dimanche 27 novembre 2011

le métal

en avant première vous voici les images
le textes et les images prochainement sur le blog de mabee
je vous donnerai les références











samedi 26 novembre 2011

Florilége de pensées qui me ravigotte dans ma gargotte


En séminaire d'écriture de programme court humoristique je suis moins présente sur le blog
je suis venue vous lire et regarder dans mes quelques poses....

le comique n'est surtout pas de tout repos j'ai passée ma vie à atténuer les conflits et agir pour les dériver dans la joie et la paix

c'est le conflit qui bien monté en mayonnaise, est rigolo , libérateur

quelle leçon et libération !

il va falloir que je vive plus longtemps encore que je le croyais pour récupérer le temps dans une autre direction
quelle affaire !!!!!!



Jean-Yves Leloup
Car qu'est-ce que l'enfer si ce n'est être " enfermé " ; enfermé en soi-même, dans ses mémoires, ses craintes, ses refus, ses culpabilités...




Arnaud Desjardin
Tout ce qui vient à vous vient à vous parce que vous l'avez attiré;
tout ce qui vient à vous vient à vous comme un défi et comme une opportunité.


Thich Nhat Hanh
Chaque fois que vous êtes vraiment présent, vous êtes à même de reconnaître la présence de l’autre.




Richard Bach
Ce que la chenille appelle la fin du monde, le reste du monde l'appelle un papillon.



Victor Hugo
Rien n’arrête une idée dont le temps est venu.




Karlfried Graf Dürckheim
Tout ce qui vient de l'être vient à son heure




Rûmi
La peur est sans cause. Elle est imagination, et elle vous bloque tout comme un piquet de bois peut bloquer une porte. Brûlez ce piquet





Jack Kornfield
Quand nous prenons la place qui est la notre, nous découvrons que nous sommes inébranlable.




Sénèque
Ayez surtout le souci de séparer les choses du bruit qu’elles font.
Héraclite
La route qui monte et qui descend est une : c’est la même.




Sean Penn
J'ai survécu à pas mal de colères. Je les ai remplacées par de l'amour. La vie n'est qu'une longue guérison.




Arnaud Desjardins
C’est en nous qu’il y a quelque chose à transformer.




Sylvie Toulouse
Quand tous les signes pointent vers une autre direction, sachez avoir assez de sagesse afin de reconsidérer vos choix, laisser-aller et finalement accueillir de nouvelles possibilités.




Andrew Cohen
Quelle est la différence entre une vie faite de confort et de sécurité et une vie faite de risques et d'insécurité totale ? Une c'est être comme tout le monde. L'autre est un grand frisson, elle encourage quelque chose d'inconnu et d'illimité qui est omniprésent. Et c'est cela vivre une vie spirituelle.




mercredi 23 novembre 2011

en attendant le beluga Chantal. S : " Elle s’appelle Manenda."

Elle s’appelle Manenda.



“Nous voyageons et certains à jamais pour chercher d’autres vies, d’autres âmes”

