me priver de vos mots,
vous ne devez être otage
d'une douleur.
et je ne peux qu'en parler
dans la solitude de mon hermitage.
J'ai peur.
Ce n'est pas terminé dans l'atelier .
Alors je reviendrai quand je serai à nouveau dans mes racines
merci en attendant de vos petits mots , ils m'ont donné de la force , du lien , du respect.
La 2018 attitude est costaud
Je vous fais un salut japonais
merci de vos présences.
Françoise
aquarelle de frankie
Pélagie et sa Maman.
Textes du jour de la blog-woman, phrases : colonne vertébrale, contes, légendes, mots d'humeurs, d'amour, lettres à la mer, recherche de connivence, complicité, ses dessins, ...la jazzeuse des grands chemins et sentes, écrivaine nomade des murmures de la vie intérieure et des happening minimalistes nés au hasard d'un banc public dans un parc aromatique , un abri bus , un train , un marché, les pas perdus d'un aérogare tous les lieux insolites pour une rencontre.
dimanche 25 février 2018
vendredi 23 février 2018
24 heures chronos
screen shot 2017
l'affaire des plumes qui s'envolent....
Thémes recurants de la semaine
reussir sa renaissance : c'est comme un chirurgien suturer avec la plus grande attention
le Charybe ,le Scilla de la félûre quelques qu'elles soient.
Soie.
screen Shot 2017
Toujours hommage à la piéce
de théatre de Ionesco
l'énigme Hitchcockienne
Alfred Hitchcock
L'envol,
larguons les sacs de sable!
Prendre de l'altitude.
"coco samba coco samba, coc samba"
dit la M'a Méduse, à sa fille Rosamonde.
dans le temps de consolation
"le deuil Expresso"
Voici ces imagines dont chacune ne pouvait être choisie sans l'autre.
pour voir les autres
clichez sur le lien
chemindestables.over-blog.com
trés beau week end
et vos vacances d'hiver.
Frankie/Françoise
l'affaire des plumes qui s'envolent....
Thémes recurants de la semaine
reussir sa renaissance : c'est comme un chirurgien suturer avec la plus grande attention
le Charybe ,le Scilla de la félûre quelques qu'elles soient.
Soie.
Ca s'appellait deuil expresso
screen Shot 2017
Toujours hommage à la piéce
de théatre de Ionesco
l'énigme Hitchcockienne
Alfred Hitchcock
L'envol,
larguons les sacs de sable!
Prendre de l'altitude.
Medaille d'or
du tir du "Bi Atlon" PhienHonChang 2018"coco samba coco samba, coc samba"
dit la M'a Méduse, à sa fille Rosamonde.
La gamme des Phenix
j'ai tricoté ce conceptdans le temps de consolation
"le deuil Expresso"
Les Riziéres du grand voyageur
"el conocido" Olybrius P.
Voici ces imagines dont chacune ne pouvait être choisie sans l'autre.
pour voir les autres
clichez sur le lien
chemindestables.over-blog.com
trés beau week end
et vos vacances d'hiver.
Frankie/Françoise
jeudi 22 février 2018
Atelier écho des cartes de samedi lundi avec Marga Massif Central
L’autre,
l’ailleurs
Jardin du Luxembourg
Deux tasses,
le « Monde » en lecture
l’Autre est Ailleurs
Elle écrit
Les feuilles des marronniers
Lourdes de leur jeune sève.
|
Phares en Ré
Saint Martin en Ré
L’entrée du port
deux phares : un bleu , l'autre rouge.
La nuit bleue indigo
baigne tout l'alen-tour
Pélagie Reynald statufiés
Dans le saint doux
leurs seins sangs doux de leurs retrouvailles:
40 ans déjà
la fin du film
le Docteur Javago
le 31 aout 1968 |
L’ibiscus
Coincée au lobe de l’oreille
de la petite fille de Fatoumata
la fleur paradis de Gorée.
Pilar regarde l’ile
de son jardin : le Palace
Fatou -Aménes moi,
j’en ai marre de bouffer
que du manioc
Je serai ta jeune
Femme de chambre.
