lundi 15 janvier 2024

22 tablette de citronniers de sienne une petit horreur

 drôle d'affaires comme chaque jour nous en lisons . congediée d'une place épistolière.

 un vélu se mis à se foutre de mes écrits trois fois de suite. 15  de correspondances.

Il a trouvé son double , et quelle double !

nle.

 je suis aller au lavo matiques des voitures j'ai fait un nettoyage tres puissants et un deuil expressos.


la tristess dans tous çà tous mes mots ç la poubelle.

faut être bête de penser positif d'un grand nihiliste se comparant à Thomas Bernhard.


j'ai le colis de mon dernier livre à lui envoyr si vous reconnaissez le monsieur.  

mon mail pour me passer le sien.

merci beaucoup.


le dimanche la rendu feroce. à la limite de toute politesse.




Felicien ROps

c'est lui qui me la fait decouvrit .

Spendide

La femme que l'on raye

simpha le  Mecton.

 c'est la punition dela godiche qui cire et brosse les botte d'un general.....


.

lundi 8 janvier 2024

TAblettes 21 un petit morceau d'histire condensation .

TAblettes 21 un petit morceau d’histoire condensation .

Frankie pour l’Orée

Je suis évidemment secouée de ma décision, le respect et l’estime cela va avec  Elle.

Je connais bien le problème de l’alcoolisme comme dans bien des familles. il n’y a rien d’originale.

Quand mon père me demanda  me supplia de prendre son fils  en preceptrice pur le remplacée auprés de ma mére que j’avais quittée très tôt ma premiere figure j’avais 3 ans et demi ..

Eureusement mes grand- parents m’ont reçu, et mon pére peul ne me quitta pas c’était un deal entre les deux pères.

 C’est un roman  « le mangeurs de Papas. »

  A la demande de mon pére j’avais 22ans , je venais de me faie la faiseuse d’anges pour un homme qui aurait du être mon mari mais  qui voulait surtout à l’argent que j’avais  mis de cote pour mes études et mes stages de théâtre ….

 J’étais une enfant qui s’est faite seule avec des rencontres subliminales avec la survellantes generale de mon internat que j’avais trouvé loin de chez moi à La Rochelle  pour ne pas vivre sur le qui vive  de son besoin maladif de me taper.

J’avais du faire poser par mon pére un tarjette dans ma chambre pour que son geste soit arreter pas une porte fermée et resistante.

Quand il me fit la demande, il avait bondi de son lit ou depuis « mois je le voyais tous les jours , chimio pour un cancer de la machoire.

La radiologie était mon metier je savais qu’il allait recupére des sa chimio terminée.

Cependant devant faire une these pour mon Deug d’animation Sociale.

Je choisit  « la fonction sociale et culturelle des cafés ».

Mon suivi de these était un professeur d’universiter de geographie humaine qui me guida pour faire une analyse sociologique de s bars de Bordeaux repartis sur tous les quartiers.

Ensuite avec les bd de l’époque j’étayais mes propos ppour l’evolution architecturale de la cite.

Et j’allais jusqu’à la linguistique des noms des cafes , et l’observation des patrons ou patronnes de bistrots.

Une analyse historique aidée par Chambartnelow (fautes  se prononce bien) et Pierre Sansot la poetique de la ville . j’eus mon entree en licence de pédagogie générale et appliquée

 Mon père était le fils d’une famille aristocratique de vendée où ma grand-mère était robeuse et ayan gagné un concours on lui avait offert une formation de tailleuse de costume d’homme.

Elle avait été faire sa formation du coté de Verdun. La guerre de 14 allait bon train. En un coup de dé elle se trouva regulièrement couttière  des blocs opératoires de bout de tranchee.

Elle partie avec les félicitations et on lui offrit le chien adulés de tous un chien de guerre. Un bas rouge médaillé de la guerre.

 Le jourmêe de son arrivée, le fils de famille lui fit visiter son ateleir et dans un rideau de son atelier il la viola..

Ainsi naquit mon papa…. Toutes les bonnes femmes étaient traitées de la sorte il y avait la cuisinière du château qui s’était suicidé. Partout les enfants pouvait se reconnaitre. La touffe  de cheveux blancs du fils de famille qui tripotait le temps avec Phillipe  Soupault et d’autres … il s se soulaient la guele tous le temps et tous les services du chateaux y passées. Jusqu’un jour  le fils demanda à ma marguerite  pain d’internir dans une spectacle dans une grotte des champignonnière et là en plien spectacle devant le public de toutes les notables de la region le bas touge de marguerite sauta à la jugulaire du mec occupait à se branler. il se vida de son sang , stoique la grand-mére continua la performance que le coco lui avait mis en route s’enroulait sur un grand pain de glace sur lequel il avait fait coulé du miel  un bon kilo.

