jeudi 28 février 2013

un peu de pub pour la ressourcerie et son atelier d'écriture et oralité de la p'tite Roquette



Ecrire avec les 5 sens avec Frankie Pain
Atelier d’écritures
et gagner en son oralité
23 mars, 20 avril, 25 mai,
             22 juin, 20 juillet
16 h à 19h
Tarif 15 euros +
4, 50 euros pour la salle et 3 euros pour l’adhésion à l’année
62, rue Oberkanf,
metro Parmentier, bus 46, 96
 la p’tite roquette, salle rouge

De l’écrit à l’oral.
Jouons avec les mots , paroles, dialogues tant pour le job, vendre , se vendre, la Séduction, le plaisir. Se ressourcer dans la joie, la complicité  et efficacité
Frankie met sa boite à outil d’auteure, d’interprète, lectrice à France culture , d’actrice et prof d’art oratoire.
Savoir à la carte
botte d’abondance de chacun.
A chacun sa pointure
                lamangou@yahoo.fr
pour réserver ,pas de mail laisser mot à la caissière.
Apporter : papier stylo une odeur enveloppée et un objet, un objet faisant du son


 

andrée Chedi pour le printemps des poétes 2008 et ma photo "bons bavardages"


 
c'était les texte du printemps des poéte 2008
thème était couleur femme
ainsi en l'appelant du fond des mots je suis sur que le printemps va nous envoyer un peu de soleil pour la fin de la semaine

savourez et très belle journée

la photo est de moi j'avais trouvée delicieux l'entente de ses 4 femmes   bavardant sur ma petite presqu'ile du Golfe du Morbillan 

L'Autre
 
               "Je est un autre"  Arthur R.

À force de m’écrire
Je me découvre un peu
Je recherche l’Autre
J’aperçois au loin
La femme que j’ai été
Je discerne ses gestes
Je glisse sur ses défauts
Je pénètre à l’intérieur
D’une conscience évanouie
J’explore son regard
Comme ses nuits
Je dépiste et dénude un ciel
Sans réponse et sans voix
Je parcours d’autres domaines
J’invente mon langage
Et m’évade en Poésie
Retombée sur ma Terre
J’y répète à voix basse
Inventions et souvenirs
À force de m’écrire
Je me découvre un peu
Et je retrouve l’Autre.
Andrée Chedid 
(Poème inédit pour Le Printemps des Poètes - Éloge de l'autre - 2007)

Cet instant
Avec mon sang aux mille oiseaux
J'ai marché tout au long de la terre
J'ai ri de l'argile
J'ai renié le temps
J'ai su parler à l'étranger
Avec mon sang couleur de jour
J'ai dit oui à la mort et à son innocence
J'ai refusé la nuit.
Andrée Chedid
 ("Textes pour un poème" - Éditions G. L. M.- Paris, 1950 et Éditions Flammarion 1987)
 
Je m'écris
J'interprète une page de vie
J'en use comme plaque de cuivre
J'ai la grène de plaisirs
Je la crible d'années
Je la saisis en verte saison
Je la racle de nuit d'hiver
Je la ronge en creux d'angoisses
Je m'y taille espace libre
Je l'attaque en matière noire
Je progresse d'épreuves en épreuves
Je la creuse en vaines morsures
Je la burine d'émotions
Je l'entame
Pour nier le temps
Je m'écris pour durer
Andrée Chedid 
 ("Rythmes " -  éditions Gallimard, 2002)
Gordon Hopkins
       
Jeunesse
Jeunesse qui t'élances
Dans le fatras des mondes
Ne te défais pas à chaque ombre
Ne te courbe pas sous chaque fardeau
Que tes larmes irriguent
Plutôt qu'elles ne te rongent
Garde-toi des mots qui se dégradent
Garde-toi du feu qui pâlit
Ne laisse pas découdre tes songes
Ni réduire ton regard
Jeunesse entends-moi
Tu ne rêves pas en vain.
Andrée Chedid 
(texte "Tant de corps et tant d'âme", dans le recueil "Poèmes pour un texte 1970-1991", éditions Flammarion, 1991)
    Gordon Hopkins 

