"On oublie que l'imprévu est le plus puissant de
nos maîtres
De tous, le moins évitable.
se croire en
enfer,
Naît la lumière.
Nous marchons
tranquilles sous le ciel
soudain quel diable bouleverse nos
horizons ?"
Les
mots se bousculent à la sortie du metro linguale comme des perles, des joyaux.
Pas pour mon chauffeur pour les course de la
semaine
Taisez-vous ? au ôint de me faire une
museliére pour les mots.
Il adore jouer au grand matcho et l’humiliation
toujuts dans des endroits plin de monde. Ce qu’il faut subir handicapée ; et
lui les chapelet d’insultes.
Jamais un homme ne m’avait insulter.
Je repense à Lio sur cà vous aujourd’hui .. ;terrible
ce qu’il a raconté.
Une de mes amie a failli se faire tuer par
son fils 44 ans la mec pas l’adolescent. Je me tais
Pour qu’n magazine j’i pas encore compris ‘mardi
noir »
Pose la uestion de la psychanalyse aujourdhui.
Oui nous sommes dans un glissement et les oreilles
bouchées on dir1it qu’elles le sont à jamais
L’étoile a pleuré rose au cœur de tes
oreilles,
L’infini roulé blanc de ta nuque à tes reins
La mer a perlé rousse à tes mammes vermeilles
Et l’Homme saigné noir à ton flanc souverain.
Arthur Rimbaud, 1871
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“L'art est, comme la prière, une main tendue
dans l'obscurité, qui veut saisir une part de grâce
pour se muer en une main qui donne.” Franz Kafka
Les eaux de Mars
Un pas, une pierre, un chemin qui
chemine
Un reste de racine, c'est un peu solitaire
C'est un éclat de verre, c'est la vie, le soleil
C'est la mort, le sommeil, c'est un piège entrouvert
Un arbre millénaire, un nœud dans le bois
C'est un chien qui aboie, c'est un oiseau dans l'air
C'est un tronc qui pourrit, c'est la neige qui fond
Le mystère profond, la promesse de vie
C'est le souffle du vent au sommet des collines
C'est une vieille ruine, le vide, le néant
C'est la pie qui jacasse, c'est l'averse qui verse
Des torrents d'allégresse, ce sont les eaux de Mars
C'est le pied qui avance à pas sûr, à pas lent
C'est la main qui se tend, c'est la pierre qu'on lance
C'est un trou dans la terre, un chemin qui chemine
Un reste de racine, c'est un peu solitaire
C'est un oiseau dans l'air, un oiseau qui se pose
Le jardin qu'on arrose, une source d'eau claire
Une écharde, un clou, c'est la fièvre qui monte
C'est un compte à bon compte, c'est un peu rien du tout
Un poisson, un geste, c'est comme du vif argent
C'est tout ce qu'on attend, c'est tout ce qui nous reste
C'est du bois, c'est un jour le bout du quai
Un alcool trafiqué, le chemin le plus court
C'est le cri d'un hibou, un corps ensommeillé
La voiture rouillée, c'est la boue, c'est la boue
Un pas, un pont, un crapaud qui croasse
C'est un chaland qui passe, c'est un bel horizon
C'est la saison des pluies, c'est la fonte des glaces
Ce sont les eaux de Mars, la promesse de vie
Une pierre, un bâton, c'est Joseph et c'est Jacques
Un serpent qui attaque, une entaille au talon
Un pas, une pierre, un chemin qui chemine
Un reste de racine, c'est un peu solitaire
C'est l'hiver qui s'efface, la fin d'une saison
C'est la neige qui fond, ce sont les eaux de Mars
La promesse de vie, le mystère profond
Ce sont les eaux de Mars dans ton cœur tout au fond
Pau e pedra, é o fim do caminho
É um resto de toco, é um pouco sozinho
Un pas, une pierre, un chemin qui chemine
Un reste de racine, c'est un peu solitaire
Un pas, une pierre, un chemin qui chemine
Un reste de racine, c'est un peu solitaire
Antonio Carlos
Jobim/ Georges Moustaki
Il y a plus d'intelligence dans deux cœurs
qui essayent de se comprendre que dans deux intelligences qui essayent d'avoir
raison.
Thomas d’Ansembourg
La jouissance n’est pas de posséder ce
qu’on veut,
mais d’être ce que l’on désire au plus profond de soi. Ibn Hazm
«J'attache
de la valeur à toute forme de vie, à la neige, la fraise, la mouche.
J’attache de la valeur au règne animal et à la république des étoiles.
J'attache de la valeur au vin tant que dure le repas, au sourire involontaire,
à la fatigue de celui qui ne s'est pas épargné, à deux vieux qui s'aiment.
J'attache de la valeur à ce qui demain ne vaudra plus rien et à ce qui
aujourd'hui vaut encore peu de chose.
J’attache de la valeur à toutes les blessures.
J’attache de la valeur à économiser l'eau, à réparer une paire de souliers, à
se taire à temps, à accourir à un cri, à demander la permission avant de
s'asseoir, à éprouver de la gratitude sans se souvenir de quoi.
J’attache de la valeur à savoir où se trouve le nord dans une pièce, quel est
le nom du vent en train de sécher la lessive.
J'attache de la valeur au voyage du vagabond, à la clôture de la moniale, à la
patience du condamné quelle que soit sa faute.
J'attache de la valeur à l'usage du verbe aimer et à l'hypothèse qu'il existe
un
créateur.
Bien de ces valeurs, je ne les ai pas connues. »
Œuvre sur l'eau
Erri de Luca
mon amie envolée là haut 50 ans de complicite
une jeune admiratrice la philosophe et son valet
frankie pain textes , mise en scène
le valet il est où ?
Ma chérie la haut.
RépondreSupprimerJ ai besoin de penser a toi.
A soutenir ton mari,
Je suis en decapilotade de tout ce qui se passe autour de moi.
J ai ecrit z la va vite
Frankie.p.
RépondreSupprimerDésolée mes lecteurs lectrices
Tous mes vœux 2024
Plus de présence a bord du blog.
J étais bien au chaud sur le blog d un amie
A force de ne pas avoir de commentaire,
Je préférai être sur son blog carde temps a autres des conversations naissait.
C est plus la mode d écrire des commentaires depuis quasiment 2 ans .
Il y a le desir de.partager.
Je ne le t
Retrouve plus.
J ai l impression d être assise dans le rue de faire la manche d ' un mot
Je ne veux pas sera de mon cher Ami alors je reviens au moins missionnaire de la liberte de ce.lien merveilleux que j ai envers lui.
A nous sur ce blog
FRANKIE