Textes du jour de la blog-woman, phrases : colonne vertébrale, contes, légendes, mots d'humeurs, d'amour, lettres à la mer, recherche de connivence, complicité, ses dessins, ...la jazzeuse des grands chemins et sentes, écrivaine nomade des murmures de la vie intérieure et des happening minimalistes nés au hasard d'un banc public dans un parc aromatique , un abri bus , un train , un marché, les pas perdus d'un aérogare tous les lieux insolites pour une rencontre.
mercredi 30 septembre 2009
Rire à gorge déployée
Kelly l'homme aux 25 guitares
et mes nouvelles fréquentations "h" l'homme aux 120 guitares
vraiment !!!!!!!!
Rire aux éclats, très fort
Peut-on vraiment déployer sa gorge comme d'autres déploient le tapis rouge à Cannes ou la banderole en tête de la manifestation ?
Probablement pas, à moins d'être bizarrement constitué ; et, même s'il s'agit d'une métaphore, l'usage de ce verbe semble rester mystérieux.
Apparue à la fin du XVIe siècle, l'expression évoque bien la partie antérieure du cou, celle dans laquelle peut parfois se loger un chat, mais pas la gorge féminine qui nécessite un soutien.
Elle a été précédée d'autres versions utilisant des verbes tout aussi étranges dans ce contexte, comme "rire à gorge rompue" ou bien "rire à gorge étendue" (très proche de notre 'déployée'). Et on a même vu, plus tard, "rire à gorge déboutonnée".
Autant d'images qui supposent que le gosier ou la gorge d'où sort le rire, s'agrandit démesurément pour le laisser passer lorsqu'il est intense.
mardi 29 septembre 2009
dimanche 27 septembre 2009
Fil rouge
Fil conducteur d'une énigme, d'un jeu.
Idée directrice, quelque chose qui donne une cohérence à un ensemble disparate.
Elément répétitif, point de repère qui revient régulièrement dans une discussion, un récit, une présentation.
L'origine de cette expression !?
La première trace que l'on connaît de son emploi se trouve chez Goethe, en 1809, dans "Les affinités électives".
Voici ce qu’il y écrit : « Tous les cordages de la flotte royale, du plus fort au plus faible, sont tressés de telle sorte qu'un fil rouge les parcourt tout entiers et qu'on ne peut l'en extraire, sans que l'ensemble se défasse, et le plus petit fragment permet encore de reconnaître qu'ils appartiennent à la couronne ».
Ce fil rouge était donc à la fois un élément permettant de repérer l'appartenance du cordage, mais aussi quelque chose dont l'absence le rendait inutilisable.
D'où le parallèle avec les points de repère dans un récit ou le maintien de la cohérence d'un ensemble.
samedi 26 septembre 2009
Réminiscence d'un film en tournage avec une sarbacanne
j'ai repensé au film "Paris je t''aime"
où je reprensais le er arrondissement de parsi en lisant la pleiade dans le métro et absorbée par ma lecture je laissai mon fils saccagé le magnifique touriste américain joué par un des acteurs fétiches des frères Coen.
d'où la photo précédente. De Victoires internationnal film. Claudie Ossard
Gazette des pensées du jour de Frankie
du coq à l'âne rebondit, sans prétention
dans ma besace de chemins comment restée verticale, aprés les mises à l'horizontalepar celle qui se conjugue avec les kamasoutras A force de raclées de fortunes,
Des Coups du Trafalgar à nos rêves d’amour fou
je m'émerveille d'un rien de la naissance d'un instant.
D’un essaim d’abeille d’un naissain d’huîtres.
(Mon berger des abeilles Jean michel, mon berger des huîtres Louis)
La nature crie au secours de partout
Soyons forts et fiers de ses victoires les plus infimes...
