vendredi 30 septembre 2022

La route de Grandville. le bout d'une route.

Quel mois de septembre !

La route de Grandville.

Ecrire c’est s’empêcher de mourir.

Comme lire d’ailleurs.

 

Pierre Sansot* avait écrit un livre sur

 « De la conversation »

déjà 20 à 30 ans déjà  la conversation était presque devenue obsolète.

·       (auteur de  « La poétique de la ville » livre excellent

Ainsi que sur « le Rugby » même avis qu’ au dessus)

 

J’ai exploré tous les modes de résistance à l’appel d’Hadès.

J’ai eu la chance parmi tous les surnoms offerts

 dans mon enfance,

- après la Marie Salope dont je vous ai expliqué le sens lors d’une chronique,

(Le bateau qui désembourbe la boue, les ensablés

à l’entrée de chenaux.

-     La Bas bleue

-     La Bijou comme la jument percheronne nommée la Oceanne

Proserpine fille de Déméter (moitié du temps avec Hadés ses Cerbère, et Charon

Après Proserpine sortait du monde de l’enfer ou  du Tartaros (comme vous voulez)

Proserpine retournait à ses champs ,chants

La Lumière pour les semailles,

 Récolte des blés,

Foin, regain

 L’éclosion du printemps,

les éclats au palais des prunes d’été

de la mirabelle,

 la reine claude d’Althan

la Reine Claude de Chambourcy

la quetsche d’ un bleu profond qui tire sur le violet

cuites, le sucre attaque vos papilles

 -comme un vif argent-

Sensible à vos odeurs-

 

-je parlai en me « dévaginant »

Plus tard j’eusse été vacciné avec une aiguille de gramophone au lieu de celle du vaccin du BCG.

La Pathé-Marconni et son Jack Roussel fascinait

par la voix de sa petite maitresse

…..

-     Par ma sœur : son aversion  de sa petite sœur

-     La nomme  « Séccotine ».*

Le nom s’une colle très adhérente.

Aussi héroïne dune Bd « Spirou et Fantasio », Séccotine est reporter.

Les deux qualités pouvaient s’associer.

 

Je ne pourrai vous relater tout l’écrit de la route  de GrandVIlle.

 

Surtout ne pas user de vos mots, vos lecteurs.

 

La fin fut le Cadeau de mes  40 ans d’analyse

Prendre en compte les années sans ,

Quand au bout de 6 ans vous avez acquis un passage

Mais ce n’est que la première borne du chemin

Le travail ne cesse, et vous jugez votre psychanalyse incapable de vous menez plus loin,

 il vous a déjà étiquetée

de la nous ne bougeons plus

 et l’arrivée du changement d’horaires de la nouvelle école de Lacan

 si Lacan disait qu’une séance pouvait s’arrête

 au bout de 10 minutes, au milieu d’un phrase,

afin de saisir le sens pour la prochaine séance ; vous y étiez,

Il n’était pas lacan, ni poete, ni philosophe, ou Cioran

Du style, je me dois d’avorter….

« Ben, alors qu’est ce que c’est ?

 Un dé à coudre de chair »

Vous parlez d’un accompagnement

Où se joue beaucoup de questions

Et de plus :

 Fallait déjà que le bonhomme soit concentré,

ne soit pas entrain de cuver son Peytrus du repas de midi. Sans compter l’ entrecôte sur sarments de 300 grammes et bonnes frites belges bien dodues de gras.

Tous ses rendez vous étaient passé à 10 minutes,

toutes les dix minutes

 nous ne sommes pas obligatoirement

 dans

 un surgissement d’un bout de nos nœuds borroméens.

 

Lacan  lui était capable de passer chez un patient en taxi à 6 heures du matin et la vitre fermée entre le chauffeur er les passagers si ce n’était pas une limousine pour l’allongement du patient et faire deux fois le tour de Paris.

De nicher . c’est souvent sobodorant

et décoller le bout bernique d’un refoulement.

 

Oui 10 minutes n’avait jamais été envisagées,

une généralité pour Lacan.

 Déengnoncer, servir,  sertir dans cet esprit …

Etre psychanalyste lacanien n’était pas simplement s’acheter des tapis persans ou alors des tapis de Fakir pour permettre l’envol de ces emprisonnés du citron.

Quelques exceptions dont je tairai les noms  étant aujourd’hui limités dans leur clientèle… étant donné leur age certains,  je vous engage à voir de temps en temps des compte rendu de conférence dans le monde entier.

Dans les supermarchés en Argentine Lacan est vendu dans les rayons…..

La route de GrandVille,

quelle merveille, quel cadeau.

 Je pensais être encore dans « un surgir le pire. » de mon roman en cours.

Bye chers lecteurs lectrices

un beau mois d’octobre.

Frankie Pain

Droits reserves

 

 

1 commentaire:

  1. Tenir un blog aujourd'hui iest dur
    Nous faisons face a des taiseux des lectures diagonales.
    Je me suis défendue d écrire sur le blog le texte la route de GrandVille

    J ai toujours cherche des points a partager vos intérêts

    Mettre du désir la ou il n y en a plus
    J écris le temps qui passe

    L udure des gens. .

    Je vous remercie du flots de mots.
    Je vais aller me réchauffer le coeur l 'âme .

    Ne plus rien attendre de personne , c est une réalité.

    Bravo
    A lz gloire de vivre
    Du frison de sable dans le cresculaire soleil qui sort sa palette de nombreux
    Cela que l on ne voit et entend sue la.
    Je vous adore
    Merci

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