je vous ai répondu
on exige de moi ce livre
sans commentaires des commandeurs sans contrat j'arrêterai.
les gens sont insupportés
les silencieux disparaisent de ma vie
comme des giboulées de mars.
si vous connaissez des hermitages laÏques tenez moi au courant car je guerrirai pour vivre dans un hermitage.
bonne nouvelle le myelome est mort
on garde la chimio encore Quinze mois pour tuer definitivement la souche.
allez sur le commentaire que je vous ai écrit et aprés je clos ce sujet
mais
je ne connaitrais l'inspiration future
car vue le nombre de deuils de vivants qui m'enterrent
nous traversons une société durcit comme une queue d'homme plongeée dans du bêton armée.
j'ai aucune intention de faire l'analyse des vos âmes loin de moi cette prétention
écrire sur un siujet comme, çà sans être une humoriste "un vampire en pyjma" auteur du service où je suis suivi ce n'est pas moi
c'est coton.
je vais voir chez Odile Jacob. et aprés
bonne lecture et allez à mon commentaire du dernier billet
désolée la mére Pain est un épouvantail à oiseaux pour des champs de cerisiers avec des merles siffleurs.
ah! on ne sait pas comment on finit.
c'est pas mal non.
Grosses bises.
Frankie
Textes du jour de la blog-woman, phrases : colonne vertébrale, contes, légendes, mots d'humeurs, d'amour, lettres à la mer, recherche de connivence, complicité, ses dessins, ...la jazzeuse des grands chemins et sentes, écrivaine nomade des murmures de la vie intérieure et des happening minimalistes nés au hasard d'un banc public dans un parc aromatique , un abri bus , un train , un marché, les pas perdus d'un aérogare tous les lieux insolites pour une rencontre.
jeudi 28 février 2019
dimanche 24 février 2019
24 HEURES CHRONOS La perte
Comment est-ce concevable ?
Ce jour là j’avais vécu une
situation très inquiétante sur la table de verticalisation. Mes pieds n’avaient
pas été bien posé compte tenue de vagus-varus et le temps passant la douleur s’est inscrite sur mon visage, je
me retenais d’hurler donc de respirer. La Kiné était dépassée par un nombre
incalculable 7-8 patients, attentifs à
chacun sauf moi sanglée. Je commençais à grincer de cris, de douleurs qui se
formaient et s’échappaient de ma gorge Je n’avais aucun contrôle dessus, ses
collègues vinrent lui porter main-forte. Ils rééquilibrèrent la pose sur
l’élargissement du polygone de sustentation. Elle n’avait pas les moyens de
s’en rendre compte tant ses occupations étaient multiples. A quelques jours de
l’incident du « mister plagiat en direct »….
Je commençais à grincer des dents,
de cris de douleurs se formaient s’échapper sans que j’y ai mis de l’Abigaël. Je
n’avais pas la main verte avec les hommes, mais avec les kinés, je vais
commencer à en douter. Quel fantasme, je crée chez eux ?
Non de non (comme on s’exprime en Charentais. )Hors de l’Aquitaine mon champ
lexical faisait que la plantation du gras sur les bords m’était obstacle à la prise en compagnie en esprit et d’ amour
de tendresse et complicité.
Rien, qu’en 500 kilomètres, je débarquais dans
une ville où l’anorexie était l’épousaille du mon chant lexicale ! Woaou Zombie de cul de
jatte, je devenais sans le savoir la Reine des paris pour qui aller gagner la
montée de l’Himalaya du gras double, lui gagner un Ricard, lui s’était fendu
d’une « faussade » d’amour
romantique pour obtenir « la louve de rivière ».
La perte en
centimètres d’approche n’avait pas été analysé de la grotte sacrée, il ne
pouvait que repartir bredouille sans avoir pu atteindre « là s’il avait un
peu d’imagination dans le domaine, il
arrivait à se faire payer le jus jaune – très à la mode en cette période de
cette écriture, ne pas oublier pour les temps du futur-.
