Textes du jour de la blog-woman, phrases : colonne vertébrale, contes, légendes, mots d'humeurs, d'amour, lettres à la mer, recherche de connivence, complicité, ses dessins, ...la jazzeuse des grands chemins et sentes, écrivaine nomade des murmures de la vie intérieure et des happening minimalistes nés au hasard d'un banc public dans un parc aromatique , un abri bus , un train , un marché, les pas perdus d'un aérogare tous les lieux insolites pour une rencontre.
vendredi 30 décembre 2011
frankie pain vous offre ses voeux
Je vais laisser derrière moi beaucoup de choses aux quelles je tenais comme la prunelle de mes yeux.
"Nous ne pouvons rêver de ce qui n’existe plus."
Je viens nappée d’un miel acidulé où le gout du citron fut trop généreux ;
Soit étant une très bonne cuisinière, nous le savons nous avons peu de chance de rattraper
une sauce,
il n’y a que le présent qui compte,le mystère de demain
que mes vœux les plus "chairs" pour la paix dans le monde et au coin de chez nous , et au cœur cœur d’artichaut, puissent encore s’alléger vers des voies neuves d’amour .
que la joie soit de légers pétillements par assaut dans les abruptes journées
que des visites invisibles viennent dans notre sommeil nous faire des hungs réparateur pour tous ceux qui gueuletonnent avec la grande dame Solitude cette femelle de grand caractère qui parfois peut accaparer bien du temps pour tenir la verticale et passer nos « caps Horn » comme Loïc Perón et son équipe
la récession est là , pour les politiques : ils disent "le printemps" , les 100 jours d’un nouveau gouvernement ......................
sans être défaitiste,
alors aux conscients tenons nous les coudes , ceux qui avaient "tous faits" pour ne pas y être, manger la corde par les deux bouts déjà depuis longtemps, souhaitons de la tenue et pas trop de noyades…
que le soleil brille chaque jour et que de temps des amies comme j’en ai une qui l’autre jour m’a volé quelques rayons pour me les envoyer. et donner quelques phrases qui sont dans ce billet !
Regardons autour de nous pour offrir des sourires même si notre cœur n’est pas à son diapason , il fera du bien à l’autre mais aussi à nous-mêmes
Je vais faire la trêve des bons mots pour faire émerger d’autres dires
c'est dans le silence que je les trouverai .
Merci à vous tous pour vos talents , vos richesses offertes à partager, vos commentaires qui font tant de bien au cœur et à l’esprit
et la fidélité où les conversation se tiennent de continents en continents
yourcenar marguerite petite
l’Afrique est très présente le Canada , Québec, le Brésil, l'Espagne , la Russie
et des pays, en guerre et révolution, beaucoup d'autre pays d’Europe et,et ,et
je vous salue tous et bon voyage à vos bords des pays en émergence de démocratie ,
haut les cœurs
on est loin des cotillons vous me le pardonnerez. Frankie PAIN
Vers le nord absolu trois poémes de Chantal S. de l'atelier des Ecritures de l'Hajat
3 poèmes de Chantal S
Karen Blixen à sa table d'écriture
Se dévide comme dégèle la neige
Se déroule un beau tapis de songe
Aller vers l’infini ?
Suivre toujours tout droit
et puis tourner à gauche...
un ours blanc sur la banquise
avec un pingouin parle
en patois
ô mon voyage, je t’ai tant rêvé
rivages océans, nuit si tôt tombée
étoile et non carré d’un grand brocard doré
l’espace est sans frontière
fin de comment se taire ?
et moi qui suis-je ?
qui êtes-vous
ô yeux bruns , ô regards détournés ?
poussière d’infini
en coeur de nuit lactée !
mon monde est votre monde
à jamais, sans frontière...
on ouvre la cage
l’oiseau s’est envolé
Et défiant de mon feu
peu hâtif
il jacassait à côté de moi
Jacadi, va me chercher le soleil
va me chercher la terre
un deux trois
étoile de la belle nuit lactée
saupoudrée poussière d’or
mais vas-tu te taire?
maman c’est quoi une étoile? fin de comment se taire.