Il arriva à la gare maritime. Le ciel était bas et gris, le vent hurlait dans les drisses et les baumes des voiliers claquetaient. Ses pieds gelaient dans ses chaussures inappropriées, des basquets en toile, qui prenaient l’eau à chaque pas, l’enfer.
La pluie se mit à tomber dru et chassa les derniers goélands attardés sur le quai.
Il attendait le ferry de 18 heures quinze et tenta de se réchauffer avec un café amer servi par la rondelette serveuse au bar de la gare, il sortit quelques instants le temps de fumer une clope, histoire de passer le temps.
18 heures, le ferry en provenance de Groehne n’avait toujours pas accosté, il n’accosterait plus, l’homme ne tarda pas à le savoir, un vent force dix déchainait l’océan, des vagues hautes comme des gratte-ciels menaçaient. Aussitôt faite l’annonce d’une voix métallique, plus personne, la gare subitement vidée, atomisée, il se retrouva seul sur le parking, pas un taxi, trop tard pour le bus, et son portable vidé de sa batterie. Il avança, tête vide, la nuit commençait à tomber, voile anthracite, il crut discerner sous l’auvent de l’abri-bus une forme, quelque chose, mais quoi? Impossible à définir, de loin il lui sembla capter un léger mouvement d’une sorte de linge ou quelque rectangle de jute terne défraichi ploie et se défait, un frémissement, était-ce un animal venu se terrer là au fond de la cabine, refuge ultime après une course folle?
“Fais ce que dois advienne que pourra”, il pensa à un bébé abandonné comme on le lit parfois dans la presse à la rubrique fait-divers. Il était une fois une jeune femme nommée Marylou, jambes élancées gants de satin et fume-cigarette nacré, visage à la Van Dongen, yeux cernés noir velours, se retrouve enceinte sans l’avoir désiré et son drôle de copain, le rastaquouère, il se fait appeler, elle, ongles longs ongles acérés, il lui arrive de faire des passes avec des hommes croisés ça et là, bouches carnassières chemises entrouvertes, hôtels en trompe-l’œil sur lits à baldaquin, ce bébé elle n’en veut point.
L’homme revient à lui-même, son imagination l’aurait quelque peu égaré, ralentit, peu pressé d’avancer, de savoir, pas envie et cependant attiré irrésistiblement sentiment confus, syncopé, aimanté par ce qui le fait craindre, comme dans un songe, se dirige vers l’abribus, a-t-il rêvé cette scène? L’a-t-il déjà vécue?
La grosse dame fesses pommelées body à pois à quatre patte offerte puis assise, elle serre le cou de sa poupée, lisse sa robe entrouvertes, il voit tout cela par le trou de la serrure, doit- il rester tenter d’en voir plus, ouvrir la porte, un homme a posé sa montre sa chevalière il sourit, un sourire conquérant de celui qui possède et qui sait, qu’il obtiendra ce qu’il veut, qu’on ne lui résistera pas, il a payé assez cher, la fille se retourne : elle a une tête d’enfant, il a payé mais il n’a jamais imaginé se retrouver avec une petite fille à peine pubère, c’est impossible.
Un tourbillon de feuilles mortes effleure la chaussée, il a froid, bientôt l’hiver. Tu passes ta vie à attendre et tu n’apprécieras jamais la tempête. Il revient à lui même, court maintenant jusqu’à l’abri-bus, s’approche de la masse inerte, soulève la toile. Un enfant grandes dents blanches, sourire de chat-huant le regarde dans l’obscurité, masque et miroir. Il est atterré, son esprit chavire, envie de courir, d’échapper, mais ses pieds sont de plomb, cloués au sol, figés. Il se sent aspiré comme si le sol sous lui se dérobait
Une enfant seule, la nuit dans cet espace temps indicible, ténèbres-paradis, l’enfant au bélouga*, le petit requin blanc. L’enfant est partie avec sa grand-mère chercher de l’eau au puits, il faut marcher loin du village sur des sentiers sinueux, traverser la forêt, peu sûre en ces temps de guerre, elle serre la main de sa grand-mère, la chaleur de sa petite main dans la paume sèche et ridée de l’aïeule, elles marchent pas à pas, leurs pieds heurtent parfois des cailloux sur le sentier incertain, la terre est sèche, des hommes à un détour, menaçants armés de fusils flamboyants, des hommes excités sont-ils drogués ou exténués, ils poussent des cris d’animaux,(sont-ils encore des hommes), encerclent la petite fille et sa grand-mère, feulent ricanent, une écume noire coule de leurs bouches frémissantes puis c’est la nuit. La violence a tué le soleil et le jour. Marylou aux gants de soie et le joyeux fêtard battent la cadence. Tambours tamtam de la brousse orchestrent la bacchanale, une météorite transperce les corps déjà meurtris, âmes échappées, enfance volée, carnage. Humiliation. La vie a basculé comme un tas de bois. Elle s’appelle Manenda.
L’homme esquisse un geste de la main pour repousser l’horreur? il avance maintenant, les nuages sont noirs, la nuit est là, il se réfugie sous l’abri-bus voit le petit tas, tend la main, soulève un coin de la toile de jute filet sali entaché de ses cauchemars. La pluie tombe claque les parois de la nuit silence. Pleine nuit obscure. Ni lune ni étoiles. Energie océane en vertige funambule