Je compris
très vite ce qui se passait, je décidais
de prendre ma retraite de femme potentielle avec Zidane-son âge de
retraire- et la même victoire, quand même, une Reine des Villas de Palladio du
Médoc à l’Aliénor d’Aquitaine….. Je ne pouvais finir une carrière de femme sur
de tels pis à lait. Au lieu de se fleurir d’endomorphines roses, je me fis "nonne laïque" unie par l’esprit aux poètes,
aux philosophes, aux paroles de bons sens des amis du blog, et aux sages,
d’Aristote , Platon, le Dalïa Lama, ……….. qui se « fornissait » en vibrations élégiaques 8eme ciel, sur des
phrases tellement parfaites : la première fut de Jean Starobinski,
critique littéraire Suisse et grand
essayiste de grands sujets fondamentaux,
ami de Monsieur notre grand poète Yves Bonnefoy…………
et les phrases cueillies
dans les bus et abris bus… autant de fleurs des champs de sens qu’un champ de
paquettes au printemps ou de colchiques dans les prés à l’automne. Et mon art
de la sublimation me permit de me porter la part nécessaire à tout part de
création comme Marlon Brando dans « Le tramway nommé désir », et le
travail avec Tana Kamin sous l’élastique du teneur du triangle des Bermudes
délimité par la savane du tablier sapeur des poils du pubis (le chacra sexuel)
çà , ca vous invente tout dans votre créativité.
J’ai pris la Trouille, la
rivière du champ de batailles des prussiens
sur mon sujet, c’est casse-pied de défaire un bel équilibre mais un jour les choses s’arrêtent, la perte de
temps à le remarquer qui nous enclave dans des attentes de signes, comme nous si avions besoin de çà.
Je voulais absolument éviter
l’Achéron ; deux brancardiers avec la kiné qui sont des êtres très dévoués
et d’une brillance humaine excellente , d’une beauté qui fait toujours bon de
se prendre une belle rinçade d'iris, l’humour qui enchantent leur visage , réduit les
engommages de nos craintes. oui les deux à piroguer entre le Tartarre et les Champ Elyssées. Une belle fin.
Retour
Nous y
sommes, après le grand chemin de travers. De l'école buissonnière, c’est
bon pour la touareg de lit sans escarre ; même dans un texte, après tout,
les incidentes sont faites pour exister plus,
là je joue mon Va-tout.
Tout
remonte en soi à la vitesse d’un tgv et nous ne pouvons rien faire sauf nommer,
identifier, calmer l’extérieur, éviter toute forme de projection sur les
séances futures. Le futur c’était la pose du pied par terre sur l’accord de mon
chirurgien orthopédiste. Cueillir les fleurs de l’abandon ; çà on a beau
voir écrit sur nos tablettes de buis des
jours noirs, connaitre par cœur ce refrain, ne plus nous y laisser braire,
l’avoir occis de multiples manières, c’est gravé dans la chair comme un
tatouage à la herse avec l’encre de
Chine. Ca devient réflexe Pavlovien,
même si un travail analytique a été pratiqué, la situation abandon
çà sonne comme les cloches de Rome le jour de Pâques…
Elle me propose de faire du vélo.
J’avais tant pris sur moi pour ne
pas me livrer à une danse de tanrantulée
sicilienne que j’étais épuisée, je réclamais de me rendre à ma chambre,
Jacquesyves arriva souriant et
benaise comme d’habitude. Sa venue toujours une joie dans mon cœur. Nous
inventons toujours des associations qui nous ravissaient l’un l’autre.
Ce jour là, je me relevais du
sommeil si court, plus court que la sieste du coup de crayon de Dali, (je vous l’expliquerai. )Je le regardais, épuisée de ce passage très cris , douleurs,
surtout que je commençais après 4 mois et demi, à pénétrer les traces d’une
fatigue inconnue qui sortait du combat avec "Goliath Myelome".
S’’apprendra autre chose dans ce polder inconnu à soi.
Sans compter, une vie dans une
sorte d’isolement, des visites courtes. Rares comme le safran dans les sauces.
L’homme était silencieux comme un brouillard du matin de noël à couper au
couteau à pain. Rien ne sortait de son puits d’être.
Les taiseux, diable quand ils ont le silence dans la peau. Quand le silence change de clé de sol. Là, la clé
avait une allure d’extinction. Abigaël n’est pas toujours « fufute »
mais elle a un 6eme sens
Je réalisais que si le compagnon « de
spiritualité » de la dernière fois était passé comme les palombes en
automne la chaine de Pyrénées, dans cette joie appréciée des béarnais, des basques,
des pyrénéens.
