Textes du jour de la blog-woman, phrases : colonne vertébrale, contes, légendes, mots d'humeurs, d'amour, lettres à la mer, recherche de connivence, complicité, ses dessins, ...la jazzeuse des grands chemins et sentes, écrivaine nomade des murmures de la vie intérieure et des happening minimalistes nés au hasard d'un banc public dans un parc aromatique , un abri bus , un train , un marché, les pas perdus d'un aérogare tous les lieux insolites pour une rencontre.
dimanche 31 octobre 2010
de la buanderie de la Maison Rose, à la Perle de Rosée au baiser"les adeiux de bretagne" de Frankie Pain
la-lessiveuse
Perle de Rosée et Frimousse
les accessoires de buanderie usage nouveau
la buanderie est un endroit agréable
Pilar s’est installé dans la buanderie de la maison rose, elle a entre ses mains la chemise de Sebastian. Elle a pris un coton tige, de l’eau écarlate, elle frotte la trace de rouge à lèvres, et sur l’épaule les bijoux éphémères déposés dans les traces de son rimmel. Le temps s’est suspendu, elle retraverse les étapes du chemin jusqu’au croisement de cet homme en vrai.
Elle pleure souvenant, souvent. De joie quand elle est dans ses bras.
Anna arrive avec une grosse panière de linge. Pilar sort de son rêve, se concentre sur sa tâche.
Anna :
Pilar laissez –moi cette chemise, je vous en prie depuis des lustres je fais les travaux pour cette famille et avec un air fripon assez inattendue :
Sans vouloir vous êtes désobligeante, je ne pense pas que vous n’excellez pas en ce domaine si Sébastian vous a élue c’est pour des qualités. . .
Anna s’interrompe, observe Pilar
Oui des qualités si rares une seule jusqu’à aujourd’hui en détenait la connaissance.
Alors je vous prie, allez tranquillement vers vos occupations, votre attention me touche, et monsieur me paie fort bien pour tout cela. . .
Pilar rigole doucement !
Pilar
- c’est un endroit magique la buanderie !
Anna
la porte ne vous en est pas fermée, venez avec vos carnet de croquis ou juste comme aujourd’hui toucher la chemise de Monsieur, tout à l’honneur des sentiments qui vous lient, nous sommes de la même trempe, vous et moi .
Sébastian frappe, attend, rentre
Sébastain
Puis-je vous l’enlever Anna ?
Anna à Pilar
- Vous voyez !
Il sentit l’émotion de PILAR
Sébastain
Anna ?
Pilar
Cette femme est délicate et parle savamment. Elle m’a remis gentillement à ma place. A Ma place que je ne connais pas.
Sébastain
Je suis un homme assez lisible, vous habitez parfaitement l’espace de l’amour qui est rarement habité, de ma vie de mari je ne l’ai jamais explorée.
Pilar
Et de ma vie de femme je m’y suis jamais tenue que quelques jours, j’ai vu le couvercle se refermer.
Je devais d’abord me découvrir de par les autres, par le monde mes multitudes d’activités et l’art.
Aujourd’hui je suis ravie de me sentir prête à cette exploration et d’être deux à le désirer.
Quelle magnifique chanson, dans ma vie, comme la gaîté de Mozart dans un morceau de musique crée au cœur de son plus grand désarroi : amoureuse de 4 images, ce vol d’identité.
Après un mois d’un courrier étrangement « Bébé », je découvris le larcin : derrière ce beau blanc « François Soulier » une machination ; un « ivoirien » y était caché.
Anna traverse la salle à manger effleure l’image des deux, légère expression interrogative, elle donne un coup d’accélérateur à sa démarche, elle remue le fricot dans la cocotte sur la grosse cuisinière en fonte sur laquelle la bouilloire chante .
Sébastain
- Allons à notre étage !
Et à l’oreille de Pilar
- C’est l’heure du thé de roses
Il se ravise
- Perle de Rosée !. . . . . . .
Perle de Rosée, j’ai appelé ma dernière jument née, c’était prémonitoire, je vous l’offre ainsi s’inscrit dans les murs de la maison rose les bons égards envers vous.
Sortant de l’ascenseur, il ouvre la fenêtre qui donne sur le cœur de la ferme côté champs et bois et dirige le regard de Pilar :
- Vous la voyez, elle joue avec sa sœur Frimousse.
Pilar
Belle race, belle robe, je suis comblée. « Perle de rosée » !
Sébastain
Ici la race pour les labours, percheronne coupé d’anglo arabe. Robuste pour vive à toute saison dans les herbages, même si bien sur elles ont leur écurie. Façon habile de ne pas passer la tondeuse, engrais naturel. La beauté de chaque instant dans le paysage !
Pilar
Je vis un rêve les yeux ouverts !
J’ai eu raison de vous chercher partout. . .