Crééons dans des conditions cow-boys, scioux, rock an roll
L'exigence n'est humaine qu’ assortie d'indulgence. Il y a belle lurette que notre égo a été bâillonné
Le narcissisme aux oubliettes comme Marie Stuart
Nous ne pouvons plus jouez à Becket
attendre d’être validé(e) par Godot
Faites comme moi ,
laissez emporter par le chant des voyelles dans la commissure de consonnes
les merveilles du quotidien,
l’art dans la rue en le nommant
ou le fixant
àla fenêtre
dans nos oreilles,
être en état de musique avec le frémissement des feuilles,
l’aboiement apeuré du chien Bambou
qui confond le bruit d’une feuille avec sa peur des fantômes
il empêche ma mère de dormir au fond de mes bras –
dans ma ferme à Mendibouroua,
réveille l’enfant Fredéric dans le berceau
Nourrissons l’ être sauvage qui palpite au fond de notre cœur..
, confions la responsabilité de nos actes à l'amour
N’oublions pas que la vengeance
c’est la vie qui en est chargée
Lavons nous les mains pour ça
Sans se sentir des « Ponce Pilate » pour autant
Lavons nous les mains pour la grippe,
saluons nous à la japonaise
C’est fort appréciable
prendre le regard de l’autre s’y plonger,
aller jusqu’à la taille,
Remettre la tête à la verticale
Se sourire
Faite l’expérience et confiez la moi
. . .
petits mots avec Yann, Louis, Jean Michel, Francis K, D. Doudou, Pascal
Merci de ces folriléges de mots et impressions
"Le crin de damoclés"
Vous reconnaissez tous l'auteur de ce tableau !
« Epée de Damoclès »
mercredi 23 septembre 2009
Aujourd'hui c'est le jour de la fin de l'été !
Si l’automne fut douce au soir de ta beauté
Henri de Régnier 1864-1936
extrait du site de Pierre le grand masseur
lundi 21 septembre 2009
dimanche 20 septembre 2009
Frankie Pain avant la bataille premier clap avant qu'existe Lulu
Nous ne sommes pas ce que nous jouons
fort heureusement
c'est dröle comme parfois c'est difficile de le faire entendre.
J'éditerai sur ce blog
je me suis fait un peu biographe
pour ce personnage pour qu'elle soit là
même pour une seconde pardon trois seconde de montage !
si çà peut interreser
faites le savoir
à deux et demi années avant ma retraite
je trouve normale de commencer
à ranger les sépulcres des rôles
pour les nouvelles générations
je ne livrerai pas
(cela pourra être rigolo)
je ne livrerai pas , les mystères de fabrication
mais les avertis en toucherons quelque chose
ce ne sera pas
comme des hieroglyphes,
j'ai pas eu ma photo en première page des magazines ,
j'ai été une bonne ouvrière du cinéma français
un peu d'autres pays quand même (sourires)
vendredi 18 septembre 2009
Le conte du vendredi d'Henri Gougaud
J'arrive il dira
attention il peut être partout
Le monstre
C’est un de ces vieux contes vrais du temps où les bêtes parlaient. Donc, sachez qu’en ces jours bénis vivait la biche la plus belle qui se puisse voir au Mali. Ses yeux ? Deux cieux. Ses cils ? Cent arcs tendus pour capturer ton âme. Son rire ? Une source de vin, et sa grâce une brise fraîche au soleil brûlant de midi. Tous les vivants de la savane, à l’heure où s’en venaient au ciel la lune et son troupeau d’étoiles, semblaient soudain se souvenir qu’ils avaient à lui raconter une urgente histoire d’amour.
Un soir, au crépuscule rouge, comme elle préparait son dîner, un lièvre vient, la queue au vent. Oh, le parfum de la marmite ! La salive lui monte aux dents. Il en bave, son œil s’embrume. Oh, cet appétissant ragoût ! Il en oublie madame Biche. Il se sent une faim de loup. Il couche ses longues oreilles, tend au ciel son museau tremblant et se met à brailler ce chant plus tonitruant qu’un tam-tam de mille démons avinés :
Je suis le monstre imperturbable !
Morbleu ! Je croquerai le nez
Du roi Lion, ce vieux minable
S’il veut m’empêcher de dîner !
La biche entend. Elle s’épouvante. Elle abandonne son fourneau, elle fuit, gémissante, éperdue. Alors le lièvre entre chez elle, il se goinfre, lèche le plat, il pète, il rote et il s’en va.