    
Trois mouettes
Je te donne trois mouettes
La pulpe d'un fruit
Le goût des jardins sur les choses

La verte étoile d'un étang
Le rire bleu de la barque
La froide racine du roseau

Je te donne trois mouettes
La pulpe d'un fruit

De l'aube entre les doigts
De l'ombre entre les tempes

Je te donne trois mouettes
Et le goût de l'oubli.
Andrée Chedid 
("Textes pour un poème", 1950 et "Fêtes et lubies" - éditions Flammarion,1972 et 1996) 
        
Brève invitée
Ma lande mon enfant ma bruyère
Ma réelle mon flocon mon genêt,
Je te regarde demain t’emporte 
Où je ne saurais aller.

Ma bleue mon avril ma filante
Ma vie s'éloigne à reculons,
A toi les oiseaux et la lampe
A toi les torches et le vent.

Mon cygne mon amande ma vermeille
A toi l'impossible que j'aimais
A toi la vie, sel et soleil,
A toi, brève invitée.
Andrée Chedid 
("Seul le visage", 1960 - repris dans "Textes pour un poème - 1949-1970 " - éditions Flammarion, 1987)
         
La saison des herbes
L'air est libre

Les chemins sentent l'orange
Le soleil s'allonge en robes* de safran

C'est la saison du rire et des herbes

Ô mon amour aux cent patiences
Ce soir tout est une première fois.
* "robes" est au pluriel
Andrée Chedid ("Textes pour la terre aimée", 1955 - repris dans "Textes pour un poème - 1949-1970 " - éditions Flammarion, 1987)          

Extraits du recueil "Terre et poésie" :

 La poésie est naturelle.  Elle est l'eau de notre seconde soif.
Andrée Chedid ("Terre et Poésie", texte 4 du chapitre 2 - Éditions GLM - 1956)
Nous avons beau - comme l'arbre qui est né sage - soupçonner les grimaces du destin, nous n'avons pas encore appris à sourire des simples blessures du coeur.
L'orage nous terrasse, entame la chair même du bonheur.
Mais, l'eau nouvelle est l'invention des matins.

Andrée Chedid 
("Terre et Poésie", texte 11 du chapitre 3 - Éditions GLM - 1956)


Gordon Hopkins 
         
Arbres
Je sais des arbres
Striés de leur corps à corps avec les vents
Et certains dont les têtes résonnent
Des contes de la brise
                         
D’autres solitaires et debout
Défiant le sol renégat
Et d’autres qui se ressemblent
Autour d’une maison grise
                            
Je sais des arbres
Qui s’humilient au pied des eaux
Pour l’amour de leur image
Et ceux qui secouent d’arrogantes chevelures
À la face du soleil
Je sais des arbres
Témoins de très anciennes naissances
Et qui redoublent de racines
J’en sais d’autres qui expirent
Pour un frôlement d’aile
Je sais des arbres vains et qui ne sont
Que feuilles
Tous ils ont trop vécu
Sur la terre des hommes.

Andrée Chedid 
("Textes pour une figure, 1949" et "Textes pour un poème - 1949-1970 " - éditions Flammarion, 1987)
Gordon Hopkins

 
A quoi joue-t-on ?
Que faisons-nous d'autre
Que jardiner nos ombres,
Tandis qu'au loin
crépite et s'évade l'univers ?

Que faisons-nous d'autre
que visiter le temps,
Tandis qu'au près
s'architecture notre mort ?

Que faisons-nous d'autre
que rogner l'horizon,
Tandis qu'au loin
qu'au près -------- :

              le grand heurt.

