vendredi 28 février 2014

Sagesse auteurs Le pientre Foujita , Fellini,

 j'ai du beaucoup écrire cette semaine alors , je vous remets quelques pages de phrases questions d'attendre gentiment les instantanées demain.

belle journée

 

 

 

1 Marshall Rosenberg

Ce que je recherche dans la vie, c'est la bienveillance, un échange avec autrui motivé par un élan du cœur réciproque.

2

Jac O'Keeffe

Tout ce qui est temporaire change de lui-même, c'est l'ordre parfait des choses.

3 Adyashanti

La plus grande étreinte d'amour que vous ne ferez jamais est de vous embrasser complètement. Ensuite, vous vous rendrez compte que vous avez embrassé l'univers entier et tout le monde en lui. 


4 Gilbert Keith Chesterton

Notre monde ne manque pas de merveilles, mais seulement du désir d'être émerveillé.

5 N'attends pas que les événements arrivent comme tu le souhaites. Décide de vouloir ce qui arrive, et tu seras heureux.
 Epictète
6Tant que tu n'as pas trouvé la paix en toi, ne la cherche pas ailleurs.
7 François de la Rochefoucauld
Réfléchis avec lenteur, mais exécute rapidement tes décisions.
   Isocrate




Duras



Elle avait aimé démesurément la vie et c'était son espérance infatigable, incurable, qui en avait fait ce qu'elle était devenue, une désespérée de l'espoir même. Cet espoir l'avait usée, détruite, nudifiée à ce point, que son sommeil qui l'en reposait, même la mort, semblait-il, ne pouvait plus le dépasser.
(Un barrage contre le Pacifique, p.124, Livre de Poche n° 2443)


[...] qu'elle soit bonne ou mauvaise, ta vie, il n'y a pas deux façons de quitter sa mère.
(Des journées dans les arbres, p.92, in Théâtre II, Gallimard nrf 1968)


  10 La confirmation de la tristesse est une consolation.
(Un homme est venu me voir, p.264, in Théâtre II, Gallimard nrf 1968)



 11 On croit que, lorsqu'une chose finit, une autre recommence tout de suite. Non. Entre les deux, c'est la pagaille.
(Des journées dans les arbres, p.96, in Théâtre II, Gallimard nrf 1968)


12 Nous ne nous aimons pas et ... [...] Je ne savais pas que ça pouvait être aussi effrayant de ne pas s'aimer.
(Suzanna Andler, p.44, in Théâtre II, Gallimard nrf 1968)




13 L'écrit ça arrive comme le vent, c'est nu, c'est de l'encre, c'est l'écrit, et ça passe comme rien d'autre ne passe dans la vie, rien de plus, sauf elle, la vie.
(Écrire, p.53, Folio no 2754)



14 Il y a souvent des récits et très peu souvent de l'écriture.
(Écrire, p.79, Folio no 2754)


frankie 
maintenant il y aura moins de récits et plus d'écriture


15  
d'Erri De Luca
1950


Un arbre ressemble à un peuple, plus qu'à une personne. Il s'implante avec effort, il s'enracine en secret. S'il résiste, alors commencent les générations de feuilles.
(Trois chevaux, trad. Danièle Valin, p.28, Folio n°3678) pour l’Ukraine



Foujita autoportrait
 

16 Sans éclats de rire avant, les baisers sont fades.
(Trois chevaux, trad. Danièle Valin, p.34, Folio n°3678) 


frankie
il n'y a même pas de baiser


17
Il y a des créatures destinées les unes aux autres qui n'arrivent jamais à se rencontrer et qui se résignent à aimer une autre personne pour raccommoder l'absence. Elles sont sages.
(Trois chevaux, trad. Danièle Valin, p.51, Folio n°3678) 


frankie
Elle ne se résigne pas à remplir la place de l'autre. Les convocations au mariage blanc , elle dit : " si je suis seule,  je ne désespère pas de me marier un jour. je  veux cette place vide,  libre,   inspirée , aimante pas un médicament avec des effets secondaires dévastateurs...."
 Foujita et son chat

