vendredi 27 février 2015

instantanée de la semaine

Je pars  ces prochains jours me reposer en ma chère Bretagne, les roses  de l'automne dernier m'ont téléphonée  pour me dire que les pétales sont encore dans leur bourgeon mais que çà vaut le coup quand même de venir leur dire bonjour.
 Je vous embrasse en ce samedi et cliquez sur le lien  si dessous la photo pour rejoindre Armarita et tous les autres instantanées de ses amies amis






http://mesinstantanes.blogspot.gr/



jeudi 26 février 2015

finir la semaine en poésie




L’Autre« Je est un autre. » Arthur R.
À force de m’écrire
Je me découvre un peu
Je recherche l’Autre
J’aperçois au loin
La femme que j’ai été
Je discerne ses gestes
Je glisse sur ses défauts
Je pénètre à l’intérieur
D’une conscience évanouie
J’explore son regard
Comme ses nuits
Je dépiste et dénude un ciel
Sans réponse et sans voix
Je parcours d’autres domaines
J’invente mon langage
Et m’évade en Poésie
Retombée sur ma Terre
J’y répète à voix basse
Inventions et souvenirs
À force de m’écrire
Je me découvre un peu
Et je retrouve l’Autre.
Je reste émerveillée
Du clapotis de l’eau
Des oiseaux gazouilleurs
Ces bonheurs de la terre
Je reste émerveillée
D’un amour
Invincible
Toujours présent
Je reste émerveillée
De cet amour
Ardent
Qui ne craint
Ni le torrent du temps
Ni l’hécatombe
Des jours accumulés
J’ai ancré l’espérance
Aux racines de la vie
Face aux ténèbres
J’ai dressé des clartés
Planté des flambeaux
A la lisière des nuits
Des clartés qui persistent
Des flambeaux qui se glissent
Entre ombres et barbaries
Des clartés qui renaissent
Des flambeaux qui se dressent
Sans jamais dépérir
J’enracine l’espérance
Dans le terreau du cœur
J’adopte toute l’espérance
En son esprit frondeur.
Andrée Chedid
Quand on passe par des moments de désespoir
on comprend chaque mot , chaque phrase de ce poème d’Andrée Chedid . Et je me dis “Mon Dieu que c’est beau ” et on s e répète ce poème comme une prière
.
-------------------------------------------------------------

Dans mon miroir
Défraîchi
Je me souris encore
Je reste émerveillée
Rien n’y fait
L’amour s’est implanté
Une fois
Pour toutes.
De cet amour ardent je reste émerveillée.
Andrée Chedid

Dans tes yeux les clartés trop brutales s’émoussent.
Ton front lisse, pareil à l’éclatant vélin,
Que l’écarlate et l’or de l’image éclaboussent,
Brûle de reflets roux ton regard opalin.
Ton visage a pour moi le charme des fleurs mortes,
Et le souffle appauvri des lys que tu m’apportes
Monte vers tes langueurs du soleil au déclin.
Fuyons, Sérénité de mes heures meurtries,
Au fond du crépuscule infructueux et las.
Dans l’enveloppement des vapeurs attendries,
Dans le soir énerve, je te dirai très bas.
Ce que fut la beauté de la Maîtresse unique…
Ah ! cet âpre parfum, cette amère musique
Des bonheurs accablés qui ne reviendront pas !
Ainsi nous troublerons longtemps la paix des cendres.
Je te dirai des mots de passion, et toi,
Le rêve ailleurs, longtemps, de tes vagues yeux tendres,
Tu suivras ton passé de souffrance et d’effroi.
Ta voix aura le chant des lentes litanies
Où sanglote l’écho des plaintes infinies,
Et ton âme, l’essor douloureux de la Foi.
Renée Vivien, Études et Préludes
Poème offert par Andrée Chedid au Printemps des poètes 200
 Poème publié dans l’anthologie Une salve d’avenir. L’espoir, anthologie poétique, parue chez Gallimard en Mars 200Poème classé dans Amour, Andrée Chedid.


