et le groupe des Nabis
«Être humain, c’est être une maison d’hôtes.
Tous les matins arrive un nouvel invité.
Une joie, une dépression, une méchanceté,
une prise de conscience momentanée vient
comme un visiteur inattendu.
Accueillez-les tous et prenez-en soin!
Même s’ils sont une foule de chagrins,
qui balaient violemment votre maison
et la vident de tous ses meubles,
traitez chaque invité honorablement.
Peut-être vient-il faire de la place en vous
pour de nouveaux délices.
La pensée sombre, la honte, la malice,
rencontrez-les à la porte en riant,
et invitez-les à entrer.
Soyez reconnaissants pour tous ceux qui viennent,
parce que chacun a été envoyé
comme un guide de l’au-delà.»
– Rumi, La Maison d'Hôtes
Ma Ananda Moyi
Ce n'est pas dans le monde extérieur que vous trouverez la paix. Creusez au plus profond de vous-même, et vous trouverez la perle inestimable.
influence japonaise
Paul-Émile Victor
Vivre, c'est se réveiller la nuit dans l'impatience du jour à venir, c'est s'émerveiller de ce que le miracle quotidien se reproduise pour nous une fois encore, c'est avoir des insomnies de joie.
Saint François d’Assise
Vous êtes ce que vous recherchez.
Bonnard
Thich Nhat Hanh
La sagesse est un fleuve vivant, pas un objet de musée.
j'adore cet Homme , ce sage , je n'arrive pas à comprendre pourquoi quelques amis qui vont aux pruniers sont devenues sans humanité, n'écoute plus personne à cause de l'écoute flottante, plus Bourgeoises que toutes les Bordelaises chartronneuses réunies
. Ca a rien à voir avec lui
Jacqueline Kelen
Je doute de tout sauf du mystère. J’avance ainsi entre la gravité et le ravissement.
Arnaud Desjardins
L’histoire de chaque être humain est extraordinaire.
Khalil Gibran
Celui qui, par quelque alchimie sait extraire de son coeur, pour les refondre ensemble, compassion, respect, besoin, patience, regret, surprise et pardon crée cet atome qu'on appelle l'amour.
Bonnard
Louis Lavelle
Le silence est un hommage que la parole rend à l'esprit.
je vous souhaite une journée giboyeuse et poissonneuse, frankie
Textes du jour de la blog-woman, phrases : colonne vertébrale, contes, légendes, mots d'humeurs, d'amour, lettres à la mer, recherche de connivence, complicité, ses dessins, ...la jazzeuse des grands chemins et sentes, écrivaine nomade des murmures de la vie intérieure et des happening minimalistes nés au hasard d'un banc public dans un parc aromatique , un abri bus , un train , un marché, les pas perdus d'un aérogare tous les lieux insolites pour une rencontre.
mercredi 29 février 2012
L'Hippocampe associé,résidences Résidence d'Olivier Apert:Upperground lecture suite
je vouliez que vous jouissiez de cette photo
et que vous puissiez apprécié aussi le musicien qui acccompagne olivier depuis toujours et dont nous inaugurons notre première pour le printemps
L'Hippocampe associé,résidences Résidence d'Olivier Apert:Upperground lecture
L'Hippocampe associé a pour objet de favoriser les pratiques culturelles dans la cité et la fréquentation des créateurs et des oeuvres. Ancré à Paris 20° il sait aussi nager dans d'autres eaux. logo-couleur-petit.jpg
Hippocampe associé Amis & partenaires Documents utiles & agenda Concours & résidences Résidence d'Olivier Apert
Upperground
lecture jpg
Olivier Apert
dira - murmurera, sussurera, énoncera, prononcera, chantera...