J’ai fait çà en catimini, à part la psycho morphologue sur vos quatre photos. Elle
confirma les raisons de mon émoi, vous aviez les caractéristiques d’un homme qui
appartenait à la race de ceux dont j’ai pu être amoureuse, peu étaient dans la
confidence, je fus fort déçue quand l’une confondit dans le retour la rage contre
l’ivoirien et vous. Réponse rapide pour faire plaisir, mise en attente de la
réponse, soin abrupt comme on liquide une vielle facture lors d’une rentrée
d’argent.
Ah ! Les regards diagonaux ou les lectures du même genre quand je tente
obsessionnellement dans mon écoute d’être spécifique par éthique envers l’amitié ou
la demande formulée…
Sébastain referme la fenêtre. Il serre Pilar très fort conte lui fiévreusement
engage un baiser « les adieux de Bretagne ».
à suivre
de frankie pain
samedi 30 octobre 2010
contes et exposition en ce moment
SIX CONTEUSES SUR LE TOIT DU MONDE !
Au carrefour de leurs chemins
A la croisée de leurs histoires
Huit conteuses se sont rencontrées sur le Toit du Monde.
De leurs voyages imaginaires est né un spectacle !
Deux par deux,
Ici,
Tous les samedis
Ces conteuses vont vous parler de l’Himalaya
Au travers de contes de l’Inde, du Népal, du Tibet, …
Royaumes merveilleux et mystérieux.
Petits et grands, jeunes et vieux
Venez les écouter de vos deux yeux,
Regardez de vos deux oreilles.
Observez et vous entendrez
Conter des histoires sans pareille !
Les conteuses : Anne
Anne-Marie
Marie-Chantal
Maxime
Muriel
Paule
Leur répétitrice : Marie-Louise
CONTEES depuis le SAMEDI 2 octobre 2010
A 14h30 et 16h30
Pour plus d’information : www.espacelmdd.fr ou l’Espace Durand-Dessert.
vendredi 29 octobre 2010
jeu interactif pour une affiche d'un goupe de conteuse
chaise vides
ou chaises pleines
ces feuilles suivantes faites pour être découpées et habiter les chaises
si jouer au collage et découpage
dans les jours gris qui nous arrivent
vous pouvez envoyez vos propositions
elle seront exposées sur ce blog
et vous serez conviés ultérieuement à venir nous entendre
koll ! ? IS N'TIT !
envoyez
lamangou@yahoo.fr
n'oubliez pas de signer
les options actuellement sont sur les chaises vides mais la grâce cela existe !
aquarelles de frankie
fragments de ses cahiers de répétition des contes
Le jardin de la belle El Ghalia Bent El Mansour conte du vendredi
panne de scanne pour la journée je vous mettrai les aquarelles de ce conte quand il sortira de son caprice bonne lecture
ce conte fera patie de ma contée du lundi parés noËL à BORDEAUX
"tue moi dit le corbeau prends ce pistolet , il y a six balles , tues-moi et tu auras la clé d'or pour entrée dans le jardin de la belle Galhia"
L'esclave dit: " vous voulez la voir , elle est dans sa phase de sommeil il vous faudra attendre 4 JOURS3
- Je ne peux pas attende mon père est gravement malade je dois avoir sur le champ les fruits de son jardin !"
LA VIPÈRE DIT : ENTRE PAR MA BOUCHE ET TU TROUVERAS LE JARDIN DE LA BELLE GALHIA DEL EL MANSOUR MAIS ATTENTION AU FON IL Y A DEUX MONTAGNES QUI DE TEMPS EN TEMPS SE REFERMENT VIS BIEN CAR AUTREMENT TU PEUX ÊTRE BROYÉ"
Quand Galhia se réveille elle constate que l'on a touché aux fruits de son jardin , elle voit l'inscription d'un nom écris au sang su le muret du jardin elle enfourche son cheval passe par la bouche de la vipère furieuse d'avoir été volée "
les refletsdes fruits du jardin de Galhia DANS LES GAMME DE ROSE ET D'orangers
Le jardin de la belle El Ghalia Bent El Mansour
(Conte arabe traditionnel)
Il était une fois un homme de bien
qui possédait sept femmes et sept juments.
Les unes et les autres étaient stériles.
Le maître se désolait lorsqu'il parcourait le souk.
Il regardait avec attendrissement les pères et les fils déambuler de concert en échangeant paroles douces comme le miel et sourires empreints de respect.
Un beau jour, il alla trouver un docteur juif
et lui demanda ce qu'il devait faire pour connaître enfin les joies de la paternité.
Le vieux juif lui conseilla de prendre une huitième épouse et d'acheter une huitième jument.
Ce qu'il fit !
La première année, sa première femme lui donna un premier fils,
et sa première jument, un premier poulain.
Il en fut ainsi chaque année pour chacune de ses femmes et chacune de ses juments.
La huitième année, la huitième femme lui donna un huitième fils, le plus aimable qui soit.
La huitième jument engendra un poulain qui était le plus vif et le plus rapide que l'on eût jamais vu.
L'homme de bien était un homme comblé.
Mais les qualités de son benjamin suscitaient la jalousie de ses aînés.