De la musique avant toute chose,
Et pour cela préfère l’Impair
Plus vague et plus soluble dans l’air,
Sans rien en lui qui pèse ou qui pose.
Il faut aussi que tu n’ailles point
Choisir tes mots sans quelque méprise :
Rien de plus cher que la chanson grise
Ou l’Indécis au Précis se joint.
C’est de beaux yeux derrière des voiles,
C’est le grand jour tremblant de midi ;
C’est par un ciel d’automne attiédi,
Le bleu fouillis des claires étoiles !
Car nous voulons la Nuance encor,
Pas la couleur, rien que la Nuance !
Oh ! la nuance seule fiance
Le rêve au rêve et la flûte au cor !
Fuis du plus loin la Pointe assassine,
L’Esprit cruel et le Rire impur,
Qui font pleurer les yeux de l’Azur,
Et tout cet ail de basse cuisine !
Prend l’éloquence et tords-lui son cou !
Tu feras bien, en train d’énergie,
De rendre un peu la Rime assagie.
Si l’on y veille, elle ira jusqu’où ?
Ô qui dira les torts de la Rime !
Quel enfant sourd ou quel nègre fou
Nous a forgé ce bijou d’un sou
Qui sonne creux et faux sous la lime ?
De la musique encore et toujours !
Que ton vers soit la chose envolée
Qu’on sent qui fuit d’une âme en allée
Vers d’autres cieux à d’autres amours.
Que ton vers soit la bonne aventure
Éparse au vent crispé du matin
Qui va fleurant la menthe et le thym…
Et tout le reste est littérature.
Paul Verlaine, Jadis et Naguère (1885)

belle fin de semaine
très chaleureusement vôtre
Frankie Map 's Monde

lundi 23 février 2015

première urgence dans le marais



  gamme  de la semaine 
je vous l'ai mise en entier c'est vous qui feront les coupures en rapport à vos désirs et emplois du temps.
pour les lecteurs et lectrices du feuilleton Odette et le skipper vous retrouver  l'héroïne Odette.

Le premier rendez vous pour son retour à son ancien métier est sur son carnet neuf : un panaris... L’urgence est mineure alors sur le chemin de l’école désaffectée lieu de son rendez vous, dans un endroit assez dégagé en arbres pour  mieux capter  son émission de  France culture, elle s’arrête  et déguste. Un de ses auteurs favoris est interviewé avec en plus sa  lecture de quelques extraits. Après guillerette est  la route  entre Maillé et la Ronde malgré un trac d’une reprise après un si grand écart.

Odette trouve relativement facilement  la vieille école. Elle tire la cloche au-dessus de la porte, une voix qui  marche lui dit : entrez.  Le timbre de la voix l’interpelle  « pas inconnue ». La porte est ouverte,  un homme avance vers elle, entre la lumière du dehors et la pénombre du dedans, un temps au pourpre rétinien pour entrapercevoir les contours et les détails. Phrase d’accueil.   Odette avance jusqu’à la banquette où  elle s’évanouit.

L’homme la veille. A son réveil l’homme dit : « que puis-je faire pour vous ? » Odette dans son sourire le plus lumineux  elle répond : «voulez vous m’épouser ? ». L’homme au panaris avec ses  douloureux lancements dans son pouce droit  acquiesce de la tête et dit : « oui,         je le veux bien,    ….       dans six mois. »

Odette enfile sa blouse blanche, demande un torchon de cuisine propre et à se laver les mains. Sur la table de cette pièce, plus bibliothèque que salle à manger, elle installe sa boite de petit chirurgie, ses fioles,  sa boite stérile du bistouri. Dans un bol de cuisine  elle immerge la main droite dans du dakin. Odette ajuste ses lunettes, enfile ses gants. Elle observe le gros bobo turgescent, jaunassant, elle palpe,  observe le visage de l’homme,   en même temps, elle mesure  le degré de la douleur. « Je vais inciser, Monsieur Souche. Votre vrai nom ? » Il acquiesce. « Cà vous va bien aussi. Comme votre nom d’auteur d’ailleurs Quelle  synchronicité ! Sur le chemin je vous ai entendu sur  France Musique ».