Le lendemain même tumulte, même fuite, même muflée. Ainsi passent dix crépuscules. Le lièvre prend quelques kilos, la biche flotte dans sa robe. Un jour s’en vient le roi Lion. Il entre, il la voit, il s’étonne. Il fait la grimace, il lui dit :
- Tu as maigri. Tu me déçois. J’espérais te voir plus fringante.
Elle lui répond que chaque nuit un monstre tombe du ciel noir devant la porte de sa case et lui dévore son ragoût.
- Qu’il vienne donc, dit le Lion. Ce soir, ma biche, je te place sous ma royale protection.
Le ciel pâlit, la biche allume un joli feu sous le chaudron. Légumes, boulettes, sel, poivre, bouquet d’épices, tour de main. Un fumet à fondre d’amour va tranquillement prendre l’air. Fracas soudain, tohu-bohu, tintamarre, charivari.
Je suis le monstre imperturbable !
Morbleu ! Je croquerai le nez
Du roi Lion, ce vieux minable
S’il veut m’empêcher de dîner !
- Houlà, danger, sauve qui peut, gémit le monarque à crinière. Fuyez, ma biche, je vous suis ! Débandade. Le lièvre dîne et s’en retourne à son terrier.
Le lendemain vient l’éléphant, puis le zébu, l’hippopotame, le buffle et le serpent python. Crépuscule, boucan d’enfer, épouvante, gémissements. Aucun n’ose affronter le monstre qui, du coup, grossit à vue d’œil.
Un chien s’en vient un soir d’orage. La biche tremblante s’enfouit sous son lit de feuillage sec. Le chant terrible retentit. Aboiement bref dans la cahute. En langage humain :
- Qui va là ?
« Ma parole, se dit le lièvre, ce bougre-là n’a pas eu peur. Serait-il plus monstre que moi ? » Prudent, il risque un œil dedans, voit le chien fermement assis, l’œil sévère, le front hautain. L’autre esquisse un sourire éteint.
- Oh, je vois que la table est mise, dit-il. Eh bien, bon appétit.
Il s’en va dans la brume grise. Il trotte encore, à ce qu’on dit.
(Henri Gougaud, dans « Contes et recettes du monde »)
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et comme moi vous pouvez recevoir chaque jour de ses pensées
c'est très agréable...
jeudi 17 septembre 2009
Mots d'humeur un rot aux faussaires des sentiments humains
Mais que serait l'amour sans caresse???
Sans que la main devine loin sous la peau
Sans les vibrations qui font que le corps appartient et s'évade.
Quand le corps s'enfuit et revient pour repartir encore..
Et ces douces et terribles attentes qui font oublier que nous pensons.
Que resterait-il de ces étreintes si le temps passé n'était fait que de "petits plaisir locaux"?????
Moi aussi je suis resté longtemps sans faire l'amour parce que ces conditions n'étaient pas
Qu'importe la beauté extérieure des corps si ils ne se "parlent" pas.
Ou serait le plaisir?
VOUS me rassurez , Françoise et je vous en remercie.
jean-claude
Une éphémère,excellence de la correspondance hier !
Un roman fleuve au pistile du pissenlit
Braconeur de lumière !
excellent !
les éphémères, et les loupcioles
Il est passé par ici , il ne repasse pu : le furet du bois des dames !
Un braconeur de lumière !
l'art de plonger sans se mouiller.
l'accroche du faussiare expert en faux des sentiments humains. !
Si vous avez besoin de conseil , ne vous en privez pas !
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belle journée à vous
Droit d'inventaire
« Le droit d'inventaire »
Le droit d'établir, à propos d'une chose passée, une liste de ce qui en a été positif et ce qui en a été négatif.
Cette formule, avec ce sens moderne, est très récente, puisqu'elle semble n'apparaître qu'à la fin du XXe siècle[1].
Un 'inventaire', c'est une opération qui consiste à dénombrer et énumérer des éléments (dans un stock, une succession...).
Il peut donc parfaitement être découpé en deux parties, l'une comportant des choses positives et d'autres des négatives à propos d'une chose passée.