Le mot mariage au compagnon « d’esprit »,
le sens symbolique était ignoré du Monsieur, je crains, j’avais envoyé un coup de canon Napoléonnien sur la plaine d’Austerlitz. Et mise à mort
notre lien ?!
Parler avec les taiseux est toujours une
grande épreuve. Nous avons du mal à savoir où ils en sont du sens symbolique. Évidemment
ce n’était son: çà.
Avec les silencieux va-t-en trouver
la bonne voie pour créer la magie des rencontres. Après mon accident du genre
majeur, le corps avait crie malgré lui. Mes cordes vocales en portaient les stigmates
des cris,, de douleurs , d’angoisse. Il fallait bien qu’il trouve la raison de
rompre. Je ne pouvais plus avoir la pêche d’une jeune première à la voix de
guimauve. IL me reprocha que ma voix n’avait pas la douceur de celle de mon
coup de fil.
Par politesse envers les liens, je ne prends le téléphone que dans
des zones de lumières, de paix, et de lâcher prise avec l’inquiétude permanente
que je porte sur mon dos comme la
turtle sa coque. C’est sous fort reproche qu’il me fit la remarque.
Comme il n’avait pas remarqué que j’avais perdu 7 kilos, je lui fis remarquer
qu’il avait pris du poids. La ponctuation devait se plaçait là.
En 8 ans nos
rencontres avaient étaient sans aucune
remarques négatives. Ma voix d’actrice cassée s’eut été mon impresario ….
La grande
maladie fait perdre ses amis.
Si on n’est pas aider par l’autre comme à
l’apprentissage des ricochets, la première pierre ne vole pas, elle plonge d’emblée
dans le lac. Une grande méfiance existe envers moi, je lui donne mon fixe mais
lui ne m’offre pas le sien. Mes portables sont tous en panne. Je ne pouvais pas
laisser ce détail sans le souligner dans ma tablette de de buis. Il craignait
être dérangé par des diatribes comme sa premières femme. En 8 ans jamais, je n’avais fait un
envahissement de son portable.
Nous devions aller manger dans un restaurant gare du Nord un
restaurant indous. 8 ans et le repas n’est pas encore pris. Quand on vit en couple
çà mange qu’en couple.
La parole s’imposait, j’étais la
préposer à çà. Depuis toujours. En temps
normal nul gène, il suivait , me surprenait toujours, tant nos associations
étaient riches et nourricières.
Trop collée à ce qui venait de se passer. Aucune
distance et rien d’autre en magasin. Ma voix rayée comme un micro sillon Pathé
Marconi. Pourquoi ne m’a –t-il pas proposé une méditation ou un setting ?
C’est si simple pour lui depuis le temps…….4 mois sans méditation ensemble dans
l’hôpital.
Si tu viens en Indes tu te
débrouilleras toute seule. Etrange après les phrases « n’aie peur de
donner ton amour, il se reproduit comme les vagues de la mer. » Et
alors ?
Le compagnon d’esprit et bien
comme dit Lacan sujet barré.
Cette histoire a perdu sa chair, sa colonne
vertébrale.
La Case bouchée à l’arrêt les sitting dans mon
entrée dans les différents hôpitaux et pourtant là. « Vin diou » et
pourtant qu’est-ce qu’on nous avions besoin la Abigaël et le compagnon cannibal Myélome.
Le silence était d’une autre
nature : du granit du dolmen de Bretagne. Un vire- voleté de 180 ° d’emblée, je l’ai senti . Je fus
simplement investie d’une figure de transfert négatif son ex femme avec ma voix
rayée. Des petits détails m’avaient montré son désir de m’extirper de son
emploi du temps depuis l…..
« j’ai appris à prendre de la distance avec tous et d’être dans
l’indifférence. » Ca se remarque il y a réussi.
Je pense que nous ne sortirons
rien de bon dans la suite et que nous allons nous reposer.
J’ai travaillé une partie de la
nuit dans des petits détails, je prie la voie du sommeil, j’ai rêvé que je
faisais l’amour avec un des frères Jacques .Quelle joie ! ce grand alter ego l’inconscient, il vous
donne les formes les plus subtiles auxquelles vous avez accéder pour pouvoir
vivre cette relation… ma jachère si aigue dans mon rapport à l’autre permettait
une béance pouvant sustenter cette
illusion de relation.