Le combat délivre
J'ai racheté la nuit
Avec une cigale
Avec un coq
À la crête foudroyée

J'ai ramoné la nuit
Au surplis de l'aube
Par un essaim de rêves
Je l'inquiétais

J'ai escorté la nuit
Pour me faire à ses plages
J'ai tailladé l'ardoise
Avec le cri

Mais la nuit est la nuit
Et la nuit demeure
Sa part de jour
Encore en sa nuit.

Andrée Chedid 
("Double-pays", 1965 - repris dans "Textes pour un poème - 1949-1970 " - éditions Flammarion, 1987)          


Et ce texte du recueil "Fraternité de la parole", recueil que présente ainsi l'auteure :

"Surgie du tréfonds, vêtue de mots, de langues, quelque part la parole nous soulève et nous réunit. [...]

 
Ces textes s'obstinent à forer le chemin des ressemblances, à dénombrer les preuves d'une terre commune, à dévoiler les traces d'une fraternité [...] "

Le parcours
D'obstacles en terrasses
De rameaux en ténèbres
Le parcours est sans pitié

Va      main à main
avec tant d'autres
Leur feu      ton feu
seront alliés

Avance
La terre prendra ta forme

Elle n'abolit que les miroirs !
Andrée Chedid 
("Fraternité de la parole", éditions Flammarion, 1976)

j'espère que ces mots vous auront offert plaisir et petite jubilation comme une morsure d'aurores belle journée à vous  frankie

mardi 26 février 2013

sagesse et ma découverte de ce peintre japonais Umetaro Azechi






1

Bachelard

La page blanche ! ce grand désert à traverser, jamais traversé.
(La flamme d'une chandelle, p.108, Quadrige/PUF n°52)

 

 

2

 Dans la tension devant un livre au développement rigoureux, l'esprit se construit et se reconstruit. Tout devenir de pensée, tout avenir de pensée, est dans une reconstruction de l'esprit.
(La flamme d'une chandelle, p.112, Quadrige/PUF n°52)

 

3

Le rêve est plus fort que l'expérience.
(La psychanalyse du feu, p.44, Folio/essais n°25)

 

 umerato azacheri

4

L'amour n'est qu'un feu à transmettre. Le feu n'est qu'un amour à surprendre.
(La psychanalyse du feu, p.52, Folio/essais n°25)

5

Sainte Thérèse de Lisieux

La joie intérieure réside au plus intime de l'âme ; on peut aussi bien la posséder dans une obscure prison que dans un palais.


6

Jac O'Keeffe

Les pensées sont subjectives, changeantes et personnelles. Laissez bouger ce qui bouge … Elles arrivent et s'en iront si vous ne leur accordez ni attention ni intérêt. Elle sont aussi infiniment subtiles et, si vous les entretenez comme réelles, elles vous bloqueront dans le drame de votre histoire personnelle.

7

Arnaud Desjardins

Le sens ultime de la vie humaine n'est pas avoir, mais être.

8

Charles Coutarel

La meilleure chose qui puisse vous arriver, c'est de vous rencontrer vraiment, en vérité. Cette rencontre est libre, vous aussi. En fait il n'y a plus de « vous », de « moi ». Cette rencontre est le Centre de l'Être. C'est la liberté même. Personne à libérer.

9

Isabelle Padovani

La relation est l'espace dans lequel on partage la complétude, pas l'espace dans lequel on la comble.


10

Eckhart Tolle

L'émotion comme telle n'est pas de la souffrance, c'est l'histoire ajoutée à son sujet qui crée la souffrance.

11

Karlfried Graf Dürckheim

Le son de l'être retentit sans relâche, sans relâche, quoi que je fasse, mais je ne suis pas toujours en mesure de le percevoir.


 

 

12

Khalil Gibran

L'enfer est dans un coeur vide.

