Textes du jour de la blog-woman, phrases : colonne vertébrale, contes, légendes, mots d'humeurs, d'amour, lettres à la mer, recherche de connivence, complicité, ses dessins, ...la jazzeuse des grands chemins et sentes, écrivaine nomade des murmures de la vie intérieure et des happening minimalistes nés au hasard d'un banc public dans un parc aromatique , un abri bus , un train , un marché, les pas perdus d'un aérogare tous les lieux insolites pour une rencontre.
mardi 31 août 2010
le jeu du torchon
quand les africaines porte le mafé dans la bassine métalique entouré u torchon
le torchon pour la plante verte
le foie gras au torchon
torchez bien votre journée
kiss
«Laissez-vous être silencieusement attiré par la force de ce que vous aimez vraiment.»
– Rumi
il a eu son premier tirage hier
et la créatrice fut comblée
efficace rapide
avis
lundi 30 août 2010
BONHEUR C'EST SON JOUR DE SE MANIFESTER
mon bonheur c'est d'aller prendre un bain de boue avec mon cochon GASTON
le bonheur rubrique du mardi
aujourd'hui c'est Annette de Tourcoing qui a choisi pour nous
Pour Sénèque :
« Le bonheur c’est d’être sage, c’est échapper aux tempêtes de l’existence grâce à ma raison et ma bonne volonté »
Pour Alain :
« Ce n’est point parce que je ’ai réussi que je suis content ; mais parce que j’étais content que j’ai réussi . Aucun homme ne peut trouver en ce monde de plus redoutable que lui-même »
ET TRES MON MARDI PLEIN DE BONHEUR COMME DES CARRES D4UN BON CHOCOLAT SUISSE OU BELGE
LE JEU DE TORCHON DE FRANKIE la bergère du verbe des vaches et des cochons
Avec la bergère du verbe de vaches et des cochons
Le jeu du torchon
Footing à l’imaginaire créatif
Pour
Conteurs
Acteurs, comédiens
Auteurs en herbe, en gerbe,
Pour personnes ayant besoin de contacter ses richesses intérieures
Dont on perd facilement contact dans une société
où NOUS nous validons de moins en moins
les actes, les dires , les pensées de l’autre à soi
Affirmer son soi, sa soie, respirer toutes les parfums des acquis de sa vie
Tonic pour l’être, affirmation
Créer des barrages contre le Pacifique
(attitude cynique , humiliante ,
dévalorisante des « perfuseurs» de l’autre sans remerciements)
Avec
La boite à outil de 40ANS au service de l’art d’interprète Dramatique
Comédienne, actrice , performeure, lectrice France culture, conteuse
Auteur , chroniqueuse
10 ANS DE Médecine diagnostique radiologie urgence C H R DE BORDEAUX
15 ANS Etudes sciences humaines et enfance inadaptée
Haut niveau universitaire en sciences humaines
+ LA VALIDATION DES ACQUIS PAR L’Exercice
peu se jouer en duo avec trois, quatre personneS
chacun met son meilleur à sa disposition, à celles des autres,
le respect de la parole de l’autre
ET LE TOUT DANS LA BONNE HUMOUR ET DES SURPRISES EN VEUX - TU EN VOILA
Né du concours du torchon de TOURCOING
LA DATE AYANT CHANG2 DE LA REMISE DES ŒUVRES , LE CONCEPT DE TORCHON AYANT PERDU SON BUT c'est imposé en ce jeu
la première est ce soir
la deuxième
l'argent du jeu sera l'objet de la production qui me paiera les répétitions de mes spectacles de contes faisant partie de groupes des chanceux à ne pas être subventionnée du coup nous développons des art autres pour ravir les gens de la multiplicité des arts que nous devons faire vibrer
c'est important de savoir
tarif et lieu expliquer ultérieurement
dimanche 29 août 2010
le grand fleuve du rire bleu rubrique rire du lundi
le grand fleuve du rire bleu
un rire bleu
no comment
atterrissons au coeur d'une fleur pour en finir avec la fleur bleue
novalis et le romantisme allemand
dans la brousse le rires bleu de la hyéne çà s'en le carnage
le rire bleu des chouettes tous ceux qui sont en bord de mer hum!