Elle ne fut pas inquiétée trop de témoins  bref sui ne voulez pas trop se mêler  mais aimant la coupe des costumes de chasse et autre avait témoigné en faveur de  Marguerite. Comme c’était un tres beau garçon la mére du château avec un pistolet sur la tempe força  le fils à epousait Marguerite.. on emmena l’enfant dans les villegiatures du coté de Luchon. Il avait une tres bonne oreille on lui offrit une fliute et des cours de musique mais après la mort tout le monde du partir sans aucune reconnaissance financière pour elever l’enfant.

Son rêve devenir maitre des écoles fasciné par son maître Monsieur Robert…

 La mére vendu sa flute et le mis bouche chez son frère.  Il braconnait beaucoup , se faisait son argent de poche pour se payer ses costume que sa mére lui cousait et il adorait danser et sa beauté faisait que toutes les filles voulurent l’épouser . il tombas sur la bourgeoise  de campagne qui gâtait jusqu’au coup n’avait même pas passer son certificat d’études.

Les conflits pestèrent tres vite. Et mon pére après le boulot de boucher allait au bistrot du village rencontré ses pots et tapait la belote de  temps en temps le poker. très doué.

Il voulait éviter la soupe à la grimace. L’homme des bois et des marais grand résistant, ayant failli être exécuté sauve par le rire d’un mec black tirailleur sénégalais.  par leur rencontre sur le peloton d’exécution et le rire africain  qui fit peur aux SS tireurs qui crurent que le diable était là.

Les 12 à mourir furent sauvés et mon futur père demanda au grand « peul malien » Sénégalais de s’évader avec lui.

-      T’as prévu pour deux oui.

Ils réussirent l’évasion à six mois de la fin de la guerre.

 

….. je m’arrête là.

Les cafés étaient comme inscrit dans la vie de mon père comme une cabane de pecheur dans le marais.

C’était, ce fut toujours sa maison avant la sienne.

 

Et pour pouvoir bien transmettre l’histire de mon pére à son fils mon frere 22 ans quand j’en fut sa preceptrice. Fonstion paternelle.

 J’infiltrait à la demande , aux questions  des petits savoits pour que la connaissance de son papa le structure.

Il y eut bien sur des outrances de cafés . mais il partaient dans les champs evacuait les vapeurs….

Frankie Pain de la mangou

Respect des droits d'autrice 


 Interlude


Fin de tournage dakar 1989  "la nuit Africaine de Gerard Guillaume 

photo à Frankie





mes éternels potes sans eux ma vie eut été autre.



Mon père joueur de flûte 

 aquarelle Frankie






 sur le port au paquebot mangeur de papas  dakar

Photo frankie pain 1989


dimanche 7 janvier 2024

tablettes 20 la boite à outils de la periode.

"On oublie que l'imprévu est le plus puissant de nos maîtres

De tous, le moins évitable.

  se croire en enfer,

Naît la lumière.

Nous marchons  tranquilles sous le ciel

soudain quel diable bouleverse nos horizons ?"


Les mots se bousculent à la sortie du metro linguale comme des perles, des joyaux.

Pas pour mon chauffeur pour les course de la semaine

Taisez-vous ? au ôint de me faire une museliére pour les mots.

Il adore jouer au grand matcho et l’humiliation toujuts dans des endroits plin de monde. Ce qu’il faut subir handicapée ; et lui les chapelet d’insultes.

Jamais un homme ne m’avait insulter.

Je repense à Lio sur cà vous aujourd’hui .. ;terrible ce qu’il a raconté.

Une de mes amie a failli se faire tuer par son fils 44 ans la mec pas l’adolescent. Je me tais

Pour qu’n magazine j’i pas encore compris ‘mardi noir »

Pose la uestion de la psychanalyse aujourdhui.

Oui nous sommes dans un glissement et les oreilles bouchées on dir1it qu’elles le sont à jamais

L’étoile a pleuré rose au cœur de tes oreilles,
L’infini roulé blanc de ta nuque à tes reins
La mer a perlé rousse à tes mammes vermeilles
Et l’Homme saigné noir à ton flanc souverain.


Arthur Rimbaud, 1871

 

Prier en couleurs c’est une approche que j’ai découverte il y a plus de 10 ans, par un livre en anglais qui porte ce titre. C’est vite devenu pour moi un outil important dans ma pratique du Journal Créatif, facile à utiliser et me procurant un apaisement immédiat. C’est une approche méditative qui peut ou non être pratiquée dans un cadre spirituel, et c’est aussi une façon de se centrer afin d'être mieux disposé pour composer avec les stress de la vie. Cliquez sur l'image qui suit pour regarder la petite vidéo que je vous ai préparée.