c’est quoi une étoile et la mer
l’océan, le ciel et l’horizon
la terre et les enfants...
le petit vermisseau autant que le dromadaire
je veux pouvoir changer
paraitre et disparaitre
être princesse ou reine
je veux... m’accrocher serré à tes doigts de fée
las que me sert que si parfaitement!
tout ce que j’ai appris
du temps de mon enfance
petit cartable d’écolière
à mes épaules frêles
visage rond encore poupon
nattes tressées
frange au carré
j’allais le long des rues à pied
à mon école, rue Marcel et Jacques Gaucher
rue Emile roux
le monde était mon monde
étroit et encapuchonné
les rêves l’amour l’avenir
amoureusement tricotés d’enfance
de Chantal S
sous la direction de Frankie Pain
avec la technique du "jeu du torchon"
sur des mots piochés à partir des "bambous" d'Anne garde
et des strophes de poème de Louise Labé
même principe que celui où
je vous ai invité à participer cette semaine
pour clore en échange de mots
cette charmante année de rencontres d'univers riches
et d'êtres au coeur plein d'âme
merci Chantal S.
table d'écrivain de Henri Monnier
merci à ses tables d'écritures
bloc de notes sont un champ d'écriture inépuisable
Karen Blixen à sa table d'écriture
Se dévide comme dégèle la neige
Se déroule un beau tapis de songe
Aller vers l’infini ?
Suivre toujours tout droit
et puis tourner à gauche...
un ours blanc sur la banquise
avec un pingouin parle
en patois
ô mon voyage, je t’ai tant rêvé
rivages océans, nuit si tôt tombée
étoile et non carré d’un grand brocard doré
l’espace est sans frontière
fin de comment se taire ?
et moi qui suis-je ?
qui êtes-vous
ô yeux bruns , ô regards détournés ?
poussière d’infini
en coeur de nuit lactée !
mon monde est votre monde
à jamais, sans frontière...
on ouvre la cage
l’oiseau s’est envolé
Et défiant de mon feu
peu hâtif
il jacassait à côté de moi
Jacadi, va me chercher le soleil
va me chercher la terre
un deux trois
étoile de la belle nuit lactée
saupoudrée poussière d’or
mais vas-tu te taire?
maman c’est quoi une étoile? fin de comment se taire.
c’est quoi une étoile et la mer
l’océan, le ciel et l’horizon
la terre et les enfants...
le petit vermisseau autant que le dromadaire
je veux pouvoir changer
paraitre et disparaitre
être princesse ou reine
je veux... m’accrocher serré à tes doigts de fée
las que me sert que si parfaitement!
tout ce que j’ai appris
du temps de mon enfance
petit cartable d’écolière
à mes épaules frêles
visage rond encore poupon
nattes tressées
frange au carré
j’allais le long des rues à pied
à mon école, rue Marcel et Jacques Gaucher
rue Emile roux
le monde était mon monde
étroit et encapuchonné
les rêves l’amour l’avenir
amoureusement tricotés d’enfance
de Chantal S
sous la direction de Frankie Pain
avec la technique du "jeu du torchon"
sur des mots piochés à partir des "bambous" d'Anne garde
et des strophes de poème de Louise Labé
même principe que celui où
je vous ai invité à participer cette semaine
pour clore en échange de mots
cette charmante année de rencontres d'univers riches
et d'êtres au coeur plein d'âme
merci Chantal S.
table d'écrivain de Henri Monnier
merci à ses tables d'écritures
bloc de notes sont un champ d'écriture inépuisable
jeudi 29 décembre 2011
le jeu du torchon de Frankie Pain et de La Flo
Jeu du torchon du passage vers un nord plus absolu
Sagesse au poignet
Hier avec La Flo à l'atelier des Ecritures de L'hajat
Musô Kokushi
J’ai jeté cette toute petite chose qu'on appelle "….." et je suis devenu le monde immense.
Hier avec La Flo
La pittoresque maîtresse.
Je suis dans le massif de la sainte Baume
Le vent dans le champ d’iris sauvages, sur la rangées des oliviers à la lisière de la prairie : le reflet du soleil et les éclats de vent paraissent violets parme.
