mercredi 8 août 2018

Le Toscin de la douzaine d'huîtres à sonner à l'aube

Il y a quand nous rencontrons quelqu'un , que l'intime  touche la nudité de l'être, une  zone d'enveloppement protecteur qui permet de se réapproprier avec plus de conscience la grandeur , la qualité de l'échange.

La fécondité de cet instant est disout .Vous le presupposez la veille  , au petit matin, il n'y a plus de bulle qu'une cacophonie de coquilles d'huitres qui rendent sans filtre l'acuité du monde en décadence.

Les jours furent compter cette fois-ci en   en douzaine d'huitres.Cet homme était une perle  des Atols. Cela ne l'a pas aidé à deshabiter la peur de l'autre. Il ose encore, le défi de la rencontre.

Le Toscin de la douzaine d'huîtres.
Trouvailles du jour

Je sens qu'avec les rafraichissements mes neurones vont reprendre leurs élucubrations des métaphores.

Je dois faire gaffe , de moins en moins de personne ne les entendent.

Même les généraux , enfin un de mes fréquentations.
La carthésie cloutée à son cerveau gauche. Rien affaire. Si ce n'était obcéne à l'espéce humaine ce serait drôle.

je trouve tellement gaie dans les livres les métaphores. C'est le lieu de mon ivresse de lectrice et d'écrivain.

La ligne éditoriale d'aprés Anna MoÏ semblerait  les reduire   les réduire... 
 

J'avance dans l'humour cynique alors laissons passer "Le tocsin de la douzaine d'huîtres" retrouvons la paix.

Je dois écrire un article pour une revue de psychanalise et d'ostéopathie alors , la clé de sol est donnée.

Toujours noté en haut de sa copie l'état météorologique du climat, et aussi celui de l'humeur intérieure.
Ca aide dans la rééqualisation dans la 'occorrection' des derniers jets avant envoie...

Baisers de la plage sans mer. Ce coup de chaud l'a fait s'évaporer . 

"On ne nous dit pas tout !"
Faut bien que la vagues des touristes d'aôut partent en vacances. Et comme il y a aujourd'hui de moins en moins de gens qui se croissent. Même à table les gens ne parlent plus ensemble, ils consultent ensemble leur portable indéfinimentleur heure ainsi ce compte en voie lactée.A ce demander est-ce les étoiles ou les biberons de lait?

J'ai du retard, je suis encore dans les forêts profondes de mon imaginaire archaïque, je crois trouver à chaque clairière la vapeur du destrier de mon prince charmant.


Assez le petit coup de folie de votre Frankie Map's Monde.



Kupkas au grand palais

 la vie à certains moments est un passage d'écluse .
Retrouver son fleuve 
 à soi aprés.......
..
aquarelle de frankiepour son marathon sur le cochon dans le Cantal

tournage dans le musée Baccara, je joue la comtesse Baccara

4 commentaires:

  1. Tout le monde va retrouver du dynamisme quand la canicule sera terminée ! qu'on soit au bord de la mer ou pas.

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  2. Que d'huîtres à visiter pour de si beaux colliers!
    Mieux que le cristal de Baccara la comtesse est un vrai diamant
    Bizzzzzzzzzzzzz

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  3. Ah ! manouche que j'aime ton humour Ca me fascine à un point tu ne peux l'imaginer

    c'est du grand art et bravo encore . Tu chopes l'essentiel ! Quelle lectrice tu es bravo à tout ce qui t'a conduit à ce point là.

    bravao quel chemin et çà c'est une pearl de très grande culture.
    merci Manouche.
    l'autre jour j'ai appelé ma Mémé Minouche manouche
    et elle était très étonnée elle n'avait entendu çà de sa vie , je lui ai raconté en quelques mots qui tu étais ! Elle fut rassurée quand quelques autres fois je l'ai nommé ainsi .

    bravo Minouche, non manouche pas fais express

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    1. Merci pour tes visites et ta gentillesse. T'inquiète, j'ai des yeux partout et principalement sur ton blog où je vais plus souvent que ne le laissent penser mes commentaires lapidaires...
      Bizzzzzzzzzzzz à toi et à Minouche.

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