l’autre côté çà rame , on s’endort
pourquoi les faire partir dans l’année électorale ?
Ségolen , hier avec elles deux
C’était pitoyable.


Un vieux déco me croise ,
27 ans plus tard
je sortais du poly social
Et me dis : « tu sais Orsons Welles
n’a pas trouvé le budget pour sortir son film
le Marcel Carné des « Visiteurs du soir »
« des enfants du paradis »
aussi
c’est presque même bon signe
par les temps qui courent

Le vol du pourpier
L’envol du bourbier

ne crache pas dans la soupe
La vie en exil de ma province
L’écriture est née
Cadeau premier

segundo
La solitude est intégrée à moi
Et après 27 ans de cette puissante vie commune
Nous sommes siamoises
Il y a celles que l’on sépare
Et il y A celle qui soude, une pièce unique
Les deux visages
attention la femme hybride

mauvais
l’argent de la soupe populaire est dans le colimateur
j’ suis là

Les draps de la galère
Innommable
à trois mois de mes 60 ANS

ET COMBIEN SOMMES NUS ?
SOMMES-NOUS ?

TERRE TERRE TERRE TERRE

Pour la germination au printemps

Pour la germination au printemps

frankie pour rose de pauillac de villa palmarés









DIMANCHE GOOD DAY

LES PHOTOS DE L'amie de l'écuyère de la famille

merci à toi petite amie de me permettre de suivre les vacances équestres d'Ines et de voir le bonheur de cette demoiselle avec son cheval , je pense jeune reportaire que vous devez avoir la même passion
bons gallots à toutes les deux




samedi 24 septembre 2011

recette du week end : LES DEUX SARDINES


LES DEUX SARDINES
pour que vous m'imaginiez les mains dans les sardines très concentrée

Quand la belle fille de La Rochelle se met aux fourneaux

Quelques sardines 1euros 50 le kilo

Arrivée à l’atelier

Les mettre au gros sel de Guérandes tout gros sel le moins traité

Pour cela vous les avez étriper et guillotiner

Le lendemain matin

La moitié de chacune de ses dames après les avoir dépecés
Cela se fait facilement le sel à durcit la peau ,
Le couteau glisse facilement entre la chair et le tissu qui tient les écailles

Dénudées les demoiselles vous leur prenez la queue et vous faites un tour en l’air tout en tirant de part et d’autres de la queue

Vous avez deux partie
L’une est que la chair l’autre et la chair et l’arrête

Dans du papier d’aluminium
Vous allongez les moitié avec arrête
Qui ira au four une demi heure avant de passer à table

Tandis que l’autre moitié délectée de son arrête ira dans une joli coupelle de porcelaine se coucher sous un lit de jus de citron d’Espagne ou citron vert le tout accompagné et coriandre en feuille coupé menu
Remis au frais

Pendant des ses moitiés l’une marine, l’autre se fait chauffer four 20 mn

Vous préparez un sauce verte d’une poignée de mouille cuite dans leur simple jus et laver à l’eau pour retirer la teneur de sel
Un oignon couper en petit morceau , un petit oignon violet traiter comme l’autre pas de jaloux,
Et un e gousse d’ail pour révéler le goût de la moule

Le persil haché menu

Huile l’olive
Vinaigre de vin blanc
Ainsi la subtilité de vin blanc vous viendra en bouche sans ouvrir une bouteille

Et vous servez
Comme un tissage cru , cuit sauce ci-dessus décrite et cru cuit et sauce



Et vous dégustez

Je n’ai pas le talent de SACHA photographier mais mettez les dans votre bouche et vous vous sentirez

Ou à La Rochelle
Au Pays Basque
Ou sur le Bassin d’Arcachon



de Frankie Pain LE Marché de Couronnes à Belleville











Voici quelques beaux jours de soleil
hier je suis allée au marché de belle ville
la foire d'empoigne
mais le chant des marchands était mélangés
aux épices des étales et des femmes
Où étais je ?
à Dakar , à Casa , Saint louis SAÏGON;
Nous étions au pays des pauvres,
et nous nous régalions d'avance
des affaires qui se faisaient
entre 14 H ET 14H 30
en mangeant les moules au beurre salé
une pensée pour toi

le diable à volio, voli , vola de samedi






QUELQUES FLORIG2GES DE PHRASES DONN2ES PAR LA LECTURE DES MES AUTEURS CHéris


beau week end dans les rayons de l'été indien

votre Frankie Nationale
Cà va tu n'as pas les genoux qui gonflent

nous
j'aime m'épencher quand ma bonne humeur du matin est là à prendre le petit déjeuner avec moi mon désir est de la partagée
tous mes matins du mon monde n'a pas cette douce friandise qui comme les champignons n'éclosent pas comme on le voudrait
d'une étrange combinaison de pluie et de soleil
atchoum

