dimanche 19 août 2012

Ahmadou Kourouma , proverbes africains

procahine ment colloque de cet auteur africain

COLLOQUE INTERNATIONAL :
« AHMADOU KOUROUMA : UN ECRIVAIN TOTAL »
         A l’Université de Cocody/Abidjan, les 18, 19 et 20 Septembre 2013
alors je vous ai chercher des trait de sa langue à travers dses romans



« Excité comme un grillon affolé » p. 14

« Impoli à flairer comme un bouc les fesses de sa maman… » p. 108
« L’esclave appartient à son maître ; mais le maître des rêves de l’esclave est l’esclave. » p. 145.

« Excité comme un grillon affolé » p. 14

« Impoli à flairer comme un bouc les fesses de sa maman… » p. 108
« L’esclave appartient à son maître ; mais le maître des rêves de l’esclave est l’esclave. » p. 145.

« Un enfant n’abandonne pas la case de sa maman à cause des odeurs d’un pet ».  (p. 18).

Autrement dit, quelle que soit la condition, un enfant ne doit jamais abandonner sa mère ; il doit toujours être à ses côtés.
«  Un pet sorti des fesses ne se rattrape jamais. »( p. 28) 


«  Le chien  n’abandonne jamais sa façon éhontée de s’asseoir. »(p.

«  On suit l’éléphant dans la brousse pour ne pas être mouillé par la rosée. » (p. 173)

  
Kourouma écrit : «  Ils se sont partagé la richesse ; ils se sont partagé le territoire, ils se sont partagé les hommes. Ils se sont partagé tout… »

pour décrire la peur qui l’envahissait face aux rebelles armés jusqu’aux dents, Brahima affirme : « … mes lèvres tremblaient comme le fondement d’une chèvre qui attend un bouc. »




je suis preneuse de proverbes africains

bon lundi et début de semaine

7 commentaires:

  1. Je me rappelle de celui-ci : "Lorsque tu ne sais pas où tu vas, regarde d'où tu viens". Il m'a déjà servi !

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  2. "Si tu avales une noix de coco c'est que tu fais confiance à ton anus"
    Bon souvenir de Cocody.

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  3. J'ai adoré lire Kourouma, même si parfois il m'angoisse jusqu'à l'insupportable! Beaucoup d'expressions - que j'utilise encore - ramenées du Burkina, mais pas de dictons, en tout cas, je ne m'en remémore pas (?).

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  4. Eh, oui, Frankie, j'ai été à Ouaga pendant 4 ans, juste après le coup d'état qui a fait tomber la Haute Volta ... Je connaissais bien Bobo, et j'aimais beaucoup cette ville, moins austère que Ouaga. On aurait pu s'y croiser, à quelques mois près!

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  5. Un auteur que je découvre grâce à toi!
    Merci ma belle de ta visite et de ton adorable commentaire, c'est toujours un plaisir de te lire!
    Bisous, bisous et douce nuit

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  6. Un auteur que je ne connaissais pas, je vais voir si je peux le trouver ici.

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  7. Muy curioso como siempre. Un beso desde Murcia.

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