Pitié Madame Pilar je vous jure, je peux loger dans une malle d'osier pour respirer sur le pont des animaux, la nuit sur ton paquebot vous viendrez me conter comme devant la camera, pendant que je mangerai l'assiette et viderai l'eau que vous m'aurez portée. J'en ai parlé avec avec maman, elle est d'accord mon pére a 69 femmes, alors . Pilar avait les larmes derrière ses yeux, premier rôle payée comme les non banquetages demain soupe chagrin avec les légumes oubliés des marchands de Belleville ! |
Frida kalo
Dans le mur rocher de granit
Une touffe de blé mature
Le flot de la chevelure brune
Est l’écho de la vive
gerbe de verdure du granit.
Dans la mort de ses jambes
La résine s’ y cumule
Grâce à ses actes picturaux.
La nouvelle Sabrina y a vu aussi un corbeau dans la photo de ce tableau. L'apparition. |
La
montagne autour du massif du Touron
Paix
de la redescente en vallée
Premiers
sons d’oiseaux
Chants
des clochers
rondes de jonquilles
de tulipes sauvages -peaux de cane- :
violettes à petits pois noirs comme les pintades
coucoux, primevaires, clochettes bleu de Lescure
les croques niege
slalument entre les nevets(reste de petit tas de neige)
rondes de jonquilles
de tulipes sauvages -peaux de cane- :
violettes à petits pois noirs comme les pintades
coucoux, primevaires, clochettes bleu de Lescure
les croques niege
slalument entre les nevets(reste de petit tas de neige)
Roux
des herbes écrasées à la fonte des neiges.
Le
lac mimésis des couleurs mitoyennes :
Blanc
des sommets,
Méandres
des bleus du ciel en fondu enchainé
du bleu
intense- vert du lac,
la
césure des nuages,
Couleur
fauve des pierres ferrugineuses
de la cheminée Chaussée 5
de la cheminée Chaussée 5
écrit par frankie
Belle journée
Frankie
Murano les ananas
mercredi 21 février 2018
Course pour entendre "au juste" la douleur,self consolatores
OU GRAMMAIRE DE LA "CONSALATION"
plumes de frankie
Traité de gourmandise autour du Cornet de Murat 2005 Cantal
mise en voix , écriture, mise en scéne, décor
frankie pain
la fontaine avait été transformée
en baignoire de lait
imaginez le moment du bain
comme la foule est venue, c'était dingue de jubilation
Cà kiffer !!!
c'était drôle. performance d'une journée...
Là le personnage, j'ai oublié quel nom je lui avais donné pour l'occasion, était entrain de mettre quelques vagues dans son bain avec une pagaie....
le rapport au temps dans le costume permettait dans le direct qu'est la rue de gagner en distance
sortir du quotidien.
Pour cette séance qui ne fut que factice, j'avais des gardes du corps...
Chére Armarita, et mes chers autres
lecteurs lectrices,
« Deuil expresso »,
Nous savons malheureusement qu’après
un choc sidéral qui touche les affects,
les engagements, d’autres pertes….
Cette adorable brochette peut nous
coucher quelques temps sur la paille.
La douleur nous excluant de la vraie
vie,
si l’eau est bonne pour les végétaux
pour l’homme de cette zone du corps là ,
bad trip
trop longtemps.
Même si la phrase que j’ai "malheur
sème des cempathies ."
j’ai entendu par les meilleurs 'soncolateurs'
pardon consolateurs, de la famille « pleures çà lave les yeux ».
Nous savons que le temps compte
terriblement dans le processus de mise en mots ce point de réalité qui sous
quelques aspects sont« insymbolisables », ...
Nous savons aussi que le meilleur
consolateur bien des fois est nous-mêmes
Captons au plus vif de
l’embrassement,
Appelons à nos méninges les
philosophes grecs
Les contemporains, et....
quelques éminants psychanalistes
le livre de Julia Kristeva : "Soleil Noir"
est un bon compagnon
mais pour des affaires plus proches, intimes à l'être.