13

Antonio Pelletier

L'amour c'est l'aile de l'âme qui nous élève au-dessus des vicissitudes de la vie.






belle journée 

lundi 25 février 2013

casting grand mére

essai sur blog pour la grand mère
février 2013
 aout 2012 tournage de vive la france aprés le shooting
 la sortie projection privée
17 février  2013


juin 2012



janvier 2013

Mot d'humeur les soupeurs de conversation ou les bucherons des politesses primevéres


Sorti hier dans le monde des conteurs




Les deux spectacles rien à redire tout à rêver et déguster

Mais ce qui est éprouvant ce sont les mauvaises habitudes des conteurs.

Vous êtes en train de parler avec quelqu’un installer dans la conversation un conteur arrive d’emblée il salue, prend la parole.




Que vous soyez en pleine conversation ne veut pas savoir votre interlocuteur qui semblait vous écouter débranche pour donner carrément d’emblée la totale attention à l’autre et vous vous retrouvez comme une buche , vous vous sortez votre livre car vous ne voulez pas entamez le spectacle avec cette marque d’absolu politesse non impolitesse en travers de la goule.

Le spectacle commence, se développe, s’achève et comme vous étiez là pour un nouveau spectacle "en rodage" comme ils disent,  par soucis de leur quête,vous engagez la conversation sur ce que vous avez ressenti, la conteuse pose des questions , j’y veille avec attention et intérêt.au paravent j'avais regardé  à ce qu’il n’y ait pas de files d’attente à la dame pour cela et en pleine phrase une autre conteuse arrive  au cœur d’une phrase , elle arrête la conversation, s’impose, la femme qui m’écoutait ,arrête l’écoute , ne s’excuse même pas . "Bon puisse que c’est comme çà  et je pars" me dis je nageant dans cette sciure .

Comme dit Yves Bonnefoy : d’oubli du souci de la présence des êtres,
quelle vibration un tel conteur ou conteuse peut il transmettre dans l'indicible ?,,,,,,,,,,,,,,,,,,? 
 


La femme vient m’expliquer aprés -la coupeuse- qu’elle voulait dire simplement au revoir ; je réalise que cette femme à un autre spectacle m’avait déjà fait ce coup , je lui dis vous êtes "une coupeuse" trop étoiles ce n'est pas la première fois que je vous ai vu  à scier. il y a manière de le faire et d’attendre au moins  la fin de la phrase. Et je stoppe toute autre parole.

« Vous n’étiez pas pressée en plus, il n'y avait pas mort d'homme » me dis je froide   .



 tout l’avantage de ce spectacle était parti  dans cette violence. Sortir au spectacle le dimanche quand  on est seule, c’est déjà fragilisant. Le dimanche je suis faible,  j’ai besoin de me dorloter, de me consoler de plein de petites choses  toutes petites  mais jamais épongeable par une parole amie dans un coin de la maison. Alors.

Je suis partie défaitej’avais attendu sous la neige des autobus  longtemps, entre temps je découvre que j’ai perdue mes lunettes ,  alors je me dis non en plus  perdue mes lunettes Non ! Je repars à la salle de spectacle,la bucheronne est toujours là à bavasser sur le trottoir : c'est trois quart d'heure après. Là le second spectacle va commencer , j'ai retrouvé mes lunettes.  Je le regarde , l’épisode des lunettes m’a offert un superbe cadeau : cette épopée d’un singe indien avec de la musique traditionnelle indienne chants et instrument ,  la joie de l’enfant retrouvée, j’ai oublié cet incident pas indispensable dans ces situations. J’avais oublié que  les conteurs certains sont de êtres qui se prennent pour des dieux , qu’il faut vite les repérer car il n’y a d’air que pour eux malheureusement, il arrive que certains je ne peux plus aller les écouter à cause de çà car le conte n’est pas assez puissant dit par eux pour qu’on oublie  l’homme qui se prend pour un dieu , alors  que nous sommes des serviteurs dignes, des passeurs ,

Et j’avais retrouvé à la fin de l’épopée  mon cours de la rivière et mon contrôle auto portrait me l'as dit.



