mardi 14 août 2012

attention c'est très du texte et c'est en cours d'écriture et chaud

par rapport à la première parution il y a quelques heures.
pour ceux qui ont déjà lu*
merci


  







 si cette histoire vous branche je vous mettrai les autres épisodes aprés le passage au deuxième jet

stage de mime à Saint jean de Luz en 1974

retrouvailles de la jeune fille grâce à mon blog

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J’arrive à la chambre une voix de femme me répond : entrez .
Oh pardon !
Lui arrive derrière moi me dit , j’espère que cela ne te dérange pas  jamais  l’amour avec une seule femme en même temps , deux chez moi c’est le minimum.


J’arrive à la chambre une voix de femme me répond : entrez .Oh pardon !
Lui arrive derrière moi me dit , j’espère que cela ne te dérange pas  jamais  l’amour avec une seule femme en même temps , deux chez moi c’est le minimum.

3
Il nous convia dans la baignoire de la salle de bain de l’étage. Toutes les deux, ils nous savonna, rinça à la pomme jet, nous étions debout. Dans ses gestes au bain aucune ambigüité : c’était la toilette . Nous ne nous languîmes pas dans le bain. Ces deux  femmes que nous composions , toi et moi, nous étions chacune dans notre monde : notre futur nuitée avec lui. A peine si nous  lorgnions l’autre. Je me rappelle de ta tête un peu boudeuse , les mèches brunes rousses encerclant ton visage, çà respirait pas de l’joie. Evidemment j’avais des petits gloussements de rires mais pour une fois dans ma vie, c’est remarquable, mon robinet des mots était bien fermé. Comme si je réalisais qu’en parlant, je pouvais faire s’écrouler dans  le souffle des mots mon château de cartes. Charlotte la taiseuse des instants cruciaux est « couate ». Il nous envoya au lit avec une petite fessée chacune. Cela me rappelait un geste que me faisait mon père number two. Mon père « coulée -de - feuilles sèches- ». Lui était resté habillé pendant notre bain . Il se donna la douche . Et enfin,  il pénétra dans la pénombre de la chambre. Quelques bougies offraient une lumière  tamisée au bord de l’obscurité . La danse de la flamme me donnait la sensation du gite d’un bateau -petite coque - perdue entre deux îles quand le vent-coiffeur frise - brise l’eau. S’ajoutait pour moi , la première fois d’un culot colossale d’avoir affirmer mon désir aussi fort, d’en avoir entrepris l’escalade jusqu’au bout. Je posais mon pied sur mon Everest aux neiges éternelles auburnes. Il quitta sa chemisette de coton coloré, le pantalon glissa , le bruit du -tissu ondulé- sur le plancher . Il chevauche  mon corps , s’installe entre ces deux princesses de la nuit de la crique. Nous y allâmes qu’une fois à la crique durant le stage. Les soirées étaient ordinairement de faire des spectacles improvisés pour tous les stagiaires alternant sur scène de 20 heures à 23 heures ,  les personnes de la ville y étaient conviés .

Dans son lit.
 Le vent s’était levé, nous entendions les caresses du vent dans les arbres. Mon cœur faisait boum-boum à éclater dans la poitrine. Il se pencha vers moi, me demanda si je voulais commencer: « Occupe toi d’elle d’abord ». Aucune politesse en moi. Ma petite expérience de l’homme  je savais qu’un homme par déduction, si son minimum est deux femmes :  c’est un fusil à cartouches. Un homme n’aime pas se montrer dans une panne de son coucou et de réserves vides. Après  je me disais qu’elle …. ……, nous serons plus tranquille. J’avais  observé que le deuxième service à Dame nature cela durait  plus longtemps, sans en réduire la tonicité .Et, j’aime les longs séjours dans ma grotte , la prosodie  de nos intimes chantant , la naissance de grappes de transes oniriques . La vaste bibliothèque d’Alexandrie du cinéma scoop dont mon corps à l’art de me surprendre, m’ébahir  chaque fois que l’homme  de sa flute si prêt du souffle humain et de  la caresse des anges ébroue les vrilles de sa vigne au tabernacle de mon sacré.

 Il m’offre une cigarette d’herbes à l’odeur de miel « pour attendre délicieusement » dit-il.. Parfois  dans mes fêtes à la ferme de Villefranque sur la route entre Ustaritz et Bayonne, j’avais gouté de cette chose aux insolites  évasions. Quelques bouffées : un mille de fourmis éveillent le frison . Il s’insinue partout : plis et anses du corps. Je voulus prêter aucune attention à la bête du Gévaudan qui « s’épreignait » de la jeune agnelle . Cette femme ne faisait pas partie de mes copines. Je rêvais cependant  à sa délicatesse envers elle, elle me semblait bien jeune. Elle devait être sa petite amie.  Elle était dans les lieux. Elle avait du s’y faire : «  çà ou rien ». Phénomène. Figure imposée comme en patinage artistique. A la glisse Divine.