Il peut être fait par un enfant, à propos du comportement de ses parents à son égard, ou bien, par exemple, par un élu, à propos de ce que lui a laissé son prédécesseur.
S'accorder un droit d'inventaire, c'est s'autoriser à faire un tel constat dans le but, en général, de le partager avec d'autres et, bien souvent, d'être plutôt critique envers ce qu'on juge.[1]
Peut-être a-t-elle été prononcée pour la première fois, de manière largement publique, par Lionel Jospin en 1995 à propos de ce qu'avait fait François Mitterrand en tant que président.
mercredi 16 septembre 2009
Avez-vous trouver votre chemin de Damas ?
mardi 15 septembre 2009
préparation du Lulu dans "l'instinct de la mort" et contes de Henri Gougaud
- Dreux prophètes, c’est un de trop. Ou c’est votre Chedja que le Très-Haut inspire, ou c’est Moçaïlama. En route, je veux l’affronter.
Moçaïlama apprit bientôt que Chedja et ses miséreux cheminaient vers son campement. il s’en effraya grandement. Un vieux lui dit :
- Point de souci. Emplis ta tente de parfums. Répands dans l’air le musc, la rose, le jasmin. Allume ça et là quelques grains d’aloès. Enfin, quand leur fumée embrumera les lampes, fais amener Chedja. Ces multiples senteurs étonneront ses sens. Alors tu poseras ta bouche sur la sienne et ton corps lui dira où est le juste Dieu.
Chedja parvint au campement à l’heure où la lune paraît. Moçaïlama lui prit la main et la fit entrer sous sa tente. Ses narines aussitôt frémirent. Elle sourit, gémit, tendrement.
- Ô femelle aux longs cils ! murmura son rival.
Au matin, quand ils reparurent, Chedja dit aux gens rassemblés :
- Notre débat fut long, sincère et profitable. Allah nous a reçus tous deux au paradis.
On servit le thé à la menthe et l’on accorda les violons. Un parfum vaut mille paroles. La musique est la voix de Dieu.
(Henri Gougaud, L’Almanach
c'est agréable de commencer la journée avec des belles pensées
voyez ce matin je l'ai commencé avec
Quand je sus que l’amour était inestimable
sans que pourtant j’eusse de l’emprise sur lui
jusqu’au terme de ma vie
je m’épris à jamais de l’amour de l’amour.
(Ibn’ Arabi)
lundi 14 septembre 2009
Quel poisson pourri !
Accabler d'injures
Au premier abord, il y a deux manières de comprendre cette expression qui date du début du XXe siècle
:- Soit il s'agit de "engueuler comme du poisson pourri [peut engueuler quelqu'un]",
ce qui semble assez peu probable car un poisson pourri est si tellement mouru
qu'il n'est plus vraiment en état d'engueuler qui que ce soit
(et quand bien même, a-t-on déjà vu un poisson pourtant bien vivant engueuler quelqu'un ?)
- Soit il s'agit de "engueuler comme [quelqu'un peut engueuler] du poisson pourri",
et là il faudra m'expliquer l'utilité de l'acte et l'effet que peut faire une engueulade à un poisson dans cet état
Dans les deux cas, l'expression semble donc extrêmement bizarre.
Mais Alain Rey () l'explique par une déformation probable du fait de traiter quelqu'un de poisson pourri, injure qui aurait pu naître dans le milieu des harengères ou marchandes de poisson traditionnellement fortes en gueule.
expression très fréquente en Charente Maritime
petit cadeau de Pomme - Affinité elective
It is so right>
> A young wife sat on a sofa on a hot humid day, drinking iced tea and visiting with her Mother.
As they talked about life, about marriage, about the responsibilities of life and the obligations of
adulthood, the mother clinked the ice cubes in her glass thoughtfully and turned a clear, sober
glance upon her daughter
'Don't forget your Sisters,' she advised, swirling
the tea leaves to the bottom of her glass. 'They'll be more important as you get older.
No matter how much you love your husband, no matter how much you
love the children you may have, you are still going to need Sisters.
Remember to go places with them now and then; do things with them.'
