mercredi 30 juin 2021

L ‘empreinte de l’oie cendrée de Lorenz Konrad.

L ‘empreinte de l’oie cendrée de Lorenz Konrad.

Les éleveurs de faucons, d’éperviers, d’oie de trpoie ont ainsi elevé leurs oisillons et pour le dressage l’empriente était toujours active indélébile.

Pour les raisons qui m’ont fait recouvrir ce tiroir d’un des étagères de mon cerveau. Oui, trace à vie indélébilité.

Pour le sujet si important à visualiser à jamais et pour toujours, je comprends mieux tous les derapages pour elle noraml car liés à cette première image de la seconde, et toujours dans ses actes et manipulations le lien avec la mort de l’autre était toujours au pied camarade.

J’ai listé tous les passages qui m’avaient transfigurée à l’horreur. Evidemment pour l’autre c’était la boite à pandores du dénis.

Normale. Maintenant je vais , non pas tranquile, mais enfin détachée un tatouage de la sorte est indélébile.

Dans un château des Vosges où je tournais « L agent trouble » avec Catherine Deneuve, nous les avons vu à l’œuvre les éleveurs en dressage de leurs oiseaux devenus oiseaux de chasse de proie, attachés comme des petits toutous à leur Lorenz Konrad empreinte.

J’ignorais à l’époque de mes cours que ce concept d’éthologue un jour me servirait pour clore définitivement mon accroche à mon chemin en psychanalyse.

Lacan disait le divan dit du vent.

L’essentiel d’une analyse c’est dix minutes pas plus.

Faut les déblayer ces dix minutes dans tout le tralala de nos méandres parfois absolument dévastateurs.

Savoir c’est habilté au monde du silence calme. C’est bon.

Voici l’histoire de la trouvaille.

S’y déprendre soit l’autre c’est le tapis rouge, l’archer , la sarbacane toujours là pour tirer. De çà il sera necessaire d’avir le vaccin antivenimeux juste un epiqure de moustique pas plus grave que çà.

Je vous salue chers et chères lecteurs.
merci de votre attention.

Frankie Pain de la Mangou  des Vosges

Droits d'auteur réservés 

 

 

 





 

 

mardi 29 juin 2021

Suite de la trouvailles enfin FIN

 

Peut-on d’éclater, décaler  son heure à une patiente qui travaille sur son inconscient ?

-C’est un « m… ;;;»-.c’est une douleur usante et extrêmes néfaste au sujet

C’est la maintenir 15 jours et surtout pas le jour de la seance dans un trou celui où elle a été à la pèche des premières empreintes.

Les comprendre, pour se déprendre.

Pour cela il a fallu faire de la plongée en très grande profondeur. Le travail avait été effectué dés la fin de la séance. Quand l’inconscient est prés ce n’est pas l’heure de lui dire retourne demain après, surtout quand il se débat dans des marécages sans fleurs de lotus   J’ai une fin de vaisselle, où une machine à laver lessive. Repasse, je te ferai une soupe.

Depuis quarante ans qu’il bosse avec moi. Soyons honnête un peu moins . IL ne montre pas son nez comme cela.

IL est nécessaire d’avoir fait quelques portions du chemin de Compostelle. pour le rencontrer et qu’il devient notre ami d’humour et de bienveillance..

Pour ma part. parait –il il y a des inconcients très surmoïque
Sur un lapsus sur le mot se déprendre, je lapsus,  je parle de l’empreinte.

Cela à bondit d’ailleurs c’est ce qui m’emmena à faire le texte, » Trouvailles. ENFIN, EN FIN »

Maman pourquoi tu fais un trou sous le cognassier ?

-        Pour quelque chose que je ne peux pas dire.

-        -Alors, pourquoi tu m’emmenes.

-        - je ne pouvais te laisser toute seule.

-        - Ca t’a jamais génée de me laisser seule , parfois des longs temps, il n’y avait pas assez d’eau de Cologne et d’eau bénite pur que je me signe  de la croix  et que je sniffe dans mon mouchoir.

-        Papa a dit : sous un arbre, on ne peut planter de arbres.Alors, c’est quoi ?

-  Un animal va naitre , le veterinaire m’a dit qu’il sera Mort né .

-Ce serait pas plutôt ce que tu as dans ton ventre. Le nombre de fois où tu as écrasé ton ventre contre le mur. Si le bebe n’est pas mort c’est que c’est un Hercule.
-Tais- toi. Tais toi donc tu dis des bêtisses.

- Tu ne le recouvres pas ?

-Non s’il plut la terre sera boue et dans le linceul ce sera plus doux .

C’est drôle comme  tu as de la tendresse , et c’est de la mort dont tu parles.

Un copain du marché m’a dit : «  la vie est une plaisanterie » .

-Faut pas écouter tout le monde.

-ca m’a donné l’idée  j’en reste fixé comme toujours.

-Tête de mule à jamais maman comme dit papa

-C’est à ta mére que tu parles.