plusieurs textes devenus
" Upperground "
avec et dans la musique de David Tuil
accompagné de Philippe Taneux à la basse
vendredi 9 mars à 19h30
à la MPAA 37- 39 rue Saint-Blaise - Paris 75020
Merci de réserver au 01 46 34 94 94 90
L'Hippocampe associé,résidences Résidence d'Olivier Apert:Upperground lecture
L'Hippocampe associé a pour objet de favoriser les pratiques culturelles dans la cité et la fréquentation des créateurs et des oeuvres. Ancré à Paris 20° il sait aussi nager dans d'autres eaux. logo-couleur-petit.jpg
Hippocampe associé Amis & partenaires Documents utiles & agenda Concours & résidences Résidence d'Olivier Apert
Dimanche 26 février 2012
Upperground
lecture jpg
Olivier Apert
dira - murmurera, sussurera, énoncera, prononcera, chantera...
plusieurs textes devenus
" Upperground "
avec et dans la musique de David Tuil
accompagné de Philippe Taneux à la basse
vendredi 9 mars à 19h30
à la MPAA 37- 39 rue Saint-Blaise - Paris 75020
Merci de réserver au 01 46 34 94 94 90
et le lendemain c'est le printemps des poétes avec qui ?
frankie Pain et David Thuil
à 17 h
56 rue Saint-Blaise - Paris 75020
"L'inconsolable", Saint-André des arts :"Un héritier".
le film qui est la suite de "Carne" qui a fait un scandale et les gorges chaudes à Cannes lors de sa présentation et gagner beaucoup d'amoureux dans le monde entier
il n'a laissé indifférent personne
j'ai beaucoup d'estime pour ce cinéma qui a reçu en son temps "Carne" de Gaspar Noé et le "Bunker" premier cours metrage de Jeunet Caro et Gilles adrien
pour le travail de gaspar Noé tapez "le tempsdétruittout" et vous allez tombé sur un site de fan de gaspar et vous pourrez lire un de mes interviews très dense...
alors si vous n'avez pas vue
Pour ceux qui n'ont pas encore été voir "L'inconsolable", voici les séances de la semaine au Saint-André des arts :
- Mercredi (ce soir) 19h55, suivie d'une rencontre avec Pierre-Damien Huyghe et Cyril Neyrat.
- Dimanche à 18h25
- Lundi à 18h25
Le film vit ses derniers moments en salle, au Saint-André des arts.
J'espère que vous irez voir ce cycle de 4 films courts dont "Un héritier".
Bien amicalement,
Joseph Rottner
mardi 28 février 2012
Sandaga, Santaga,Kermel,Soumoudione marchés de Saint Louis et de dakar
Dakar est en pleine élection, çà chauffe, j'ai toujours mal au ventre quand j'entends çà.
Ces deux villes citées plus haut furent mes terrains de vie, ville de mon enfance 11 ans 12ans alors ...
en plein écrit par ailleurs je vous propose ces quelques photos ainsi vous comprendrez mieux mon amour des couleurs, ma palabre parfois structurée à la mode de là -bas...
C'est un pays quand on y vit qui ne laisse pas sans empreinte.
je vous souhaite une très belle journée , féconde en votre quête du bonheur, en invention, en câlins du ciel ou de l'ami(e)... le meilleur ...
parce que nous valons bien . N'est-ce pas ! F
Frankie
pour les Sénégalais qui verront ce petit documentaire peut_être les images on changeait , j'ai cueilli celles qui me rapprochaient le plus des images que j'ai dans ma tête. Merci.
j'espère que cet air des marchés vous fûtes bon...
Belle bélée
frankie
lundi 27 février 2012
origines du conte: Les Efles et les Fées du Lac de Joux ?
S
ur mon groupe de conteurs voici une question posée et une réponse que j'ai trouvais riche d'intérêt et j'ai demandé à son auteur le droit de vous la diffusé
je pense que certains d'entre vous y trouverons intérêt , par ailleurs je vous invite à aller visiter son site et les liens de Willy vous aurez plein inintéressante surprises de qualités
très beau billet Willy
m'autorisait vous à vous mettre sur mon blog
mes lecteurs l'apprécieront beaucoup
on ne peut pas faire mieux et cela vous ressemble bien
Je suis à la recherche des origines du conte: Les Efles et les Fées du Lac de Joux qui fait partie des contes et légendes suisses. Est-ce que certains d'entre vous le connaissent et surtout depuis quand est-ce que ce conte est conté ? Est-ce qu'il a un auteur ? est-ce que c'est une légende ancienne ?