'Remember that 'Sisters' means ALL the women...> your girlfriends, your daughters, and all your other> women relatives too. 'You'll need other women. Women> always do.'> > What a funny piece of advice!' the young woman> thought. Haven't I just gotten married?> > Haven't I just joined the couple-world? I'm now a > married woman, for goodness sake! A grownup! Surely > my husband and the family we may start will be all I> need to make my life worthwhile!'> > But she listened to her Mother. She kept contact> with her Sisters and made more women friends each> year. As the years tumbled by, one after another,> she gradually came to understand that her Mom really > knew what she was talking about. As time and nature> work their changes and their mysteries upon a woman,> Sisters are the mainstays of her life.> > After more than 50 years of living in this world,> here is what I've learned:> > THIS SAYS IT ALL:> > Time passes.> Life happens.> Distance separates.> Children grow up.> Jobs come and go.> Love waxes and wanes.> Men don't do what they're supposed to do.> > Hearts break.> Parents die.> Colleagues forget favors.> Careers end.> > BUT..........> > Sisters are there, no matter how much time and how> many miles are between you. A girl friend is never farther away> than needing her can reach. > > When you have to walk that lonesome valley and you> have to walk it by yourself, the women in your life> will be on the valley's rim, cheering you on,> praying for you, pulling for you, intervening on> your behalf, and waiting with open arms at the> valley's end.> > Sometimes, they will even break the rules and walk> beside you...Or come in and carry you out.> Girlfriends, daughters, granddaughters,> daughters-in-law, sisters, sisters-in-law, Mothers,> Grandmothers, aunties, nieces, cousins, and extended> family, all bless our life!> > The world wouldn't be the same without women, and> neither would I. When we began this adventure called> womanhood, we had no idea of the incredible joys or> sorrows that lay ahead. Nor did we know how much we> would need each other.> > Every day, we need each other still. Pass this on> to all the women who help make your life meaningful.> I just did. Short and very sweet:> > There are more than twenty angels in this world.> Ten are peacefully sleeping on clouds. Nine are> playing. And one is reading her email at this> moment.> > Send this message to ten of your friends including> me. If you get 5 replies, someone you love will> surprise you.> > Happy days!> > Don't break this; it's working>
Olivier Apert performance Affinité élective
sa voiture de villégiature
l'auteur Olivier Apert
Dans le cadre des Journées du Patrimoine,
le 19 septembre 2009, à 19 heures 30
Lecture de Olivier Apert
accompagné par le musicien David Tuil
au Pavillon de l’Ermitage, une « folie Régence »,
148, rue de Bagnolet – Paris XXème
toute l’information en cliquant sur lien suivant
ctrl + clic http://www.hippocampe-associe.com/article-34743136.html
Un partenariat: L’Hippocampe associé & Les amis de l’Ermitage
Entrée libre : il est demandé de réserver, soit par le lien contact du site Hippocampe
soit par téléphone au 09 72 99 77 56
Affinités electives
à La planche à pain (Paris)
Cabaret slam, contes, et chansons
autour d’Henri Gougaud
SLAM
KTRINE D
Ktrine allie à une conscience aigue de la vie dans les villes
une grande tendresse et une belle humanité.
« « Ca rigole au comptoir, ça aime à en crever
Même sur le trottoir, terriens de toute beauté ».
http://www.slameur.com/index3.html
Hema vidad
Nourrie de l’imaginaire celte et de la poésie de Paul Eluard,
la parole de Hema vidad est un torrent qui tour à tour cascade puis se brise.
Ses slams parlent de l’amour et des forces de la nature.
SLAM / CHANSON
Michel Dréano
Profondément citadin et les pieds bien ancrés dans la terre,
Michel Dréano traque l’émotion autant dans la métropole agitée que dans les landes de sa Bretagne natale.
Sa palette musicale, celle d’un guitariste-compositeur doté de qualités rythmiques,
déploie un «groove» chaleureux et acoustique.
« J’ai le blues ferroviaire, j’aime le verbe errer ».
www.myspace.com/micheldrano
*
CONTE
Corinne Fournier
Pour Corinne, chaque conte est un voyage plein de malice où se mêlent
amour et humour, désir et plaisir, jeux et rencontres. Dans ce voyage,
un mot peut en cacher un autre ou bien... le révéler !
