vendredi 12 novembre 2021

Carnet gris. Chacun ses auges, ses « oses », ses jauges

 

 Carnet gris.

 Chacun ses auges, ses « oses », jauges

N° 3  3 version

« La vie est bien trop courte pour perdre son temps à se faire une place là où l’on n’en a pas."

Je me rends compte qu’une relation ne se signe que des mêmes manières. Des petits personnages donnés dans le smarphone.

C’est ok. Ou c’est "joli, coloré comme toi"

Jamais une venue vers moi. Toujours en réaction aux tableaux, aux mots. Systématiquement the same thing.

Je demande d’étayer les mots. Malgré une petite remise en cause, il y a un mois et demi de silence de ma part.

Aucun signe.

Je repars et rien n’a bougé.

Comme amidonnée dans cette forme

Je ne peux nommer amitié, ce monde de la correspondance simplement nourrie de petites virgules d’expression . pas une conversation. je m'interroge très viteles amitiés de cet ordre ne pénètre pas mon atelier ni mon coeur.

Cet homme est rédacteur en chef d’une revue musicale.

La question de son intellect n’est pas en question.

C’est simplement sa jauge à mon égard. C’est tout.

Tu manges ce ragout de poulet ou c’est rien.

J’analyse que ces choses si elles me font du plaisir très ponctuel, à la longue m’infantilisent.

Dans mon état rentrer dans des formulations d’infantilisation ce n’est pas bon pour l’estime de soi.

Certes je dois la laisser bien au dessus de mon niveau de ligne de flotaison

J’ai demandé  little bite.

et conclusion : les clés sous la porte

.Closer up, for never.

J’ai déjà vecu cela cet été avec un bloggeur. Les échanges recto verso, et soudain plus rien, les mots jamais édités. Des signaux me mettant le nez sur le type d’objet de ses desirs, . Des gamine moins de 18 ans.

 Depuis le 14 juillet tout de son côté est bloqué.

 Encre une affaire de jauge et d'age c'est un retraité.

Et cela semble rédibitoire.

A la sortie de l’hôpital de jour d’Hématologie. Je rencontre un jeune homme et sa maman. Je les sens très touchés. Je parle doucement avec eux . je sortais de ma consultation. Il attendait la petite sœur , la  jeune fille en chimio.

Je réalise la difficulté qu’ils traversent tous dans cette famille.j'étais passée par là , je connais çà....

Je leur parle  des livres qui m’ont aidé. Je raconte le comptenu , le prix…

Guy Courneau "Revivre"

Je fais une démonstration de mes dessins de la main droite et de la main gauche ces dessins permettent de sortir de l’interieur de images sur lesquelles l’on peut mettre des mots et ces mots expulsent le bobo complexe à mettre dans des conversations . Le frére est ingenieur informatif . il fait des photos de mes dessins. Je note le phone pour leur envoyer 'coloré le dessin'. Je mets un certain temps pour peindre et envoyer. 

C’était un faux numéro. C’était des algériens . j’étais seule, sortant de ce lieu.  Les ambulances sont arrivées.

Ils m’avaient jugé comme une folle.  Parler comme çà à des gens que l’on ne connait pas???!!

Cela m’a touché. Là, nous étions dans les rapports de la femme au monde.

Encore une autre jauge à ne pas depasser.

 

Je veux montrer mon likidanbar  toute rouge en ces jours il est à ma porte de maison ainsi que le Ginkco, mon aide  de la maison me dit « presque énervée, j’en ai rien à foutre  çà bouffe notre temps. »

j'ai respiré très fort. je ne lui en voulais pas,

J'avais de la compassion ne pas s'offrir un instant de beauté.

Nous avions terminé nos courses. Elle allait partir en pose.

Le rythme de son travail  était si dense d’une maison à une autre qu’elle ne pouvait jamais s’attarder un instant à regarder deux arbres merveilleux à sa portée.