Ils bouillaient de le voir toujours briller en société, de le voir gagner toutes les courses avec son cheval.
Ils allèrent un jour se confier à leur vieille nourrice qui s'était retirée non loin du souk.
Celle-ci se rendit auprès de son ancien maître, parla de choses et d'autres, du temps, de la récolte de dattes à venir, des caravanes qui faisaient halte aux portes de la ville, des esclaves noirs et chrétiens qu'on vendait sur le marché.
Puis elle lui demanda :
- Sais-tu quel fils t'aime le plus ?
L'homme de bien sourit avec indulgence, convaincu de connaître la réponse.
Pour ne pas blesser la nourrice, il dit :
- Je ne sais pas !
- Eh bien, dit la nourrice, fais semblant d'être malade !
Demande à tes fils de t'apporter les fruits du jardin de la belle El Ghalia Bent El Mansour qui seuls pourraient te guérir.
L'homme se prêta au jeu.
Les fils se récusèrent les uns après les autres.
À l'exception du dernier, qui promit de se mettre en quête dès le lendemain.
Le père ordonna à ses frères d'accompagner le benjamin.
Il leur fit remettre une somme d'argent pour pourvoir aux frais du voyage, qui serait long et dangereux.
Le lendemain, les huit frères se mirent en route.
En traversant la première ville rencontrée, les aînés vendirent leurs chevaux, et ouvrirent un commerce.
Le plus jeune poursuivit sa route.
Après avoir parcouru le pays en tous sens, il se prépara à passer la nuit sur un rocher dominant une vaste grotte.
Comme le sommeil le gagnait, il entendit du bruit.
Ouvrant les yeux, il vit un troupeau de moutons qui pénétrait dans la grotte.
Le berger n'était autre qu'une vipère énorme !
De saisissement, le jeune homme fit un geste brusque.
Il heurta son sac de voyage.
Ses provisions roulèrent vers la vipère.
Cette dernière s'en délecta.
Elle déclara qu'elle était prête à exaucer le moindre voeu de l'homme qui avait calmé son appétit.
Le jeune homme s'empressa de se montrer.
Il lui dit qu'il voulait se rendre au jardin de la belle El Ghalia Bent El Mansour !
- Rien de plus facile, dit la vipère :
le chemin qui mène à ce jardin passe par ma gueule.
Tu devras prendre garde aux deux montagnes qui closent mon gosier :
il se ferme et s'ouvre si vite ....
que tu serais broyé s'il se refermait sur toi !
Tu devras aussi invoquer le nom d'Allah
quand les éléments te feront obstacle.
Si tu échappes à mon gosier et aux éléments déchaînés, tu parviendras au jardin de la belle El Ghalia Bent El Mansour !
La vipère ouvrit son énorme gueule.
Le cheval, d'un bond, entra à l'intérieur.
Le jeune homme prit le temps de réciter un verset du Coran avant de jeter son cheval dans le défilé du gosier :
ils n'eurent que le temps de passer.
La queue du cheval fut coupée net quand les deux montagnes se refermèrent.
La route fut longue jusqu'au jardin de la belle El Ghalia Bent El Mansour.
Les pierres roulaient vers eux,
les arbres et les plantes se tordaient pour les étouffer,
le vent rugissait,
des vagues monstrueuses tourbillonnaient.
Le jeune homme invoquait le nom d'Allah.
Il avançait toujours.
Il parvint enfin devant un mur derrière lequel se dessinait un château de marbre vert.
Une porte d'or,
couverte d'une coupole de jade,
protégeait l'entrée de la propriété.
Un corbeau,
qui tenait dans son bec une clé en or,
était perché au-dessus de la coupole :
Je suis le gardien du jardin de la belle El Ghalia Bent El Mansour.
Pour entrer, il te faudra me tuer.
Voici un fusil et six balles.
Si tu me rates six fois, la terre t'avalera !
Le jeune homme prit le fusil.
Il rata une première fois le corbeau.
Il s'enfonça dans le sol jusqu'aux chevilles.
Il tira une seconde balle.
Il rata de nouveau le corbeau.
Il s'enfonça jusqu'au genoux.
Il tira une troisième balle.
Le corbeau tomba, et la clé d'or avec.
La terre se mua en sable.
Le jeune homme se dégagea.
Il pénétra dans le parc du château.
Il sentit qu'on lui touchait le bras.
En se retournant, il vit une esclave :
- Ma maîtresse, la belle El Ghalia Bent El Mansour,
dort depuis quatre jours.
Tu devras attendre quatre jours pour la rencontrer,
car elle veille huit jours,
et dort ensuite pendant huit jours.
- Je n'ai pas le temps d'attendre, dit le jeune homme :
mon père est malade
et je dois lui ramener au plus vite les fruits du jardin de la belle El Ghalia Bent El Mansour !
Sans écouter les protestations de l'esclave,
il se rendit au jardin.
Il y emplit son sac de fruits.
Avant de partir,
il prit son poignard, se coupa le doigt,
et écrivit son nom sur le mur.
Il reprit le même chemin.