Ma position est qu'il n'y a pas d'auteurs de contes sauf dans les contes littéraires écrits récemment.
Il est impossible d'en connaître l'origine.
On peut cependant en situer le sens avec plus ou moins de bonheur.
Le conte est un avatar de la mythologie et s'applique a en rendre compte. Tous les personnages que l'on y trouve sont des éléments grammaticaux qui s'articulent dans les configurations mythologiques.
Les Elfes (du suédois Elves ou Fairs) et les fées (fatum : destin) ne se trouvent pas seulement dans le lac de Joux. Ces personnages se répandent dans le monde entier sous différents noms.
Si le conte est une invention récente lié au développement de l'imprimerie, le conteur a toujours existé mais pas sous la forme "star" actuelle .
Il y a toujours eu, dans les communautés, des gens plus intéressés que d'autres par la tchatche. Ils relataient volontiers les événements propres à la communauté en les incluant dans des mythologies présentes. (Yannick Jaulin le fait très bien) C'était le substrat des réunions plutôt nocturnes formant ce qu'on appelle encore les "veillées".
Je souhaite que vous restiez toujours à la recherche des origines bien qu'elles soient introuvables.
Bonsoirs de la Saint Badoit-Galmier et de la sainte Honorine de Conflans.
PS : il y aura un stage "Ateliers contes" à Martigny la première semaine de juillet.
00/41 27 322 87 12
http://carmina-carmina.com/carmina/formations/quoi.htm
je vous souhaite une très belle journée pleine d'elfes et de fées dans le soleil pour l'instant nous ne savons s'il sera pour aujourd'huifrankie
dimanche 26 février 2012
chronique du rire du lundi
Un homme et une femme qui ne se connaissent pas doivent partager le même wagon-lit.
Bien qu’un peu gênés d’avoir à partager autant d’intimité, les deux sont fatigués et tombent bien vite endormis. Lui sur la couchette du haut; elle sur celle du bas.
Vers 1 heure du matin l’homme se penche au dessus de la couchette du bas et réveille la dame :
- Madame .. Madame. Excusez moi de vous déranger. mais j’ai terriblement froid. Auriez-vous la gentillesse de me donner la couverture qui se trouve dans le casier ?
- J’ai une bien meilleure idée, répond la femme. Faisons semblant que nous sommes tous deux mariés depuis 10 ans. juste pour cette nuit. Ça vous va ?
- Wow ! Quelle idée intéressante vous avez, s’exclame l’homme. Je suis bien d’accord !
- Bon, dit-elle, va la chercher toi-même
Deux couples d’amis jouent aux cartes.
Claude fait tomber ses cartes par terre et en se baissant pour les ramasser sous la table, il s’aperçoit que la copine de David, Jessica, n’a pas de culotte ! Surpris, il se cogne la tête et ressort tout rouge.
Plus tard quand il va à la cuisine chercher quelques bières, Jessica le suit et demande : As-tu vu quelque chose qui te plaisait sous la table ?
Claude dit :
- Oui, ça m’a plu !
Elle lui fait un clin d’oeil, sourit et lui répond :
- Tu peux l’avoir pour 100 euros.
Après une ou deux minutes d’hésitation, Claude répond qu’il est intéressé. Elle lui dit que puisque David travaille les vendredis après-midi et pas Claude, qu’il vienne chez elle ce vendredi vers 14h00.
Ce qu’il fit bien sûr.
Après avoir payé les 100 euros, ils vont dans la chambre et font l’amour dans toutes les positions pendant 2 heures puis Claude s’en va.
David rentre vers 18h00 et demande :
- Est-ce que Claude est venu cet après-midi ?
Choquée, Jessica répond :
- Oui, il est passé quelques minutes.
- Et est-ce qu’il t’a donné 100 euros ?
(Elle pense: “Zut, il est au courant !”)