 “L'art est, comme la prière, une main tendue dans l'obscurité, qui veut saisir une part de grâce pour se muer en une main qui donne.” Franz Kafka

 

  Les eaux de Mars

 Un pas, une pierre, un chemin qui chemine
Un reste de racine, c'est un peu solitaire
C'est un éclat de verre, c'est la vie, le soleil
C'est la mort, le sommeil, c'est un piège entrouvert
Un arbre millénaire, un nœud dans le bois
C'est un chien qui aboie, c'est un oiseau dans l'air
C'est un tronc qui pourrit, c'est la neige qui fond
Le mystère profond, la promesse de vie
C'est le souffle du vent au sommet des collines
C'est une vieille ruine, le vide, le néant
C'est la pie qui jacasse, c'est l'averse qui verse
Des torrents d'allégresse, ce sont les eaux de Mars
C'est le pied qui avance à pas sûr, à pas lent
C'est la main qui se tend, c'est la pierre qu'on lance
C'est un trou dans la terre, un chemin qui chemine
Un reste de racine, c'est un peu solitaire
C'est un oiseau dans l'air, un oiseau qui se pose
Le jardin qu'on arrose, une source d'eau claire
Une écharde, un clou, c'est la fièvre qui monte
C'est un compte à bon compte, c'est un peu rien du tout
Un poisson, un geste, c'est comme du vif argent
C'est tout ce qu'on attend, c'est tout ce qui nous reste
C'est du bois, c'est un jour le bout du quai
Un alcool trafiqué, le chemin le plus court
C'est le cri d'un hibou, un corps ensommeillé
La voiture rouillée, c'est la boue, c'est la boue
Un pas, un pont, un crapaud qui croasse
C'est un chaland qui passe, c'est un bel horizon
C'est la saison des pluies, c'est la fonte des glaces
Ce sont les eaux de Mars, la promesse de vie
Une pierre, un bâton, c'est Joseph et c'est Jacques
Un serpent qui attaque, une entaille au talon
Un pas, une pierre, un chemin qui chemine
Un reste de racine, c'est un peu solitaire
C'est l'hiver qui s'efface, la fin d'une saison
C'est la neige qui fond, ce sont les eaux de Mars
La promesse de vie, le mystère profond
Ce sont les eaux de Mars dans ton cœur tout au fond
Pau e pedra, é o fim do caminho
É um resto de toco, é um pouco sozinho
Un pas, une pierre, un chemin qui chemine
Un reste de racine, c'est un peu solitaire
Un pas, une pierre, un chemin qui chemine
Un reste de racine, c'est un peu solitaire

 

Antonio Carlos Jobim/ Georges Moustaki
 

Il y a plus d'intelligence dans deux cœurs qui essayent de se comprendre que dans deux intelligences qui essayent d'avoir raison.


Thomas d’Ansembourg

  La jouissance n’est pas de posséder ce qu’on veut,
mais d’être ce que l’on désire au plus profond de soi.
Ibn Hazm

«J'attache de la valeur à toute forme de vie, à la neige, la fraise, la mouche.
J’attache de la valeur au règne animal et à la république des étoiles.
J'attache de la valeur au vin tant que dure le repas, au sourire involontaire, à la fatigue de celui qui ne s'est pas épargné, à deux vieux qui s'aiment.
J'attache de la valeur à ce qui demain ne vaudra plus rien et à ce qui aujourd'hui vaut encore peu de chose.
J’attache de la valeur à toutes les blessures.
J’attache de la valeur à économiser l'eau, à réparer une paire de souliers, à se taire à temps, à accourir à un cri, à demander la permission avant de s'asseoir, à éprouver de la gratitude sans se souvenir de quoi.
J’attache de la valeur à savoir où se trouve le nord dans une pièce, quel est le nom du vent en train de sécher la lessive.
J'attache de la valeur au voyage du vagabond, à la clôture de la moniale, à la patience du condamné quelle que soit sa faute.
J'attache de la valeur à l'usage du verbe aimer et à l'hypothèse qu'il existe un
créateur.
Bien de ces valeurs, je ne les ai pas connues. »


Œuvre sur l'eau


Erri de Luca


mon amie envolée là  haut 50 ans de complicite



le mariage de ma cousine sur la mediterrannee



une jeune admiratrice la philosophe et son valet

frankie pain textes , mise en scène

le valet il est où ?