!
on les entend les demoiselles pas toujours des rires francs les demoiselles
La valse "bleu horizon"
Paroles: Charles-Louis Pothier. Musique: Charles Borel-Clerc 1917
© Borel-Clerc
autres interprètes: Nine Pinson, Carmen Vildez, Louis Lynel (1921), Luc Barney (1962)
note: référence au changement de couleur de l'uniforme des soldats français, passant du bleu et rouge au bleu "horizon"
On a fait des valses de bien des couleurs
Des bleues, des blanches, des roses
Moi, j'en connais une qui rend d' bonne humeur
Lorsqu'on est morose
Elle n'est pas verte, elle n'est pas lilas
Mais j'adore sa nuance
Vous apprendrez tous cette valse-là
Elle fut faite en France
On la chante quand on voit crânement
Défiler nos jolis régiments
{Refrain}
C'est la valse "bleu horizon"
Qui vous fait passer des frissons
Valse guerrière
Glorieuse et fière
Nos soldats, le cœur plein d'entrain
Sous le feu, narguant le destin,
La chantent au son du canon
La valse "bleu horizon"
Là-bas, sur la Somme, l'ennemi croyait bien
Rester toujours tranquille
Terré dans ses trous, se croyait malin
Il n' se faisait pas d' bile
Faisant d' la musique, donnant des concerts
Gaiement, sans anicroches
Sur l'harmonica, ils jouaient des p'tits airs
Polkas ou valses boches
Aujourd'hui, nos poilus pleins d'élan
Font valser ces messieurs, et comment !
{au Refrain}
C'est la valse "bleu horizon"
Qui vous fait passer des frissons
Valse guerrière
Glorieuse et fière
Nos soldats, le cœur plein d'entrain
Sous le feu, narguant le destin,
La chantent au son du canon
La valse "bleu horizon"
Quittant les tranchées pour rentrer chez eux
Sous l'aile de la Victoire
Les poilus vainqueurs reviendront joyeux
Auréolés de gloire
Sans oublier ceux qui tombèrent là-bas
Dans la fournaise immense
Fêtant le retour de nos chers soldats
Y aura d' la joie en France
Le bonheur et l'amour renaîtront
Et ce jour alors, que dansera-t-on ?
C'est la valse "bleu horizon"
Qui fera passer des frissons
Valse guerrière
Glorieuse et fière
Les poilus, leurs femmes, leurs bambins
S'embrassant, chanteront ce refrain
Elle marquera la fin du canon
La valse "bleu horizon"
les enfants adorent rire bleu
ils font montés la peur très fort
et après ils ne savent plus descendre alors vite vite
la nana nounou sympa la mamadou la mamalou
et rassurés c'est le rire bleu
et çà peut durer aussi longtemps que la peur à fait faire pipi dans la culotte
Rire bleu, quand on est amoureux.
Rire rouge, quand on est en colère.
Rire rose, quand on est ému ...
Rire bleu marine, quand on est au bord de la mer ...
et les rires bleus que nous fait avoir le docteur House
suite la semaine prochaine
samedi 28 août 2010
Orphelins des langues et qui s'y frotte s'y pique
Orphelin des langues
Je n’ai de moi
que cet habit déchiré des mots,
il ne couvre
que la maigre clarté des signes,
et l’antique famine
des ogres
dans la généalogie des mythes.
Le jour où je l’ai mis
pour célébrer
L’avancé des dunes
dans les rides saccagées de mon être.
Il n’a fait surgir
en moi
que la profonde douleur,
de se sentir
cet orphelin des langues.
Je ne sais
dans la brime soif des errements
si j’arrivais un jour
à éplucher les mythes
et d’en faire le collier
aux ténèbres souvenirs
éloignés de la mémoire du temps.
Ainsi, la porte s’ouvrirait,
comme le levé du jour,
avec ses compagnes les étoiles.
Qui s'y frotte...