En invoquant le nom d'Allah,
Il apaisa de nouveau les éléments déchaînés.
Après avoir récité un verset du Coran,
Il franchit de nouveau le gosier du monstre.
Puis il partit vers la ville où il avait laissé ses frères.
Ceux-ci vendirent leur commerce,
achetèrent de nouveaux chevaux,
et prirent le chemin de la maison du père.
En cours de route, l'aîné se plaignit de la soif.
Le benjamin chercha un puits, et en trouva un.
- Il n'y a plus une goutte d'eau dans ce puits,
s'exclama l'aîné !
Le benjamin se pencha.
Les frères le firent basculer.
Sans plus attendre, ils gagnèrent la demeure du père.
L'homme de bien contempla les fruits du jardin de la belle El Ghalia Bent El Mansour.
Il les tourna et les retourna dans sa main.
Son coeur était triste....
Les aînés avaient prétendu que le benjamin les avait quittés
pour mener joyeuse vie,
dépensant sans compter son argent
avec des gens de peu et des femmes impures.
Pendant ce temps, la belle El Ghalia Bent El Mansour s'était éveillée.
Mise en fureur par la disparition des fruits,
elle fit couper la tête de son esclave.
Elle partit ensuite à la recherche de son voleur.
Son cheval franchit la gueule de la vipère d'un bond, sans même avoir touché le sol.
En chemin, la belle El Ghalia Bent El Mansour, qui comprenait le langage des oiseaux et des animaux, les entendit vanter les mérites d'un jeune homme qui avait affronté bien des dangers pour rapporter à son père des fruits destinés à le guérir d'une maladie terrible.
Elle reconnut le nom de son voleur !
Avec l'aide d'Allah le miséricordieux,
le fiel de la colère se mua peu à peu en miel.
Parvenue chez le père, elle se présenta comme la belle El Ghalia Bent El Mansour.
Elle exigea d'être présentée à son voleur.
Les frères, qui redoutaient sa vengeance,
s'empressèrent de nier être l'auteur du larcin.
Le père se fâcha.
Il leur dit que, s'ils ne lui disaient pas la vérité,
il leur ferait couper la tête.
Honteux, les frères confessèrent avoir assassiné le benjamin.
Aussitôt, le père organisa une caravane pour ramener le corps de son fils.
Devant le puits, un cheval à la queue coupée net hennissait de douleur.
Quelle ne fut pas la surprise du père et de la belle El Ghalia Bent El Mansour en apercevant le jeune homme retenu par une toile d'araignée !
Allah le miséricordieux lui avait ainsi manifesté aide et estime !
La belle El Ghalia Bent El Mansour épousa son voleur et, touchée par la grande bonté d'Allah, elle fit grâce aux sept frères !
ce conte fera patie de ma contée du lundi parés noËL à BORDEAUX
"tue moi dit le corbeau prends ce pistolet , il y a six balles , tues-moi et tu auras la clé d'or pour entrée dans le jardin de la belle Galhia"
L'esclave dit: " vous voulez la voir , elle est dans sa phase de sommeil il vous faudra attendre 4 JOURS3
- Je ne peux pas attende mon père est gravement malade je dois avoir sur le champ les fruits de son jardin !"
LA VIPÈRE DIT : ENTRE PAR MA BOUCHE ET TU TROUVERAS LE JARDIN DE LA BELLE GALHIA DEL EL MANSOUR MAIS ATTENTION AU FON IL Y A DEUX MONTAGNES QUI DE TEMPS EN TEMPS SE REFERMENT VIS BIEN CAR AUTREMENT TU PEUX ÊTRE BROYÉ"
Quand Galhia se réveille elle constate que l'on a touché aux fruits de son jardin , elle voit l'inscription d'un nom écris au sang su le muret du jardin elle enfourche son cheval passe par la bouche de la vipère furieuse d'avoir été volée "
les refletsdes fruits du jardin de Galhia DANS LES GAMME DE ROSE ET D'orangers
Le jardin de la belle El Ghalia Bent El Mansour
(Conte arabe traditionnel)
Il était une fois un homme de bien
qui possédait sept femmes et sept juments.
Les unes et les autres étaient stériles.
Le maître se désolait lorsqu'il parcourait le souk.
Il regardait avec attendrissement les pères et les fils déambuler de concert en échangeant paroles douces comme le miel et sourires empreints de respect.
Un beau jour, il alla trouver un docteur juif
et lui demanda ce qu'il devait faire pour connaître enfin les joies de la paternité.
Le vieux juif lui conseilla de prendre une huitième épouse et d'acheter une huitième jument.
Ce qu'il fit !
La première année, sa première femme lui donna un premier fils,
et sa première jument, un premier poulain.
Il en fut ainsi chaque année pour chacune de ses femmes et chacune de ses juments.
La huitième année, la huitième femme lui donna un huitième fils, le plus aimable qui soit.
La huitième jument engendra un poulain qui était le plus vif et le plus rapide que l'on eût jamais vu.
L'homme de bien était un homme comblé.