-A certain moment on se le demande, tu m’écroules pas de douceur, à part de m’envoyer le chien me dévorer la gueule.

( ce sera une bonne leçon à ton pére d’arrêter de jouer avec l’argent des veaux.)

-Il t’aime ton pére.

-Tu parles, il arrive à la nuit, je dors

 il parle aux aurores, je dors.

Samedi et dimanche inclus. Une arlésienne comme dit pépé.
 -Etre boucher, c’est çà.

Bon on y va s’est prés. Faura plus qu’à recouvrir de la terre. NI vu ni connu.

 Et miamamiam les lombriques pour la vermée.(la pêche charentais avec des boules en fil de peche où l’on enfile des lombriques verres de terres

 

Momette.(la sage femme)

-Qu’est ce que tu fais prés de ta table d’accouchement :

 ta planche à découper les lapins et canards ,

le  hachoir.

-C’est pour le bébé.

-tu es complétement « pardingues »

-Pourquoi un avenir ?

 S’il est pas noir, je le découpe , le trou est pres sous le cognassier.

-Bien tu accoucheras seule, je ne serai pas témoin  d’un crime sans quee ni tête.

 Tu peux pas dire mieux.

Mais je risques ma vie.

Tu ne comprends pas elle-il  est là simplement pour ma vengeance. Si elle- il n’a pas la couleur de ma vengeance,

J’ai quand même violé Soundiata l’ami de guerre  de son père elle-il n’a aucune raison d’être en ce monde l’inutilté personnifiéé.. Déjà une gosse je m’emmerde avec  et deux pour moi n’a de sens sauf de m’emmerder d’avantage.

 Donc basta

 derrière les talus de la vieille gare

 Personne y va, sauf à la cueillette des coins en octobre. Je veux divorcer et me marier avec le vieux vétérinaire. J’aurai une bonne. Je lui ferai la cuisine. Sa maison est sur deux étages avec un jardin ; IL faut savoir faire des sacrifices

Surtout d’une chose voulut que pour une chose :

 La vengeance au pére ;

Vivre dabns cette Baîne reouverte le jour du rendez vous, c’est étreindre la douleur origiginelle ressenti avant même d’être née. Deuis j’hurle dés qu’on irrespecte.

 Frankie pain de La mangou

droits reservés 

 

RI et R4 

 

 

Tu es une bonne à rien


Aux poules sous le cognassier
Barrissements de la jungle frapper les balafons

le lion va rugir

comme un bon papa, il avait de la ressembance

et jouer  de la flute traversière comme Michel Portal moins bien bien sur


LOngtemps la pompon se sentit deux dedans
elle ou lui

Grâce à cela nous pu^ûmes remonter très loin. 

 

 

bye bye cher lecteur grâce à l'écriture j'ai pu remonter au niveau de la mére. 

ON a tord dinventer des fictions quand des personnages haut en couleurs

ne se la font pas compter mais agissent 

sans réaliser la chappe de plomb dont elle charges son ou sa protagonistes et l'ainée  du bastion

 

 

merci il me fallait poser çà quelquepart pour sortir de l'enferment que m'avait mis un changement de rendez vous. 

 

bye à bientôt 

je suis en forme soyez en forme c'est un bon debut pour une fiction. une fiction. je dis bien une fiction.

samedi 26 juin 2021

L'odeur de la mangeaille aux canards

 

L’odeur du persil

En coupant la botte de persil, je me suis rappelée quand petite, je coupais les herbes pour les canards avec une paire de ciseaux.

L’odeur du persil envahit mes narines.

Petite joie. Petite joie de mon polder d’enfance diablement heureuse.

 Faire la cuisine, j’ai commencé fort tôt.

 Ma grand’mère femme d’un fermier ayant beaucoup de terre, iL faisait appel à des ouvriers saisonniers presque à toutes les saisons. Et, grand mère les recevaient, pour leur repas du midi.

 En attendant le plat de résistance à point : pour son fumet, son régal,  elle me demandait de tenir compagnie aux ouvriers, de leur raconter des histoires. Il adoraient . Comme ils éclataient de rire.

Grand mère sonnait son verre en cristal  où le pépé avait mis un balancier en métal faisant vibrer le cristal et vite nous allions nous mettre à table.

-Vous nous donnerez la suite demain Pompon.

-Comptez sur Pompon. Les histoires ne supportent qu’on les ouvrent et les arrêtent à leur bon milieu. Elles savent qu’elles sont écrites pour les trois dernières phrases.

Merci pour Elles,  Elles seront vous ravir d’avantage. Merci, pour les personnages aussi, ILs n’aiment pas rester  vacants sans sépulture, sans suite, juste dérangés de leur silence.

Bisous à tous les lecteurs de Pompon

Frankie Pain de la Mangou

Pompon la Pigouille

Droits d’auteurs réservés

 

Persil de Murano
 
 
La conteuse Pompon
 
 
 
 

 
La Petite soeur  fille de Spundiata de l'ïle du Sénégal
 
 
 

le bucheron du bocage
 
R4