A regret :
- Oui, il m’a donné 100 euros.
- Très bien, dit David, Claude est passé à mon bureau ce matin et m’a emprunté 100 euros et il a dit qu’il passerait chez nous pour me les rendre. C’est super d’avoir des amis honnêtes !…
.
LE DETECTEUR DE MENSONGES :
Un homme rentre de son travail avec un robot détecteur de mensonges.
Son fils de 12 ans rentre avec 2 heures de retard de l’école.
- Où étais-tu tout ce temps ? demande le père.
- J’étais à la bibliothèque pour préparer un devoir !
Le robot se dirige vers le fils et lui assène une claque…
Le père explique :
- Mon fils, ce robot est un détecteur de mensonges ! Tu ferais mieux de dire la vérité…
- Ok… J’étais chez un copain et nous avons regardé un film : Les 10 Commandements.
Et paf ! Le robot assène de nouveau une claque au fils…
- Aïe ! Bah oui ! En fait, c’était un film porno…
Le père :
- J’ai honte de toi ! À ton âge, je ne mentais jamais à mes parents !
Et paf ! Le robot assène une baffe au père…
La mère se marre :
- Décidément, c’est bien ton fils …
Et paf ! Une baffe à la mère…
Un homme se trouve dans la banque au moment où un voleur y commet un hold-up.
Le voleur prend les personnes présentes en otage et demande au premier d’entre eux :
- M’avez-vous vu voler la banque ?
Le 1er otage répond “oui”, le voleur lui tire alors une balle dans la tête.
Il passe au 2ème otage, lui pose la même question – M’avez-vous vu voler la banque ?
L’homme répond :
- Moi non, mais ma femme a tout vu…
à volo, voli vola du dimanche mémoire seconde ou le retour de noyaux de cerises rouge le thé à la rose, la confiture de rose
premier jet
Mémoire seconde
« …. vaguement humaines, le silence des bourreaux,
La réminiscence, là où fut la faiblesse. Vaines paroles, parle toujours, cul de jatte , tu peux toujours me courir après
L’esprit cerne, saisit, renomme
Faire de l’effroi une phrase
Puis un chapitre
Clore la série
Emporte à faux …
Affaires classées - cold case- »
Quelques phrases cueillies chez Mago la semaine dernière
Sur l’étagère dans cette chambre aux murs blanchis à la chaux,
La brosse à dent
A elle seule, c’est une salle au musée de Bobourg.
Sur ses trois pieds comme le support pour la montée dans la lune de la fusée Ariane
Mauve , ses poils violets pâles.
C’est une Stark.
De la fenêtre on aperçoit la brume auréolant les montagnes basques.
Elle ne se rappelle plus.
Elle entend la douche. Elle coule , il chante
Quelles histoires va-t-il soulever ?
Elle a du mal à croire qu’un jour la série des objets petit a sera écoulé comme le dernier grain du sablier.
Un autre temps
Comment serait son sablier à ce Philippe Stark
Si c’était lui.
Il est beau gosse.
Après l’un des fils Daum
Le designer à la voix de Richard… le grand joueur d’accordéon de jazz accompagnateur de Nougaro avec son léger blésement.
Elle s’était finie. D’habitude tous les 7 ans comme dans les contes de fées
Là la dernière fois au bord du lac au mont pelée le 31 juillet 2000, le sculpteur de marbre de cararre à la quête de son identité. Était-il un homme, ou une femme ?
Il lui avait sauvé la vie dans l’ascension, pour l’en remercier elle lui avait dit que puis-je faire pour vous à la hauteur de ce que vous venez de me donner ?
Elle se rappelle sur le bout du chemin illuminé par la lune elle avait ri un quart d’heure sans pouvoir s’arrêter…
Comment aurait mis çà en fable la Fontaine ?
Sa mère avait été violée par son père. Mariée elle avait mis au monde deux filles sauf lui. Elle ne put jamais l’habiller en garçon. Il était parti son père lui avait payé un atelier à Londres pour qu’il continue ses études de beaux arts. Pour respecter sa mère, dans le train il se changeait en fille. Sa mère sur le quai.
