mardi 24 septembre 2019

coucou oui , je suis bien rentrée à l'atelier mais quel travail !

Heureusement l'on vient me donner un coup de main.

J'ouvre juste mon portable ce matin aux aurores.

Je découvre que le peu de courrier sont des adieux.
de personnes auxquelles j'avais nullement penser  à une fin m'accusant du pire, tout ce qu'il y a de peu gracieux.
Ils avaient attendu que je sois kaput pour sortir leur sérénade  de la volence , l'extrapolation , du pire comme je disait plus haut et surtout qui n'a rien à voir avec mes médoc et autres choses. C'est impressionnant. La débacle.

Comme quoi quand on romp, on ne nous épargne de rien . c'est vrai que rompre avec quelqu'un qui est hospitalisé depuis au moins 9 bons mois. c'est du gâteau, faiblesse, abandon, peur de beaucoup de chose sauf celle de mourrir.

Du style : "arrête tes antideresseurs"s , je n'en prends pas.
j'ai fait surtout de la sophro et des prières.

Une vieille amie de 20 ans : je suis destructice /
je suis détruite oui, mais pas destructrice ou alors je suis devenue folle et je ne me rends pas compte !

Une cousine qui me dit : mets ton mental en ordre....
dans le monde du travail sur moi , il y a le conscient, le subconsient et l'inconscient.
elle ne m'a pas vue ni appellée depuis 4 ans. mais elle a dejeuné avec ma soeur . ca c'est le gros caca aprés constipation de 5 jours.....

Impressionnant.
Ca vient de sortir

Je pense que me savant faible,  çà y va de leur rond de chapeau. OH ! OULALA !
Cela me fait penser à l'oeuvre de Pirandello
Henri 4. Henri 4 sort   de sa folie et avec ses serveurs et accompagnateurs   il voit le monde à qui il veut offrir sa nouvelle vision du monde , il se rend compte que là où il était il était beaucoup mieux
 et il fait signe à sa suite de faire semblant comme lui de revenir su monde qu'il a mis tant de temps à sortir.
je l'ai vu joué au théatre de l'Atelier interprété par Laurent Therzief
C'était merveilleux, la mise en scéne moins.....
 voilà à quoi je pense.

Nous sentons comme un remord chez chacun que je n'y sois pas restée que je n'y sois pas restée.

Bref
l'absence est si grande de tous ceux que j'ai aimé, le silence qui a fondu sur moi comme un mosolet

je béguais tellement j'ai peu parlé, je fais beaucoup  de fautes d'orthographe, tellement j'ai peu écrit.

Qu'importe! Je suis vivante, avec le désir de le rester.
sans eux 
 nous ne pouvons construire des échafaudages sur ceux qui  ont  déjà traversée la Trouille (petite rivière sur un côté d'un champ de bataille prussien)
et qui ont trouvé la meileur opportunité pour me lacher Diable , diablesse que la relation est difficile . A ce point . OUI.

Le monde , mon monde se réinventera au jour le jour comme un cadeau de vie .

Les journées sont bien remplies
 je retourne en hôpital de jour pour de la Kiné et de la balnéo trois fois par semaine.

Je vous remercie de vos petis mots et à bientôt de reprendre le blog.
Françoise



10 commentaires:

  1. L'automne devient lumineux avec ta présence Frankie
    quel bonheur de te lire à nouveau, que les maussades fondent avec la canicule, toi tu es là et c'est ce qui compte.
    Je t'embrasse