.Danser « les Bacchantes » d’Euripide sur une musique de Karl Horff.
Le chorégraphe pétrissait mon ventre en me suppliant garde, garde, garde le magique ; LA MAGIE ;
J’ai oublié la norme, je suis devenue la gazelle de la faune humaine. Cette toute petite parole m’a fait devenir un monument ;
La sculpture Girondins sur la place des Quinconces à bordeaux. Tous les hommes l’on sentit la magie. J’étais leur pittoresque maîtresse.
Frankie pain
"Les prairies ordinaires "
Les prairies ordinaires
Il me faisait hurler toujours de vouloir dormir dans sa chambre de garçon lit une place ; les draps bleus et blanc et rouge, ses bottes de cavalier aux pied du lit ; difficile d’oublier
Difficile d’oublier son passé de Saumur, Saint Cyr, « Coquequident ».
Aimez une Marylin croisée d’une Mae West rencontrer chez une amie suisse place de Vosges. Etre fascinée d’elle à chacune de ses improvisations de l’actor studio de New York. Il eut envie que mon talent se déverse de moi à lui. Mais jamais , jamais il n’arriva à pouvoir lui faire l’amour.
Il l’épousa.
Ce qu’elle aimait chez lui : sa délicatesse, son savoir vivre , la beauté de ses chevaux.
« Les prairies normales ». C’est Moi qui l’avaient appelé ainsi son ranch. Il ne pouvait voir en lui sa rareté dans sa rigidité, il rougissait, il pleurait souvent la nuit
les deux textes de Frankie PAIN
Sagesse au poignet
Hier avec La Flo à l'atelier des Ecritures de L'hajat
Musô Kokushi
J’ai jeté cette toute petite chose qu'on appelle "….." et je suis devenu le monde immense.
Hier avec La Flo
La pittoresque maîtresse.
Je suis dans le massif de la sainte Baume
Le vent dans le champ d’iris sauvages, sur la rangées des oliviers à la lisière de la prairie : le reflet du soleil et les éclats de vent paraissent violets parme.
.Danser « les Bacchantes » d’Euripide sur une musique de Karl Horff.
Le chorégraphe pétrissait mon ventre en me suppliant garde, garde, garde le magique ; LA MAGIE ;
J’ai oublié la norme, je suis devenue la gazelle de la faune humaine. Cette toute petite parole m’a fait devenir un monument ;
La sculpture Girondins sur la place des Quinconces à bordeaux. Tous les hommes l’on sentit la magie. J’étais leur pittoresque maîtresse.
Frankie pain
"Les prairies ordinaires "
Les prairies ordinaires
Il me faisait hurler toujours de vouloir dormir dans sa chambre de garçon lit une place ; les draps bleus et blanc et rouge, ses bottes de cavalier aux pied du lit ; difficile d’oublier
Difficile d’oublier son passé de Saumur, Saint Cyr, « Coquequident ».
Aimez une Marylin croisée d’une Mae West rencontrer chez une amie suisse place de Vosges. Etre fascinée d’elle à chacune de ses improvisations de l’actor studio de New York. Il eut envie que mon talent se déverse de moi à lui. Mais jamais , jamais il n’arriva à pouvoir lui faire l’amour.
Il l’épousa.
Ce qu’elle aimait chez lui : sa délicatesse, son savoir vivre , la beauté de ses chevaux.
« Les prairies normales ». C’est Moi qui l’avaient appelé ainsi son ranch. Il ne pouvait voir en lui sa rareté dans sa rigidité, il rougissait, il pleurait souvent la nuit
les deux textes de Frankie PAIN
jeu du torchon pour le miracle du passage 2011/ 2012 la determination dans les mots ça agit puisamment
Le jeu du torchon
Vous jouez aux dés
Un chiffre
le chiffre correspond à une phrase
vous prenez la phrase
vous écrivez
mesurer le temps avec un sablier
avec un sablier le temps de la cuisson d'un oeuf à la coq
ou de la cuisson d’une deuxième fournée d’œufs à la coq
le fragment qui nettoie
le paillasson de l'année
à votre imagination ou réalité
dans la fabulation c'est toujours plus vrai
pour un nord plus absolu dans l'an nouveau
bellini
1
Paul Zumthor
Le don est échange de vie ; et la vie, échange de don.