- Je comprends mieux votre étourdissement. Dans le marais nous pouvons croire à certaines apparitions.  J’aime bien écrire ici. Aïe.
-Pardon, il la fallait cette petite incision. Quand le patient parle, on le prive de l’appréhension, c’est mieux ainsi. Je vais appuyer pour qu’il se vide.  Un bon pansement non compressif, dans quelques jours  tout sera rentré dans l’ordre. Pas de fièvre ? Donnez-moi votre front.  Odette est gênée, rétrospectivement, comment a-t- elle pu être si directe ?  Elle pose le dos de sa main sur le front, le temps de la captation de la fièvre,   elle sourit aux marronniers en fleurs de la cour. Blanc, rose et rouge. L’incongruité  de cette situation  est palpitante  sous sa blouse blanche.

Il lui aurait offert un thé, avec des merveilles qu’aurait confectionné Anna sa  gouvernante. Il lui aurait dit  que l’écriture le comblait tellement qu’il n’envisageait plus sa vie avec un être vivant -  malgré l’avoir souhaité si longtemps -  . Il aurait  eu le temps de l’observer, ces quelques heures dans son évanouissement.  Il aurait même été voir son ambulance aménagée. Sa vielle ambulance remise à jour avec le tout pour y vivre, le tout pour y soigner. Dans la bibliothèque  de  la « doctor » il a vu au moins trois livres de lui et plusieurs de ses grands amis. Il aurait dit « au moins ils s’entendraient. » En buvant le thé il aurait dit : nous commençons mal notre roman d’amour. Ah ! aurait- elle répondu sur un ton ingénu. - n’oui, Melle Odette, d’habitude c’est la fin : la demande en mariage. Qu’elles vont être nos péripéties ? Quand çà commence par ce qui termine ! J’aime passer à la mise en culture en boite de pétrie le roman qui va venir, au cours de l’écriture de mon roman, alors là ???  Il dirait être perdu, chamboulé. Elle aurait répondu : le pire protocole est à l’orée peut-être d’un Prix Goncourt. Ils seraient partis dans un fou rire interminable, un magasin entier de pellicules pensa-telle.  Il lui aurait dit :  « cela fait un moment que la nuit est là. Je ne voudrais pas  vous envoyer par le marais noir après ce remous de vie, ce courant. Voudriez-vous habiter ma chambre d’ami ! » Il n’aurait pas attendu sa réponse, il se serait levé,  il aurait été au chai des bûches, en serait revenu les bras chargés, elle se serait mise  à éclater du petit bois, à l’installer comme un mandala accompagné d’une frise de pommes de pin, elle aurait dit : « c’est moi qui craque l’allumette.  Pour qu’il fasse flamme et prenne : il faut être philosophe ou amoureux. » Il aurait laissé faire, étonné de sa docilité. Ils auraient baigné de silence et de mots, ils se seraient attardés fort longtemps sur la virgule,  les volières de l’aube du marais et leurs chants  les auraient surpris dans leur premier sommeil. Ils auraient eu leurs corps à peine rapprochés.
La fermière voisine aurait fait sonner la cloche et  posé le grand bidon de lait frais. La vue de l’ambulance l’aurait fait frapper aux carreaux. Monsieur Souche l’aurait rassurée. La fermière serait revenue avec un bon poulet juste plumer. Odette serait partie pour une urgence à l’église de Maillet.

Anna aurait été de repos. Monsieur Souche aurait mis le tablier de cuisine  d’Anna. Il aurait farci le poulet  comme il aimait piquer ses chapitres de quelques épices.   Il serait allé cueillir au jardin les herbes qu’il aimait respirer avant  de s’attabler à l’écritoire. Dans la pinède derrière l’école il aurait cueilli sur les bruyères en fleurs des épines de pins. Ils les voyaient bien piquées dans le troufion du poulet.  Dans le garde manger il aurait sorti la truffe, il l’aurait râpée dans le ventre du poulet. Odette serait revenue les mèches en bataille elle aurait aidé un vêlage.

