jeudi 26 janvier 2012

une expo de Berthes Morisot impressionniste femme et quelques bers de Francis Jammes








quelques vers de Jammes Francis
dans le deuil des primevères

il dit
je suis pareil aux ânes aux pieds cassés

comme un oiseau de sang caché entre deux pierres

son cœur dans les violentes joies éphémères
passa comme une truite au torrent bleu


j'avais peur que tout amour
ne soit le bourdon bleu qui blesse un liseron


jamais ne meurt pour nous l'oseille que l'on aime
puisque revient toujours à notre appel.
Si elle avait un nom, ce ne serait pas elle :
elle ne viendrait pas et serait fidèle.

je ne sais pas ce que j'attends. c'est une chose
que je ne puis pas dire qui comme une rose
dont on sent le parfum sans que l'on puisse la voir.


mon Dieu , je vais me recueillir. je veux entendre la neige des agneaux marcher sur les gazons.


elle aura la fraîcheur des roses qui s'allument
sur le grelottement mouillé des anciens murs.

belle journée ensoleillée

15 commentaires:

  1. Me ha gustado mucho el cuadro de la niña leyendo..un besazo desde Murcia..seguimos..

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  2. oh Frankie, thank you so much for this post, I love berthe M. She was a great woman and a beautifull painter, thank you for your choice and posting

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    1. la serie est très belle la force des couleur et des forems merci de ton billet du jours avec Berthes morisot

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  3. Elle a souvent peint femmes, enfants et scènes familiales. Elle représente l’impressionnisme avec un talent raffiné. Merci Frankie et GROS BECS.

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    1. ce soir je pourrai enfin avoir le son dans mon blogg
      merci de ta visite avec Berthe
      et son coup de beau pinceau

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  4. C'est une peintre que je ne connaissais pas, elle fait de magnifiques peintures j'aime beaucoup.

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  5. Voilà ce à quoi la photographie devrait ressembler parfois... mais voilà ! Pour plusieurs c'est un anathème que de modifier le produit d'un clic sur un appareil-photo ! Honte à eux, honte à nous photographes, trop bornés pour réaliser que tout ce qui importe c'est l'obligation du résultat ! Rien à foutre des sacro-saints principes de photo qui mènent tout droit au conformisme et à la banalité !

    Je déconne à peine, chère Frankie, à peine... Oh, je me débrouille dans la photo de tourisme, je me débrouille même pas mal du tout... mais ces nénuphars que je viens de publier, sans modestie mal placée, avez-vous remarqué leur touche... impressionniste, justement ? Ou plutôt peut-être, un mélange aux odeurs impressionnistes, plume et tablette graphique à la rescousse...

    Et je suis heureux. Je suis heureux de m'être pour une fois élevé au-dessus de ma propre médiocrité, et déjà triste à l'idée que la prochaine sera médiocre en comparaison...

    Je rêve de plus en plus impressionnisme... quand je ne rêve pas cubisme à la Braque ou Picasso... mais cela n'intéresse que quelques vieux fous pas foutus de se contenter d'un ordinaire déclic.

    Vie absurde et difficile, mais quelques éclaircies exaltantes avant le retour de la neige sombre, je veux dire la neige où l'on sombre. La neige des agneaux... n'est-ce pas à la fois joli et, osons-le dire, profond ? La neige des agneaux s'abattra sur nous cette nuit en longues traînées drapées par le vent froid.

    J'ai peur d'un coup. J'ai peur et je voudrais ne plus avoir à chercher. Mais pour une fois, ces nénuphars... et tout surpris moi-même, je voudrais crier à tous : Mais avez-vous vu mes nénuphars ?

    Si, si, Frankie, je me rends bien compte, je délire et je dérape et vos commentaires sont souvent comme une bouffée d'adrénaline. Cherche, mais cherche donc, pousse, t'as pas fini imbécile, et il se fait tard, tard dans ta vie !