Ludovic Souliman
Pour lui, le conte est une rencontre et un chemin, c’est aller et partager, et faire ce qu’il aime.
C’est une sensation de lui et de l’autre, un jeu, une façon de sourire au-dedans, de sentir et goûter la vie, intensément.
Il fait siens les mots de Hanna Arendt : « Une vie sans parole et sans action est littéralement morte au monde ».
*
CHANSON
Nathalie Solence« Le chant lumineux de Nathalie Solence vient du cœur. Son écriture incisive, qui raconte des histoires,des émois, des colères, vient de loin. Il faut vite la découvrir et se laisser surprendre par la force devie qu’elle irradie sur scène… Ses textes sont fins et ciselés, ses ritournelles toniques et fraternelles,et sa fragilité féminine ne saurait laisser passer son indignation face à l’injustice.… Nathalie Solence chante l’amour et dénonce la bêtise, en artiste généreuse et accomplie. »Yves-Marie DENNIEL (Festival Chant d’Elles)http://www.friendship-first.com/nathaliesolence_fr.htm Jacques DeljéhierPoète, compositeur, interprète, Jacques Deljéhier sert les meilleurs auteurs de la chanson française dans une complicité totale entre l'instrument et la voix, en élaborant des arrangements originaux où chaque chanson est considérée comme unique. Rester fidèle à l'œuvre tout en se l'appropriant dans une démarche créatrice, voila ce qu’il propose aujourd'hui.http://www.deljehier.levillage.org/
Entrée libre, chapeau à la fin
Restauration possible avant le spectacle
Service de 19h30 à 21h sur réservation
Tél /Rés : 06 16 23 27 40
E-mail : sylviedeberg@hotmail.com
La Planche à Pain
48, rue du Dessous-des-Berges (à l'angle de la rue Cantagrel) Paris 13e
Métro 14 - Olympiades ou Bibliothèque François Mitterrand
http://www.laplancheapain.levillage.org/
(plan d'accès sur le site)
dimanche 13 septembre 2009
Entre deux rages
Les faussaires en amour font hurler, sauf si leur art de caresser
fait que l'on s'envole à la 3eme porte du 7eme ciel et à une certaine altitude
les moutons
sont des boutons pressions blancs et noirs sur la gazon alpin.
"Où sont Nathanaêl ses fruits longtemps cherchés"
André Gide "les nourritures terrestres !"
Des "as" dans ma vie, entre les lignes vous saurez
Être le meilleur dans son genre, dans l'activité qu'on exerce.
Comme de mes dernières rencontres en matière de massage, il a détrôné ma grande masseuse
faut le faire !
Aujourd'hui, l'as est la plus forte des cartes, il n'en a pas toujours été ainsi.
Mon assitante Martine est une as, mon agent aussi...ma "maîtresse" conteuse Martine Tollet -atelier de la parole.
Louis, mon marchand d'huitres la vilette le samedi, la Bastille le dimanche. Ma marchande de vêtement au marché Saint Michel. . .
C'est merveilleux de rencontrer des êtres d'exception. Nous sommes tout de suite aux parfums
dans la quintessence. Nous traçons . Le temps polit les intervales.
Carte majeure dans mon jeu de vie , comme pour Rukier est un as.
hier dans "Nous ne sommes pas couchés" çà a tangué sec, y avait du gite. Quel capitaine de corvette !
.Quand je suis en villégiature je me bataille avec mon entourage pour le regarder le plus tard possible.
Il me permet d'être réactive juste et drôle, et informée. . ..
Le un, ou as en latin, a très longtemps été un moins que rien, sans valeur.
La transformation de la perception de l'as vient de la guerre de 14-18
où les pilotes d'avion,
lorsqu'ils avaient du temps à perdre entre deux missions, jouaient à la manille
(), jeu de cartes inventé à la fin du XVIIIe siècle, o
où l'as vient juste avant le 10, la plus forte carte.