Elle n’avait pas trouvé plus beau depuis pour s’abandonner.
12 ans déjà. Avait-elle mis en jeu son hyménéen, après tant d’année. Elle avait peut-être gagné en cadeau cette brosse à dents.
Elle sent belle détendue, apaisée. La nuit fut donc féconde de bien être. Elle se blottie dans ses draps anciens de cotons rugueux et grège. Il sente la prairie des draps séchés sur l’herbe Sur un regain. La taie d’oreiller lui donne un bain de musc, de transpiration latine, et sur la taie d’oreiller « l’heure bleue ». Oui. Je ne peux coucher qu’avec du Guerlain dans le pif.
1, 2, 3eme mémoire de « L’heure bleue »Lui va faire son histoire se marquer en mémoire seconde.
Sur la chaise son smoking, un foulard de soie rouge blanc et c’est rigolo un petit chien blanc de la pub de Whisky.
Comment je suis arrivée dans ce lit. Mon dieu pourvu qu’il ne m’est pas droguée ?
Sur la table de nuit un gain de cuir marron clair de jeune porc avec une lisière mis avant bras de crinière de lion.
Oh ! Le regard de lion du dessin de Rembrandt.
Le gant gauche. La main pipeline de notre profond du dedans. Fourrure capteuse de parfum là c’est de « l’Habit rouge. »
C’est « l’habit rouge » qui m’a amené là. L’heure bleue j’aurai parlé toute la nuit devant une mort subite sur l’usage de la virgule.
Là, elle en est sur elle a joué abusé de sa virgule. Il chante encore .Bien d’ailleurs, une voix de crooneur, je l’entendrais bien dans du bluz country.
Les boutons de smoking sont recouverts d’un tissu de pagne. Quelle idée ! Demain le vote contesté au Sénégal. Déjà Six morts et ce n’est que le premier tour.
Pourquoi la mémoire me revient et de lui rien. « Plus grave est l’entente apparente »
La douche s’arrête.
Et
Lui « tu es prête… ?
Un bel homme noir aux muscles saillants dont le bas du corps en enroulé dans une serviette éponge bleu lavande, un sourire qui va jusqu’au lustre vénitien.
Prête à quoi,
« ne m’as-tu pas dit hier après la remise des prix ton césar d’honneur moi le meilleur scénario, tu m’as dépêché dans le train de nuit pour Biarritz, t’avait tout organisé c’est au top de soit qu’il faut se lancer t’avait dit et en arrivant à Biarritz dans le taxi qui nous a amené à ta vielle ferme transformée en chambres d’hôte : l’homme avec qui tu communiques d’une belle palabre tu l’épouses c’est çà ou mourir de folie…»
Ah oui j’ai dit çà ! En effet çà me ressemble bien. Alors ?!
Lui
Nous serons fou ensemble. Il n’y a rien de plus beau. A force d’écrire je n’ai pas vu passer le temps et l’écriture est ma grande maitresse. Toi ta bouche c’est la langue de mon père, tu as développé ton masculin comme jamais je n’ai croisé. Dans mon pays des origines ont dit que pour atteindre le meilleur de soit même l’on doit développer l’inverse de notre sexe … mon féminin est l’équation de ton masculin, nous ne pouvions que dire oui.
Tu n’as pas un autre prénom que ton nom de scène 12345
Si My when ! Alors mon quant à moi, Kant à moi.
La prête monte l’escalier
Oui ici ! Ta robe orange d’hier tes photos de noces seront dans les magazines demain
La mienne aussi nous ferons des collages
Elle
Mais la Dou
Lui
Non comme çà pour notre jour de noces
Elle
Pourquoi, eu rien,….
Lui
Nous sommes allés au bout du tube de dentifrice de nos conversations, clos phrase et chapitre.
Bénis soie ions bénis pour le « nous » à nos jours.
