vendredi 12 décembre 2014

Eldorado à l'Autre, Eldorado de l'Autre : épilogue


Si en ce samedi la lecture n'est pas au programme

en dessous vous avez l'instantanée de la semaine

 Kiss





Lolo, Lola, Lala, Lolo…



Laver la vaisselle.


Amour…


Que posséde-t-il ?


Que posséde-t-elle ?


Oh Lolo ! Oh Lola !



Un point de réel non symbolisable. Un réel. 

Surnaturel pointé. NATURE est dedans.


Et lolo,et Lola !



Au premier dérapage, courage , fuyons, mise en

 quarantaine. Ce que tu ne sais pas , dans ton fort

 intérieur -çà se sait.Il sera toujours temps

 l’essentiel à soi retente sa chance




Eros et Thanatos chez certains sont leur pile et leur
 face.



Traçons la route, le chemin. Ne laissons rien au 

hasard et au temps pour résoudre….

Ouvrir le coeur

 c’est aussi ouvrir les yeux. La conscience.



Amour, Amour, Amour.


Il reviendra sur l’échiquier de ce mystère. Il

 recommencera  la partie. Pas d’échec à la Reine , pas d’échec au Roi.







Amour, Amour, Amour ?



Un marché de Noël ! L’enfant Jésus dans tout cela ?


La mandarine nous ravit, éclaire nos papilles, 

ce goût sucré, acidulé, 

 couleur d’dune,

 odeur de palmeraie,

 de « plume raie ».

Mirage du chameau :

 galopons entre ses bosses,

  dans la Toundra Mongole 

ou avec du mongolien de la pulsion.



Amour, Amour, Amour !


Que possédé-t-il ?


Que possède-t-elle ?


Nous faire rentrer dans la case de ce qu’il – elle-

  en espère en nous voyant :

 écran géant Max Linder de ses fantasmes. 

Une névrose hystérique, c’est tentant. Même si 


au stade de l’individu , il ne la nomme pas. C’est 
l’être qui aime fondre dans le désir de l’autre mais en restant sujet dans la relation. 
S’arrêter au milieu de la phrase !
 Non.
 Pas complet. La nature hystérique veut être sujet dans la relation.

 Le premier acte c’est parfait,

 surtout un  manipulateur ne montre pas ses armes

 tout de suite. La mener, le mener là où il veut, il 

sera très patient. Patience à la hauteur de ses

 espérances.


Possédé. Possédé. Posséder.
 

Tout à coup la girouette de l’hystérie s’emballe,

clignote, s’affole, à la danse de Saint Guy. L’erreur 

sonne.

 Objet , objet , objet. l’heure de la révélation:


Uranium, uranium, uranium...


Il est pris au collet , il avait trop méprisé la chose. 

Son larcin sur la viande , « merde alors ! ».


La montagne a tremblé. Il, elle décampe. La


 cristalisation du lien dans la soupe au caillou. Trop 

pressé, il fut 

avec sa coulée-de la chape- de bêton : pas assez 

prise . 


Rapé son canard sur un sucre de ce bon Cognac

 millésimé. Il , Elle aime puissant pour avoir une

 montée du grand frison. 

Se remettre en chasse d’un ou d’une autre.

 Pas de conclusion. Tant d’êtres ne savent fermer 

les portes qu’ils ont ouvertes. Parfois vaut mieux. 

The kid Billy. Is n't it !



Le nouvel Amour : l’abstinence. Vivre dans la

 caresse de ce  jardin d'Eden  de nos acquis sur le 

monstre.

 L’espace vitale, où il pose le trocard, se limite au 

triangle des Bermudes de son pubis épilé 

-c’est aujourd’hui tendance : fille et garçon même cire

cire épilation.



Love , love, love : waouh !


No, no, no pas des Marylins marrons.



Le savoir en Amour doit être phénoménal , et,

 je ne parle pas du Kamasoutra.



Pendant que vous voyagez dans le

 « TranseSibérien » dans les violons et la mandoline


 de la Moldo de Smetana ,

sur les terres de l’amour tertiaire se

 developpe en pelletée

 le narcissisme primaire

 et sa perversité polymorphe :

Pécho ,


Pécho, Pécho,


« Allo!je rêve mais tu n’as pas de shampoing ?