Ils auraient mangé avec un Pomerol qu’il aurait versé auparavant  dans son aiguillère d’argent Daum, cadeau du fils Daum ce journaliste fou de VSD. Une sieste les aurait séparés. Odette aurait voulu la faire dans l’ambulance, il aurait accepté de la suivre. « Vous me devancez aurait-il dit: je vous réservais pour demain la visite de la Venise verte par les canaux,  il me fallait un « pigouilleur »  (pour avancer sur la plate du marais, un bâton une pigouille pousse dans la vase  du canal). Elle aurait demandé pardon : être proche de la vache lui permettrait de mieux se reposer. Ainsi ils auraient vécu leur première proximité de leur corps dans un champ rempli de boutons d’or, dans un concert minimaliste de ruminements  de plongeons de ragondin, de mugissements maternels des jeunes génisses accouchées. Il aurait dit : « le galbe de vos seins me fait découvrir les mystères des marbre de Carrare de Rome. » Monsieur aurait été jusqu’à lui servir d’assistant dans des petites chirurgies : recoudre les sutures. Son éditeur auraient été ravi des petites différences qui auraient émaillé les récits de son adulé auteur. Moins de temps à la table d’écriture. A regarder Odette Monsieur aurait habité sa caverne de la femme comme d’une vulve fécondée, ses mots seraient sortis amplifiés de sonorités sensuelles. Il se croyait au bout en répétition de son dire, il  se sentirait dans la genèse d’un autre mystère, toujours aussi captivé. Odette parlerait peu  de son passé. La seule émergence aurait été le regard au scalpel des réactions  profondes des protagonistes des pages de  Monsieur Souche. IL aurait sacrifié ses salles de classes,- uniquement réservées à ses premiers jets et ses énièmes reprises par chapitre- pour lui aménager une sorte de dispensaire. Recevoir quelques consultations après ses interventions sur le terrain. Il aurait publié les bancs dans les temps. Le mariage aurait bien eu lieu 6 mois jour pour jour après l’évanouissement d’Odette.

L’intimité souhaitée se serait transformée de  surprise en surprise. D’abord Monsieur aurait fait comme l’oublier  Odette sur son fauteuil sous un préau en sa robe de mariée. Tout aurait été pensé pour cela : qu’elle se vide des squames de son passé, qu’elle puisse revenir sur sa décision. Après un kaléidoscope  d’enfer dantesque, au moment où elle n’aurait plus attendu dans cette cour d’école déserte à part les oiseaux, comme l’entrée du film «  Il était une fois dans l’ouest » de Sergio Léone, les musiciens en queue de pie, noir sur blanc, seraient apparus avec le chef d’orchestre. A la première mesure de « La pastorale » de Beethoven,  le curé dans sa robe noire  aux pans flottant aurait franchi le porche  de l’ancienne école, son missel à la tranche violette bien tenue dans ses mains en prière sur sa ceinture carmin. Il aurait avancé au cœur d’un troupeau de mérinos.  Blancs, noirs, marrons. En couronne  des cavaliers et cavalières sur  des chevaux de traits anglos percherons aux robes grises, tâches de blanc et noir, aux crinières comme les vagues de  la mer. Sauf une demoiselle d’honneur  sur une chèvre blanche habillée de rose pivoine  pâle. Deux oui  se seraient réunis  dans l’écho des préaux.   La fermière et ses complices seraient arrivés avec une charrette  de gaëls rouge, violet carmin, blanc.  Elle les aurait répartis cérémonieusement dans des pots au pied de chaque pilier de préau,  portée par les voix choristes des villages alentours.  Un jeune tambour aurait  roulé avec ses baguettes expertes  la peau tannée du tambour, il aurait ensuite  convié les mariés, les invités à un méchoui dans la cour de la ferme d’à côté.

Ce couple n’aurait pas eu  d’enfants, seulement  de nombreux livres seraient nés de cette alliance. Odette n’aurait rempilé des années de travail après la date de sa retraite. Régulièrement venaient peindre ou écrire dans son dispensaire  des voyageurs, des amis des villages.  Des yourtes ce seraient installé autour de l’école… Chaque soir Odette méditer sous l’Hêtre pourpre,  elle chantait la chanson d’Edith Piaf : Non rien de rien non je ne regrette rien. ». …..
  