Elle :
Sidiki
Lui
Le destin nous a retrouvés
Mon père m’a si souvent parlé d’une petite bisonne blanche
Je l’ai toujours cherché
Elle
Je connais mon beau père.
Lui
Hum !
Elle
Il est vivant !
Lui
My when ! Oui !
Le curé habillé de blanc et de rouge et deux enfants de cœur l’encens les rameaux bénis un petit agneau né de quelques jours
La cérémonie faite
Devant la fenêtre il installa la petite table bureau et la femme de la ferme porta un jambon des couteaux une grosse miche, du fromage de brebis. La gourde de vin en peau.
L’histoire ne raconte la suite mais il devait y avoir des cerises rouges qui rebondissaient sur la colonne vertébrale et du thé à la rose et de la confiture de rose des souffle qui faisait le bruit de la mer à la barre quand les deux bras du Sénégal se mélange à l’Océan.
Mémoire tertiaire
de Frankie Pain dans l'atelier des Ecritures de l'Hajat avec Chantal S
Mémoire seconde
« …. vaguement humaines, le silence des bourreaux,
La réminiscence, là où fut la faiblesse. Vaines paroles, parle toujours, cul de jatte , tu peux toujours me courir après
L’esprit cerne, saisit, renomme
Faire de l’effroi une phrase
Puis un chapitre
Clore la série
Emporte à faux …
Affaires classées - cold case- »
Quelques phrases cueillies chez Mago la semaine dernière
Sur l’étagère dans cette chambre aux murs blanchis à la chaux,
La brosse à dent
A elle seule, c’est une salle au musée de Bobourg.
Sur ses trois pieds comme le support pour la montée dans la lune de la fusée Ariane
Mauve , ses poils violets pâles.
C’est une Stark.
De la fenêtre on aperçoit la brume auréolant les montagnes basques.
Elle ne se rappelle plus.
Elle entend la douche. Elle coule , il chante
Quelles histoires va-t-il soulever ?
Elle a du mal à croire qu’un jour la série des objets petit a sera écoulé comme le dernier grain du sablier.
Un autre temps
Comment serait son sablier à ce Philippe Stark
Si c’était lui.
Il est beau gosse.
Après l’un des fils Daum
Le designer à la voix de Richard… le grand joueur d’accordéon de jazz accompagnateur de Nougaro avec son léger blésement.
Elle s’était finie. D’habitude tous les 7 ans comme dans les contes de fées
Là la dernière fois au bord du lac au mont pelée le 31 juillet 2000, le sculpteur de marbre de cararre à la quête de son identité. Était-il un homme, ou une femme ?
Il lui avait sauvé la vie dans l’ascension, pour l’en remercier elle lui avait dit que puis-je faire pour vous à la hauteur de ce que vous venez de me donner ?
Elle se rappelle sur le bout du chemin illuminé par la lune elle avait ri un quart d’heure sans pouvoir s’arrêter…
Comment aurait mis çà en fable la Fontaine ?
Sa mère avait été violée par son père. Mariée elle avait mis au monde deux filles sauf lui. Elle ne put jamais l’habiller en garçon. Il était parti son père lui avait payé un atelier à Londres pour qu’il continue ses études de beaux arts. Pour respecter sa mère, dans le train il se changeait en fille. Sa mère sur le quai.
Elle n’avait pas trouvé plus beau depuis pour s’abandonner.
12 ans déjà. Avait-elle mis en jeu son hyménéen, après tant d’année. Elle avait peut-être gagné en cadeau cette brosse à dents.
Elle sent belle détendue, apaisée. La nuit fut donc féconde de bien être. Elle se blottie dans ses draps anciens de cotons rugueux et grège. Il sente la prairie des draps séchés sur l’herbe Sur un regain. La taie d’oreiller lui donne un bain de musc, de transpiration latine, et sur la taie d’oreiller « l’heure bleue ». Oui. Je ne peux coucher qu’avec du Guerlain dans le pif.
1, 2, 3eme mémoire de « L’heure bleue »Lui va faire son histoire se marquer en mémoire seconde.