Je ne comprends pas.

Passons !



Dans ses fondues du mont Blanc,

 jusqu’au cou dans la poudresse des bénéfices 

secondaires, son moindre mot en vole au vent :

 disparaître sans clôturer…

 la « Tarte à la crème » pour la  « Pomme » : 

 la gueule de l’autre. 

Le cantique des cantique un Charybde et Scylla

de miasmes d’un égo« piqueboudique ».

NON.


La création , malgré cette virgule insultante de

 l’être et de l’espèce humaine :

 la création d’un petit NOUS ce

 petit moment d’orgasme qui se transmue dans le


 polder du coeur de tous les petits Nous de l’avoir 

une fois de plus « Echappée belle » la Belle ou le 

Beau.


Quoique l’on prenne comme vigilance le nez d’une

 hyéne reste le né hyène, le voleur vole, le violeur 

viole,

 la jungle de l’animalité archaïque et de moins en

 moins cultivée chargée d’une arrogance tueuse. Et 

son aptitude post acte est le denis 

…. Belle engeance !



Une case se ferme définitivement si rodent des 

appels de ce genre là. 

Perspicacité, un certificat en sciences

 humaines en criminologie.


Détruire toutes illusions

 elles sont notre  piège.Ne pas galvauder nos terres 

en jachères, ce patrimoine 

que nous nous sommes offert dans le salon du dire 

de la psychanalyse ou des confidences ailées 

d’amitiés bienveillantes.



Je suis navigatrice sur le Penwick III offerte aux 

vents du Globe  sa caresse dans ma crinière au 

gallo à l’estran de mes rêves.


Respect. Ponctualité.Monsieur, Madame.



Partage de nos richesses comme un tableau de pique

 nique peint par Monet.



L’unité  c'est fondamentale en soi : c’est de l’ordre

 de sa survie, de l’élévation de l’être, et de la

pollinisation aux autres.

 C’est la malette louis Vuitton incrustée de 

diamants,

 malle à tiroirs où se pose, 

s’invente à deux le voyage à l’autre : 

genèse du subtile, du rare. De la fleur philosophale.


 Sans curar.



Sur un pic up : la symphonie inachevée de Mozart



. De Françoise Pain. Mangou

toute reproduction réservée


sous la direction artistique de MMM





11 commentaires:

  1. Je prend la petite par la main et je reviens lire demain Frankie...
    gros bisous

    RépondreSupprimer
  2. « C’est l’être qui aime fondre dans le désir de l’autre mais en restant sujet dans la relation. »

    Héhé… Une bon vieille manip’ qui consiste à dire : « Chéri(e) je veux bien être ton esclave… mais seulement si tu respectes le contrat… »
    Ou plutôt (hasard ?) dans la Citation-du-jour de ce jour, cette phrase de Lévinas sur la caresse : « Par la caresse, s'accomplit une relation exceptionnelle : le découvert ne perd pas dans la découverte son mystère, le caché ne se dévoile pas, la nuit ne disperse pas. »
    Autrement dit, pas d’érotisme sans maintien de l’altérité. La suite ici : http://citationdujour.blogspot.fr/2014/12/citation-du-14-decembre-2014.html

    Bon dimanche au chaud, chère Frankie. Je vous embrasse
    J-P

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. mon très cher jean pierre je suis ravie de vous lire chez moi et ensuite chez vous.
      un devoir d'écriture un devoir envers l'écriture m'obligea à écrire sur l'amour . ce fut une très dure épreuve car dans chaque épreuve autre chose se cache dont on a peur de creuser. et fut le très bienvenue mot de vous et votre citations du jour nourriture qui me parle à l'oreille et fait résonner mon texte et sa réserve l'altérité necessaire préservation de chacun.

