je devais écrire « l'eldorado du
corps »,
photo de la production du film
"Le fabuleux destin d'Amélie Poulain"
Rôle la marchande de journaux
je l'ai fait, je l'ai lu dans une
galerie d'art contemporain à Paris lors d'une exposition de "nus
nues" avec Mireilla Rosner qui connait bien mes textes. Il y avait 80 personnes
autant d'hommes que de femmes et chacun avait été très intéressé, et heureux même.
Je doutais de l'intérêt de ce type de livre, et aussi le mâle, mal que
cela fait...
et puis dimanche sur le marché je parle au
marchand de bijoux nous plaisantons, et il me demande conseil avec ses copines,
il n'a pas la main verte comme je peux
m'exprimer et je repense à « ce
livre qui dort... » , il m'encourage à le ressortir. Je le fais mais
dans l'épure juste un, deux, trois détails et font font font les marionnettes…
je pense que dans la vie suffisamment de personnes ont été écoute ardente pour leurs amies,
amis en souffrance, pour que nous soyons initiés les histoires dans le
détail je n'en vois pas l'intérêt sauf le détail : celui qui tue ou qui ressuscite.
si vous avez des « short cut »
de texte que vous vouliez confiez au blog ou au livre je suis prenante car
c'est l'histoire de nous, nos chemins à
l'autre , de la rose qui appelle par son
parfum envoutant quel « jean cana »(phonétique) entre les épines et encore parfois le scénario est si
bien fait que nous voyons trop tard, même si toutes les sirènes d'alarme en
nous , de nos amis... il y a parfois des césures : faut être très profileur
pour l'imaginer...
dites moi si le vendredi
jour du poison, pardon poisson, jour
maigre,
çà vous direz d'en avoir une petite
chronique..
gros bisous belle lecture.
ce texte est hard,
toute personne sensible
s'abstenir,
interdit aux moins de 18 ans.
Rencontrer l'autre : c'est parfois croisé le diable !
L'eldorado
à l'autre.
Le bourreuhsain : une paille.
Ça nettoie. L’on te ramène dans la terre.
Ce miroir.
Après coups : brisée.
Voir sa tronche en décalcomanie. Devenir
éléphante woman.
L’écho dimension
variable suivant les
brisures du miroir.
Constater.
Trouver quelqu’un, le prendre par la
manche,
voir avec moi ce qui se passe dans le
miroir.
Le marié A. a vue la gonflette en direct. à
vue.
L’impact . Cet impact là.
Un mariage, où j’avais été invitée avec mon
fiancé
sous mes yeux mon mec drague une femme,
rigole , lui roule des patins
devant moi,
disparait de la table revient 3 heures plus
tard
avec de la paille sur le smoking
ainsi que la femme crapahutée qui rit
comme une toupie.
Il fallait qu’elle le
crie son orgasme à
toute l’assemblée
cette vielle peau fripée.
Avec la queue qu’il a,
il suffit de s’empaler, d’attaquer,
le point A et tu le lèves
le lièvre
qui rend fou et te zèbre l’échine.
Fastioche !
Il n’y a qu’à dire merci à dame nature.
Plus ils sont bien servis sur la balan
ce du distributeur de
miracles
plus dans leur main de la besogne
n’est pas un poils qui
demeure , non : une
perruque* .
* : Merci Ramalane pour son expression des
ateliers des Ecritures de l’Hajat session : la Casa AmÖva.
l'auteure FFPLM
les droits sont réservés
Photo de la production : Film japonais "la maison de l'Orme "!?
c'était un titre provisoire.
Rôle patronne d'un bistrot cossu de Saint Malo
très bon vendredi et à demain pour l'instantané gros bisous