Mais les qualités de son benjamin suscitaient la jalousie de ses aînés.
Ils bouillaient de le voir toujours briller en société, de le voir gagner toutes les courses avec son cheval.
Ils allèrent un jour se confier à leur vieille nourrice qui s'était retirée non loin du souk.
Celle-ci se rendit auprès de son ancien maître, parla de choses et d'autres, du temps, de la récolte de dattes à venir, des caravanes qui faisaient halte aux portes de la ville, des esclaves noirs et chrétiens qu'on vendait sur le marché.
Puis elle lui demanda :
- Sais-tu quel fils t'aime le plus ?
L'homme de bien sourit avec indulgence, convaincu de connaître la réponse.
Pour ne pas blesser la nourrice, il dit :
- Je ne sais pas !
- Eh bien, dit la nourrice, fais semblant d'être malade !
Demande à tes fils de t'apporter les fruits du jardin de la belle El Ghalia Bent El Mansour qui seuls pourraient te guérir.
L'homme se prêta au jeu.
Les fils se récusèrent les uns après les autres.
À l'exception du dernier, qui promit de se mettre en quête dès le lendemain.
Le père ordonna à ses frères d'accompagner le benjamin.
Il leur fit remettre une somme d'argent pour pourvoir aux frais du voyage, qui serait long et dangereux.
Le lendemain, les huit frères se mirent en route.
En traversant la première ville rencontrée, les aînés vendirent leurs chevaux, et ouvrirent un commerce.
Le plus jeune poursuivit sa route.
Après avoir parcouru le pays en tous sens, il se prépara à passer la nuit sur un rocher dominant une vaste grotte.
Comme le sommeil le gagnait, il entendit du bruit.
Ouvrant les yeux, il vit un troupeau de moutons qui pénétrait dans la grotte.
Le berger n'était autre qu'une vipère énorme !
De saisissement, le jeune homme fit un geste brusque.
Il heurta son sac de voyage.
Ses provisions roulèrent vers la vipère.
Cette dernière s'en délecta.
Elle déclara qu'elle était prête à exaucer le moindre voeu de l'homme qui avait calmé son appétit.
Le jeune homme s'empressa de se montrer.
Il lui dit qu'il voulait se rendre au jardin de la belle El Ghalia Bent El Mansour !
- Rien de plus facile, dit la vipère :
le chemin qui mène à ce jardin passe par ma gueule.
Tu devras prendre garde aux deux montagnes qui closent mon gosier :
il se ferme et s'ouvre si vite ....
que tu serais broyé s'il se refermait sur toi !
Tu devras aussi invoquer le nom d'Allah
quand les éléments te feront obstacle.
Si tu échappes à mon gosier et aux éléments déchaînés, tu parviendras au jardin de la belle El Ghalia Bent El Mansour !
La vipère ouvrit son énorme gueule.
Le cheval, d'un bond, entra à l'intérieur.
Le jeune homme prit le temps de réciter un verset du Coran avant de jeter son cheval dans le défilé du gosier :
ils n'eurent que le temps de passer.
La queue du cheval fut coupée net quand les deux montagnes se refermèrent.
La route fut longue jusqu'au jardin de la belle El Ghalia Bent El Mansour.
Les pierres roulaient vers eux,
les arbres et les plantes se tordaient pour les étouffer,
le vent rugissait,
des vagues monstrueuses tourbillonnaient.
Le jeune homme invoquait le nom d'Allah.
Il avançait toujours.
Il parvint enfin devant un mur derrière lequel se dessinait un château de marbre vert.
Une porte d'or,
couverte d'une coupole de jade,
protégeait l'entrée de la propriété.
Un corbeau,
qui tenait dans son bec une clé en or,
était perché au-dessus de la coupole :
Je suis le gardien du jardin de la belle El Ghalia Bent El Mansour.
Pour entrer, il te faudra me tuer.
Voici un fusil et six balles.
Si tu me rates six fois, la terre t'avalera !
Le jeune homme prit le fusil.
Il rata une première fois le corbeau.
Il s'enfonça dans le sol jusqu'aux chevilles.
Il tira une seconde balle.
Il rata de nouveau le corbeau.
Il s'enfonça jusqu'au genoux.
Il tira une troisième balle.
Le corbeau tomba, et la clé d'or avec.
La terre se mua en sable.
Le jeune homme se dégagea.
Il pénétra dans le parc du château.
Il sentit qu'on lui touchait le bras.
En se retournant, il vit une esclave :
- Ma maîtresse, la belle El Ghalia Bent El Mansour,
dort depuis quatre jours.
Tu devras attendre quatre jours pour la rencontrer,
car elle veille huit jours,
et dort ensuite pendant huit jours.
- Je n'ai pas le temps d'attendre, dit le jeune homme :
mon père est malade
et je dois lui ramener au plus vite les fruits du jardin de la belle El Ghalia Bent El Mansour !
Sans écouter les protestations de l'esclave,
il se rendit au jardin.
Il y emplit son sac de fruits.