à tout bientôt chers lecteurs

elle a le rire de qu'elqu'un de sa famille



Il ne faut pas de tout faire un monde , il faut de tout faire un bonheur rien d'autre combinaison avec la pensée de PAUL ELOUARD

La joie est le passage de l'homme d'une moindre à une plus grande perfection
Baruch Spinoza

Seuls les actes décident de ce que l'on a voulu
JEAN PAUL SARTHE

Penser, c'est réapprendre à voir, diriger sa conscience , faire un lieu privilégié
Albert Cohen

Tout bonheur est une innocence.
Marguerite YOURCENAR




en somme , rien n'est inadmisible, sauf peut-être la vie , à moins qu'on ne l'admette pour la réinventer tous les jours
Blaise Cendras


L a joie panique, il est impossible de la garder pour soi même , elle nous est donnée par toute l'épaisseur de la vie , celui qui l'a , s'il ne la partage , ne fait que la toucher et la perdre.
Jean Giono.




Comment le diable vint au monde



On raconte chez les Tziganes que Dieu vécut longtemps tout seul dans on ne sait quel fond de ciel, et que s’il lui vint à l’idée de créer un monde vivant, ce fut pour tromper sa tristesse de n’avoir pas de compagnie.



Un matin d’avant les matins, il s’attela donc à l’ouvrage. Il s’y prit mal, évidemment. Fabriquer un ciel, des étoiles, une terre et ses habitants exige un art, un savoir-faire hors de portée d’un débutant. En toute chose il faut apprendre, tâtonner, cent fois se tromper, tirer les leçons des échecs, remettre la main à la pâte. Dieu le fit quelques millénaires, puis comme il ne parvenait pas à bâtir l’œuvre sans défaut qui aurait fait briller son œil il perdit, un jour, tout courage. « A quoi bon ? se dit-il. Je m’obstine pour rien ». De dépit, il jeta sa canne. Elle tomba, elle heurta le sol de son atelier infini, et du bruit qu’elle fit sur les dalles naquit, fringant, monsieur Satan.



Ce que dit l’histoire ? Voici. Nos creux de vague, nos fatigues, sont des accoucheurs de démons. Ne te décourage jamais.



(Henri Gougaud, Le livre des chemins)



suite de la légende de Galice d'HIER

jean jacques a dit…


Hello Frankie
l'idée récurrente (et judéo chrétienne?) de "prendre un bouillon" pour non respect des "institutions" on peut également la retrouver dans le golfe du Morbihan avec une histoire d'amour entre deux jeunes de l'Isle d'Arz et de l'Isle aux Moines.leurs familles respectives (Capulet et Montaigu?)voyaient d'un sale oeil cette relation et nos jeunes tourtereaux s'en moquaient, ayant autre chose à faire...Et bien pour la peine ils furent engloutis puisque le passage qui reliait les deux isles fut submergé et la morale...sauve.
Depuis les isliens des deux communes se font la gueule mais ça forcément,c'est une autre
histoire...
Belle journée à toi!

ET à vous

jeudi 22 septembre 2011

rubrique contes du friday :légende de Galice LES FILLES TRANSPARENTES

LES FILLES TRANSPARENTES





Autrefois, à l'embouchure de la rivière de Pontedeume, il y avait une belle cité qui s'étendait sous les falaises, le long du rivage. On y voyait de belles maisons, des palais somptueux et des entrepôts qui regorgeaient de marchandises. Car de nombreux navires abordaient le port et y déchargeaient des objets précieux venus de bien loin, que les marchands du pays revendaient ensuite dans tous les environs. Les gens étaient très riches et menaient une vie confortable dans cette cité qui n'avait pas d'équivalent à cette époque sur toute la terre de Galice.