 de Frankie Map's Monde

les droits sont réservés









C’est là qu’Odette apprit que le réseau de résistance dont faisait partie son père Etienne René avait été fait prisonnier que le père de Monsieur Souche était Monsieur Robert

vendredi 20 février 2015

l'instantanée de la semaine

photo frankie


je suis retournée  à mon ancien marché d'Aligre,
 un gros ciel doré
 profitons de lui avant qu'il ne se cache
 la marchande de fleurs ,sa maman qui aide toujours sa fillee 
le marchand d'herbes aromatiques
yala yala
les chants des vendeurs ils ne cessent 
leur sourire vous enveloppe ils donnet en même  de la lumière de leur pays

évidemment ne pas résister à fouiner
 dans le  tas de fripes 
 un repas à l'angle 
 profiter encore de la lumière
 gigot d'agneau et gratin  dauphinois  et....

pour aller en visite chez armarita et les autres instantanées cliquez sur ce lien

http://mesinstantanes.blogspot.gr/

photo pour

jeudi 19 février 2015

fait divers mineur mais .... quand même

Dans les cours d'école nous connaissons les petites ou grandes insultes parce que l'on est différent, il y a des enfants qui vont parfois jusqu'à se suicider
j'ai une petite amie qui l'a fait elle avait 14' ans
quelle fut ma surprise quand buvant un thé  un vieil amant  me salue et me dit....

Bouche bée.  comment est-ce possible ? L'être humain me surprendra toujours.
j'ai bien sur envoyé   ma gamme du jour à ce monsieur comme il n'a pas daigné y répondre je le mets en billet.



Mon très cher  JG D.
Quel gâtisme t’a pris  hier de me demander si j’étais encore valide !
Un coup d’un côté pour voir le déambulateur ou le fauteuil à moteur t’aurais épargné  cette grossièreté. Toi qui as le nez partout.
Ton humour a viré au cynisme.      
Quelle désobligeance tu m’avais appris à plus de délicatesse ! De plus  la question  qui se collait « tu es de plus en plus enrubannée…… ! »  On pouvait imaginer les bandages de momie de la pharaonne.
Pourtant j’étais loin de sentir la putréfaction ni l’odeur de vieille peau comme toi tu peux sentir….
Aurais- tu peur de la mort très cher JG D. pour projeter sur l’autre ce qui te tracasse  la carcasse.
Je sortais d’un hammam dans un SPA avec mon amoureux. Démaquillée certes avec juste cette petite tâche rouge « baiser ».
Tu n’avais pas pu mettre ta petite fâcherie (référence à notre dernière fois)  bien dissimulée sous un discours de tendresse plaquée. C’est facile de l’écrire quand on ne la manifeste jamais. Crois –tu qu’un artiste, un auteur a besoin de signer le coq comme tous les autres mâles. J’étais tellement surprise que je suis restée sans voix ;
A mon âge certainement plus jeune que toi quand même  je ne peux concevoir l’amour comme je croyais encore à  37 ans en laissant la place à l’autre de s’exprimer. Une femme pour aller dans les bras d’un monsieur rares sont celles qui le font sans amour, tu le sais d’ailleurs, tu as développé ton talent de charmeur.
Mais à quoi sert de faire l’amour  si souvent pour le faire toujours pareil ! J’aurai du tenir  plus sérieusement les paroles de Brassens un coucou régulier ……
Je te fais du Jacques Salomé  je renvoie le chou fleur à celui qui a troublé en ombre ma belle fin de journée d’hier.  Comme un gamin gâteux  avec la méchanceté de ces enfants gâtés. Désolée en vieillissant on se ressemble.                Le cynisme ne te va pas. Nous aurions été au18eme siècle je te convoquai en duel  au kendo.              JG D. tu aurais du être comblé,  tu avais ta Dulcinea,  régulière en plus,  on ne laisse pas une nouvelle dans la queue. Après la queue,  la gâterie. Aurais-tu resté sur ta fin. Tu as peut-être commencé à faire l’amour à l’autre plus qu’à toi-même même ?
JG D.. Sacré verge « folle (lol)»e à la langue fourchue.




Votre avis m’intéresse quand çà commence cela peut continuer alors je compte sur vous pour que vous me souffliez des  réponses ou pas .

votre  Frankie Map 'Monde