Carnet gris 26 Happening d’art contemporain.

Carnet gris 26

Happening d’art contemporain.

Mercredi, jour de piscine est revenue.

La joie,

 une heure de vie en eau claire dans les rayons du soleil

Dans  la musque de Monsieur Raphaël de son cours de gym aquatique.

 Il m’attend.

 Je ne suis pas encore prête . Je travaille balnéo.

 Jambe pieds dépliées par les talons les orteils , les genoux levés  devant, derrière.. et marcher en arrière, marcher latérale, droite gauche.

La parlote avec les dames en réparation des cancers, des arthrites, et la voix de bonjours chaleureux.

Les mamies et leurs petits poissons.

Les frites se multiplient, descente avec les pieds  pour travailler la force du genou.

Je guide l’autre le plus malade je tente des versions torsions droite torsion gauche.

Je n’ai pas le temps d’aller nager : le corps allongé il l’est tellement.

.La petite gamme de danse classique pour le travail des fessiers

au fur et à mesure les douleurs disparaissent et nous marchons sans la frite .

nous faisons les mouvement cardiaque… avec des semelles plastiques.

 

La douche, le champoing la créme qui adoucit les cheveux .

Cela devient exceptionnelle et pourtant….

Le rhabillage dans la grande cabine , le transfert du fauteuil à l’autre.

 

L’appel de l’ambulance pour le retour.

Et aller l’attendre.

 

Il y a un grand champ d’herbes hautes irrigués de soleil

tous les murs sont hauts et neufs. Murs et vitres .

L’entrée est gardée par un charmant Monsieur du Mali . Il a un superbe accent . il est très prévenant. Attentionné à ses colégues

 

La caissière accueille tout le monde par leur prénom. Papa , la maman et les petits.

Un vrai régal.

Nous prenons un bain d’humanité.

Ce jour là tout le monde attendait mon ambulance.

Trois heures.

La faim la soif..L’oubli du livre.

J’ai pris l’habitude de ne pas prendre de RV.

 UN stress supplémentaire de celui des nénettes cela ferait trop chez une dame qui ne croisent plus de plaisir. Par contre son antagoniste beaucoup souvent qu’à son tour. Quand une patronne n’a aucun respect pour ses bœufs qui font rentrer de l’argent c’est comme le coranivus et tous et toutes possédent cette  marque.

Sans compter les regles de humanité que chacun devrait encore posséder en lui pour un autre être humain. Cela vous est demandéé en reciprocité non.

 

Et je regarde les aller les retours les entrées les sorties dans le champ le vide. Les reflets de l’eau.

Et je me souvient de ces happenig auxquels je participais avec mon compagnon qui servait la culture. Dans tous les pays d’europe.

Et les performances défilent dans mes yeux comme à l’époque

 et je suis de plus en plus dans un événement contemporain.

La nage pour les petit, les péres autant engagés envers les petits que leur mère.

Les enfants sont heureux d’être là, déterminés. C’est beau à voir .

Le passe sanitaire pour le papa ou la maman le 3 eme vaccin.

Les groupe des enfants handicapés psychiques autistes me semble –t-il.

Les éducateurs me font un clin d’œil.

 il y a une grand handicapée qui c’est épris de moi Claroie et nous ne manquons pas de nous saluer chaleureusement.. Claroie progresse de mercredi en mercredi .

 

Je suis de plus en plus dans un grand musée d’art contemporain à Tampérèe en Finlande , tout le devient encore plus.

 Jaurai un proje, je l’appelerai « Swiming-pool » en mémoire au film avec Burt Lancaster qui je faisais toutes les piscines d’un bled chicos avec des histoires avec chaque propriétaire

Voir tout le long du film Burt Lancaster en short serré des années 5O dans des jardins somptueux. Et son corps splendide surtout quand dans un film vous fûtes son amie.

Voici  « Swimming pool wednesday »

Frankie Pain de la Mangou

Droits d’auteurs reserves

 Photos Google

 merci