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tablette (suite) Les trois sculptures
Bamba -
Talili - Feuille
Assises sous l’auvent changement de train.
Les femmes mangent un sandwich de rennes,
Feuille elle trop occuppée à sentir en Elle une métamorphose.
Elle crache le surnom de Feuille. Dans son mouchoir en linceul.
Elle sourit attendrie, elle y croit aux sépultures
symboliques.
Ce surnom fort apprécié par son grand ami de Sambre et Meuse, il lui avait
inspirée des pages de haïkous à la Bashum
: « Ah le
baiser à une feuille » son Âmi
Je m’envole »
Avec Elle
dans la bourrasque ;
Au
califourchon sur son plus grand arbre du bois.
Je
l’avais rêvé
Le vivre.
Le virage de l’amitié peut être très fécond de frissons.
Même baignés d’un l’autre de notre « épistoliérisme ».
Abel-Amén sourit de joie ainsi que de tristesse. Nulle
être ne peut imaginer quel dé il va jouer en la face la sortant
ainsi que la couleur, un vrai jeu de Bacarra
sauf à la place de l’argent ce sont des piqures d’imagination - d’évocation que
l’on gagne.
-Madame ,
madame le train.
Elles font signe au contrôleur
sur le quai.
Elle montre le fauteuil.
Elle allait monter dans
le wagon au colis
pour après passer dans les autres wagons pour humains
Un homme crie en langue du pays
Les gestes sont arrêtés.
Le monsieur du train de l’autre jour rejoint le petit groupe.
-
Je vous invite dans mon pavillon, je vous
expliquerais.
Nous vous ramènerons demain
à la même heure.
Abel Amén
parle un peu colère. Sa responsabilité,
son contrat avec la boite, les familles de ses dames.
-Stanislas
Attendez, un thé vous est servi , je vous « pendrez »
à part pour vous contez. Bamba et Talili sont sur leur portable envoie message
le même :
« La voie est barrée par une violente chute de neige. Une
journée pour déblayer….. »
Abel Amén
sourit en arrivant à la propriété, elle se croirait à la cerisaie de ce cher Tchekhov.
Elle doit d’ailleurs d’avoir accompli son rêve grâce à un
personnage de la « Mouette » le
viel oncle
-
j’aurai du accomplir mon rêve.
Je ne vis que dans le remord,
j’ai plus réduit mon être à me perdre,
à me perdre ainsi
que d’avoir ratée en ayant fait tout pour le vivre.
Ma désespérance, moins profonde, ne m’aurait désossé de la sorte, rendu alcoolique. Je connais toutes
les volkas. Le dur lever. Ce ne sont pas les
aurores boréoles
La mélancolie devenue grande vache à lait de mon désespoir.
-Non, j’ai besoin que cela me rapporte
quelque chose Bamba et Talili s’exclament : les feuilles argentés des
bouleaux, Les écuries, les chevaux y pénètrent, au loin quelques coquericos,
des cocoricos d’une autre note qu’en France. Ils doivent finir la volka du
vieux tonton..
Abel Amén ne sait plus si elle
est rentré, ou encore dans la voiture de Stanislas.. elle est perdue elle pense à ses deux « fœtu »
d’orties blanches sèches que l’on aura peut-être
ramassé, fait brulé ou le piroguier du lac les aura mis directement dans la
cheminée pour éviter le mauvais sort jeté par les Baba Yagas.
Elle n’est disponible, elle a
besoin d’être à Elle.
Stanislas voit bien, la beauté enivrée de mystérieuses vapeurs.
Elle rédige un contrat
De retour ; au même train le
paiement de la solde d’un jour de ses dames,
-
et que dois je faire ?
Stanislas que voulez - vous de
moi ?
-vous sculpter ?
24 heures, c’est de la folie ;
- Oui.
Je ne peux, j’ai déjà depuis
notre rencontre dessiné écrit, vous êtes
mon modèle que je chercher depuis toujours.
-Stanislas vous avez lu Stephan
Sweiss dans la série de nouvelles au nom
AMOK. Le collectionneur. Il trouve enfin la dernière pièce de sa
collection, le lendemain :
il
se suicide.