Avant de partir,
il prit son poignard, se coupa le doigt,
et écrivit son nom sur le mur.
Il reprit le même chemin.
En invoquant le nom d'Allah,
Il apaisa de nouveau les éléments déchaînés.
Après avoir récité un verset du Coran,
Il franchit de nouveau le gosier du monstre.
Puis il partit vers la ville où il avait laissé ses frères.
Ceux-ci vendirent leur commerce,
achetèrent de nouveaux chevaux,
et prirent le chemin de la maison du père.
En cours de route, l'aîné se plaignit de la soif.
Le benjamin chercha un puits, et en trouva un.
- Il n'y a plus une goutte d'eau dans ce puits,
s'exclama l'aîné !
Le benjamin se pencha.
Les frères le firent basculer.
Sans plus attendre, ils gagnèrent la demeure du père.
L'homme de bien contempla les fruits du jardin de la belle El Ghalia Bent El Mansour.
Il les tourna et les retourna dans sa main.
Son coeur était triste....
Les aînés avaient prétendu que le benjamin les avait quittés
pour mener joyeuse vie,
dépensant sans compter son argent
avec des gens de peu et des femmes impures.
Pendant ce temps, la belle El Ghalia Bent El Mansour s'était éveillée.
Mise en fureur par la disparition des fruits,
elle fit couper la tête de son esclave.
Elle partit ensuite à la recherche de son voleur.
Son cheval franchit la gueule de la vipère d'un bond, sans même avoir touché le sol.
En chemin, la belle El Ghalia Bent El Mansour, qui comprenait le langage des oiseaux et des animaux, les entendit vanter les mérites d'un jeune homme qui avait affronté bien des dangers pour rapporter à son père des fruits destinés à le guérir d'une maladie terrible.
Elle reconnut le nom de son voleur !
Avec l'aide d'Allah le miséricordieux,
le fiel de la colère se mua peu à peu en miel.
Parvenue chez le père, elle se présenta comme la belle El Ghalia Bent El Mansour.
Elle exigea d'être présentée à son voleur.
Les frères, qui redoutaient sa vengeance,
s'empressèrent de nier être l'auteur du larcin.
Le père se fâcha.
Il leur dit que, s'ils ne lui disaient pas la vérité,
il leur ferait couper la tête.
Honteux, les frères confessèrent avoir assassiné le benjamin.
Aussitôt, le père organisa une caravane pour ramener le corps de son fils.
Devant le puits, un cheval à la queue coupée net hennissait de douleur.
Quelle ne fut pas la surprise du père et de la belle El Ghalia Bent El Mansour en apercevant le jeune homme retenu par une toile d'araignée !
Allah le miséricordieux lui avait ainsi manifesté aide et estime !
La belle El Ghalia Bent El Mansour épousa son voleur et, touchée par la grande bonté d'Allah, elle fit grâce aux sept frères !
mercredi 27 octobre 2010
La maison rose rubrique bye Frankie Pain
photos de frankie
FRANKIE dans augustine
SUR LE TOURNAGE DE "PROTEGER ET SERVIR"
d'eric lavaine e avec Clovis Corniac et Gad Merane
collage pour ambiance : décor afrique
La maison rose rubrique bye Frankie Pain
Notes d’un grand voyage
La cote del’Ivoire
Chapitre ( ) de l’Eldorado du corps
Cet endroit - la maison rose-
Est le dernier décor de l’histoire
Anna la vieille gouvernante de la famille :
Ses cheveux bleu gris
Les yeux copieurs étaient des mêmes tons
Les pommettes rougeaudes d’avoir guetté
Les lignes du large à toutes saisons ;
Le mari, les fils embarqués depuis toujours
LA Terre Neuve
Dans la cheminée la marmite répandait
Généreusement son fumet.
Le gros rutabaga dansait la samba
Avec Thym et romarin
À la cymbale le chou
À la harpe celtique l’entame du jambon.
A sa maison Sébastian fit venir Pilar
(Nous avons réunis nos deux héros)
Il avait fait choisir Pilar :
-le bois ou les eaux grosses.
Le bateau fut l’élu.
« N’est-ce pas pareillement qu’au monde
Ainsi était venu lui elle tous
Dans ses bras
Le bercement des vagues
Le visage vaporisé d’embruns
L’amplitude de la vue
Large comme leur premier sourire.
La gouvernante portait la robe jaune
Que Sebastian lui avait fait confectionné
Par son tailleur du plateau
Avec le modèle de la bretonne à la robe jaune de Gauguin.
Ils s’empoignèrent l’un l’autre
Pilar s’était mise en retrait
Observait ses deux.
Dieu que beau l’amour ;
Hamzammer fit son entrée avec le panier à bûche
Il les installa dans le côté droit de l’âtre
Remis de la tenue des bûches en cendres et bois encore
Et vint saluer le patron.
