dimanche 21 juillet 2013

Le Skipper et Mademoiselle Odette



Réminiscences sur oreiller en  noyaux de cerises, dans les odeurs de tilleul, le Médoc et ses quelques anecdotes « benaises »(terme charentais pour dire on est bien).



  2
épisode
deuxiéme partie
le texte a été retiré 
pour l'avoir 
lamangou@yahoo.fr






 La Nini ne s’arrêtait pas là  en terme d’appropriation sa chère copine avait écrit quelques lignes de la pièce avec nous devons le reconnaitre une idée de départ efficace , soufflée par son fixe : le journaliste de VSD, elle avait   mis son nom en plus gros et en premier sur la première page. Le toupet.
Le jour de la première   elle n’avait fait venir aucun de ses amis, elle avait tellement peur qu’il s’était enivrée à baver les répliques cela ne suffisait pas : elle sautait des pans d’histoires la sans soucis de la trame comico dramatique.    Odette devait réécrire en direct pour permettre l’effet prévu à quelques scènes après. A la fin elle fouetta un tel souk que « les Marylin marron » furent interdite dans ce lieu.






La maison de Nini  prés de Monthalivet sous les pins avec dans la  prairie du voisin de jeunes étalons en liberté, le rêve  de passer la pièce au théâtre du Rond Point et bonne réception dans un théâtre bien en vue Bordelais  rendaient les écrits  plus faciles.  Le  Jacques  Roussel complément amoureux d’Odette qui ne la quittait Odette d’une semelle, dormait chaque nuit avec elle comme un amant très fervent. La copine picolait,  fin de soirée jacques Roussel et Odette  ne comprenaient rien quand  elle lisait la pièce. Ca Odette supportait très mal, elle n’avait qu’une envie finir  les dernières corrections et déguerpir.
Odette plus tard tourna un film des Marylin marrons avec un acteur qui jouait un futur  transsexuel pour garder les enjeux  et les conflits des personnages dans la pièce il s’appela Nono.

 eglise de Vendaye
« Mais quand est-ce qu’il arrive le skipper , il est pris dans la baïne* à l’océan ma parole, il me livre à l’assaut des mémoires ,heureusement ce n’est pas nostalgique et il n’y a pas de feu sans fumée , l’accumulation de coups tordus l’avaient amenée à  ce dernier choix mais on n’abandonne pas une femme qui a pris un décision limite c’est saisir comme un steak sur le grill pas une macérade pour un civet de lièvre « de livrette en levrette oh quelle horreur, c'est mal barré....!» Elle rigole, çà bouillonne et voilà encore une vague  qui assaille Odette.




* la baïne, les baïnes : baignoires d’eau de mer qui se forme à la marée basse qui deviennent très dangereuses pour le nageur car un courant menant au large  déroute le nageur  oublieux de la marée. Causes de nombreuses noyades.

De Françoise Pain de La Mangou

mercredi vous pourrez lire la fin de cet épisode
et bonne semaine

 




5 commentaires:

  1. Odette soleil couronnée de soucis...le regard vif au jugement certain, son sourire lumineux a disparu, le skipper se dérobe !
    gros bisous Françoise

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  2. Je n'avais pas vu l'épisode précédent. Je me demande bine pourquoi ?
    Sacré tempérament la Nini et ce skipper qui se fait attendre.
    J'ai hâte qu'il rejoigne Odette dans son ambulance, sur son oreiller en noyaux de cerises.
    Il me semble qu'il va y avoir des étincelles non?
    Je t'embrasse bien fort Frankie.
    Douce nuit

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  3. merci mes douce lectrice, y a du tempéremment en écoute, merci de votre attention... gros bisous et belle semaine

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  4. Cette histoire si bien commencer va pourtant bien finir, il va venir ce skipper, il le faut.

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  5. Je viens de perdre mon commentaire, je disais que cette histoire si bien commencée, ne pouvait que bien finir il va venir ce skipper.

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