J’étais là que pour toucher ses belles fesses bombées al dente  du Caruso et Cuirassé Potemkine . Promenades du plein et du délier de la main. Sculpteure en  grès à cette époque j’étais . Comme mes bouts de doigts étaient vibratiles : des cils de la paramécie pour se déplacer.  Sur : cet athlète  danseur,  émérite, facture : afro cubaine, puissance de la nature, sculpturale comme notre Homme le plus rapide du monde. Tout mon corps comme des papilles gustatives devant  une salade de poulpes et de tomates séchées  cuisinées à la méditerranéenne éclatent en taureau des fuegos dans ma bouche.

Stage Isaac Alvarez de Mimes nos corps dés le matin dans l’exercice de la souplesse sur la plage , la traversée des masques de la commedia del arte, les éléments – pluie , vent , soleil, eau- ,  les animaux.  Dans l’attente le corps fait des solos de danse à la  Pina Baush en partenaire avec les feuilles de l’Orme de la cour aux prises de l’étreinte au vent.

Il se tourne vers moi. C’est mon tour de grand manège. Ce beau corps, ce bel Homme -acajou – marronné -  foncé -  à Charlotte , la Bas bleue, Carlotta c’est pour toi . Aïe ! « Comment tu veux faire ? » Quelle question embarrassante! Je ne suis pas du céleri rémoulade, remoulue à tout savoir de mon violoncelle. Alors, je vais au début de mon désir : « toucher vos  fesses, et une grande balade sur vos  plages de sables volcaniques, vous : Santorin corps ». Parade tactile du cirque  « la crique ».  Plein air ,  bruissement de nos peaux comme un fauteuil juste vieux qui commence  à peine à couiner. Ce que sa peau est douce et tendue comme un très bon tamtam royale.

(suite ) 

texte de Françoise La Mangou de l'ïle des p()ins




les images qui m'ont inspiré pour offrir du picturales aux mots
vos choix








2








3









4   chute on tourne

5 comédie musicale

6

7 circonvolution

8 Le Cloney  des Equateur et  Alizées

9 la-es très jeunes filles

10 l'attente de son tour



11


12 le serpent vert de goethe






 

13 le trio et la flamme


12 l'onirisme di coïtus

13




14 pas moins de deux c'est mon minimum

15 mes papilles gustatives




16 Marceline La Pouffe de l'homme noir ou blanc les même support






belle journée de ce musée de saint jean luz   

see you soon  
frankie

6 commentaires:

  1. Un moment d'évasion rare... Les images sont évidemment un plus, mais le texte m'a plus d'une fois fait sourire. Merci!

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  2. L' Etna, le Vésuve le Stromboli et quoi encore!
    Frankie, pitié, il fait plus de 40 à l'extérieur et les violoncelles brûlants appellent la fraicheur!!!

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  3. @ Manouche et Giné

    mes deux chères lectrices et vous n'avait lu que le premier jet je viens de faire mes corrections
    merci de vos retours cela m'encourage
    c'est toi qui dit hier manouche que l'écriture cela doit être du beau j'ai suivi ton cher conseil...


    et Giné avec le cadrage de ce matintin et c'est une de mes sources d'inspiration

    rien ne se fait seule Il nous faut des muses
    je vous embrasse chéres lectrices.

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  4. Coucou Frankie,

    Un peu hot, mais c'est de saison ! ;-)

    Vous qui aimez les photos et partagez sans compter, je vous offre les miennes, là:

    http://per-bast.com/

    Bonne journée et comme l'été fait du bien...

    Fany

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  5. Il n'y avait pas beaucoup de mime dans tout çà. C’était un stage de vie et beauté éblouissant.

    Nat

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    1. @ Fany
      je viens de vous lire et déjà des images m'inspirent
      je vous remercie de votre charmant retour nous avons même si nous savons ce que nous écrivons de lire des retours de lecteurs où lectrices car c'est aussi pour eux et leur plaisir que l'on écrit
      et merci
      pour vos photos
      car je ne suis encore douée par elles
      et je mettrais bien évident vos références du blog et votre nom
      lamangou@yahoo.fr pour votre signature de photo
      merci d'avance
      pour tout et je m'installe à votre table car votre paté c'est le paté que nous faisons à la ferme en Charentes Maritime, il n'y a que le hachoir qui a changer de configuration



      @ Nat

      oui excellent retour qui fait chaud au coeur et très very good point of vue!
      à bientôt Nat

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