La rencontre avec le capitaine du papa fut prolifique.
Le père fut dégagé de sa fonction sur le site où il intervenait. 7 jours.. ( le djebel entre Bougie et Constantine). Il dirigeait un groupe en première ligne
Avec 16 chiens loups qu’ils avaient élevé -
dressé. Des soldats !
Ainsi put-il organiser avec la base militaire à Saint Nazaire un accompagnement
pour Bécassine et Marin. Il l’avait sauvé. . C’était inscrit dans tout son
corps. Gratitude apaisante.
Fin de cette année là 1960 , le camp dans le djebel fut démonte. La fin
commençait à se ressentir dans ce secteur. D’autre polémique s’ouvrait. L’Armée
rapatria tout le groupe. Le pére insista pour les 3O harkis Et leur famille. Fisa fisa avait dit papa. C’était les
premiers départs, rien n’avait été encore organisé. Il eut de la chance pour
rous ses vigoureux hommes
Le père
fut muté un mois plus tard en Afrique à Saint Louis ,
Bécassine redevint Abigaël après le Noel
passé avec Marin et tous les amis pécheurs. Tous savaient le départ. Ils
avaient promis à Bécassine qu’ils s’occuperaient bien de Marin.
Il les accompagna à Bordeaux sur le Lyautey.
Tous les vaccins étaient faits.
Le reste de la famille suivie 8 mois plutard.
Marin devint l ami de la famille lors de
ses escales.
Il passait quelques jours sa Bécassine la plage en pirogue sur le bras du fleuve, la pèche au marigot et au barrage.
Tous se sentaient fortifié.
Le temps d un chargement et rechargement de marchandises. Bécassine avec un éléve
de son papa allaient l’attendre. Le papa avait prêté ses jumelles.
En taxi carriole - cheval - bon cocher.
Elle avait acheté avec sn argent de
poche des barres de Nougatine aux fatous pour partager avec Marin -l’élève- et le
papa au retour.
8 mois plus tard le papa avait offert une petite « chien loup » coupée de boxeur anglais. RITA dressée à la protection d Abigaël
Fin
Se
relier après cela…. Nécessaire de jouer aux comme si. « Le chat botté et le marquis de Carabasse »
Les années d Afrique furent de beaux voyages.
Côte d’ivoire, Burkina Fasso, Mali et le Sénégal à nouveau Saint Louis - Dakar
Abigaël reçut le premier prix de poésie à Dakar
Offert par Léopold Senar Senghor.
Elle.avait 12 ans.
Marin , le grand cousin avait toujours sa place à la maison et à la table
Au revoir chéres lectrices et lecteurs
Frankie Pain de la Mangou, Marin.
Droits d’auteurs réservés
Vue l histoire fallait pas trainer la fin.
Merci. Le piège des inventions imaginaires
L homme vert conte Soufi
pour le retrouver le premier aout defito
ay
Le premier jet.m a échappé recuperer
RépondreSupprimerQuelques fautes.
Photos et tableau de Frankie
Bye demain merci
Merci à toi. Toujours autant d'émotions dans tes récits!
RépondreSupprimerT imagines ça filme
RépondreSupprimer. Je me suis pressée a l ecrire . L histoire étant dure le suspend ne pouvait rester longtemps. Moi même quand j imagine B bécassine attendant Martin a Saint Louis . Je suis toute emue
C est Bien Cayenne tu as su nous émouvoir . Belle narratrice Cayenne
RépondreSupprimerUn film qui ce termine en presque douceur avec le chien protecteur après les phases de grandes violences... on ressent toutes les émotions Frankie
RépondreSupprimerMerci ma très chère lectrice et poétesse Josette
RépondreSupprimerTu as vu le coup de la chienne dressée a la protection d Abigael Becassine
Du coup comme je sens que vous appreciez.
RépondreSupprimerDeux scenes
Enfin trois arrivent des que je.peux les ecrire.
J etais morte de rire
Le matin je cree apres mon yoga ma gym.