    Roger

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  6. Frank
    J'aime Berthe Morisot!
    Son travail est si élégante et si lumineux!
    une grande femme, pour ce moment..
    Un délice pour profiter de ces travaux
    merci ...
    bises

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    1. BONJOUR MA CHéRE DENISE , CELA NE M42TONNE PAS QUE TU AIMES BERTHES MORISOT LA FEMME AUX TROIS CAMÉLIAS
      sigen bien la facture classique de ton travail avec toute la contemporainité
      j'aime ce lie qui se tisse si important dans ces périodes ou le monde est inquiétant et beaucoup d'être humaine qui ne combattent pas sur l'essentiel et épouse les contours des neants ambulants...
      je vous embrasse chaudement sur mon coeur

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  7. cher Roger vous voilà ici et c'est Berthes Morissot qui vous envoie.Il y avait un vent d'impressionnisme qui nous relier comme la vitesse de la lumière 3 seconde et 900 000 kilomètres sont parcouru, c'est comme de la pensées cela peut aller très loin.
    offrez vous tous vos désirs avec les post prod
    premier jet comme en écriture et après les variations , la contenu entraine la forme et vis et versa , c'est vieux c'était les conversation entre Joyce et Becket vous voyez , cher Roger.
    si vous plait je ne veux pas lire de votre bouche le doute de la prochaine médiocre
    il y a des photos de passages il y des monstres sacrés regardez votre panoramique d'Albi
    là vos nénuphars (vous deviez être dans les jardins de Monet
    ce sont après toutes les autres qui ont crée comme en dessin des repentirs
    moi c'est ainsi que j'appelle mes passages publics quand tout n'est pas prés
    car en public les choses sonnent et il n'y a que les oreilles du public pour pouvoir être heureux , joyeux malheur de ce que je donne
    combien de temps faut(-il pour faire remonter à soi des milliers d'année
    traduire les larmes la mélancolie d'un poète,
    son sang sa sueur , il peut m'arriver de passer une nuit sur une virgule,
    l'autre jour interviewer par France culture ils ont aimé cette phrase qui aujourd'hui coure les studios
    alors je vais vous donner votre petit fessée avec talc pour être en harmonie avec la crinières qui protègent de la tempête de neige et de vos idées de poudreuses
    amuser vous et au lieu d'aller à la chasse au caribou chasser votre surmoi de la perfection
    vous êtes exigent soit il le faut cela sert votre art mais mettez de l'amour dans ses actes , de la souplesse , votre joie en drapeau , la jubilation du gosse Roger quand il fit son premier bonhomme de neige
    et gouvernez vous ainsi
    et si vous faites un flop c'est tout simplement qu'il était nécessaire au passage la photo de passage..
    il suffit de nommé et c'est une œuvre d'art
    nommez vous nommez là et
    si le grand age est là
    il porte en vous vos richesses vos démons non muselés et il y en a qui ont le cuir dur et insatiable bouffeur de nos moelle et de nos troubles fêtes
    votre amie Frankie est là pour vous bercer du meilleur de vous même

    je vous embrasse Roger et merci de vos cher nénuphars
    stimulez votre cerveau limbique çà aide quand on crée
    je le fais pour écrire
    si vous ne savez pas je vous l'enseignerai quand vous passerez prendre le thé à mon atelier lors de votre prochain voyage
    ou à une terrasse de PARIS
    OU AU PARC FLORAL LE COTE DES LOTUS

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    1. Ha ! Partons au plus pressé, je veux dire parons au plus pressé ! NON CE N'EST PAS CE PARC FLORAL-LÀ DONT J'IGNORE TOUT DANS MA DÉMENTIELLE IGNORANCE...

      Prochain voyage ? Qui parle d'un prochain voyage ? Ah oui, j'en ai parlé je le crains fort, mais les connards veulent me lessiver avec des billets d'avion au prix extravagant. Ça ne fait rien, je suis plus patient qu'eux, et trois semaines avant le vol « ILS » vont couper le prix en deux pour remplir leur avion à moitié vide...

      Vous êtes à Paris, Frankie ? Paris, la petite ville de province, à peine plus grosse que Sainte-Sophie (Québec) avec ses dix mille habitants en comptant les orignaux... hi hi hi...

      Je demandais... parce que nous passerons sûrement six ou sept jours à Paris, nous y avons des amis (eh oui cela arrive). Vous rencontrer ce serait vachement rigolo !

      Mais soyez prudente... si quelqu'un me traite encore d'artiste je le crucifie... OK OK OK je n'ai rien dit c'était seulement pour déconner et remplir un peu de vide électronique...

      Roger

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  8. corection roger

    votre crinière barbe qui protègent de la tempête de neige et de vos idées de poudreuses

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