18
C'est ce que doivent faire les livres, porter une personne et non pas se faire porter par elle, décharger la journée de son dos, ne pas ajouter leurs propres grammes de papier sur ses vertèbres.
(Trois chevaux, trad. Danièle Valin, p.83, Folio n°3678)


Foujita

 à demain .. Grosses bises de Frankie Mappemonde


frankie à 10 ans et aprés 58 ans

mardi 25 février 2014

la place de l'art dans la vie


 pile ou face 
le yin et le yang
" L'importance de l'art dans ma vie ?
une démarche pour aller de la fêlure à la paix, une déchirure, l'improbable rencontre de la joie ( le noir absolu du tragique, parfois),  une recherche irrassasiable liberté, l'impraticable langage du silence, de l'empêchement ;  des fulgurations jamais achevées, la méditation : incandescence intérieure... un paradoxe, quelque chose en suspens, une ascèse, une attente, un effacement de l'impossible, un supplément d'âme, une façon d'être... contre ! une insurrection ! la présence de l'être humain si fragile ou une absence au monde, un bonheur sensuel, une pulsation des couleurs, un étonnement, une géographie intime... "
- Christiane Parrat -
 gros bisous  à demain






lundi 24 février 2014

image symbolique du jour

à kief un policier regagne les manifestants
c'est c'est vrai bravo 
du suivi des événements en Ukraine par Twitt

beau mardi

poésie

Salut Etoile de la Mer

Salut
, étoile de la mer,
Douce Mère de Dieu,
Et toujours vierge,
Heureuse porte du ciel.

Recevant cet
Ave
De la bouche de Gabriel,
Etablis-nous dans la paix,
Retournant le nom d'Eva.

Délie les chaînes coupables,
Donne la lumière aux aveugles,
Rejette tous nos maux,
Requiers pour nous tous les biens.

Montre que tu es mère :
Qu'il reçoive par toi nos prières,
Celui qui, né pour nous,
Accepta d'être tien.

Michel Cazenave - Louanges à la Vierge 







ma mère tricote
elle attend un heureux événement



je vous souhaite un beau lundi et une belle semaine




« La résistance de la poésie est inséparable de la résistance de l'amour,
qui est la vérité la plus profonde de notre vie »in

Edgar Morin "Amour, poésie, sagesse"









dimanche 23 février 2014

bucheronne et sagesse

1 Debbie Ford

Notre ombre est faite d'émotions, de pensées et de pulsions que nous refusons parce qu'elles sont trop douloureuses, embarrassantes ou désagréables. Au lieu de les traiter, nous les enfermons dans un coin de notre psyché, pour ne pas avoir à en ressentir le poids ni la honte.



2 Omraam Mikhaël Aïvanhov

Tout acte qui vous est inspiré par l'Amour véritable laisse en vous des traces comme un parfum que vous conserverez pour l’éternité.

3 Samuel Blumenfeld

Le recul permet toujours de mieux apprécier les choses, et de redonner à certains événements la place qu'ils méritent.

4 Carl de Miranda

Les émotions sont comparables au ciel. Un orage, comme la colère, peut durer longtemps mais pas toujours. La tristesse, comme la pluie, peut durer longtemps mais pas toujours. La peur, comme le ciel noir, peut durer longtemps mais pas toujours.




5 Pierre Rabhi

Il nous faudra bien répondre à notre véritable vocation, qui n'est pas de produire et de consommer jusqu'à la fin de nos vies, mais d'aimer, d'admirer et de prendre soin de la vie sous toutes ses formes.


6 André Rochette

Être libre des "je veux" et des "je ne veux pas" c'est pouvoir enfin danser la vie telle qu'elle est, sans crispations, sans résistances, sans tensions. Sans aucun doute, là est la clé de la légèreté et de la joie intérieure que rayonnent ceux que l'on appelle les sages.


