mon vieux coucou d'ordi met une demi heure pour se donner
et comme c'est dernier temps quand j'ouvrais la moisson en mail et .....
étaient si tristounettes que je ne faisais que bouder l'effort pour un si faible réconfort.
Alors j'ai affronter ce temps abyssale pur vous faire un coucou
et demain je serai au rendez vous de l'instantané.
je pense que le temps maussade et grisouné du matin au coucher
je n'aime guère la flemme bon
une lectrice de manouche de Cora
il serait mieux dans mon lit que sur la croix
protection assurée l'oeil malin veille !
embarcadaire de fortune le tout c'est de s'embarquer. La destination on verra plus tard!
un thé au sahara !
appuyée au bastingage je rêve à ma prochaine escale
les différente strates dans l'écriture
toujours le travail sur la voix verticale
que çà aille mieux comme cet arc en ciel!
petit arrêt dans un refuge de moyenne montagne
je vous souhaite une bonne fin de semaine frankie
les photos que je vous avais récoltées pour les écrits futurs en vrac..
bye bye
Textes du jour de la blog-woman, phrases : colonne vertébrale, contes, légendes, mots d'humeurs, d'amour, lettres à la mer, recherche de connivence, complicité, ses dessins, ...la jazzeuse des grands chemins et sentes, écrivaine nomade des murmures de la vie intérieure et des happening minimalistes nés au hasard d'un banc public dans un parc aromatique , un abri bus , un train , un marché, les pas perdus d'un aérogare tous les lieux insolites pour une rencontre.
vendredi 31 janvier 2014
lundi 27 janvier 2014
A semaine combative consultation de la Pithie
1
Matthieu Ricard
Souviens-toi qu'il existe deux types de fous : ceux qui ne savent pas qu'ils vont mourir, ceux qui oublient qu'ils sont en vie.2
Marcel Jouhandeau
Qui apprend à s'aimer n'a pas besoin de leçon pour aimer les autres.3
Christian Bobin
À quoi reconnaît-on les gens fatigués ? À ce qu’ils font des choses sans arrêt. À ce qu’ils rendent impossible l’entrée en eux d’un repos, d’un silence, d’un amour.4
Christiane Singer
La vie est une école de métamorphose. Fais confiance à la métamorphose.5
Jason Lapointe
Il faut savoir oser affronter l'inconnu pour goûter aux joies de la liberté intérieure...6
Dan Millman
Avez-vous remarqué que les leçons dont nous avons le plus besoin, celles qui s’avèrent le plus profitable, c’est toujours la vie qui se charge de nous les donner ?7
Jacques-Yves Cousteau
Le bonheur pour une abeille ou un dauphin est d’exister. Pour l’homme, c’est de le savoir et de s’en émerveiller.8
Guy Corneau
Comme tous les arbres, comme toutes les plantes, nous sommes destinés à grandir, à nous déployer et à nous épanouir pour notre plus grand plaisir et celui de notre entourage. Certaines racines sont si vivaces qu’elles passent à travers une fondation de béton pour poursuivre leur route. Telle est la force du ferment de joie qui nous fonde.
pont de pierre de bordeaux
9
Anaïs Nin
Vint un temps où le risque de rester à l'étroit dans un bourgeon était plus douloureux que le risque d'éclore.
10
Toute
la vie est une affaire de choix. Cela commence par :
"la tétine ou le téton ?" Et cela s'achève par : "Le chêne ou le sapin ?". |
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11
Étudie
non pour savoir plus mais pour savoir mieux.
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12
Une
bouchée de pêche succulente est préférable à
une demi-corbeille de poires pourries. |
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13
Sème
un acte, tu récolteras une habitude ; sème une habitude, tu récolteras un
caractère ;
sème un caractère, tu récolteras une destinée. |
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14
Pour
être champion, vous devez croire en vous-même quand personne d'autre ne le
fait.
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15
Le
véritable talent, c’est de réagir de la même façon devant la victoire et la
défaite.
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Belle semaine plein de jus ,
de rires , de rêves , de sourires, et muchos fouerzas en la braguetta pardon Giné "dans le corrazon" of your husbands and same thing for your wife. gros bisous de frankie bye bye lovers... |
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dimanche 26 janvier 2014
prose poétique Ceillettes de morilles, merveilles, frangipanes auxpistaches pépites de chocolat
PoËtique
Inside
Les titres
Photo de frankie |
Je
vais me vivre
Cette
ligne de coqs en flottaison
Pic
d’Annie la Morille
« Bonobosser »
sa prise
L’Amant
d’Hanoï
Bernard
Pierre
Les
pas de l’étranger
Caress
Lamangou
La
frangipane aux pistaches, pépites
chocolat
L’émotion
bouge la porte
Le
Panis
La
–Sol en marée haute
Piano/contrebasse/violoncelle
Oh !
Comme je me sens Femme
Les
crevasses du Pic d’Annie
L’écharpe
jaune
A
Je
vais me vivre
Cette ligne de coqs en flottaison
Watsou
125 rues de chemin vert
Père Fugus H.
Les frisons tout doux des secondes
Aiguilles de pins
La voix couvre les pas de l’étranger
Dans l’allée de gravier
Le moulin de farine de chanvre
Je n’entends plus la meule
J’aime le compagnon de vie de la seconde
Dans les jardins de l’Ashram
Affolement du bol tibétain
Appels des bavards
à la méditation
B
Je vais m’acheter Paris
d’Yves Saint Laurent
Pour porter ma Robe de lui
« Larmes- Beauté- Sensualité »
A Pierre Nimier son interprète.
Le salon du tailleur libéré des camps
Caress Lavandou lui commande robe Robe sur Robe
avec l’argent
qu’elle s’est fait en s’empalant les boches
Elle renourrit ses flancs sans chair
Et son équipe de rescapés, eux aussi du grand Four.