Pour défendre le port et la ville des pirates qui infestaient parfois la mer, on avait construit une forteresse sur la hauteur, juste au-dessus des habitations. Là, il y avait de nombreux soldats qui se tenaient prêts à agir en toutes circonstances. Ils étaient bien à l'abri derrière leurs murailles et auraient pu défier n'importe quel ennemi surgissant à l'improviste. Ils maintenaient la paix dans le pays et tout le monde les aimait bien.




Mais, s'ils résidaient dans la forteresse, ils descendaient souvent en ville pour se distraire. Or, la ville était également célèbre pour la beauté des femmes et des jeunes filles. Elles étaient toutes de belle allure, grandes et minces, et d'une élégance raffinée. Les officiers leur faisaient une cour assidue et ils étaient souvent reçus dans les meilleurs familles. Mais parfois, tant ils étaient pris par l'intérêt qu'ils portaient à la beauté de ces femmes, qu'ils oubliaient de rentrer le soir dans la forteresse, au grand désespoir de leur chef. Il avait beau les avertir que leur devoir était de rentrer, il avait beau les menacer de les consigner à l'intérieur des murs, rien n'y faisait : ils s'arrangeaient tous, dès que la nuit était tombée, pour gagner la ville et se répandre dans les maisons où ils avaient leurs habitudes.




Parmi toutes les femmes de la cité, il y en avait surtout trois qui suscitaient l'admiration. Elles habitaient un beau palais, un peu à l'écart, sur un promontoire qui dominait le port. Nul ne savait exactement leur origine, car elles étaient venues un jour et avaient acheté ce palais sans en discuter le prix et s'y étaient installées avec de nombreux domestiques pour les servir.

La plupart des officiers fréquentaient assidûment leur demeure, car ces trois jeunes filles y donnaient chaque soir des fêtes somptueuses, avec des banquets où ne manquait jamais rien, ni vins chaleureux, ni victuailles raffinées, ni épices enivrantes. Il faut dire aussi que ces trois jeunes filles présidaient ces fêtes dans le plus simple appareil, ce qui n'était pas sans effet sur leurs invités. Et elles avaient également une particularité : leur peau, à toutes trois, était si fine qu'elle en était transparente, et chaque fois qu'elles buvaient du vin, on pouvait distinguer le breuvage descendre peu à peu dans leurs corps. Tous les officiers en étaient amoureux et c'était souvent la cause de bataille entre eux, ce qui n'arrangeait pas les affaires de leur chef, car il y avait des blesses et même des morts. C'était en effet à qui obtiendrait leurs faveurs, et pour cela, tous les moyens étaient bons.

Pourtant, certains murmuraient qu'il y avait quelque chose d'inquiétant chez ces jeunes filles transparentes. Leur sourire était si énigmatique qu'on se demandait parfois si elles n'appartenaient pas au mystérieux peuple féerique qui vivait dans des souterrains sous les montagnes de l'arrière-pays. D'autres disaient que c'étaient des meigas(1) et qu'elles endormaient les hommes avec des philtres pour en faire leurs esclaves. Et la situation ne fit qu'empirer au fur et à mesure que les semaines passaient. Le soir, quand le chef de la garnison faisait l'appel, il manquait généralement les trois quarts des soldats et des officiers.




Voyant que ses menaces restaient sans effet, le chef se décida à agir autrement. Il s'en alla trouver un homme sage qui habitait dans les bois, sur le flanc d'une montagne. Cet homme était très vieux et vivait tout seul. Les gens venaient souvent le consulter et il leur donnait des conseils. On disait également qu'il avait le pouvoir de guérir les maladies et de faire parler les défunts.

C'est donc à lui que le chef s'adressa. Il lui exposa la situation dans laquelle il se trouvait : responsable d'une troupe de soldats chargée de protéger le pays, il ne pouvait plus compter sur ses hommes parce que ceux-ci étaient subjugués par les femmes de la cité et plus particulièrement par les trois filles transparentes qui habitaient un beau palais sur le promontoire, au-dessus du port.

Quand il entendit parler des trois filles transparentes, l'homme sage fit une horrible grimace et se mit à marmonner des imprécations.
- Les connais-tu ? demanda le chef.
- Je ne les connais que trop, répondit l'homme sage. Ce sont elles qui pervertissent tes hommes, mais elles rongent également la cité. Il n'y a plus rien à faire, car l'endroit où elles se trouvent est maintenant maudit à jamais.