Soyons double sans risque de La schizophrénie
Le grand consolateur est ; c'est souvent Nous.
Dans certains
moments comme les chevaux après de grande marche vont jusqu’à l’abreuvoir, le
timbre de la cour de la ferme,…
Appelons les mémoires de l’arrière boutique
de l’enfance,
ses joyeuses consolations aux bobos,
de la tendresse,
un corps caressé si les mots ne
s’entendent pas,
tendresse, de bercements, et larmes couleront sur la joue peau de
pêche.
Le rimmel de la boutique africaine de la porte saint Martin
fera estampe japonaise papier joue avec son encre noire
pas de Chine.
Et la laverie des carrosseries boueuses
des miasmes projetés :
comme chante Souchon " Passons ces choses ?! à l’eau
de javel".
Le temps est somptueux si nous ne le gaspillons pas à la
futilité des manipulations.
Et voilà ma chère Armarita , Manouche,
Giné, Alezandro, Josette et ….Jean pierre et marité et, et , et Marga
Et un livre magique dans cette situation
sur l’établi d’écriture
Mickaêl Foessel
« Le temps de la consolation »
Essais en poche même
Quelques extraits
Pour le conseil à un ami ou un passant ou passante qui s’effondre.
« …….
C’est dans
ces brèches qu’agit la consolation. Par facilité, le mauvais consolateur a
tendance à minimiser la perte (« ce n’est pas
grave », « ce n’est rien »,
« une de perdue, dix de retrouvées »).
Le bon consolateur, au contraire, commencera par reconnaître à l’autre un droit
aux larmes....
. Son talent est
d’aider l’autre à « voir autrement que selon sa douleur ».
Ce n’est jamais joué d’avance. Un tel geste exige une forme d’humilité, témoin
d’émotion partagée, en même temps qu’un brin d’autorité. Du tact. Partant de
l’idée que nous ne savons plus bien faire, M. Fœssel plonge dans les
textes de Sénèque, de Boèce, Cicéron ou Augustin pour en extraire une « grammaire
de la consolation ». Le temps y joue son rôle ; le consolateur ne
doit venir ni trop tôt, ni trop tard. Le rappel du souvenir – du défunt
par exemple – est un passage obligé, qui permet de donner une place au
manque. La posture du corps, la tonalité
de la voix comptent aussi : le
consolateur « parle à quelqu’un » bien davantage qu’il « parle
de quelque chose ». Du point du vue rhétorique enfin, la
consolation puise abondamment dans les figures de style. Tout est bon pour
stimuler l’imaginaire du malheureux. La
métaphore y est reine : elle refaçonne l’expérience. Ainsi, Sénèque
invite Lucilius à considérer la
vieillesse comme le « soir de la vie », Boèce compare la vie à un « voyage ». Et à la mère qui
pleure son enfant, Sénèque propose une étrange comptabilité : « Mets-toi à compter ses qualités, non
ses années : tu verras qu’il a vécu assez longtemps. » Reste enfin le geste et le toucher, aux
effets si puissants quand les mots viennent à manquer.
Si M. Fœssel
se défend de proposer un mode d’emploi – « il n’y a pas de formule pour une
consolation réussie » –,
son livre
Mickaêl Foessel
« Le temps de la consolation »
Traité de gourmandise autour du Cornet de Murat 2005 Cantal
mise en voix , écriture, mise en scéne, décor
frankie pain
la fontaine avait été transformée
en baignoire de lait
imaginez le moment du bain
comme la foule est venue, c'était dingue de jubilation
Cà kiffer !!!
c'était drôle. performance d'une journée...
Là le personnage, j'ai oublié quel nom je lui avais donné pour l'occasion, était entrain de mettre quelques vagues dans son bain avec une pagaie....
le rapport au temps dans le costume permettait dans le direct qu'est la rue de gagner en distance
sortir du quotidien.
Pour cette séance qui ne fut que factice, j'avais des gardes du corps...
toujours Daum
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