Par une froide journée d'hiver, un troupeau de porcs-épics s'était mis en groupe
serré pour se garantir mutuellement contre la gelée par leur propre chaleur. Mais
tout aussitôt ils ressentirent les atteintes de leurs piquants, ce qui les fit
s'éloigner les uns des autres. Quand le besoin de se chauffer les eut rapprochés de
nouveau, le même inconvénient se renouvela, de façon qu'ils étaient ballottés de çà
et de là entre les deux souffrances, jusqu'à ce qu'ils eussent fini par trouver une
distance moyenne qui leur rendit la situation supportable. Ainsi, le besoin de
société, né du vide et de la monotonie de leur propre intérieur, pousse les hommes
les uns vers les autres; mais leurs nombreuses qualités repoussantes et leurs
insupportables défauts les dispersent de nouveau. La distance moyenne qu'ils
finissent par découvrir et à laquelle la vie en commun devient possible, c'est la
politesse et les belles manières. En Angleterre, on crie à celui qui ne se tient pas
à distance : Keep your distance! - Par ce moyen, le besoin de chauffage mutuel
n'est, à la vérité, satisfait qu'à moitié, mais en revanche on ne ressent pas la
blessure des piquants. - Celui-là cependant qui possède beaucoup de calorique propre
préfère rester en dehors de la société pour n'éprouver ni ne causer de peine.
Arthur SCHOPENHAUER, Parerga et Paralipomena (1851)
toujours en attendant le clip de yannick noa
le clip ci dessous avec Patricia CASS
REGARDE LES RICHES
REGARDE LES RICHES
a volo , voli vola
vendredi 27 août 2010
en attendant le clip de Yannick NOA regardez
chorégraphie : "felini's road" Monica Casadei
le clip que je vous ai mis si dessous
je suis la dame sur le sofa en rose qui mange une rose et qui pleure et qui mange jusqu'au trognon de la fleur
gros bisous Frankie Pain qui récupère de ses courbatures
TRAVAILLER AVEC L'ANCIEN DE ROLAND GARROS
C'est performant
heureusement que j'avais des réflexes de haute compétition
avec mes huiles mes massages et la glace
il n'y a pas de petite joie
jeudi 26 août 2010
frankie à abréver ses vacances" frontières" "ca me regarde" Yannick NOAH OUI,CA NOUS REGARDE
retour avant la date
appeler pour être
dans la chorégraphie du clip
de la chanson de Yannick NOAh
"ca me regarde"
le disque est en bac "FRoNTIERES "
depuis deux jours
les images du clip en boite depuis minuit
en attendant je vais vous en trouvez quelques unes
sur you tube
cet homme , cet artiste est un grand bonhomme
et commençant à connaitre un peu vos goûts et
vos éthiques chers lecteurs et lectrices
vous seraient ravis comme moi hier
en chantant et dansant cette chanson
et à tous les nouveaux lecteurs après cet évènement
bien venue
son concert
il y an encore des places en pelouses une achetée deux offertes
C'est le live événement de la rentrée 2010 pour tous les fans de Yannick Noah, le chanteur de « Angela » se produira en concert le 25 septembre 2010 dans cette vaste enceinte qu'est le « Stade de France », pour y défendre sur scène son nouvel album « Frontières ». « Je suis excité par tout ce qui m'arrive, je suis excité d'avoir un nouvel album (NDLR : 'Frontières'), je suis excité par le fait de jouer devant autant de monde. C'est un gros challenge mais je me prépare, je me suis préparé, j'ai encore un bon mois et je n'en peux plus d'attendre... », a confié l'ancien joueur de tennis devenu chanteur populaire dans le 20 heures de TF1, interrogé par Julien Arnaud le 22 août dernier. « Mon rêve fou, c'est que tous les gens s'éclatent ! ».