Titien
2
Samuel Taylor Coleridge
Rien n’est plus contagieux que l’enthousiasme.
place Saint Marco de Bellini
j'ai ai joué dessous c'est de plus grand souvenir pour l'ouverture du carnaval de Venise 2004quand l'histoire envahie quand tu représentes en plus les fantasmes féminin de Fellini, c'était même pas un fantasme personnel , je n'avais pas réver si fort...
3
Henry Miller
Nous participons tous à la création. Nous sommes tous des rois, poètes, musiciens ; il n'est que de s'ouvrir comme un lotus pour découvrir ce qui est en nous.
Platon et Aristote de Raphaël
4
Gandhi
Il y a assez de tout dans le monde pour satisfaire aux besoins de l'homme, mais pas assez pour assouvir son avidité.
Saint Goreges De raphaêl
5
Aristote
La surprise est l'épreuve du vrai courage.
6
Épictète
Raisin vert, raisin mûr, raisin sec. Tout n'est que changement, non pour ne plus être mais pour devenir ce qui n'est pas encore.
bon courage et c'est tellement bon je l'ai mets en ligen vos phrase le 1er janvier
merci de jouer avec moi et nous tous frankie
mercredi 28 décembre 2011
jeu du torchon caresse de sagesse
frankie sous les yeux de Jackyves Guccia le photographe avec quelques autres qui m'on tiré de beau portrait
Jeu du torchon pour un nouveau nord absolu à venir
2012
pour le jeu regarder le billet d'hier
merci belle journée à vous
La caresse de la sagesse
1
Musô Kokushi
J’ai jeté cette toute petite chose qu'on appelle "moi" et je suis devenu le monde immense.
2
Rabbi Ben Zoma
Quel est le véritable sage ? Celui qui ne dédaigne les leçons de personne et qui apprend de tout homme.
3Eckhart Tolle
Quelque soit ce que le moment présent contient, acceptez-le comme si vous l’aviez choisi.
4Saint Jean de la Croix
C’est dans le silence que l’âme entend.
5William Blake
Voir le monde dans un grain de sable, et un ciel dans une fleur des champs, tenir l’infini dans le creux de sa main et l’éternité dans une heure.
6Rûmi
J’étais neige, tu me fondis. Le sol me but. Brume d’esprit, je remonte vers le soleil.
Jeu du torchon pour un nouveau nord absolu à venir
2012
pour le jeu regarder le billet d'hier
merci belle journée à vous
La caresse de la sagesse
1
Musô Kokushi
J’ai jeté cette toute petite chose qu'on appelle "moi" et je suis devenu le monde immense.
2
Rabbi Ben Zoma
Quel est le véritable sage ? Celui qui ne dédaigne les leçons de personne et qui apprend de tout homme.
3Eckhart Tolle
Quelque soit ce que le moment présent contient, acceptez-le comme si vous l’aviez choisi.
4Saint Jean de la Croix
C’est dans le silence que l’âme entend.
5William Blake
Voir le monde dans un grain de sable, et un ciel dans une fleur des champs, tenir l’infini dans le creux de sa main et l’éternité dans une heure.
6Rûmi
J’étais neige, tu me fondis. Le sol me but. Brume d’esprit, je remonte vers le soleil.
mardi 27 décembre 2011
jeu du trochon pour le miracle du passage 2011/ 2012
vous jouez aux dés
le chiffre correspond à une phrase
vous prenez la phrase
vous ecrivez
avec un sablier le temps de la cuisson d'un oeuf à la coq
le fragment qui nettoie
le paillasson de l'année
à votre imagination ou réalité
dans la fabulation c'est toujours plus vrai
pour un nord plus absolu dans l'an nouveau
olympia
récoltons tous vos mots, je les passerai le premier janvier
belle inspiration à tous
Jeu du torchon pour un nouveau nord absolu à venir
2012
Nord
lecture troublée qui rentre dans le boudoir ?