Un chant s’élève de l’océan, c’est le bélouga blanc face hilare ailerons déployés, il invite l’enfant, manège joyeux, barbe à papa rosacée pomme d’amour pour une ballade cétacée. La mer s’entrouvre flux et reflux, il pleut sur l’océan cette nuit là au large de Groehne, l’homme relève le col de son manteau et s’en retourne vers la ville fantôme.

Chantal S.

* nom du sexe dans une nouvelle africaine, esturgeon, etc...

sous la direction de Frankie PAIN dans son Atelier des Ecritures de l'Hajat


mardi 22 novembre 2011

le beluga de Chantal. S en attendant son texte

demain ou après demain vous aurez son texte

je vous encourage à le lire merci
bonne semaine

samedi 19 novembre 2011

a volo , voli, vloa du samedi conte de sagesse


Il était une fois quatre individus qu'on appelait

TOUT LE MONDE
QUELQU'UN
CHACUN
et PERSONNE



Il y avait un important travail à faire
et on a demandé à TOUT LE MONDE de le faire.

TOUT LE MONDE était persuadé que QUELQU'UN le ferait.

CHACUN pouvait l'avoir fait
mais ce fut PERSONNE qui le fit.




QUELQU'UN se fâcha car c'était le travail de TOUT LE MONDE !

TOUT LE MONDE pensa que CHACUN pouvait le faire

et PERSONNE ne doutait que QUELQU'UN le ferait.

En fin de compte, TOUT LE MONDE fit des reproches à CHACUN
parce que PERSONNE n'avait fait
ce que QUELQU'UN aurait pu faire


MORALITE......
Sans vouloir engueuler TOUT LE MONDE,
il serait bon que CHACUN fasse ce qu'il doit faire
sans nourrir l'espoir que QUELQU'UN le fera à sa place
car l'expérience montre que là où on attend QUELQU'UN
généralement on ne trouve "PERSONNE".



vendredi 18 novembre 2011

mandala et phrases de paix

"LA SEULE CHOSE EXISTANTE,c'est la relation le tissu vibratoire de la relation"
Christiane singer

elles étaient deux petites cannes
l'une très différente de l'autre
et la vie les a séparée à jamais frankie pain
mandala de deuil


Andre Gide

Regarde le soir comme si le jour y devait mourir, et le matin comme si toute chose y naissait. Que ta vision soit à chaque instant nouvelle ! Le sage est celui qui s’étonne de tout.

quand un jour l'on se rencontre que nous parlons une autre langue et que ceal fait depuis longtemps frankie pain



Marc Aurèle

En te levant le matin, rappelle-toi combien précieux est le privilège de vivre, de respirer, d'être heureux.




Nisargadatta Maharaj

Je laisse ma nature humaine se déplier, a la façon que son destin le veut, je reste tel que je suis.


madale de l'acceptance

Henry Bauchau

Une blessure écoute toujours plus, finalement, qu’une oreille.




Abbé Pierre

L’espérance, c’est croire que la vie à un sens.

Abbé Pierre

Avoir souffert rend tellement plus perméable à la souffrance des autres.