Gorge-Philippe l’architecte d’Arc
en Vignes devint une bien belle complicité, ce changement de silence était
grandement profitable. Même qu’en rêve !
Et pour le
reste. Nous nous poserons plus de question. Je ne serai plus sa mangeoire de
mots.
Pas de nouvelles avant facilement
3 mois.
Les purges des bourses des
hommes font partie des combats collatéraux avec le Myélome. Il n’y a pas de moments plus
propices, et en plus, ils mélangent les deux deuils, de ce qu’ils ont dans le
cœur, je pense qu’ils ont atteint la substance la moins visuelle de
l’indifférence, Abigaël en écrivant se rend
compte que le lien malgré 8 ans était
faux. IL est nécessaire de ne plus tergiverser.
« Ta voix était douce
au téléphone. »
Perte d’un compagnon de
spiritualité.
De La Médina des indes.
Fin de chapitre
4eme jet
Mis samedi’eeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeje reprends le texte pour peut de temps pour ceux qui n'ont pas pu mettre leur nez dedans.Vous savez nous écrivons avec ce que nous sommes.
Actuellement je cherche toutes les raisons de me donnner envie de vivre.
C'est la première fois que je vis une telle expérience.
Vous aviez raison manouche et giné
mais voilà c''était à l'heure actuelle extrémemeent impossible d'écrire ce ue vous souhaitez
et quand j'écrivis souvent on m'e soufflez souvent d'écrire pour moi.
Alors j'ai cessé unlong moment.
mercredi 13 février 2019
La porte.
A mes deux charmantes critiques littéraires
Manouche et Giné.
La longueur du chapitre ne vous ravit
Alors voici le chapitre le plus court pour vos oies.
Ce matin elle n’avait plus sa
voix douce, il fut abominable touché. IL ferma la gueule déjà qu’il ne parlait
pas beaucoup et au bout d’un quart d’heure,
il partit après l’avoir forcé à raconté ce qu’elle venait de vivre. Heureuse la
malade Abigaël aucun distance sur l’événement. Comme quoi ce dit_elle elle ne
sera plus la mangeoire aux mots de Monsieur.
Mon plaisir quand j’écris est de
faire plaisir au lecteur c’est en partie mon premier intérêt et répondre au
sujet ue l’on m’a confié.
J’aifait un conglomérat à
l’américain, chose que je fais régulièrement quand je participite à des
scénaris.
La pagaille apportée par gine
elle doit habitér un appartement témoin depuis 30 ans car il n’y avant pas de
pagaille dans les éléments qui se croissaient et se faisait écho.
Quand à la lenteur je me demande
où Manouche à pu la rencontré dans cette kiné qui bossait avec 8 personnes en
même temps plus moi.
Oui nous n’étions pas dans du
théâtre No.
Mon moulin allait vite et
heureusement c’était le dernier chapitre de ses 4 mois.
Je viens de passer 5 jours sous
oxygnéne et compagnie.
Je savais qu’un jour çà
arriverait j’ai profité de mon rythme de solitaire pour faire le maximum de
chapitre pour les taper quand je n’aurais plus à réfléchir.
Ca s’organise 2 ans de chimio c’est
pas sans laisser de grosses traces..
Bref dispenser vous de lire. Vous
êtes deux dans ce désagrément. C’est mal finir. Mais nous ne choisissons pas et
ma chère Gine si tu ne sais voir les images qu’avec ton appareil devant tes yeux
toutes mes images tu ne les as pas vue y a un que j’avais même choisi une spécifique
pour toi.
Bon les nénettes j’ai peux de temps
je dois me remettre en forme pour la kiné demain.
Et demain pas de chimio trop dangereuse de on était
de trop grand fatigue.
Salut mes dames.
Ceux qui veulent le chapitre ecrivez
à lamangou@gmail.com
je vous l’envoi.
Françoise / Frankie Pain
Droits réservés
création frankie
création frankie fellini 's roadcostume et solo
durer
atelier d'écriture aux esterelles
belle lecture
dimanche 10 février 2019
24 chronos dur dur d'être vivant
Dur
dur d’être vivant.
.
Nous
pénétrons un monde nouveau.
fin du chapitre
droits reservés
Premier jet
de Frankie /Françoise Pain
Bisous bonne semaine
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