Entre eux règne la langue des animaux
Leur usage s’illumina
Au milieu de la barbe fournie de quatre jours
En prairie, libres ses poils
Dans son sourire d’enfant il nous ses chicots
A suivre). . . . . . . .(
EN COURS D'écriture Frankie Pain
mardi 26 octobre 2010
rubrique amour dans les plumes et griffesde LOUISE LABE
louise
diane louise labé
depuis-quamour-cruel-empoisonna-louise-labe
Chagall louise Labé
je donne ma langue à la belle plume à Louise Labé
née Louise Charly en 1524 à Lyon, décédée le 25 avril 1566
à Parcieux-en-Dombes, est une poétesse française. Surnommée « La Belle Cordière », elle fait partie des poètes en activité à Lyon pendant la Renaissance. Louise l'ABBe
sa griffes a fait sa réputation , et l'histoire que je suis entrain de vous écrire rame un peu oui, partie pour une grande histoire d'amour. . .
ALORS JE CHERCHE?
où la commence ?
quand commence l'histoire ?
voyez vous à vouloir écrire fais le temps n'a pas déposer son sceau,
il n'y a que le poisson frais qui se cuisine en sortant de l'eau.
BONNE LECTURE DE LOUISE EN ATTENDANT L4HISTOIE DE PILAR ET DE SEBASTIAN
A VOUS Louise :
Au temps qu'Amour, d'hommes et Dieux vainqueur
Au temps qu'Amour, d'hommes et Dieux vainqueur,
Faisait brûler de sa flamme mon coeur,
En embrasant de sa cruelle rage
Mon sang, mes os, mon esprit et courage,
Encore lors je n'avais la puissance
De lamenter ma peine et ma souffrance ;
Encor Phébus, ami des lauriers verts,
N'avait permis que je fisse des vers.
Mais maintenant que sa fureur divine
Remplit d'ardeur ma hardie poitrine,
Chanter me fait, non les bruyants tonnerres
De Jupiter, ou les cruelles guerres
Dont trouble Mars, quand il veut, l'Univers ;
Il m'a donné la lyre, qui les vers
Soulait chanter de l'amour Lesbienne :
Et à ce coup pleurera de la mienne.
Ô doux archet, adoucis-moi la voix,
Qui pourrait fendre et aigrir quelquefois,
En récitant tant d'ennuis et douleurs,
Tant de dépits, fortunes et malheurs.
Trempe l'ardeur dont jadis mon coeur tendre
Fut, en brûlant, demi réduit en cendre.
Je sens déjà un piteux souvenir
Qui me contraint la larme à l'oeil venir.
Il m'est avis que je sens les alarmes
Que premiers j'eus d'Amour, je vois les armes
Dont il s'arma en venant m'assaillir.
C'étaient mes yeux, dont tant faisais saillir
De traits à ceux qui trop me regardaient,
Et de mon arc assez ne se gardaient.
Mais ces miens traits, ces miens yeux me défirent,
Et de vengeance être exemple me firent.
Et me moquant, et voyant l'un aimer,
L'autre brûler et d'amour consommer ;
En voyant tant de larmes épandues,
Tant de soupirs et prières perdues,
Je n'aperçus que soudain me vint prendre
Le même mal que je soulais reprendre,
Qui me perça d'une telle furie
Qu'encor n'en suis après long temps guérie ;
Et maintenant me suis encor contrainte
De rafraîchir d'une nouvelle plainte
Mes maux passés. Dames qui les lirez,
De mes regrets avec moi soupirez.
Possible, un jour, je ferai le semblable,
Et aiderai votre voix pitoyable
A vos travaux et peines raconter,
Au temps perdu vainement lamenter.
Quelque rigueur qui loge en votre coeur,
Amour s'en peut un jour rendre vainqueur.
Et plus aurez lui été ennemies,
Pis vous fera, vous sentant asservies.
N'estimez point que l'on doive blâmer
Celles qu'a fait Cupidon enflammer.
Autres que nous, nonobstant leur hautesse,
Ont enduré l'amoureuse rudesse :
Leur coeur hautain, leur beauté, leur lignage,
Ne les ont su préserver du servage
De dur Amour ; les plus nobles esprits
En sont plus fort et plus soudain épris.
Sémiramis, reine tant renommée,
Qui mit en route avecque son armée
Les noirs squadrons des Ethiopiens,
Et, en montrant louable exemple aux siens,
Faisait couler, de son furieux branc,
Des ennemis les plus braves le sang,
Ayant encor envie de conquerre
Tous ses voisins, ou leur mener la guerre,
Trouva Amour, qui si fort la pressa,
Qu'armes et lois vaincue elle laissa.
Ne méritait sa Royale grandeur
Au moins avoir un moins fâcheux malheur
Qu'aimer son fils ? Reine de Babylone,
Où est ton coeur qui ès combats résonne ?
Qu'est devenu ce fer et cet écu,
Dont tu rendais le plus brave vaincu ?
Où as-tu mis la martiale crête
Qui obombrait le blond or de ta tête ?
Où est l'épée, où est cette cuirasse,
Dont tu rompais des ennemis l'audace ?
Où sont fuis tes coursiers furieux,
Lesquels traînaient ton char victorieux ?
