dimanche 9 avril 2017

la fin de la route

Beaucoup de réflexions aprés la dernière tentative  de partager un chapitre du roman.

terrible furent mes questions.

douloureures
 exquises : cela signifie que l'on est encore vivant.

en retravaillant en Bande dessinée le conte que j'ai écrit dans mon atelier d'écriture samedi
à la porte DOrée 
au milieu des gens qui allaient en grande famille, et copains , copines ,allant à la foire du trône,

les revenants du marathon , 
les ambulances,,,

les boubous du dimanche, les faux cils des jeunes filles qui voulaient péchos,

les solitaires comme moi qui n'avaient pas bonnes mines, traces de tabac assez lourdes , les cachetons, 

l'effort , la volonté de se distraire pour échaper au néant des jours de fêtes  des rameaux et de Pâques...
j'ai maintenu jusqu'ici aprés 35 ans de solitudes épaisses , mes sourires, mes rires , mes flambées d'art oratoire, et mais  ne tentons pas le diable
surtout ne pas se raconter d'histoire, tu pédaleras vite dans la saumure et la choucroute,....



Là j'ai dit, au mileu des stylos du pinceau d'encre de chine,

et le conte qui se redéployait en BD


et tout à coup j'ai précipité la fin du roman avec ce conte.


Vos cerveaux pésent une bonne moyenne, ceux qui lisent et qui n'expriment pas , rien, 
le compte est bon
au delà 

écoeurement jusqu'à la glotte.

et vue le temps que l'on y passe pour faire filer les choses très très bien , le fil rouge , les passerells invisibles , le silence de poésie pour reposer le lecteur, la mise en scéne pour qu'il voit un film son film.


ce sera les signatures avec les maisons d'édition.

le monde change, bouge,......

N'allons pas creuser les rides là où je dois rencontrer une vie plus clémente. Au quotidien, la nuit et au matin.


le vide va se faire.

La vie aime le plein.

la surprise sera.

7 petites choses chaque jour d'excécutées

ne traçons pas la route de la dépression ou de la mélancolie.


Vivre est la chose qui me reste, elle doit être péchue, place à l'inatendu,


j'étais heureuse de partager des extraits avec vous.
je vous demande pardon de vous avoir empétrés de violences d'émotion.

je ne suis pas une oulipienne, ni  une haïkouienne 

j'appartiens à la race des auteurs écrivains nommée dans le livre qui vient de paraitre 
" l'éloge de l'hypersensibilité" cité dans la dernière critique littéraire....

Mon long travail en psychanalyse, et mes quarante ans d'interpréte en art dramatique et en lecture ,
et lectrice pour Franc Culture m'ont permis toujours de me mesurer aux autres auteurs mpour les cadres à respecter du relativement artistiquement correct  me questionner dans le cadres du possibiles de l'expression pour l'autre.

ce que nous écrivons pour l'autre  doit d'être contenant
comme l'est un conte, et un bon scénario .


La psychanlyse aprés avoir pu me guider dans mon travail de psychopédagogue et , de pédague d'atelier d'écriture,  ou  de la traversée du héro avec les contes merveilleux....

m'a aussi servi dans ma quête du narrateur omniscient  dans les strates différentes de l'ére.


ainsi  s'en va la dame plumacière des mots.


Je ne suis ni spécialiste de histoires à deux balles pan pan,
ni des photos, ect,

je risque avant de trouver un chemin qui me botte et dont j'aurai le désir 
être en points suspendus.


Bye chére blogosphére.

FP


pavillon de chasse
photos de google



9 commentaires:

  1. l'hypersensibilité....à fleur de peau...peau d'éléphant...bises de la peau ... de vache! :))))

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  2. Les routes n'ont jamais de fin Frankie, elles changent de trajet, elles bifurquent, ont des passages difficiles dans la pierre et retrouvent la liberté dans les champs de fleurs.
    La tienne est riche et n'est pas prête de s'arrêter. J'espère pouvoir te le dire et te serrer dans mes bras.
    Gros bisous du sud map's monde tu es partout.

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  3. Ne ferme pas les volets de ton pavillon de chasse, le soleil se lève tous les matins.

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  4. Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.

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  5. Une lecture qui ne nous bouleverse pas avec de violentes émotions vaut elle quelque chose ? on l'oublie aussi vite et l'esprit diverge avant la fin de la page. seules les battements du coeur peuvent se mettre au même diapason...
    Comme Mimi du Sud il est parfois des carrefour qui nous font hésiter mais tous les chemins mènent à une découverte qu'on ne soupçonnait pas.
    Comme Manouche après la nuit le soleil éclaire le pavillon de chasse lorsque les volets restent ouverts;
    gros bisous Frankie
    (après rectification de fautes impardonnables !)

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  6. je vais ouvrir les volets du pavillon de chasse.

    j'ai toujours été intégre dans mes activités médicales, pédagogiques comédienne ect, conteuse j'ai du m'arrêter la salle n'aimait pas ma langue je parlais trop français et aprés , je n'arrivais plus à monter sur scéne pour ne pas entendre à la fin parles français et à 3 euros par personne et Un euros par enfants.

    merci de vos mots.

    ils me touchent bien sur.

    L'art de l'autre n'est pas dans mon jeu de carte.

    et je ne dois pas couper des choses en moi car je pense qu'elles ont leur qualité.

    et je vous aime et vous respecte alors

    quoi trouver pour communiquer ?

    je ne sais pas.
    alors je vais faire mon ménage concrétement cela va m'inspirer, je pense
    les volets sont ouverts du pavillon de chasse.
    La lecture sera encore les coups de balaie , la presence de l'autre

    et je passerai vous lire

    le printemps sera beau

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  7. Bonjour Frankie. Je vois que malgré ce coup de blues tu as publié d'autres billets depuis sur ce blog...

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    1. Ecrire chez moi est comme respirer, et quand c'est un de tes métiers tu ne peux fermer ton établi même si la fin de la route est de ne pas épuiser ou rater ton écriture qui doit être le plaisir du lecteur avant tout.
      La lecture est le complément pour toute remise en question. et souvent un titre un livre est sur le chemin te cause et t'enseigne
      voir ailleurs, voir comment rester intègre à soit en faisant la part des choses pour permettre le plaisir à ton lectorat et permet la germination d'autres route pour d'autres supports...
      je te remercie de ton observation.
      Autodidacte, dyslexique, écrivant petit pour permettre la fin de phrase, pouvoir les finir et me rendre compte que c'était simplement que l'on ne me lisait pas et en orale ne m'écouter pas. passer d'un milieu ou j'avais ma place à la parole avec les adultes. la parole était aimée caressée, adulée et du jour au lendemain, on change de ville de situation et c'est fini, plus d’écoute, dit à mon petit cœur que je ne sais plus. comment quand on a 5 ans faire la différence entre le rejet d'un côté et la non aptitude de l'autre...

      alors 60 ans plutard j'ai les moyens de me questionner, perdre confiance oui , mais on ne coupe pas son arbre à lettre surtout au printemps
      merce de ton observation
      .

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