- Feuille ;
- Aujourd’hui c’est Abel Amén
- vous
voyez vous en être déjà une autre , mon désir est aussi grand.
- -je n’ai
pas l’esprit à une telle disposition. Je
dois vous écrire un court métrage pour tenir votre rêve. J’ai un livre en cours
et une mission extrêmement vitale.
- Allons
prendre le thé avec vos dames .
Me permettez-vous des photos.
- Non
- Quelques
croquis.
.
-
J’ai été prise pour une guenon pour une opération
resultat je ne marcherai bien que dans l’eau.
-
Six mois par an, nous vivrons sur les bords de la mère
morte non la Mer .
Je vais construire une maison spécialement
pour vous un aquarium à couloirs avec des peignoirs partout la cuisine ne se
fera d’en bûches de la forêt, votre lit sera hissé pour ne pas être manger par les crocodiles Ils
mangeront vos excréments.
Le sec sera dans mon atelier .
6 mois
a ce régime vous aurez vos jambes.
La sculpture faite la moitié vous sera reglée.
Avec
mon chauffeur vous irez là ou nous aurons réussi le casting des meilleurs chirurgiens.
-
Signons
devant temois.
-
Je suis votre modèle rêver sur le temps vous ne
vous suiciderez pas, vous allez devoir
vous transformez en architecte. Et je serai la Lorelei.
Regardez
moi autant que vous le voulez sauf dans
mon sommeil ;
Un homme
de loi demain matin.
Nous repartons.
- si elles repartaient avant Vous .
-
Non
-
Je ne peux leur imposer le passage des frontières.
avec les lois nouvelles sur l’immigration. Je ne peux leur imposer ça c’est inhumain
Stanislas
eclate de rire. Vous n’étes, n’étes pas qu’une image.
- Je sais
la tristesse de beaucoup de monde ma perte
dans le 7eme ART
-
Abel Amén
-
J’ai très
faim cher Stanislas.
Il se
rend en cuisine.
Il
revient le oui sur le visage.
-
Allons-nous
installer à la salle à manger
Les femmes rigolent.
-
Belle leçon Mme Abel Amén. Et merci pour le
passage des frontières.
- Du lièvre mariné depuis hier avec toutes les
herbes de la forêt, le lièvre flambé à la Volka, des pommes de terre cuite dans
la braise.
-Stanislas
comment Vous, je vous rémunère des projets
d’une maison la mère morte, pardon la mer morte. Vous et moi-même glissement
Les sculptures de vos rêves et
mon rêve vous enchantez pour ne jamais
vous faire lâcher le bloc de glaise .
Et si vous trouviez une sculpture
sur le passage de la Paix en Ukraine avec la Russie ,
le passage impossible avec Israël et Ma palestine.
Stanislas : Plus vous multiplieront les formes
Stanislas la sculpture dans un temple avec
une fontaine où toute personne ayant perdu le sourire le retrouvera.
-
Trois en
6 mois
Stanislas la regarde enjoué, elle prend ses
cannes va vers lui s’assoit sur la chaise à coté de lui, l’embrasse sur les
lèvres, reprend ses cannes, va reprendre sa place.
Certainement étudiée par les lumières pour
obtenir les plus beaux angles.
Bamba, Talili sont ébahies :
-
Cette
femme c’est une surprise
comme les cadeaux de Bonus.
Des champignons tout autour du plat.
Ma pièce parfumée de frangances fatales.
Un groupe de musiciens s’installe sur leur
autel.
-
Abel Amén dit :
je
suis comme dans un conte de AFanafieph.
Frankie Pain de la Mmmangou
Droits d’autrice
reservés
Interlude
Odette et Monsieur Souche
texte de Frankie Pain
en scène
photo Fabrice Lassor de Bordeaux
photographe professionnel en moto
prise à la volée
à respecter l'envoie des photos
le photographe de la photo Frankie Man Ray
dans leur Sauna
photo pour la musique au Louvre de virgin megastore
Terre Neuve Tarn et Garonne
photo Fabrice Lassor
ecriture de Frankie là
"La robeuse des châteaux Marguerite"
Frankie Pain joué au Metallo 20eme PaRis