Dans le beau et en mangeant à leur fin
Pardon sa Faim
On n’efface rien
Ils ont tout simplement plus de force
Pour chanter les chants yiddish
Les cantiques joyeux du Sabbat.
Caress Lavandou ce jour là dans le salon d’essayage
Avait porté des galettes des rois « frangipanés »
À la pistache, aux
pépites de chocolat : les « panis ».
Rire en éclats après les essayages.
Le bruit des perles dans le coffre
À bijoux de Caress Lavandou.
C
La cage de Faraday en rêve
Coup de foudre protégé
Elle l’aimait évanoui à ses pieds
Son amant d’Hanoï
Elle l’aime l’appelant de Damas
Fausse notes
La poule d’eau
Sur le chant du lotus
La colère de cupidon
La voix Mysfit
Marilyne étrenne le N° 5 Channel
L’amant de Hanoï
Mort comme Marylin
Ecriture sur
la récolte des 125 chemins du vert
A la Casbah Santaga
square des Esterels
C
(suite)
Plumes métalliques s’ébrouent
Perles de rosée éclaboussées
Coq rare délicat
La voix qui ne va pas là où
Fausses notes nie le ciel, tombe au gave
L’émotion bouffe la portée
Bouge la portée
Je pars dans mon rêve
L’amour lévitation
Caress La
Mangou décolle du sable
La – sol en marée haute
D
Je
vais enfin me vivre moi
Je me contente.
Garder intact :
L’enfant merveilleux Inside.
La ligne de coqs en flottaison
Souvent trop vite la pendaison -
Jamais de la crémaillère.
- Et de la crémière,
Ils ne leur font rarement
Faire de crème.-
L’écharpe tua la star en sa décapotable.
Les plis du tissu :
des terrasses de rizières malgaches.
L’écharpe jaune de Bernard Pierre.
La lumière s’enchevêtre dans l’étoffe
Imprégnée du parfum de la Dame
Je me fais un beau matador à la guadeloupéenne.
Etre la mère du psychanalyste de Marylin
Elle , notre Marylin mondiale dans mon salon.
Personnalités de la psychanalyse :
Margaret Mead l’anthropologue, Anna Freud,
L’avocat de Marylin, un orchestre :
Piano, contrebasse, violoncelle.
Mon Pierre, il est Merveilles du carême
A la fleur d’oranger
enveloppé de sucre glace : ses yeux bleus
Et je me sens femme
Femme, oh, Femme !
Je
me sens Femme.
E
Fugus H. après mon conte d’Ahna de la
Bible
À la perfection « hossassa » le trait
« No ethnologue, no conteuse
La conteuse sous la comédienne , … »
-
120 kilos avec çà c’est obligatoirement écrasé,-
Et, après ce temps
de silence ; trouva sa chute
Ou sa troisième estocade !
« Tu
n’es pas une femme
Même
pas une femme. »
Devant un parterre de 40 poulettes muettes.
Il ne savait pas que dans ma vie l’homme n’a le droit
de me tutoyer que s’il m’a honoré d’en bas.
Et « bonobosser » sa prise.
Quand connaissait-il des femmes ?
A les trousser dans les rayons de bibliothèque
Comme les paysans les chèvres,
Combien de bouches ont ce recit……………………………………
Avec lui ne pas confondre les rats de bibliothèque
Et les trous de Bibi
Ö le thèque.
La condensation d’un
trou et d’un rat = le Gruyère.
Les femmes : Les crevasses du Pic d’Annie
Les morilles des lisières du savoir
Çà lui fait le chou gras.
Je donne pour le reste ma langue au silence
La maquignonne du diable c’est signé pareillement
Lettre : sans voix, verticale. Comme Hugus H.
In Chala ! la la la la lére ! Des Forteresses.
F
Yacinthe, Jacinthe, Hyacinthe !
Ces premières floraisons d’hiver
Odorantes
Odorant mon premier samedi
De ma retraite touchée avec Marga
Et Gil de la fleur bleue coupée.
Françoise Frankie Pain La Mangou
Sous la direction
de Frankie Pain
Avec Marga et Gillus
Photo de frankie |
bonne lecture et bon début de semaine
samedi 25 janvier 2014
instantanée pour Armarita
l'atelier des haïkous
photo frankie
photo frankie
Tulipes aimantées de pesanteur
......
Corolles "baïllantes" en pivoine
la page blanche
les photos sont de frankie
et maintenant prenez le chemin de traverse des instantanées en cliquant sur le lien
http://mesinstantanes.blogspot.fr/
vendredi 24 janvier 2014
Haîkous faits main avec Julie Desf et Francis AZE
avec Julie Desf....
Talmon
Paupière d'estuaire
sons du calice d'or
Tente , duvet
Mont pelé
Drapée du voile de ciel
Acidulés citron
la cloche du petit déjeuner
Bord du lac
Salon d'essayage
mains du couturier
Moldo de Smettana
avec Francis AZé.
Tulipes aimantées de pesanteur
Galet sur feuilles d’Écriture
Corolles "baïllantes" en pivoine
Mains dans la glaise
Ronronnement de Zita la Chatte
La sculpture s'entre-aperçoit
Le Sourire du guide
main tendue
franchir le gué
El raz el mundo cumin
larmes de joie
Pampa de mes marchés d'Afrique
de Françoise Frankie Pain Lamangou
église de Talmon
retour des femmes du marché
d'autres images de ces haikous
le jour de l'instantanée
gros bisous bon poisson du vendredi
surprise de
Sac et ressac
Chair iodée dorée
Sable roule entre les doigts
Garance de Toulouse
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