7 Leo Buscaglia

Nous sous-estimons souvent le pouvoir d'un contact, d'un sourire, d'un mot gentil, d'une oreille attentive, d'un compliment sincère, ou d'une moindre attention; ils ont tous le pouvoir de changer une vie. 





8 Karlfried Graf Dürckheim

Le Chemin n'est pas linéaire, mais en forme de spirale, une spirale penchée où les cercles tombent dans l'obscurité et passent dans la hauteur de la lumière. À chaque révolution c'est plus lumineux. Son mouvement continuel nous mène de la périphérie vers l'axe, le centre, et du centre vers la périphérie, de la surface extérieure vers la profondeur abyssale du noyau et de là à nouveau vers la périphérie. Sans cesse nous nous sentons attirés vers le centre, appelés par lui mais, en même temps, envoyés dehors, au large. C'est le mouvement même du Souffle qui nous habite et dans son va-et-vient permanent nous saisis tout entiers, nous pénètre des couches les plus extérieures vers les couches les plus profondes et des couches les plus profondes vers celles qui sont extérieures, il nous "hominise" et nous divinise.
livre :" le centre de l'être". ...

9
Eckhart Tolle

Cessez d'attendre, n'en faites plus un état d'esprit. Lorsque vous vous surprenez à glisser vers cet état d'esprit, secouez-vous. Revenez au moment présent. Contentez-vous d'être et dégustez ce fait d'être. Si vous êtes présent, vous n'avez jamais besoin d'attendre quoi que ce soit.




10 Vous avez le pouvoir de changer votre vie parce que vous avez la capacité infinie d'orienter vos pensées et vos paroles sur ce que vous aimez, et vous avec donc la capacité infinie d'attirer à vous toutes les bonnes choses de la vie !
 Rhonda Byrne
11 Un pas n'est rien devant une course , mais c'est pas à pas qu'on termine la course.
 Jules-Junior Brou
Très belle semaine à vous tous et toutes et comme je vois que l'Ukraine m'a beaucoup lu ces temps ci   .
Mes pensées vous vont droit au coeur.
Frankie



vendredi 21 février 2014

instantanées pour Armarita

Photo Frankie
 manger rouge 


Photo Frankie
Pays Basque Londres  Hanoï
Photo Frankie
bleu
Photo Frankie
jaune

  
 instantanées  de la semaine
et si l'envie vous en dit je vous encourage à la découverte des tous les instantanéees d'Armarita et ses amies

http://mesinstantanes.blogspot.fr/

beau week end





jeudi 20 février 2014

Epilogue du feuilleton



Epilogue
Fanny dans le souffle

« Crépitements .Oh ! Cette odeur.

Odette ne pouvait m’installer mieux.

Je capte le crépitement des instants

A travers les crépitements

Les gazouillis de mon enfant,

Ses rots, ses premiers rires.

La nuit, je ne suis que ma cendre

J’ai le froid de l’urne en marbre de Carrare.



A l’aurore se casse le petit bois

Des pommes de pins jaillissent : crépitements vifs

Mon vif argent, mon jouvenceau : Orion

Je galope à cru, Sotchi dans son lange

A ma taille, mon mamelon comme accroche.



Ah ! Ces crépitements matinaux et mutins

Miaulements de Zita

La voix d’Odette : les crépitements de sa nuit

Dans ses cordes vocales suspendues :

Blottie, enchâssée à son béguin Souche.



Crépitements de bûches bien en cendres rougies

Le grill pour le pain céréale dessus.

Demain, la tempête s’annonce :

Je quitterai la cheminée, ses crépitements,

Pour les chants des oiseaux de l’Hêtre pourpre

Dans le  vent de l’écorce

Crépitements de ma voix

Pour Odette et Sotchi.