Voici, en rappel, le tracklisting du huitième album « Frontières » de Yannick Noah :
01 - Ma Pomme
02 - No One's Land
03 - Angela
04 - Marcher Sur Le Fil
05 - On Veut Plus Jouer
06 - Hello
07 - Ca Me Regarde
08 - La Senorita
09 - Se Jeter A L'eau
10 - Frontières
11 - Dans Le Rio Grande
12 - Gaza Danse
13 - Il Est Tard Maintenant
14 - Saigne L'eau
vendredi 20 août 2010
a volo voli vola
jeudi 19 août 2010
Voyages dans le hauteurs du haricot magique
A Jack et le haricot magique
Jack vivait avec sa mère, dans une petite ferme. Ils travaillaient dur tous les deux mais ils étaient très pauvres. Un jour, leur vieille vache ne donna plus de lait et la mère de Jack décida de la vendre.
« C’est moi qui vais la conduire au marché, dit Jack.
- Si tu veux, mais ne te laisse pas faire, répondit sa mère, demandes-en au moins dix pièces d’argent. »
Et jack partit au marché, emmenant la vache au bout d’une corde. Il avait à peine fait quelques centaines de pas qu’il rencontra un petit vieux, qui marchait tout courbé sur un bâton.
« Bonjour, Jack, dit le petit vieux. Où vas-tu donc avec cette vache ?
- Bonjour monsieur, répondit Jack. J e vais la vendre au marché, et je vais en tirer un bon prix !
- Si tu veux, tu peux devenir riche comme tu n’as jamais rêvé de l’être, dit le petit vieux. Je t’achète ta vache. Regarde ! Je te donne en échange ce haricot.
- Vous vous moquez de moi ! s’écria Jack. J’en veux au moins dix pièces d’argent et vous croyez l’avoir pour un haricot ?
- Oui, mais c’est un haricot magique. Si tu le plantes, en une nuit il poussera jusqu’au ciel.
- Jusqu’au ciel ! répéta jack. »
Il était émerveillé à l’idée de posséder une plante magique et déjà il imaginait les voisins et tout le village qui défilaient dans son jardin pour admirer le haricot géant.
Alors Jack vendit sa vache pour un haricot et s’empressa de rentrer à la maison, très content de lui. Inutile de dire qu’après avoir expliqué à sa mère la bonne affaire qu’il venait de réaliser, il perdit vite son air triomphal. « Âne, sot, niais… », sa mère le traita de tous les noms et finit par s’effondrer sur une chaise en pleurant comme une fontaine.
Très contrarié de faire pleurer sa mère, Jack jeta le haricot par la fenêtre et se mit à pleurer lui aussi. Après une bien triste soirée, il alla se coucher le cœur gros.
Le lendemain, il se leva le premier et se précipita à la cuisine pour préparer le petit déjeuner de sa mère. Mais impossible d’ouvrir les volets ! Il sortit voir ce qui les coinçait. Quelle surprise ! Un énorme pied de haricot montait contre le mur, et poussait si haut que la tige se perdait dans les nuages.
Sans hésiter, Jack commença à grimper de branche en branche, de feuille en feuille. Il grimpa…grimpa… grimpa…encore… plus haut… jusqu’au ciel. Puis il suivit une route au milieu des nuages et finit par arriver devant un château qui semblait inhabité. Il entra et se promena dans toutes les pièces. Quelle merveille ! Elles étaient pleines de beaux meubles et de toutes sortes de richesses. Mais, tout à coup, se dressa devant lui une géante. Sans perdre son aplomb, Jack lui dit :
« Bonjour Madame, pourriez-vous me donner un peu à manger, s’il vous plaît ? J’ai bien faim.
- Mon pauvre enfant, dit la géante, que viens-tu faire ici ? Mon mari est un ogre. Au lieu de te donner à manger, c’est lui qui va te manger ! »
Jack n’eut pas le temps de répondre car à ce moment, on entendit un grand bruit. Boum ! Bam ! Boum ! Bam!
« Vite, dit la géante, cache-toi derrière le buffet! »
Jack se cacha et vit entrer un géant qui portait dans une main un sac et dans l’autre un mouton. Le géant jeta le sac dans un coin et des pièces d’or s’en échappèrent. Il se mit à renifler de tous côtés puis s’écria :
« Ça sent la chair fraîche !