T'a pu si tôt un faible ennemi rompre ?
A pu si tôt ton coeur viril corrompre,
Que le plaisir d'armes plus ne te touche,
Mais seulement languis en une couche ?
Tu as laissé les aigreurs martiales,
Pour recouvrer les douceurs géniales.
Ainsi Amour de toi t'a étrangée
Qu'on te dirait en une autre changée.
Doncques celui lequel d'Amour éprise
Plaindre me voit, que point il ne méprise
Mon triste deuil : Amour, peut-être, en brief
En son endroit n'apparaîtra moins grief.
Telle j'ai vue, qui avait en jeunesse
Blâmé Amour, après en sa vieillesse
Brûler d'ardeur, et plaindre tendrement
L'âpre rigueur de son tardif tourment.
Alors, de fard et eau continuelle,
Elle essayait se faire venir belle,
Voulant chasser le ridé labourage,
Que l'âge avait gravé sur son visage.
Sur son chef gris elle avait empruntée
Quelque perruque, et assez mal entée ;
Et plus était à son gré bien fardée,
De son Ami moins était regardée :
Lequel, ailleurs fuyant, n'en tenait compte,
Tant lui semblait laide, et avait grand'honte
D'être aimé d'elle. Ainsi la pauvre vieille
Recevait bien pareille pour pareille.
De maints en vain un temps fut réclamée ;
Ores qu'elle aime, elle n'est point aimée.
Ainsi Amour prend son plaisir à faire
Que le veuil d'un soit à l'autre contraire.
Tel n'aime point, qu'une Dame aimera ;
Tel aime aussi, qui aimé ne sera ;
Et entretient, néanmoins, sa puissance
Et sa rigueur d'une vaine espérance.
Baise m'encor, rebaise moy et baise
Donne m'en un de tes plus savoureus,
Donne m'en un de tes plus amoureus :
Je t'en rendray quatre plus chaus que braise
Las, te plains-tu ? ça que ce doux mal j'apaise,
En t'en donnant dix autres doucereus.
Ainsi meslans nos baisers tant heureus
Jouissons nous l'un de l'autre à notre aise.
Lors double vie à chacun en suivra.
Chacun en soy et son ami vivra.
Permets m'Amour penser quelque folie :
Tousjours suis mal, vivant discrettement
Et ne me puis donner contentement,
Si hors de moy ne fay quelque saillie.
une brassée de citations pour être sur l'onde du bonheur du mardi
Le bonheur c’est de se piquer à l’ail comme un bon roti , bouf , porc veau, ou dinde
La dinde peut-être car quand on a la tête dans les talons le moral en berne, appelons le grutier des mots et retroussons l’entendement enfilons nous dedans comme une chaussette de laine quand il fait froid
La « quintonine » d’un mental qui fout la malle
KALOU RINPOCHÉ
Prendre pour permanent ce qui est transitoire est illusion de fou.
Montaigne
Nous nous devons pour une part à la société, mais pour la meilleure part à nous-même.
Sénèque
Une bonté opiniâtre triomphe du plus mauvais cœur.
Émile Amet
La bonté, qui devrait être la vertu le plus estimée, devient presque une injure :« Vous êtes trop bon » est souvent employé comme synonyme de : « Vous êtes trop bête ! »
Ramana Maharshi
Le langage muet de coeur à coeur vaut tous les langages. Toute conversation doit finir dans le silence seulement.
« J’ai une amie enfin ex qui m’a mis au silence depuis juin et l’aute jour elle me dit : pouRQUOI tu ne m’appelles pas ?
- quand quelqu’un amie de trente cinq ans te soumet à un silence forcer difficile après ête renté dans les starting « blog » de l’autre d’en découdre.
Et j’ai visité l’amitié et vue le moments où j’aurai changé le nom de notre alliance du nom amitié quand elle appelle et que je suis là, je dégaine le téléphone mais le cœur est entamée comme le tronc de l’arbre pin quand on a fait la saignée pour recueillir la résine. Mon coeur il est comme çà et il me dit tais –toi raccroche vite j’ai bobo, j’ai envie de gerber.
Pour la petite histoire cette dame a une maison sur le Bassin d’ Arcachon et elle a beaucoup de visites. La pauvre chérie. »
FRANKIE PAIN
Benjamin Franklin
Aimes-tu la vie ? Alors ne gaspille pas ton temps, car il est l'essence de la vie.
Dominique Noguez
Une langue est faite pour transmettre le meilleur d'hier à ceux qui viendront demain.
Sénèque
La vie heureuse, c'est donc celle qui est en accord avec sa propre nature.
Martin Luther King
Tout ce que nous voyons n'est qu'une ombre projetée par les choses que nous ne voyons pas.
« C’est ainsi qu’il est necessaire d’en chercher la lumière ou se qui se niche dans l’ombre » frankie pain
François Rabelais
Science sans conscience n’est que ruine de l’âme.
Jacques Folch-Ribas
Le destin met beaucoup de hasard dans son jeu.
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