Ainsi, lorsqu'un pilote approchait du dixième ennemi abattu, il devenait un as,
par assimilation à son jeu préféré.
Cette expression réservée aux pilotes s'est ensuite étendue à tous les domaines.
Aux as de ma vie, et je souhaite être une "As" dans le film Henry, ils ont commencé la semaine le 7 septembre
condition rock and roll
pour moi premier clap samedi en 19
Allez les as et ceux qui ne le sont pas devenez le , la vie sera plus subtile et rigolote....
samedi 12 septembre 2009
Ma grande collaboratrice
Il y a des jours . . .
jeudi 10 septembre 2009
Quelques années en moins frankie
les kernes pour les ateliers d'écriture de frankie
lamangou@yahoo.fr
commence le 16 mercredi ou le 23 septembre
Les kernes de la saison 2009-2010 d’écriture
Date 9 septembre création
1 La serpentine de l’onde dorée
2 Le cap Horn des sens .
3 Le retournement
4 La petite cabane du lagon
5 Nous montons en altitude.
6 sa carapace d’animal préhistorique
1 en étendard de danger
2 sa boussole du brouillard
dans la toundra humaine,
3 une marche d’approche au temple du Delta
4 celle qui porte cette terre , lààà !
5 au bout de cette longue route à l’autre
6 un Héphaïstos contemporain.
1 ces cadeaux .D’ordre divin.
2 accueille dans ses qualités infinies
3 La voix sur le « pique up »
4 la corde dans l’aigu
5 vibre avec la corde des graves
6 Reine de l’absence du dire
1 Le mille feuille
2 La question d’entrée ou de ne pas entrer
3 l’autre qui est passeur
4 inventaire des mots dits
5 des plages d’autres travaux
6 La bille de massage est
1 Ce beau tout .
2 Comment passer du vous au tu….
3 Et surtout ne pas s’y installer !
4 Laisser les mots à leur écrin.
5 cette main Rodienne
6 un kaléidoscope de sons
1 Comme un gant de toilette qui rafraîchit
2 Femme d’hiver ,Femme d’hier
3 Çà sort du four
4 Gipsy et Tristan
5 la frontière entre la vie et la mort
6 courage de laisser mes desirs l’emporter
1 Les compagnons d’écriture
2 je gardais les vaches les juments les moutons de Pierrot
3 le cercle des femmes
4 l'ombre des grands arbres du parc
5 chateau Puyseguin
6 le porc épique
1 tes pépétes
2 goûter à bras le corps L’aventure de ce. . .
3 de mon perchoir
4 paroles, rivière de beaux langages. Ici sur la terre de choses
5 s'oscire le bigorno
6
"Un chien de commissaire"
mercredi 9 septembre 2009
un fan de frankie dans le film "Seul contre tous"
mardi 8 septembre 2009
La plage de Saint Jean de Luz : le voeu
J’ai pris la décision de devenir comédienne professionnelle sur cette plage septembre 1973.
Après pendant un stage avec les comédiens mimes de Paris Isaac Alvarez.
Je viens de me livrer à un pèlerinage quelle joie de retrouver ce pays où j’étais fermière à Villefranque sur la route d’Ustarizt à la ferme Mendibouroua et je gardais les vaches les juments les moutons de Pierrot Iribarne de lasse prés de saint Jean Pied de Port.
C’est formidable.
"Faire godaille"
mercredi 2 septembre 2009
"Ad vitam aeternam"
« Ad vitam aeternam »
Pour toujours, à perpétuité
C'est Woody Allen qui a dit que "l'éternité, c'est très long, surtout vers la fin".
Cette expression latine évoque également l'éternité puisqu'elle signifie littéralement "pour la vie éternelle", ce qui suffit à expliquer son sens moderne.
Elle se raccourcit parfois en 'advitam'.
"Ad vitam aeternam"
Pour toujours, à perpétuité
C'est Woody Allen qui a dit que "l'éternité, c'est très long, surtout vers la fin".
Cette expression latine évoque également l'éternité puisqu'elle signifie littéralement "pour la vie éternelle", ce qui suffit à expliquer son sens moderne.
Elle se raccourcit parfois en 'advitam'.