- Bien sûr, dit la femme, vivement. C’est ce mouton que vous apportez. Dépêchez-vous de le préparer pour que je puisse le faire cuire ! »
L’ogre obéit. La femme fit cuire le mouton, l’ogre le mangea et alla se coucher. Bientôt ses ronflements faisaient trembler les murs. Alors Jack, tout doucement, sortit de sa cachette, prit le sac de pièces d’or et, en courant, s’en revint comme il était venu.
Pendant ce temps, sa mère l’avait cherché et elle était très inquiète de sa disparition. « Pauvre petit, se disait-elle, je l’ai tellement grondé hier soir, que peut-être il est parti et ne reviendra pas. » Elle fut bien surprise de le voir descendre du haricot et se précipita pour l’embrasser :
« Eh bien, petite mère, lui dit Jack, tu vois que c’était vraiment un haricot magique ! Tiens, c’est pour toi ! »
Et il lui donna le sac de pièces d’or.
La pauvre femme remercia le ciel de lui avoir donné un fils si habile et tous deux vécurent des jours heureux grâce à l’or du géant.
Au bout de quelques mois, les pièces d’or furent toutes dépensées et Jack décida de revenir au château des nuages. De branche en branche, de feuille en feuille, il grimpa le long de la tige du haricot. Quand il se trouva devant la géante, il la salua bien poliment :
« Bonjour madame, pourriez-vous me donner à manger s’il vous plaît ?
- Gredin ! s’écria la géante, n’as-tu pas honte de me demander à manger alors que, la dernière fois que tu es venu, tu nous as volé un sac de pièces d’or ? »
Avant que Jack ouvrît la bouche pour répondre, le château retentit d’un terrible bruit de pas : Boum ! Bam ! Boum ! Bam!
« Vite, cache-toi dans le four, s’écria la géante. »
Jack bondit dans le four pour se cacher, mais il laissa la porte entrouverte, de façon à pouvoir observer ce que faisait le géant. Il le vit poser sur la table un cochon et une cage. Puis le géant se mit à arpenter la cuisine en reniflant de tous côtés :
« Ça sent la chair fraîche ! s’écria-t-il.
-Mais, dit la géante, c’est ce cochon bien gras que vous avez apporté. Aidez-moi à le préparer pour le faire cuire.
-Oui, dit le géant, j’ai bien envie d’un cochon rôti au four.
-Non, dit la géante, ce cochon sera meilleur cuit à la broche. »
Ils firent donc cuire le cochon dans la cheminée. L’ogre le mangea avec grand appétit, puis il ouvrit la cage et en sortit un oie d’or. Il la posa sur la table et dit :
« Ponds un œuf d’or. »
Et l’oie pondit un œuf d’or.
Le géant caressa un moment l’oie d’or puis ses yeux se fermèrent et il s’endormit dans son fauteuil. Aussitôt, jack sortit de sa cachette, prit l’oie et à toutes jambes s’en revint comme il était venu.
Désormais, jack et sa mère n’eurent plus de soucis car l’oie pondait un œuf d’or tous les jours.
Mais les mois passèrent et jack finit par trouver ennuyeuse sa petite vie tranquille. Il avait envie de voir encore une fois tous les trésors que le géant entassait dans son château. Alors, de branche en branche, de feuille en feuille, il reprit la route des nuages.
Cette fois, il jugea plus prudent de ne pas se faire voir de la géante. Il se faufila dans le château, gagna la cuisine et grimpa sur une étagère. Là, il se cacha derrière le pot de farine. Au bout d’un moment, il entendit : Boum ! Bam ! Boum ! Bam ! A peine entré dans la cuisine, l’ogre se mit à renifler de tous côtés en criant :
« Ça sent la chair fraîche ! Ça sent la chair fraîche ! »
La femme regarda derrière le buffet, où Jack s’était caché la première fois, puis dans le four, mais ne le trouva pas.