je vous souhaite une très bonne semaine

vendredi 22 février 2013

mon instantanée de la semaine

par Armararita


















petite série en descendant la rue longeant l’hôpital Saint Louis me rendant à ma chère porte 9

vue du bureau de la porte 9; Avec le soleil qui démarre  la journée je prends l'appareil pour mes rendez vous dans pParis à la quête de la sculpture pour Défito et crac je tombe sur cette magnifique série qui parle d'elle même et quand on a un Rv  on est habitué de ce qui est au bout ...
ce matin là j'étais inspiré...

 et à nos découvertes du club instantanée d'Armarita... 




bon samedi de gros chaudoudouchaudoudou






Pour visiter les autres instantanées  cliquer sur le lien
                            http://mesinstantanes.blogspot.fr/

jeudi 21 février 2013

le petite école des écritures à la ressourceries de samedi et quelques sagesses dans la fraicheur du vent


Noola
Bruno Q.


La dame en jaune




lela salle rouge est vraiment chouette
et aussi il y a une petite scène

c'est la petite boutique de l'imaginaire et de la composition... ...

gros bisous

et quelques PENSÉES



1

Isabelle Padovani

La relation est l'espace dans lequel on partage la complétude, pas l'espace dans lequel on la comble.

2

Eckhart Tolle

Retrouver cette présence à l'être et se maintenir dans cet état de « sensation de réalisation », c'est cela l'illumination.

3

Isira

La seule façon de voir au-delà de vos ténèbres est d'être éclairé par votre soleil intérieur.

4

Aldous Huxley

Les petites choses faites dans un esprit d'amour fervent sont infiniment plus précieuses que des choses beaucoup plus grandes faites avec moins d'amour.

5

Karlfried Graf Dürckheim

Le son de l'être retentit sans relâche, sans relâche, quoi que je fasse, mais je ne suis pas toujours en mesure de le percevoir.

6

Elisabeth Kübler-Ross

La vie est un défi, pas une tragédie.

7

Yuri Lamarche

La vie est un enseignant. Il n'y a pas de doute à propos de cela. Chaque événement, chaque circonstance correspond à ce dont nous avons besoin à cet instant-là. 

8

Marianne Williamson

Les gens qui nous acceptent nous aident à avoir une bonne opinion de nous, à nous relaxer et à trouver notre voie.
9

Ibn' Arabi

L’Amant divin est Esprit sans corps ; l’Amant physique est un corps sans esprit, l’Amant spirituel possède Esprit et corps.
10

Ibn' Arabi

L’Amant divin est Esprit sans corps ; l’Amant physique est un corps sans esprit, l’Amant spirituel possède Esprit et corps.
11

Martin Gray

Depuis que l'homme est homme, personne, aucune force, aucun régime n'a pu détruire l'aspiration au bonheur.
12
Un peu de sottise avec beaucoup de mérite ne nuit pas : cela fait levain.
Charles Augustin Sainte-Beuve (Pensées et maximes, p.25, Grasset 1954)

Il s'agissait en effet de savoir si les métaphores, et les jeux de mots, et les énigmes, qui ont pourtant bien l'air d'avoir été imaginés par les poètes par divertissement, ne portent pas à spéculer sur les choses de manière nouvelle et surprenante...
Umberto Eco (Le nom de la Rose, trad. Jean-Noël Schifano, p.90 Éd. France Loisirs)



13
Car l'esprit n'est pas comme un vase qu'il ne faille que remplir. À la façon du bois, il a plutôt besoin d'un aliment qui l'échauffe, qui fait naître en lui une impulsion inventive et l'entraîne avidement en direction de la vérité.
Plutarque (Comment écouter, Rivage poche #150, trad. Pierre Maréchaux, p. 67)

 [...] le vitrail est la forme la plus sauvage de l'art, la plus imprévisible. Le vitrail n'est que folie, métamorphose, floraison illusoire, jeu d'algues échevelées dans une rivière de lumière.
Bernard Tirtiaux (Le passeur de lumière, p.335, Folio n°2688)