mercredi 10 août 2011

Rebrique du jeudi : les textes de l'atelier l'HAJAT, les "Darling"



la grande amitié et complicité de Dali et de Caress Grosbee
COMPLICITé DE PIERRE CARDIN JOU2 à L'ESPACE CARDIN

NORD


L’empreinte d’un cadavre à la craie sur le goudron. Je demande :
- « c’est qui ? J’allais à un rendez-vous amoureux « chasseur français ».
LA police du quartier :
- « inconnu, pas de faciès repéré par ici, il respirait une vieille rose anglaise , il traversait sans regarder, un 6 tonnes l’a fauché… »

- Ah ! merci mon Dieu ! Un petit détail m’aurait suffi pour que je fasse un pas de côté…

Elle rentra chez elle , prit le thé, elle se dit avec un sourire de fatalité : tout me fut épargné. Merci la vie . Comme tu l’as voulu mon Seigneur !


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EST


Ici le froid représente tout : le froid et le sexe . La Suède.
« Ah ! Olivier ! Tu as bien fait de m’accompagner en Finlande pour accomplir mon deuil.
Ne soit pas triste, mon Olivier, mon frère chéri, « c’est à l’instant où je suis dans le deuil - où je peux être - que je suis toute entière ». Peter Hankle a écrit cela dans « Le coup de crayon ».
« J’aime retrouver en toi cette beauté lumineuse. Tu as la beauté de mon , notre frère Fred : lui c’est le glaçon poli à la scierie des icebergs, toi ton sourire les dégèle.
Cette nuit, nous dormirons dans un fjord, nous mangerons du renne grillé sur un barbecue que nous improviserons. Dans la fraîcheur du petit matin quand la tente ne sera plus imperméable, nous plongerons dans le fjord : la chaleur de ton corps aura l’été d’un sonna sur les bord des lacs russes…..Hum …….. »






la baraque hamma sur les lacs à la frontière de la Russie



Ouest

« Pour ne pas se tromper, tous les amants s’appelle « Darling » comme un fleuve de l’ALASKA. » de Sara Stridberg.

Sur la gondole , les pétales des roses de la messe de mariage à l’église Saint Marco. Sébastian renouvelle chaque année sa déclaration d’amour : connus trop tard sur le curseur du temps, chaque an c’est dix ans qui se fêtent.
Aujourd’hui c’est Venise, l’an dernier c’était Bankok , soudain sur le ferme , j’entends une voix d’homme dans un porte voix « Darling, je suis Darling, je suis Darling je suis Darling » . A l’autre bout du quai « c’est moi DARLING, Darling c’est moi DARLING, Darling… »
Pilar sourit tristement à ses pantins « fantôches » auxquels elle s’était prêtée quelques instants : tromperie de discernement, extrêmement passagère. Très vite les rots , les pêts, les rognures, autres immondices…. ses « esbrouffleurs » d’amour.
Pilar
Sébastian ! Tous ces faussaires juste une fine électrolyse d’or clinquant baissant leur garde d’Être à la Lucky Luc ...
Sébastian
PARDON ?
Pilar
Plus vite que leur ombre (rires) . Je les appelais « Darling ». Interchangeable. Aucun ne mettez le goût à partager leur rareté. Être qu’un goujon , c’est……… (elle cherche enrobée de sa robe de mariée beleue turquoise qui l’enserre comme une voile dans le mistral qui lâche ses bouts) …………………………………………………………des poissons du fleuve « Darling » de l’Alaska .






Pélagie de la motte de tour Saint Jacques et son valet de pied en cap in massif central Murat
Darling




SUD



« Ainsi dit-on que le visage aimé reste à découvrir à la fin d’une vie que l’on a passée ensemble face à face . » Sara Stridbergs.
Mon amour, tu es comme une phrase qui surgit au plein cœur de ma nuit, je m’éveille, je l’écris, non tu la marques en moi au calligraphe encre de Chine de ton amour vigoureux . Encore, encore, encore , ton visage ….. je vois toutes les couleurs du carnaval à Trinidad , les vagues de l’âme de notre fond de l’Être sont le rythme de nos doigts , dé à coudre : le bonheur, sur les washer wood en Louisiane.
Nous rions comme si des crocodiles jouaient dans leur bouche avec nos orteils !
Mon amour quand tu pars, je ne sais quel dialecte, il te faudra te défaire pour retrouver ta langue . De tes harmoniques nouvelles je te découvre encore , ……
Je t’invente des mots !
Encore encore Encore encore Encore encore
Nous plongeons dans la piscine :
Trop chaud,
Trop chaud !
Qui l’eut cru !
Découverte de l’autre à l’infini la déferlante nos rires .
Nous sommes un palais de curiosités. Thé for toi, thé for me. Sur le dos comme une tortue, sur le devant : les 17 seins de la Truie , oui comme les clochers des villes quand on remonte le Danube.

- Ma chérie, demain nous partons avec IRéne en pèlerinage de son amour avec le père de ses petits au lac TITIKAKA.
Dormons , la route sera longue !

La diagonale fut parcours sur des 5 Minutes avec lecture entre et après choix

TEXTE DE Frankie Pain




ANNA JO ÉCRIVÎT AUSSI SA DIAGONALE
Ja souhaite qu'un jour elle le confie à à la rubrique du jeudi

avant c'était la rubrique la maison tenue par l'amie SOPHIE LA BRODEUSE DE MOT, nous souhaitons tous qu'elle nous régale de ses mots sur son blog qui un jour prendra racine. tous mes voeux "SOLEE"







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