Ils cherchèrent le garçon partout mais n’eurent pas l’idée de regarder derrière le pot de farine. A la fin , ils pensèrent qu’ils s’étaient trompés. Jack les vit déjeuner d’une vache rôtie. Puis le géant prit dans le placard une harpe d’or et la posa sur la table :
« Joue, harpe d’or, dit le géant. »
Et la harpe se mit à jouer. Sa musique était si douce que le géant et sa femme ne tardèrent pas à fermer les yeux et à s’endormir. Dès que retentirent les ronflements, Jack sortit de sa cachette et prit la harpe. Mais, en quittant le château, il cogna la harpe contre la porte et elle résonna : doïng ! doïng !
A ce bruit, le géant se réveilla en sursaut et poussa un cri terrible en voyant Jack emporter la harpe. Il s’élança aussitôt pour le rattraper. Ah ! mes amis, quelle course ! le géant allait saisir le garçon mais celui-ci sauta sur la tige du haricot et commença à descendre.
Comme une sauterelle, le petit bondissait de feuille en feuille, tandis que le géant descendait lourdement. Il n’avait pas fait la moitié du chemin que jack était déjà par terre et courait chercher un hache dans la grange, pour couper le pied du haricot. Vite ! Le géant arrive… Trop tard pour lui ! Crraac ! le haricot s’écroule comme un arbre sous les coups du bûcheron et le géant s’écrase par terre !
Désormais, jack ne pouvait plus revenir au château des nuages. Mais il avait eu si peur qu’il n’en avait pas envie !
Grâce aux œufs d’or, il vécut sans soucis, et quand il voulait se distraire, il écoutait la douce musique de la harpe d’or.
bonne lecture je vais sur place constater cette féerie alors !
Petite musique sur les maisons de familles
la maison de famille de BERLIOZ
En ROBEUSE des Châteaux
pour écrire un récit de vie de mes grand-mères
ou en coach écriture
je fus reçue de longs temps dans les maisons de famille
Comme il est bon d'être tapie dans ma fonction, tirer l'aiguille, ou la plume, ou les lignes et voir l'éveil des personnes de la famille.
J'ai des souvenirs de grandes complicités,
j'ai du participé à un livre sur un crime
en Vendée , un crime qui ne fut jamais élucidé .
Nous avions bien travaillé, le livre reçu un prix ,
je fus choisi pour le livre avec l'auteur.
Quelle joie ! mettre dans les harmoniques de la voix, traduire les climats,
J'avais vécu, partagé, erré
dans des chemins, le long des canaux au tapis de lentilles,
des plates (les barques ), des poules d'eau,
le berger,
les rituels du matin du maître des lieux,
des mots toujours avec le melon charentais :
"Alors on fait un mariage d'amour " c'était la manière de manger le melon charentais avec le pineau fait avec les fruits du verger
les maisons de famille
je garderai toujours ses compléments de travail,
autour de mon métier principal
car il me procure tant de joie dans le silence des maisons familiales,
la complicité des animaux de la maison, des enfants,
les hommes qui rodent parfois même séduisent,
l'on vient s'asseoir parfois l'on me parle comme une boite à secret,
on m'invite à l'église dans les bancs réservés à la famille
tous les gens du village se disent :
« tiens tiens , serait-ce enfin la promise de ce veuf... »
Les sorties d’église, alors étaient plus regardé
que la montée des escaliers à Cannes.
En partant l'on ne sait jamais s'il y aura une deuxième, troisième ou 4eme fois , il faudrait une nouvelle robe , un nouvel essai, ou roman;
Pas simplement . . ,
les liens tissés lors du séjour permettra ou interdiront tout retour.
Ou ouvriront des relations épistolières que simplement la mort arrêtera :
comme les poses longues avec un sculpteur c'est pareil,
chaque proposition c'est une « Nouvelle » qui s’écrit à deux,
un jour l'on sait que le puit de l'inspiration avec ce modèle est fini.
C'est un frison qui grince à l'intérieur. . .
Les affectes de situation comme de la poudre de soleil aspiré DES CONTES
Petite musique sur les maisons se familles
DE FRANKIE PAIN
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