L'homme sage prit une branche de pommier et monta sur un rocher. Là il prononça des paroles en un langage inconnu, puis il fit de grands gestes dans la direction de la cité. Le ciel qui était bleu et pur se couvrit subitement de nuages et le vent se mit à souffler à travers les arbres.

- Tu peux repartir, dit l'homme sage au chef. Mais, cette nuit, prends bien soin de rester dans ta forteresse. Ne t'aventure pas dans la ville, et surtout ne t'étonne pas de ce qui peut arriver.



Le chef retourna dans la forteresse. Le soir, comme à l'accoutumée, la plupart des officiers et des soldats descendirent en ville. Mais, vers le milieu de la nuit, une tempête s'éleva, terrifiante, qui dura plusieurs heures. Le tonnerre grondait, le vent tournoyait, les nuages déversèrent des torrents d'eaux tumultueuses. Sur la forteresse, personne ne put rester au-dehors et il fallut que chacun se tînt au plus profond des maisons. La terre trembla plusieurs fois et chacun croyait que c'était la fin du monde.

Le matin, quand le jour se leva, le ciel était de nouveau pur et dégagé. Le chef sortit et monta sur la muraille. Là, il vit avec stupeur qu'à l'emplacement de la ville il n'y avait plus que la mer dont les vagues battaient furieusement un rivage de rochers escarpés.

Pontedeume



Ce curieux conte (inédit, transcrit et traduit par Laura Palomo des Archives du Museo do Pobo Galego de Santiago de Compostelle) est une des nombreuses versions de la submersion de la ville d'Is, la ville maudite à cause du comportement de ses habitants. Les trois jeunes filles transparentes sont un triplement de la princesse qui conclut un pacte avec les puissances diaboliques, et l'homme sage est l'équivalent du saint Gwennolé de la légende bretonne, qui voue la ville à la destruction parce que ses habitants ne se sont pas repentis. La forteresse qui domine la ville est un souvenir lointain d'une forteresse celtique, celle d'Ardobriga (« Haute Forteresse ») dont l'existence est attestée archéologiquement. Il faut signaler que le thème des jeunes filles transparentes se retrouve dans une tradition bretonne analogue de la région d'Erquy (Côtes-d'Armor) à propos d'une mystérieuse cité disparue qui aurait porté le nom de Nasado. Cela montre les rapports constants qu'il y a eu entre la Bretagne et la Galice.


DEUX FEMMES PAS SI TRANSPARENTE QUE çà martine pain et françoise pain (frankie pain)

atelier de l'Hajat matière à humer subliminale et non F; (rires)






Mon oracle de mon 13 éme jour de sépulcrale fantaisie sur l’essentiel

Frankie Pain

Les disparus de l’inconséquence, merci.

Blaise cendras

Le village négre est moins moche et moins sale que la zone de saint OUEN
Les charognards qui les survolent plongent parfois et le nettoie

Daniel Pons
AU Delà DE LA THèSE ET DE L4ANTITH2SE EXISTE LE DISCERNEMENT ISSU DU CŒUR LORSQU’ IL BAT SUR LE RYTHME DE L’éveil


A tous ceux qui ont voulu enfermer le génie dans un diagnostic je dis : « la lumière ne débouche jamais sur une impasse.

Nathan Abramovic

Il semble que le temps de l’innocence soit passé pour l’humanité.

Albert Camus

Qu’est-ce que le bonheur sinon l’accord vrai entre un homme et l’existence qu’il mène ?

Christiane Singer

La crise sert en quelque sorte de bélier pour enfoncer les portes de ces forteresses où nous nous tenons murés.


Epictète

Dis-toi d’abord qui tu veux être, puis fais en conséquence ce que tu dois faire.

Suzuki Roshi

Quel est le plus important : réussir ou trouver un sens à votre effort de réussir ?
Christophe André
Juste être là : la vie comme un exercice de pleine conscience.

Thich Nhat Hanh

Le miracle n'est pas de marcher sur l'eau, il est de marcher sur la Terre verte dans le moment présent et d'apprécier la beauté et la paix qui sont disponibles maintenant.

les découpages et dessins sont de frankie






mercredi 21 septembre 2011

RUBRIQUE DE L4AMOUR DU MERCREDI QUAND UN DERNIER FIL SE COUPE





une phrase : un coup de Mistral force 15

Un mercredi
Rubrique de l’amour
Il y a la potée vendéenne

Il y a l’empotée

Depuis le temps elle aurait du savoir avec tous ces liens d’amitié qui se ressemblaient tous, avaient le sceau de lui faire comprendre...
:
Où à un virage inattendu donné par le hasard
Le lien qui la tendait vers l’autre se révélait caduc

Ouvrir les yeux à en 360 degré à 360 degré est-ce possible ?