 


J’ai un viel ami de 20 ans , je l’ai toujours vu au RSA . Allocaion logement, sécurité social. Il est en pleine santé. Notre relation s’est arrêté avec mon myelome. Par son amoureux je sais qu’il manifeste pour le non vaccin, en portant de masque avec le mot révolté toujours révolter.

 

Quand j’ai vu ses images , je deviens crying J’ai eu des journalistes espagnols revoltés sous Franco, dont je faisais des radios  des reins  et tout l’arbre urinaire avec qui je conversais en espagnol. Ils me racontaient comment pour continuer leur métier de journaliste, ils utilisaient de  métaphores en rapport aux régions dans lesquelles il avaient des choses à indiquer.

 Une erreur les journalistes se faisaient garroter par Franco.

D’ailleurs je ne ratais jamais une manif sur le garrotinage de Franco. J’étais au premier rang. J’hurlais avec les amis de la Fac. 

Je pensais à ses journalistes et aux tètes de Federico Garcia et bien d’autres encore.

Dans la situation au dessus quand l’état est sa nourrice  les RSA depuis 20 ans  "à crier la révolte  monsieur ne veut pas du vaccin. "

 

 

écrit par Frankie Pain de la Mangou

 

droits reservés

 

Atelier d'écriture au petit N

Aprés la dune du Pilla 



les trois dernières photos sont Elfy

merci Elfy
 Bonne lecture

5 commentaires:

  1. Encore deux fautes d accord. J ai cru que je ne m en sortzis pas de ce numero 3
    Bises

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  2. Cette boucle sui n en finit pas de fautes de trop de sujet qui sont les memes.
    Tout à coup.
    Bibliotheque
    Compagnie de Samuel Becket.
    Je reprendrai les morceaux les plus terribles.
    Toujours la question de silence de l autre , du silence masque par pour le coravinus, mais maintenir une relation en y participant le moins.
    Le silence.
    Rouler les francais dans leur merde en choississant de ne pas travailler et de vivre.en bon gigolos.
    Se faisant plus de ble que mon aide , ne pas parler oui , ouvtir un livre s est fatiguant , se taire c est qvoir plus de pouvoir que celui Ui parle.et pour avoir des couilles de supplement manifester.

    Le livre de Becket.
    Compagnie.

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  3. Des anecdotes bien blessantes, bien traumatisantes pour toi, je m'en rends compte. C'est dur quand on donne le meilleur de soi de ne recevoir que méfiance et mépris. La solution serait de s'endurcir... mais c'est difficile et certainement que l'envie manque : la vie doit-elle être menée chacun pour soi ? En vaudrait-elle alors la peine ?
    Amicalement

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  4. Nous avons tous nos jauges et nous jugeons si vite. Je ne sais pas si les deux mots ont la même éthymologie mais il est très facile de glisser de jauge à juge.
    Gine a raison, il faut parfois savoir s'endurcir, pas pour rejeter les autres, mais pour qu'ils restent à leur place, à côté de nous. Qu'ils n'aient pas le pouvoir d'entrer dans notre esprit si c'est pour le blesser.
    Courage, Frankie.

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  5. Le probleme chez moi de me durcir ce serait mettre tout mrs travaux de sensibilite travailler à 2oo degre pour etre une artiste interprete et ce serait leur offrir ce que peut de gens possedent.
    Detecter les monstres plus vites .
    Mes hautes etudes me le permettent de plus en plus et des que ca noeud ca coupe.
    Beaucoup de personne ont des apparences epaisses amidonnees d orgueil. Et pour les mâles l amour infaillibles des meres.

    D ailleurs tu as vu je sais faire quand tu m as dit dommage tes fautes d orthographe .je suis allee chez toi avec deuxmots guere plus.
    Depuis le temps que je parle de la reactivations de ma dyslectie par les traitement particulierement sadique dans les lieux de reeducations.
    Et bien je cute. Il n y a rien contre la sourdite.
    Merci d etre repasser.

    Mon intelligence, sera en premier pour poser les celees . Ma sensibiltes 45 ans de travail quotidien non cene sera pas perdu dans du beton armée.
    Merci cependant.

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