1 manger ou être manger (André Gide)
2 si tu passes ta vie à attendre la tempête tu n’apprécieras pas la tempête
3 j’ai marché sur la route le long de la pente glissante, si vous manquez la foi,
vous vendrez votre âme au diable pour vous sortir de là
Monsieur Souche
thème de la Gravida qui fit tant couler d'encre chez Freud et lacan, et je n'ai pas encore compris !
4 la gloire vous apporte la solitude, la perte aussi, quel chemin choisissez vous ?
Le succès est aussi glacial que le pôle nord (Vick Baum)
5 nous voyageons et certains d’entre nous pour chercher d’autres vies ,
d’autres..... d’autres âmes .
Anaïs Nin
mon salon d'écriture au Cap Ferret
6 « je voudrai dire , dire , tout ce que je sais , tout ce que je pense,
tout ce que je devine tout ce qui m’enchante et me blesse et
m’étonne/ MAIS IL Y A TOUJOURS ? VERS L’AUBE DE CETTE
NUIT SONORE , UNE SAGE MAIN FRAÏCHE QUI SE POSE SUR
MA BOUCHE, ET MON CRI, QUI S’EXALTAIT, REDESCEND
JUSQU’AU VERBIAGE MODeRé , à LA VOLUVBILITé DE
L’ENFANT Quand II PARLE HAUT POUR SE RASSURER
ET S’éTOURDIR »
LES VRILLES DE LA VIGNES , Colette
enfin elle va passer !
baisers de frankie
lundi 26 décembre 2011
Jean GIONO - l'homme qui plantait des mots
« Imaginer, c'est choisir. »
de Jean Giono
Noé
« Le héros militaire est un dupe. »
de Jean Giono
les jours sont des fruits , notre rôle est de les manger. »
de Jean Giono
« La mort attrape d'abord ceux qui courent. »
de Jean Giono
« La Provence dissimule ses mystères derrière leur évidence. »
de Jean Giono
« Quand on cherche des excuses, on a déjà péché dans son coeur. »
de Jean Giono [+]
La Femme du boulanger
« Moi je me suis suicidé en état de légitime défense. »
de Jean Giono
La femme du boulanger
« L'hypocrisie au billard, ça s'appelle les bandes. »
de Jean Giono
La Femme du boulanger
« Le poète doit être un professeur d’espérance. »
de Jean Giono
L’eau vive
« La jeunesse, c'est la passion pour l'inutile. »
de Jean Giono
« La raison et la logique, c'est pour les temps ordinaires. »
de Jean Giono
« L'âme est un outil pesant. »
de Jean Giono
Extrait d’ Angelo
« Un homme ne va jamais plus loin que lorsqu’il ignore où il va. »
de Jean Giono
« L'innocence est toujours impossible à démontrer. »
de Jean Giono
Le Moulin de Pologne
« La richesse de l’homme est dans son coeur. »
de Jean Giono
Les vraies Richesses
« L'amour c'est toujours emporter quelqu'un sur un cheval. »
de Jean Giono
« Quand on est malade, rien ne chante plus fort que l'envie de guérir. »
« Ce qui importe c'est d'être un joyeux pessimiste. »
de Jean Giono
« Pour bien mentir il faut beaucoup de sincérité ! »
de Jean Giono
La femme du boulanger
avignon
de Jean Giono
Noé
« Le héros militaire est un dupe. »
de Jean Giono
les jours sont des fruits , notre rôle est de les manger. »
de Jean Giono
« La mort attrape d'abord ceux qui courent. »
de Jean Giono
« La Provence dissimule ses mystères derrière leur évidence. »
de Jean Giono
« Quand on cherche des excuses, on a déjà péché dans son coeur. »
de Jean Giono [+]
La Femme du boulanger
« Moi je me suis suicidé en état de légitime défense. »
de Jean Giono
La femme du boulanger
« L'hypocrisie au billard, ça s'appelle les bandes. »
de Jean Giono
La Femme du boulanger
« Le poète doit être un professeur d’espérance. »
de Jean Giono
L’eau vive
« La jeunesse, c'est la passion pour l'inutile. »
de Jean Giono
« La raison et la logique, c'est pour les temps ordinaires. »
de Jean Giono
« L'âme est un outil pesant. »
de Jean Giono
Extrait d’ Angelo
« Un homme ne va jamais plus loin que lorsqu’il ignore où il va. »
de Jean Giono
« L'innocence est toujours impossible à démontrer. »
de Jean Giono
Le Moulin de Pologne
« La richesse de l’homme est dans son coeur. »
de Jean Giono
Les vraies Richesses
« L'amour c'est toujours emporter quelqu'un sur un cheval. »
de Jean Giono
« Quand on est malade, rien ne chante plus fort que l'envie de guérir. »
« Ce qui importe c'est d'être un joyeux pessimiste. »
de Jean Giono
« Pour bien mentir il faut beaucoup de sincérité ! »
de Jean Giono
La femme du boulanger
avignon
dimanche 25 décembre 2011
l'assomption de la chair débouche sur une innocence
l'assomption de la chair débouche sur une innocence
suite "Entre la vue et le toucher il y a –t-il un pont ?"