OUI , le retour de DSK, ce héro mal mené. IL NOUS L'AVAIT FAIT . IL NOUS LE FAUT ;...........

ELLE VA devoir survivre à sa dernière découverte.

C’était il y a QUINZE ANS

UNE PHRASE

ELLE VENAIT DE SAVOIR

cette phrase était sortie
tout à fait naturelle
dans son habit de simplicité
d’un énoncé dont ELLE pouvait rêver
elle qui se targuait d'avoir une belle langue .....

Pas le compte-tenu,
la forme

Elle avait était fauché en elle comme on fauche un homme sur une mobylette
Et dont après les ours n’ont plus beaucoup d’espoir

Elle avait sombré à ce moment là dans un désir de mort

comme jamais elle avait ressenti

qui ne faisait pas partie de sa carte génétique

Elle se remercie aujourd’hui sa lâcheté
de ses croyances divines
de son désir d’avoir un destin de non errante après la vie.
ELLE CONNAISSAIT Déjà

errante le père noël ne lui avait donné la poudre catalyseur pour fixer la couleurs des bonnes relations

pourtant le père noël vous le connaissez , rien de plus pressé pour réaliser les rêves fous

ce jour là son sac était passoire



çà se mesure quand on ferme les volets,
on prépare les cachets
on installe un tabouret dans la baignoire
on fait coulé l’eau

elle n’était plus à même de raisonner
elle était agie
elle était pas face à elle-même
la mise en usage de ses techniques de travail
pour aller jusqu’au bout pour se convaincre de "çà"


elle ne savait même pas pourquoi se déterministe était en elle.

La tonalité d’une note
un état de considération
Un énoncé d’une évidence
Une condamnation a son métier.



ELLE AVAIT ROMPU CES VŒUX
Pour accomplir la tâche
Envers
Le sujet de la phrase
oui le Le sujet de la phrase

Quinze ans
elle comprit par une subtilité de détournement de situation

Comme elle avait compris que le passage d’une certaine porte était condamnée pour elle

Elle a compris que ce jour chair, cher ne sera jamais moins une
avec de sa présence, autour d'un grand arbre et d'une crêche
d'un âne , d'un bœuf


son espoir du jour où elle ne pratiquerait plus ,
elle y aurait droit.

NON ;

IL N’Y A QUE SOUS CETTE Dernière RéPublique QUE DES LOIS FURENT Bouleversées
Transformées

Elle ne put se lever à son heure fixée

Elle était courbatue dans son âme
Se reprocher sa "guimauvité"
Son père avait le matelassé de son cercueil en mauve
Guimauve petite missionnée mauve , la violette, l'aubergine pousse en plein figure

ELLE étai T femme de grande envergure
Elle s’était engagée dans sa vie dans des missions impossibles
AUJOURD’HUI ELLE LE SAIT.

SON ESPACE IMAGINAIRE EST à POSER sur sa descente de it
le réel n'est pas symbolisable disait Lacan
Bresson ,le réalisateur disait le réel c'est du surnaturel

elle a de quoi se promener entre les deux.

Elle avait toujours cru que cela s’arrangerait
les gens disaient avec le temps cela s’arrangera.

ELLE SAIT QUE SON DEVOIR A ELLE EST LE CHANGEMENT RADICAL
C4EST QUOI RADICAL GRAN MA
SAIT QUAND TU DÉCIDES DE TE CALER AVEC DES RADIS LES ENDROITS Où TE SOUFFLE LE MALHEUR

pourquoi le radis ?
parce que c'est rouge et blanc
que cela se mange avec du sel
et que c'est trois grains de sel sur la queue qui fait que l'on attrape les oiseaux d'or
RACONTE MOI L'OISEAU D'OR

quand mes radis auront poussé entre mes dents
les dents c'est pas le souffle du malheur
car tout le monde a des dents et tout le monde n'a pas de malheur

oui
mais quand tu verras les radis dans l'espace de mes dents
c'est qu'il seront dans le creux de mon malheur et je pourrai te racontais l'histoire de l'oiseau d'or et du renard bleu

vite alors que les radis te poussent






SIMPLEMENT AUJOURD’HUI ELLE SAIT .
LES ARCANES CAYENNE DE SON CŒUR

DES ËTRES NAISSENT AVEC DES DOLMENS DANS CERTAINES CASES DU CŒUR

ELLE SAIT .