      merci cher lecteur , votre point de vue me guide et fait avancer la dramaturgie du sujet .
      celui énoncé dans le texte celui revendique dans la rencontre de l'autre, et le sujet tout simple du billet
      mes amitiés pour moi à Levinas car même mort , vous continuez à dialoguer avec lui pour nous
      je vais aller sur Roland barthes que vous nous indiquer
      bon dimanche sous la couette dans la douceur d'une maison. tendrement dans l'avant a bientot

      Supprimer
  3. billet de jean pienre hammel dans la citation ci ssus de son billet du jour

    mon amour inconditionnel pour Roland Barthes et mon respect pour jean pierre Hammel le frison philosophe du jour me le fait l'inscrire ici pour moi et pour vous
    merci jean pierre

    « L'endroit le plus érotique d'un corps n'est-il pas là où le vêtement bâille ?... Celui de la peau qui scintille entre deux pièces ( le pantalon et le tricot), entre deux bords ( la chemise entrouverte, le gant et la manche) ; c'est ce scintillement même qui séduit, ou encore : la mise en scène d'une apparition-disparition. »

    Roland BARTHES – Le plaisir du texte

    Les Geishas sont enveloppées dans un incroyable paquet de vêtements. Elles ne montrent que leur nuque ; leur rituel de séduction arrive à une étape ultime lorsqu’elles laissent apercevoir un petit bout de la paume de leur main, entre le gant et la manche, précisément là où on met le parfum. Je ne doute pas que Roland Barthes dont on sait l’admiration pour le Japon (L'empire des signes), ne se soit inspiré de ces rites.

    En tout cas, nous voici armés pour affronter la célèbre polémique : « comment distinguer entre l’érotisme et la pornographie ». Des réponses insipides du genre « la pornographie, c’est l’érotisme des autres » sont ainsi renvoyées aux oubliettes. L’érotisme est l’accélérateur du désir et non sa décharge ; il n’est pas non plus dans la suggestion de la transparence, ni dans la réduction du textile (du bikini à la mini-jupe) ; il est dans l’oscillation (le scintillement dit Barthes) entre le montrer et le cacher, l’apparaître et le disparaître. Ici, il ne s’agit pas d’apprivoiser l’angoisse de la disparition (comme dans le jeu du for-da découvert par Freud), mais de stimuler l’excitation dans la concentration du désir au point où son objet se montre dans son éphémérité.

    Il y a quelques années, des vieux rabat-joie se sont offusquées parce que des gamines montraient leur nombril ! Entre le pull et le jean, un petite bande de peau, juste de quoi laisser voir l’ombilic (des rêves comme aurait dit Artaud - un peu de culture histoire de ne pas nous endormir). Pas de quoi fouetter un chat. Mais pas de quoi non plus s’extasier sur le raffinement : car ce qui manque ici, c’est bien le « scintillement ». Ça ne vibre pas.

    Et le string des gamines de CM1 : ça vibre ?
    Publié par Jean-Pierre Hamel à 8:06 PM

    RépondreSupprimer
  4. rigolo comme j'avais déjà laisser un commentaire sous ce texte le voilà... oui oui le scintillement.
    dans le noir de l'étude le scintillement , le plaisir du texte à quelle joie que de lire les citation de mon cher Roland barthes
    et freud et son for da vraiment je suis gâtée , belle journée cher jean pierre

    RépondreSupprimer
  5. J'aime le motif du tissu de la robe de la petite fille

    RépondreSupprimer
  6. Jolis échos de l'Eden ;) Une belle journée pour toi.

    RépondreSupprimer
  7. MERCI du partage et JOYEUX NOEL !!!!!
    Biizzzz Lolo

    RépondreSupprimer
  8. Je te souhaite un Joyeux Noël Frankie.

    RépondreSupprimer
  9. C'est samedi, tu n'es pas au rendez-vous d'Amartia. J'espère seulement que c'est trop de bonheur ailleurs et que tout va bien pour toi, chère Frankie! A bientôt, finis bien cette année et recommence l'autre d'un bon pied!
    Amicalement

    RépondreSupprimer
  10. je reviens.
    tout va bien
    joyeux noel à vous tous
    pas eu beaucoup de temps pour l'ordi mes pensées cependant pour vous

    RépondreSupprimer