Sur la chaise son smoking, un foulard de soie rouge blanc et c’est rigolo un petit chien blanc de la pub de Whisky.
Comment je suis arrivée dans ce lit. Mon dieu pourvu qu’il ne m’est pas droguée ?
Sur la table de nuit un gain de cuir marron clair de jeune porc avec une lisière mis avant bras de crinière de lion.
Oh ! Le regard de lion du dessin de Rembrandt.
Le gant gauche. La main pipeline de notre profond du dedans. Fourrure capteuse de parfum là c’est de « l’Habit rouge. »
C’est « l’habit rouge » qui m’a amené là. L’heure bleue j’aurai parlé toute la nuit devant une mort subite sur l’usage de la virgule.
Là, elle en est sur elle a joué abusé de sa virgule. Il chante encore .Bien d’ailleurs, une voix de crooneur, je l’entendrais bien dans du bluz country.
Les boutons de smoking sont recouverts d’un tissu de pagne. Quelle idée ! Demain le vote contesté au Sénégal. Déjà Six morts et ce n’est que le premier tour.
Pourquoi la mémoire me revient et de lui rien. « Plus grave est l’entente apparente »
La douche s’arrête.
Et
Lui « tu es prête… ?
Un bel homme noir aux muscles saillants dont le bas du corps en enroulé dans une serviette éponge bleu lavande, un sourire qui va jusqu’au lustre vénitien.
Prête à quoi,
« ne m’as-tu pas dit hier après la remise des prix ton césar d’honneur moi le meilleur scénario, tu m’as dépêché dans le train de nuit pour Biarritz, t’avait tout organisé c’est au top de soit qu’il faut se lancer t’avait dit et en arrivant à Biarritz dans le taxi qui nous a amené à ta vielle ferme transformée en chambres d’hôte : l’homme avec qui tu communiques d’une belle palabre tu l’épouses c’est çà ou mourir de folie…»
Ah oui j’ai dit çà ! En effet çà me ressemble bien. Alors ?!
Lui
Nous serons fou ensemble. Il n’y a rien de plus beau. A force d’écrire je n’ai pas vu passer le temps et l’écriture est ma grande maitresse. Toi ta bouche c’est la langue de mon père, tu as développé ton masculin comme jamais je n’ai croisé. Dans mon pays des origines ont dit que pour atteindre le meilleur de soit même l’on doit développer l’inverse de notre sexe … mon féminin est l’équation de ton masculin, nous ne pouvions que dire oui.
Tu n’as pas un autre prénom que ton nom de scène 12345
Si My when ! Alors mon quant à moi, Kant à moi.
La prête monte l’escalier
Oui ici ! Ta robe orange d’hier tes photos de noces seront dans les magazines demain
La mienne aussi nous ferons des collages
Elle
Mais la Dou
Lui
Non comme çà pour notre jour de noces
Elle
Pourquoi, eu rien,….
Lui
Nous sommes allés au bout du tube de dentifrice de nos conversations, clos phrase et chapitre.
Bénis soie ions bénis pour le « nous » à nos jours.
Elle :
Sidiki
Lui
Le destin nous a retrouvés
Mon père m’a si souvent parlé d’une petite bisonne blanche
Je l’ai toujours cherché
Elle
Je connais mon beau père.
Lui
Hum !
Elle
Il est vivant !
Lui
My when ! Oui !
Le curé habillé de blanc et de rouge et deux enfants de cœur l’encens les rameaux bénis un petit agneau né de quelques jours
La cérémonie faite
Devant la fenêtre il installa la petite table bureau et la femme de la ferme porta un jambon des couteaux une grosse miche, du fromage de brebis. La gourde de vin en peau.
L’histoire ne raconte la suite mais il devait y avoir des cerises rouges qui rebondissaient sur la colonne vertébrale et du thé à la rose et de la confiture de rose des souffle qui faisait le bruit de la mer à la barre quand les deux bras du Sénégal se mélange à l’Océan.
