vendredi 30 octobre 2015

vous prenez trop de place



Jeudi chronique d’Agathe  saison 4


L’anecdote de la cafétéria de l’hôpital Saint Louis


Oui oui, je prends de la place
D’abord
Mon bolide de corps

Un jour dans un métro à paris  toi te souhaite une chimio car au moins tu vas maigrir  tu es obscène avec ton obésité qui baigne de partout
Au tolet général du silence rependu comme les pâquerettes avant l’annonce du printemps
Çà m’était rester sur le jabot l’estomac en charentais. Dommage il y a des gens qui ont du lyrisme que  dans les bénédictions de merde.

Donc je suis à la cafétéria après la séances de de RX. Le matin en hôpital de jour ou je fus accueilli mais que faire vous donc là . Vous m’aviez convoqué. IL faut vous dire que j’étais venu à, reculons car j’avais théoriquement terminé le  dimanche précédent. Ce fut un très grand ouf.

Je suis installée avec ma collation un gâteau Basque pour honorer mon sud ouest et penser comme cela à Notre chère Manouche et son amour l’Adour et Roland Basques.

 Je dépîoite avec gourmandise le monde des livres, j’ai distribue dans la salle d’attente de RX les pages que j’ai lu et ne retiens pas pour mes notes…

Et la vie va surtout que je retrouve mas amours d’autant  Lucinda ting , rainer, et une troisième grand chorégraphe qui on marquait les année 70 et perdure dans leeur concept danse avec Robert Wilson dansent dsur du John Amamas et du Philipps Glass.

Je prends des notes pour un de mes chapitre où la première page sera dansé… et petit à petit je me sens à l’étroit dans le dos je me sens bousculé ùmais trop pris par mes pages futures d’écriture je ne peux me distraire l’énergie aprs les rayons étant un peu en baisse pas perdre l’inspiration.
Et un verre carrément se pose sur ma table de travail. Et une phrase vous ne trouver pas pas que vous prenez un peu trop de place.

-Qui vous dit qui est là ?

Je me laisse le temps de faire un tour de vue et de les planter par une phrase énigmatique  surtout qu’un quart d’heure plus tôt j’avais eu un échange très chaleureux et puisant avec des personnes de Saint pierre et Miquelon qui accompagnaient une de leur très chère pour une grande opération. Offrandes de mots de sourires, de livres pour faire du combat une victoire….

Et là.  L’enfant gaté de la famille a mis ses bas de contention plus en sexy marquage du corps que pour la circulation de son sang, il a pas oublié son short sexy, il a raison, il faut reste soi !Même opéré ......
et la coure du gaté  mais les sœurs les copines la mère la grand-mére c’est joli..
 
Mais l’agression "vous prenez trop de place, allez ailleurs."
Là je dis madame je la fixe dans ses yeux de méres animals qui ne peut logés tout ses petits et qui est à mordre.et d’une violence incontrôlée.
Je suis malade et seule  et je me bat...........   vous savez  çà ne se réécrit pas …….. et j’ai bien l’intention de gagner, tous ceux là je montre la table  sont mes amis ….dans le journal il y a auteurs qui me nourrissent  dans ce livre aussi  ils ont besoin d’avoir leur place mes cannes pour me porter mes vêtements pour avoir chaud. C’est l’essentiel d’un arsenal de guerre tout a sa portée vous c’est votre portée qui n’a pas çà place excusez moi il ne semble pas à l’article de la mort et il a 4 place derrière moi  et devant moi 4 autre place. Laissez finir mes opérations d’écriture et oui je vais dégager. Et en plus avec un grand plaisir . Vous oublier un peu trop que vous êtes dans un hôpital.  Je reprends la plume et la lecture. Rien ne bouge et tant mieux. Elle se met à tousser sans mettre sa main je bondi sur mon écharpe et je me la met en masque et là c’est furieuse que je la matte.
Au cours je l’échange un après j’étais couverte de frisons les larmes aux yeux.

Je suis partie, elle m’accompagne jusqu’au bout de la cafétéria et me souhaita mon courage. Je lui ai renvoyé pour son fils.



pour nos amies et leur amours


Votre Frankie Map'sMonde

8 commentaires:

  1. Puisque nous sommes venus au monde chacun de nous y a sa place, dans cet espace privé bat un cœur plus ou moins grand, ouvert ou pas aux autres. Il y a des malheureux à plaindre parce qu'ils n'en ont pas... comme dirait l'ami Jean-Mi : les cons !

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  2. place aux cœurs!!
    merci pour cette figure de chat noir au regard doux... comme celui de mon Shalimar
    bises

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  3. Je bisse le commentaire de manouche Frankie, chacun a sa place même les C... hélas !
    je t'embrasse

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  4. Il faut laisser pisser le Mérinos, Frankie.
    Il y a des gens qui sont venus sur terre pour faire c...r les autres. L'indifférence et le mépris sont la meilleure façon de leur répondre !
    Si tu savais............
    Joli chat noir.
    Je t'embrasse bien fort Map's Monde.

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  5. Il y a des gens qui ont du lyrisme que dans les bénédictions de merde. Ah ! Très chère duchesse of Pain en robe de faille rouge aux reflets mordorés : — Je vous salue ! Cette phrase est parfaite. Vous flottez for ever. Très aquatiquement, Olivier

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  6. Ce commentaire a été supprimé par un administrateur du blog.

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  7. Il faut de tout pour faire un monde, mais il y a des gens qu'il vaut mieux ne pas rencontrer. Bises.

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  8. Coucou Frankie,

    Alors un petit conte pour Vous

    Le secret du bonheur - Conte africain-



    Un enfant demande à son père:

    - Dis papa, quel est le secret pour être heureux ?
    Alors le père demande à son fils de le suivre. Ils sortent de la maison, le père sur leur vieil âne et le fils suivant à pied. Et les gens du village de dire:
    - Mais quel mauvais père qui oblige ainsi son fils d'aller à pied !
    - Tu as entendu mon fils ? Rentrons à la maison, dit le père.

    Le lendemain ils sortent de nouveau, le père ayant installé son fils sur l'âne et lui marchant à côté. Les gens du village dirent alors:
    - Quel fils indigne, qui ne respecte pas son vieux père et le laisse aller à pied !
    - Tu as entendu mon fils ? Rentrons à la maison.

    Le jour suivant ils s'installent tous les deux sur l'âne avant de quitter la maison. Les villageois commentèrent en disant:
    - Ils ne respectent pas leur bête à la surcharger ainsi!
    - Tu as entendu mon fils ? Rentrons à la maison.

    Le jour suivant, ils partirent en portant eux-mêmes leurs affaires, l'âne trottinant derrière eux. Cette fois les gens du village y trouvèrent encore à redire:
    - Voilà qu'ils portent eux-mêmes leurs bagages maintenant ! C'est le monde à l'envers !
    - Tu as entendu mon fils ? Rentrons à la maison.

    Arrivés à la maison, le père dit à son fils:
    - Tu me demandais l'autre jour le secret du bonheur.
    Peu importe ce que tu fais, il y aura toujours quelqu'un pour y trouver à redire.
    Fais ce qui te plaît et tu seras heureux.

    Auteur inconnu

    Contente de lire votre blog :)

    Fany

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