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    1. Je ne suis pas la canicule. C'est l'été qui a traversé une canicule dont nul n'est responsable madame. Et vous vous sentez seule parce que vous mariez les personnes avec des personnes qui n'ont rien à voir avec leurs pensées.
      Que savez-vous des mariages forcés, des usurpations d'identité etde la culture du viol?
      J'aurais aimé que nous puissions être amie, mais pour cela il aurait fallu que vous tolériez d'autres univers que celui du poète mystique.
      J'aime la philo, est-ce un péché?
      Je n'aime pas l'ère délétère, est-ce un autre péché?
      Je n'aime pas les gens suffisants et les sectes qui parlent à la place des autres, est-ce mal?
      Je suis un électron libre et j'aime toutes les saisons, pas seulement celle du nouveau né, est-ce un grand malheur que de tolérer la vieillesse et la maladie, de ne pas faire l'autruche?
      Je me permets de vous répondre car vous les empruntez comme à votre habitude, pour vous en servir d'une arme, alors même qu'ils ne parlent que de la vie. De ce qu'est la vie. Une vie lucide, tendre et douce.
      Si un jour vous vous réveillez des cauchemars tyranniques intellectuels, vous serez la bienvenue dans mon petit havre de paix. Je ne suis pas du style à faire l'autruche. Mais je ne tolère pas les menteries collectives qui nous abrutissent. Désolée, j'aime trop la vie et le droit à la fragilité comme à la joie, sans se laisser détruire, jour après jour et empêcher d'échanger.
      Et je n'ai pas rompu, j'ai rompu avec la culture du viol et des muses. Je milite pour la libre expression des femmes, leur droit d'écrire sur tous sujets, à égalité, sans être traquées, mariées, infantilisées, brutalisées, vexées, humiliées.

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    2. et bé quelle envolée, j'ai été militante féministe en première ligne des manif j'ai por les patiente dont je m'occupais écrit pla psychopathlogie du violeur et je leur ai demandé de se mettre du rouge à levres quand elle sortait dehors mais à cette époque là ce n'atait les viols des cols blancs mais des pauvress types qui n'avaient d'autorité nullepart , ni chez eux ni au boulot alors que nous somme sdans une autre panomlie du viol.
      bon je crois que vous avez lu en diagonale car c'est d'une très grande violence votre écriture et vous vous étes guére donner le temps de voir d'où je sort et n'en suit pas encore sortie..
      j'essayerai d'aller sur votre blog nous devrions je l'espére trouver une terre d'entente allez en pays d'amitié vous tenez trop à votre différence et la revendiquer
      mais en terre el conicido connaissance et faire connaisane je n'ai pas trouver mieux pour nommer ...
      les petits pas des rats de l'opéra pour être sur les pojntes de la pridence pour echanger...
      9à fléche vte çà oui....
      laisser moi me raéadapter
      je viens de la terre des chrentes avec une mère qui n'avait m^me pas son cetificat d'études je me suis élévée toute soeule sous des coups ddes coups deu desamour, et les viols je les connais de très très prés..... alors former à mon desir d'apprendre de connaitre de pas devenir le vourreiu cochon de jeanns d'arc.
      merci de votre mot c'est pour ma grand quête un super compliments
      mes lecteurs de ce blog savent entre les mots bien de tout cela alors rapporter systématiquement la paix la joie le sourire;;;mais le hécatombe de la vie pitié pour eu et pour moi la redites sur unedivande spyschanalyse mais un jour vous les avez depasser det nous rentrons dans un échange sadicue car il faut se montre le plus fort alors , où alllez qu'en soit même encore une fois et avec les copeins autres... dans leur ligne oui Bobin et Un grand ami de lecture car il rame sur sa dépression intenable ... il nous ouvre des voix de sa voie.
      bye bye visiteuse de l'aube.
      à bient^to ANNe de la duchesse anne

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  2. Je pensais à toi ce matin me désolant de ton absence sur le blog !!!
    je me réjouis que nous reprenions nos bons échanges.
    Courage pour la reprise.
    je t'embrasse.

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  3. Août a été bien chamboulé pour moi aussi, et septembre encore! Mais je me disais que je ne t'avais plus lue depuis longtemps et de te savoir bientôt à nouveau présente me réjouit! A très bientôt, Bises!

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  4. Je suis contente de te retrouver. Tu t'es bien battue et le cauchemar de la maladie s'est éloigné.
    C'est une super nouvelle.
    Profite de chaque instant de cette nouvelle vie dont tu sais le prix.
    Gros bisous.

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  5. merci mes chéres lectirces ce matin pas un cri dans ma bouche sur ma marche , quelle joie j'allais enfin retrouver l'humour dans mes mots.
    je vous embrasse ce week end je pars en goguette chez vous me rejouir aussi de vos chroniques

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  6. colchique dans les pré fleurissent, fleurissent, colchiques dans les prés...
    chic!
    Frankie est bien rentrée.

    La bise du dimanche soir
    :-)
    jj

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