Le feu est éteint,

Crépitement du couvercle de la marmite,

Elle stérilise les biberons de Sotchi,

Chien monte la garde,

 jappe à la feuille qui tombe." 
                                                            Fanny dans le souffle



Auteure :Françoise Frankie Pain La Mangou             Sous la direction de Julie Desff.

mercredi 19 février 2014

Fin du feuilleton Odette , le skipper, Monsieur Souche



Fin du feuilleton  Odette , le skipper,  Monsieur Souche


Après le départ d’Odette au Pays Basque,  après le ramdam du syndrome de la crèche de l’âne et le bœuf. Elle a rejoint son amie Fanny. Elle arriva trop tard son chagrin avait eu raison d’elle. Elle était enceinte. L’équipe de réa  l’a maintenue en vie  pour faire vivre l’enfant. La petite vient de naître elle s’appelle Sotchi. 15 février 2014.

Odette et Monsieur Souche, Zita et Chien s’adaptent à la nouvelle vie dans la maison. Odette et Fanny s’étaient jurées depuis toujours à «  la vie à la mort ». Le père de l’enfant impossible de mettre la main dessus après un séjour en Afrique, il avait disparu de la planète.   Dans un geste de jeunes femmes engagées , elles avaient fait des vœux réciproques déposés chez un notaire. La famille de Fanny recueillera bientôt la petite Sotchi mais  vue le lien entre la maman et Odette,  en commun accord  Sotchi passera son enfance  avec Odette  et Monsieur Souche.
.
Au printemps  le feuilleton reprendra peut –être mais  l’auteure craint que ce feuilleton épuisa ses lecteurs et lectrices. Rien ne doit être fatigué et exclus de désir.

 Et  l’encre s’est évaporée. Les mots seront sur d’autres Voies.

Alain Skipper, le petiot Hugo Victoire, Léo Léon, Monsieur Souche, Prospéro, Isidore, Zita , le chien,  Odette vous saluent  avec toute la joie qu’ils ont eu dans leur cœur de se raconter. Si vous passez par là bas, demandez donc l’école désaffectée où un hêtre pourpre  converse quand il y a du vent avec les marronniers des trois couleurs.

Il y aura toujours une tranche de jambon, un bon verre de vin , le crépitement d’un feu.

Odette est sans dessus dessous : elle dit : «  vraiment on ne choisit pas les enfants que l’on nous envoie »  Toute sa vie ce fut ainsi . Cette Sotchi là ,a bien choisie Odette.

Interpole fut contacté  pour rechercher le père.

L’urne  de  Fanny après partage des cendres avec la famille  est sur la cheminée. Isidore dit « ne pleurez pas Madame Odette,  l’amour est immortelle quand il est né dans le cœur ». Dans quelques temps comme chez nous votre amie sera dans  l’ hêtre pourpre et rentrera en communication avec vous.

Au revoir chers lecteurs et lectrices .  Merci de la grande attention que vous avez portée de juin à décembre 2013 à ce feuilleton. Vous fûtes plus de 2000 personnes à avoir traversé les fragments de cette épopée contemporaine.

Françoise Frankie Pain La Mangou
les derniers mots de l'avant dernier  épisode
Monsieur Souche


Ne t’attarde pas, pars  maintenant reviens vite.
Ne passe pas par La rochelle pour déposer Chien ILS viendront.
Isidore t’amène à Niort et choppe toi  le TGV via Biarritz.

Et venez partager cet événement avec nous cela fera certainement du bien à ton amie Fanny.


                              Odette
Plein de réalité mon cher Auteur.

Monsieur Souche
Pour voler, nous devons être enracinés. Je sais que tu feras au mieux.

 auteure  Françoise Frankie Pain La Mangou


arrivera-t-elle à temps avec Fanny pour participer
 à la  dérive de la messe de Noël 
?













 je vous embrasse très fort votre Frankie Mappemonde