je ne peux aimer aucun homme car dans l'autre vie j'ai aimé œdipe ?
Inspiration d'une lecture de Marguerite Yourcenar
19 décembre
Entre la vue et le toucher il y a –t-il un pont ?
Il était là sur la méridienne allongé, il venait de terminer l’exercice du cerveau limbique, la sophrologie, l’exercice de la page blanche exciteuse d’imaginaires. Nous allions passer à l’exercice
-objets et odeurs-. Il m’avait pressenti comme objet à toucher sans les mains qu’avec son appareil. Le studio de tournage était libre, qu’un canapé recouvert de blanc, un seul des murs était recouverts des trophées de chasse de mon mari Gabriel.
La plate forme de l’ascendeur qui rejoignait ma bibliothèque lui servit pour ses vues en plongée.
J’étais : « ô yeux bruns, ô yeux détournés, ô voyage intérieur.
……
Fin
. …..
Gabriel dans le jardin :
« je fais un potage avec le reste de pot au feu avec les perles du japon.
C’est à cuire
dans une heure tout sera prés j’aurai dressé la table »
Marguerite
Merci Gabriel.
Lui
Ce que l’imagination crée, Dieu !
Ah !
Marguerite
Le juste moment.
Une heure : c’est une vie .
Frankie Pain
en le 14 atelier de Chantal S dimanche 18 décembre 2011
l'assomption de la chair débouche sur une innocence
Marguerite à Lui
Venez dans un quart d’heure.
Marguerite traverse le jardin qui jouxte les ateliers à la maison de vie.
Elle signe une croix à la Sainte Vierge toujours allumée qui trône au dessus de la montagne surplombant son jardin
Gabriel est occupé à remuer les braises et à réinstaller les buches.
Elle le salue à la japonaise et grimpe dans les chambres
Elle revient dans les 5 minutes dans sa robe d’hôtesse de soie sauvage violette
Les cheveux ont quitté son chignon de professeur des Ecritures, elle va embrasser tendrement Gabriel
et elle lui masse le dos le tenant contre son corps.
Lui à peine entré
Votre femme est une sorcière.
Gabriel
C’est pour cette raison que je l’ai épousé. Et que je fais en sorte de ne pas être égoïste, ne la garde pas totalement à moi . Elle enseigne « l’impalpable ».
Lui
Il y a –t-il un pont entre le toucher et le voir ?"
Gabriel
Tout dépend la manière dont toute notre vie nous nous sommes trempé.
Lui
Maitre es sciences. Tout un monde que j’ignore.
Gabriel
Chirurgien des yeux !
En matière d’horlogerie j’étais bien trempé aussi.
Lui
Vous la suivez ?
Gabriel
Monsieur please !
Lui
Tente de créer une relation toute particulière
avec le mari en oubliant quasiment totalement la présence Marguerite
Gabriel
Nous devrions passer à table. Je ne prendrai le repas avec vous,
une recherche m’ accable mes pensées, à vous entendre je crains que la séance
n’a pas encore était conclue par ma femme
à tout à l’heure mon Amour.