Mémoire tertiaire
de Frankie Pain dans l'atelier des Ecritures de l'Hajat avec Chantal S
samedi 25 février 2012
Chanson de geste du printemps frankie pain les poétes murmures à son oreille
j'ai il a y longtemps interprété Aliénor d'aquitaine
je fus applaudi beaucoup par le public allemand très chaleureux
alors
Geoffroy Rudel et bien d'autres m'ont soufflé cette forme
comme l'épopée du printemps de la bouches des auteurs j'ai cueilli les mots popur ne pas endormir les enfants et leur offrir des mots d'auteurs qui ont chanté le printemps
L'âtre nous le boudons
, courons à l'aventure.
Le ciel ondoye les plis de sa tenture ;
La fontaine reprend son murmure enjoué ;
La clématite grimpe
L'air doux est plein de bruits
1
Ô mélodie de la sève
ô abondante nature.
2
Un jour, le printemps chausse des bottes de géant.
écoutez les gens au marché ils disent
« il arrive à grand pas... »
Malin, Printemps
Se rend dans la forêt.
il a son projet le désir de régner;
Il prend une paire de bottes
C’est mieux pour patauger entre la boue
les restes d’ hiver ,
la pataugeoire des douces mousses.
Sa bouches s’ouvre tous les chants, toutes les races d’oiseaux
sont là dans leur danse d’amour avant la nichée :
gospels des délivrances (de ses rivières profondes- forclusent-) Yourcenar)
Pètent les corsets de neige, les mâchoires de glaces,
les collets de l’engourdissement jusqu’au cœur de la moelle.
de tous et toutes nature et êtres , hêtres pourpres. !
Brise légère en soupir d'ange,
Dame nature est élégante
Broderies de partout hourdent les bourrelets
herbe ornée, chrysalide, filigrané
La terre offre sa brune couleur charnue
aux labours à la semence
Jaune , vert, bleu, mauve mouchetés
A faire frémir « la Parisienne « ( La Becq)
L’eau coure vive dans les fossés
caresse les cressons, ébroue le bouton d’or
nargue la jonquille et le jonc . ………………………….
A Pomponnette : (le Printemps) enfin tu Nous reviens.
On te croyait paxé avec le diable cette année
Avec ces terres givrées ce « redur »
3
Les petits poings des bourgeons
s’en vont à la guerre de la Morosité Tristose
Ouvrent leurs doigts
Otent la museaulière au soleil
Dans la mulière lumière
Vert, vert, vert, vert.
oyez dans le bocage
yes
oyez dans le bocage
Surgit les cavaliers
Au bout des branches
Les fleurs marronniers
Roses blanches.rouges
Sur les lévriers d’arrière gardes
Les fleurs candides
Des cerisiers
Les aubépines
Dans les prés
Blanche, blanche, blanche, blanche
Rose des pommiers
Bleu bleu bleu c’est la valse bleu horizon
La valse des bourgeons
Le bleu des gazons
Pas bleu horizon qui dansent sur tous les fronts
quoique les printemps du désert
Saigne comme nos tranchées
Les herbes jaunies capitulent s’affaissent
un moineau
Tout gris, tout gris,
Printemps sort du bois , dégaine les bottes
prend ses ballerines
Visage frais comme un bonbon
Portant un bel habit vert pomme, prairie frondaison
roucoule des alouettes,
Les cygnes majestueux calligraphient l'étang,
, son grand manteau blanc fait du fil pour les araignées
arrachées par les ronces aigries de s’être caillée
sans un vermisseau à se goinfrer
un arlequin de pastelles couleurs dansent la frénésie
un don juan aux cœur de toutes fleurs
habille de couleurs
Le coeur chaque les fleurs, femmes hommes nature
0 Léon-Pamphile LE MAY, Rainer Maria RILKE, 2 Marybé 3Cyrille, Charles d'Orléans (1394/1465), Jean-Antoine de Baïf (1532-1589) , Catherine Bastère Rainotti ,daniel marie
Frankie Pain
elle a picoré mise en ouvrage aux points d’églantine, de pois de senteurs , capucine
adaptation
Frankie Pain
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