Riche de çà avant la saison de cette date.

La vie aura un nouveau goût
LA VIE VA La ceuillir de ses hazards , de ses surprises, de ses éléphantesques culots
Nous avons pu prendre modèle sur cette interview de dimanche soir

Soyez à la page
Elle sera à la page sur d’un nouveau livre.










ELLE S'APPELAIT FANNY 2 la rescapée

mardi 20 septembre 2011

rubrique les lundi du RIRE le mercredi





DEUX CLOWNS
Sur scène
Un décor totalement dépouillé à la Becket en attendant GODOT

Tom Wait me

Tirelagalipette

Tom Wait me
C’est une grande vadrouille

Tire-palettes
Dans une sphère de verre : très mode « La ménagerie de verre »

Tom Wait me
Quoi ?

Tire-palettes
Pas le titre, l’auteur !

Tom Wait me
En chantant
On a tous envie de boire du Tennessee……
et
Nous avons sauté en parachute …….
Et notre paradis était perdu….


TireLAGALIPETTE
Nous nous étions bu tout un flacon de poison Dior .
Question de mourir en plein vol
pour ne pas supporteR les douleurs de l’écrasement,
nous savions pas nager dans l’air
nous n’avons qu’un parachute, …..

Tom Wait me
Le prix aussi
c’était de pouvoir pendant un mois
fourrer notre nez sous toutes les robes
qu’ l’on trouvait sur notre route


Tire-palettes
Tom Wait me,
mon pote lui s’était enfilé une dose d’aphrodisiaque,
moi ratatiné, inerte dés le décrochage,
de mes mains que j’avais enfoncé comme un piton dans une paroi de haute montagne, de mon gilet survie
j’étais tombé dans la valeur d’un naze brook
adrénaliné de la peur ou du poison

Tom Wait me
Je ne comprends rien de ce que dit

Tire-palettes
Normale je ne comprends pas ce que je fais !

Faut bien être perdu quelque part

Comme quoi le pire n’est pas encore !

Toi par contre chargé à mort de tes endomorphines
des dessous de robes
tu as pris les commandes

Et comme je t’aime ,
je t’ai suivi,
les yeux vachement fermés


Tom Wait me
Toi et ton tatouage : »trente ans est encore puceau »
Un pur naïf, les femmes comme les voitures, on les aime en première main
Un homme bonjour les dégâts quand c’est çà
Elle aime les cochonnes,les hommes rodés !


Tire-palettes
Tu peux commenter t’avait la couleur du jus d’asperge dans ta couverture de survie , on eut dit que l’on était encore dans l’hélicoptère, et t’avait tellement tiré sur la bouteille que ton copain capitaine baroudeur était comme du mou pour le chat et même qu’il t’était poussé dans le vide des boutons violets ta peau carmin comme des champignons comestibles ou l’inverse.

Tom Wait me
Jaloux, j’étais ton rêve aubergine et toi ton tatouage plus gros que ton corps
Haricot vert
la mode est à la taille fine et la photogénique

Tire-palettes
Il a gagné le concours
et moi j’attends dans un hammam envoûtant,
la veille c’était le jour des femmes ,je me suis enroulée dans la volute de leur parfums
ancestraux ,
je me suis dépucelé tout seul
comme si les parfums me racontaient des récits des dessous des dames

Tom Wait me

Toi qui n’as jamais voulu y mettre ton nez aussi frileux qu’en parachute
tu ne peux imaginer le nombre de femmes qui ne porte pas de culotte ni string juste un tatouage de ficelle

Tire-palettes
Pour toi alors ce concours

Tom Wait me
La prochaine que l’on sautera en parachute en attendant la bonne altitude je te raconterai


Tire-palettes
Quoi on va encore sauter

Tom Wait me
C’est le seul boulot que l’on nous à proposer à Paul enjoy le teste des nouveaux parachutes comme les shampoing un pour deux

Tire-palettes
Et, je vais mourir

Tom Wait me
Non on se paye une place au chaud pour l’hiver . une série de 10 , prime de risque en suce, réconfort auprès des hôtesses



de frankie

lundi 19 septembre 2011

La Terre file un mauvais coton

La Terre filera le mauvais coton

Notre Terre bénie
de Courçon , d’Angiré, du Marais , du Bois mouillé,

La Terre rapporta beaucoup
La famille entière vivait de ses dons
Ce n’était pas sans soucis
L’œil toujours sur le ciel

Qu’est ce qu’il nous annonce ?
Vais-je arroser ce soir ?
Le dompteur des éléments fera –t-il le boulot pour nous ?
Aura –t-il le bon débit de l’eau ?