Il lui sourit très aimablement
Marguerite
J’ai pris un peu de risque,
Gabriel
Oui.
Lui
Alors ce gigot !
Sustentons-nous, j’ai mal à la tête.
Je fus habité d’une fulgurance, une terre incognita
Je ne suis pas attelé à une telle volupté
Je fais échec au roi, je suis échoué.
Marguerite
Tout était bien dans les champs de la fusion
Soit nous sommes toujours que des corps séparés
et comme deux nacelles dans la stratosphère
la lecture de nos tableaux de bord intérieur
Peuvent avoir des relevés tout hirsutes : de hiéroglyphes et d’hébreux
Deux bœufs ailés de mon chariot en étoile,
dans le labour de la voie lactée
tissant les infinis comme des flocons de neige
agrandis. Etoile à six branches
nuit de la veille de noël
Lui
Votre lyrisme me coupe le souffle
Faut pas pour si peu, c’est une goute
Que doivent être vos orgasmes ?
Alors si vous les avez en parlant !
Marguerite
Le quantique des cantiques
Gabriel pensait que j’étais une simulatrice
après il a compris ce que voulait dire :
’impératrice de la tendresse ;
Qu’une assomption de la chair.
Heureusement il avait connu çà
Dans une de ses chasses sur les pentes du Kilimandjaro
il n’a plus douté des panoramiques qui fusaient
dans mes veines dans certaines situations
Lui
Tout s’agite en ma bouche
Les mots ce n’est pas ma verbe habituel.
C’est pas pénard
Çà ronronne pas comme ma dernière berline
Marguerite
La parole a comme habitat notre corps
C’est le premier exercice
Il y a des questions quand on les pose, on mouille sa chemise…
Il faut s’y attendre quand même !
Lui
Même pour mon agrég, je n’ai jamais eu aussi peur
Et en même temps, j’ai eu l’impression d’être
Jules verne dans le centre de la terre :
Je voyais tant de choses avec une accumulation comme
dans une prise de vue avec un grand télé objectif.
Marguerite
On est sur la voie des émotions vraies dont
seuls sont capables les corps qui s’écrivent en live
Lui
il éclate de rire , il lâche la pression
il avait visité à l’antre de Méphisto
il est bon le gigot, de la nourriture de qualité , bien cuite, et à l’ail
c’est précieux le silence ici , on en a besoin pour s’écouter
vous allez me tuer
je suis vieux
Marguerite
il était temps
Jamais c’est trop tard
Lui
je suis marié
Marguerite
oui, oui, plusieurs fois même si j’entends bien
Lui
Vous n’auriez une tarte tatin au four, j’en ai faim
Marguerite
Quelle intuition, mon mari en a fait eu une.
Lui
vous m’avez fait sauté le caisson à mes sens ?
Marguerite
la petite marguerite de Faust c’est çà. ,….. ?
Marguerite
Non, pas cette situation
Lui
Quand j’accuse la tendresse d’être mièvre ridicule
Combien j’ai meurtri de gens ?
Marguerite
La miévreté est à la tendresse ce que la vulgarité est à la volupté
Lui
Je ne crois en rien.
Marguerite
C’est une dérobade.
D’abord à vous-même.
Lui
Qu’est-ce qu’on fait ?
Marguerite
Vous allez reprendre la route jusqu’à Aurillac.
Ainsi vous penserez, la route est assez tranquille ,
après la sortie du village.
Yoko, tu viens me chercher ? Papa me réclame.
Ce chat il a des antennes.
Lui
La réponse entre le toucher et le voir est-ce qu’il y a un pont ?
Marguerite
Un « arqueduc »
Lui
Où est votre boite que je vous règle ?
M
Sous les armoiries de la cheminée
Lui
Combien ?
Marguerite
le plus gros chiffre de la liste
si vous prenez d’autres leçons, je vous rembourse
Lui
Mazette ?
Marguerite
Je passe trop de temps à ouvrir des portes qui se scellent après.
Merci à Marguerite Yourcenar
Et Michel Koch
Pitié pour la chair
Edition ligne
Que j’ai ouvert souvent
de frankie pain de son iglou de protection
vendredi 23 décembre 2011
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