Abbé Pierre

Nous avons autant besoin de raisons de vivre que de quoi vivre.


jeudi 17 novembre 2011

hsitroires ce matin des blagues sur les vaches et le taureaux


Je sais que mes histoires ne fédèrent pas des foules celles-ci sont des blagues




Cinq histoires de vaches à déguster


Mon passé de fermière au Pays basque me manque en cet fin d'automne alors rions un peu
j'avais un troupeau de 50 vaches Blondes d'Aquitaine


roupettas



Un type en voyage en Espagne entre dans un restaurant. Il consulte le menu et commande des "roupettas", sans savoir ce que c'est. Le serveur lui amène deux grosses boules noires nappées d'une sauce exquise. Après avoir dégusté son repas, il demande au serveur ce que c'était :
- Il y a une corrida juste à côté. Lorsque le taureau est tué, on récupère les morceaux que l'on apprête. Les "roupettas" sont les couilles du taureau.
- Mais c'est absolument délicieux !, répond le type.
Un an plus tard, au cours d'un autre voyage, il décide de retourner au même restaurant. Il commande un plat de "roupettas".
Le serveur lui amène un plat contenant deux petites boules dans leur sauce.
- Mais, l'an dernier, les boules étaient immenses !
Le serveur lui répond :
- Vous savez, dans une corrida, ce n'est pas toujours le taureau qui perd !




Vache folle suite

Deux vaches discutent dans un pré :
La première : - Dis, ça t'inquiète pas, ces histoires de vaches folles dont on parle en ce moment ?
La deuxième : - Non, moi, je m'en fous, je suis un lapin.



Le monstrueux, le gros, le moyen, et le petit.



Un fermier vient d'acheter un taureau monstrueux pour faire les saillies sur ses vaches. Dans le troupeau, il y a déjà trois taureaux : un gros, un moyen, et un petit. Le gros taureau a sailli la moitié du troupeau durant l'année ; le moyen a sailli un tiers du troupeau ; le petit taureau a sailli le reste. Lorsque les trois taureaux rencontrent le nouvel arrivant, beaucoup plus gros qu'eux, le gros taureau dit :
- Tu peux choisir parmi toutes mes vaches, prends celles que tu veux : Je suis trop vieux pour te faire de la concurrence.
Le moyen taureau dit la même chose que le gros taureau. Mais le petit taureau commence à baisser la tête, à souffler dans ses naseaux et à gratter le sol de ses pattes avant. Les deux autres taureaux le regardent et lui disent :
- T'es pas fou ? Il va te tuer !
Alors le petit taureau répond :
- Ouais, moi j'men fous des vaches. Je veux juste être sûr qu'il sait que je suis un taureau.




e clou

Dans une ferme, un éleveur de vaches qui vient tout juste de se marier donne les instructions à sa jeune épouse avant de partir en ville pour la matinée :
- L'inséminateur va passer ce matin pour une des vaches. J'ai accroché un clou en face de la stalle de la vache à inséminer.
Sa femme, qui est de la ville, et qui manque un peu de bon sens, trouve cela étrange, mais lui dit qu'elle a bien compris, et le mari quitte la ferme pour la ville.
L'inséminateur arrive plus tard, et la femme le conduit à l'étable, et dans l'étable, à la stalle avec le clou planté par le mari.
- C'est cette vache-là, lui dit la femme.
- Et à quoi sert le clou ?, demande l'inséminateur.
- Je ne sais pas. Je suppose que c'est pour accrocher votre pantalon.





le taureau qui dérape

C'est la fin de la journée de travail au ranch. Un cow-boy dit à un autre cow-boy :
- Oh dis donc ! Ce nouveau taureau a bien failli m'avoir aujourd'hui.
- Ah ouais ? ! Qu'est-ce qu'il t'est arrivé ?
- J'étais en train de donner du foin pour le troupeau dans la prairie, quand ce branleur de taureau me charge aussi vite qu'une locomotive à pleine vitesse. Il m'a presque eu à ce moment là !
- Comment tu t'en es sorti ?
- Le taureau s'est mis à déraper. Ça m'a permit d'atteindre la clôture et de sauter par-dessus en catastrophe.
- Putain, ça fait peur! Si j'avais été à ta place, j'aurai probablement fait sous moi tellement j'aurai été terrifié!
- Et sur quoi penses-tu que le taureau a dérapé?


zeus se tranforme en taureau , EUROPA Tombe amoureuse