Il nous faudra faire des rigoles,
Des puits au bout des allées.
Pas de pluie demain encore
Les fruits auront bon goût
Nous en garderons pour mettre à l’eau de vie.



Notre petite Terre nous fit bien manger cet été,
Et le reste de l’année, les étagères plient sous les bocaux ,
Combien de bocaux, de bouteilles, de cageots ?
Et la hauteur du talus de joutes *1 pour les bêtes !

Les poules se sont bien régalées de nos épluches.
Elles seront charnues , parfumées dans leur chair ;
Leur œuf coq nous donnera un fumet « enchanteresse »
Comme nous dit la Dame en Jaune en visite de sa capitale.




Laissons faire notre Hiver
Les graines sont aux flancs de la Terre
Notre père créateur,
merci de l’ invention cette saison
Travail pour nous Hiver
Nous , nous allons nous reposer.
Plus le froid est Sibérien
Plus la Terre leur est chaude.
Comme les mains entre les cuisses de la vache
Quand après la ramasse des pissenlits,
De la doucette sur les talus,
Ou la récolte des cagouilles « cabournés »*2 dans les souches,
Nous rentrons les mains gelées
C’est là que le Pépé Pierre Alexis les met ses mains
Dans la chaleur de l’étable.

*1 la betterave pour bestiaux rouge rose et blanche
*2 mot charentais pour dire hivernation des escargots

Invitons à la ferme des Mangous :
Le Pépé est très aimé , il est costaud
Il aide le père Géant charpentier à porter ses poutres
Ses grosses pièces de meubles,
Les femmes trient les haricots, les fèves
Les hommes conversent sur les nouveaux piquets
Pour le clôturage des bêtes, la tenue des ceps de vigne,
Les tuteurs des arbres fruitiers.

Marie Louise sert la soupe dans la cuisine,
Et les histoires se dégourdissent des travaux des champs silencieux
le Pépé mange avec des grands « chleu , chleu »
Et il se luche les grosses moustaches à la poilue,
Les rires fusent comme la laine sur le fuseau fait sa bobine.
Les amis reprennent la route par les petites venelles,
La prochaine fois ce sera eux qui recevront.

Le printemps arrive
dans les prairies, les pâquerettes se répandent
Les violettes sont les reines des bords des fossés
Le cresson fait nos salades.
Les coucous, les pots de cannes sont nos bouquets pour la mémé
Jaune , violet tachée de parme c’est joli d’une belle harmonie
Pour les morts de la famille :
Fleurir le cimetière,
En profiter pour ramasser les escargots blancs sur les tombes
les canards en raffolent
et les grappes de perles des vieilles couronnes bijoutier les poupées.

La terre chante autour des murs de pierres du cimetière
Les deux cyprès veillent ,
le sillo jaune et blanc attend de se remplir le ventre des moissons d’été,
le taureau tape des sabots , il a du boulot ,
les vaches sont prêtes : elles se grimpent l’une sur l’autre sur le dos.

NOTRE PETITE TERRE RAPPORTE À TOUTE LA FAMILLE
Et à ses ramifications…..
Notre TERRE est L’arborescence de la fougère.
Notre Terre bénie
de Courçon , d’Angiré, du Marais , du Bois mouillé,

Un jour viendra où elle filera le mauvais coton.
Que ce soit le plus tard possible se disait le Pépé Pierre Alexis
En regardant toute sa grande famille, la connue, la secrète.

La TERRE EST L’arborescence de la fougère.
Notre Terre bénie de Courçon , d’Angiré, du Marais , du Bois mouillé,


Ecrit par frankie
dans la série de poésie à théme je vous mettrai le lien
quand toutes les poésies seront éditées

vous découvrirez la première écrite sur ce sujet "la terre"