jeudi 5 juillet 2018

Devenons des passeurs de marrieurs, aimer est un état revolutionnaire



Nous devenons écrivains pour continuer les conversations si belles, justes commencées, elle ouvre un bal que ne se fera jamais.
Je comprends de plus en plus combien la solitude s’épaissit d’âges de plus en plus jeunes.
Mes amis quand je leur parle de mes copines , « tu ne pourrais pas nous les présenter », t’es si sympathique quelles doivent être supers.

Un étranger  qui revient à la capitale pour affaires….
me dit mais cette ville a tellement changé ancien Parisien. ........."Les femmes je n’ose même plus les regarder". Il est très bel  homme.....

J’ai eu de la chance, il m’a reconnue, nous avions conversé déjà il y a quinze ans…


Nous devons être très light avec nos désirs et demandes en amitié :
un mot tous les mois, si ce n’est pas deux ou trois  en un an ou même sur certaines structures rigides collectionneurs,  de chiffres de twitt pour avoir le nombre d'amis en exponentiel,     traduire en années.

Faut aimer manger la soupe au racines de pissenlits, et d'orties blanches (si çà nous pique la mémoire sera marqué plus longtemps)


Je mets la barre haute en ce moment où les hommes mariés font leur casting pour l’été   les vacances de Madame oblige....


C’est rigolo quand les heures changent  :   c’est plutôt dans la journée que l’on les placerait plutôt qu’après en fin de journée et soirée. madame n'est pas encore  partie, les weekends  : vous savez mes parents sont vieux , je dois les visiter .

Oh oui ! dit celle qui fait sa gourdasse.


« Si nous ne mettons d’art dans le lien, ce n’est pas la peine de s’épuiser  à converser" l'argument  de mes obligences de partager un concert
Paris regorgent de concerts gratuits
 surtout que je sais que dans l’affaire je suis dans un cotât de paroles du 75 °/° entre 25 °/°

Je le veux bien certes mais je viens de clore une affaire où en Un an  rien ne fut évolutif alors ce type de pourcentage, il faut au moins quelques   crépitements, des mains  se touchent, des baisers  volent et se posent aussi légers sur le dodu du galbe des lévres
  des baisers  volent , se posent aussi légers que les libellules sur une herbe au coeur de la rivière ou sur un tableau de Elfi.

Et pourtant il y des viviers  de désirs qui s’engraissent d’attente et du coup sans cou caressé sculptent des voies directes pour un abonnement à la mélancolie.


J’aime la vie, le monde, les hommes, les femmes of course à la beauté , la fertilité de la genérosité enfin pas chez toute on dirait.
 
 çà je ne peux plus me mentir. Je sens que la chaleur tropicale  me ramène très loin  sous les alizées , les tropiques  les boubous volent à la première climatisation bien réglée.

Depuis toujours les périodes de vaches maigres et de frayeurs sociales, pour lutter  souvent un taux de "cocoteries"  des sens  s’éveille comme le lion de Shiller du fond de la brousse et hurle « avant de crever soyons encore vivants"

Chers amis, lecteurs, lectrices, devenons des passeurs, des marieuses, marieurs, afin que la force de endomorphines roses des bonnes éclades de moules sur des épines de pins comme sur le Bassin d’Arcachon puissent faire barrage à l’engloutissement de plus en plus  massif ou  le glauque de solitude pas étayer, ne peut pour générer la création, la bonne santé , la juste du subtile humour...


J’appelle au secours de tous ceux qui veulent être ‘Nous’ et n’ose même plus y penser.

Je ne parle pas de sexe dans mon billet, je parle des joies de l’amour de l’autre, la complicité les rires les inventions les surprises comme disait un sociologue italien Alberoni … ‘enmoration’ c’est un état révolutionnaire et  j’y crois
Je vous laisse penser ce que je n’écris pas 

 Frankie Map's Monde












 photo d'Ariane mouchkine
laissez vous inspirer  agissons pour cette joie sublime que la complicité dans les "nous" de l'été

je vous embrasse
je vous aime du pollen des fleurs
ensemençons nous prairies humaines.

Frankie goes to Hollywood, and Woodstock

Frankie Pain



2 commentaires:

  1. Allégresse et amour dans tes mots et sous tes mots -je glisse les miens, tout doux, entre eux ...

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