Chére Armarita, et mes chers autres
lecteurs lectrices,
« Deuil expresso »,
Nous savons malheureusement qu’après
un choc sidéral qui touche les affects,
les engagements, d’autres pertes….
Cette adorable brochette peut nous
coucher quelques temps sur la paille.
La douleur nous excluant de la vraie
vie,
si l’eau est bonne pour les végétaux
pour l’homme de cette zone du corps là ,
bad trip
trop longtemps.
Même si la phrase que j’ai "malheur
sème des cempathies ."
j’ai entendu par les meilleurs 'soncolateurs'
pardon consolateurs, de la famille « pleures çà lave les yeux ».
Nous savons que le temps compte
terriblement dans le processus de mise en mots ce point de réalité qui sous
quelques aspects sont« insymbolisables », ...
Nous savons aussi que le meilleur
consolateur bien des fois est nous-mêmes
Captons au plus vif de
l’embrassement,
Appelons à nos méninges les
philosophes grecs
Les contemporains, et....
quelques éminants psychanalistes
le livre de Julia Kristeva : "Soleil Noir"
est un bon compagnon
mais pour des affaires plus proches, intimes à l'être.
Soyons double sans risque de La schizophrénie
Le grand consolateur est ; c'est souvent Nous.
Dans certains
moments comme les chevaux après de grande marche vont jusqu’à l’abreuvoir, le
timbre de la cour de la ferme,…
Appelons les mémoires de l’arrière boutique
de l’enfance,
ses joyeuses consolations aux bobos,
de la tendresse,
un corps caressé si les mots ne
s’entendent pas,
tendresse, de bercements, et larmes couleront sur la joue peau de
pêche.
Le rimmel de la boutique africaine de la porte saint Martin
fera estampe japonaise papier joue avec son encre noire
pas de Chine.
Et la laverie des carrosseries boueuses
des miasmes projetés :
comme chante Souchon " Passons ces choses ?! à l’eau
de javel".
Le temps est somptueux si nous ne le gaspillons pas à la
futilité des manipulations.
Et voilà ma chère Armarita , Manouche,
Giné, Alezandro, Josette et ….Jean pierre et marité et, et , et Marga
Et un livre magique dans cette situation
sur l’établi d’écriture
Mickaêl Foessel
« Le temps de la consolation »
Essais en poche même
Quelques extraits
Pour le conseil à un ami ou un passant ou passante qui s’effondre.
« …….
C’est dans
ces brèches qu’agit la consolation. Par facilité, le mauvais consolateur a
tendance à minimiser la perte (« ce n’est pas
grave », « ce n’est rien »,
« une de perdue, dix de retrouvées »).
Le bon consolateur, au contraire, commencera par reconnaître à l’autre un droit
aux larmes....
. Son talent est
d’aider l’autre à « voir autrement que selon sa douleur ».
Ce n’est jamais joué d’avance. Un tel geste exige une forme d’humilité, témoin
d’émotion partagée, en même temps qu’un brin d’autorité. Du tact. Partant de
l’idée que nous ne savons plus bien faire, M. Fœssel plonge dans les
textes de Sénèque, de Boèce, Cicéron ou Augustin pour en extraire une « grammaire
de la consolation ». Le temps y joue son rôle ; le consolateur ne
doit venir ni trop tôt, ni trop tard. Le rappel du souvenir – du défunt
par exemple – est un passage obligé, qui permet de donner une place au
manque. La posture du corps, la tonalité
de la voix comptent aussi : le
consolateur « parle à quelqu’un » bien davantage qu’il « parle
de quelque chose ». Du point du vue rhétorique enfin, la
consolation puise abondamment dans les figures de style. Tout est bon pour
stimuler l’imaginaire du malheureux. La
métaphore y est reine : elle refaçonne l’expérience. Ainsi, Sénèque
invite Lucilius à considérer la
vieillesse comme le « soir de la vie », Boèce compare la vie à un « voyage ». Et à la mère qui
pleure son enfant, Sénèque propose une étrange comptabilité : « Mets-toi à compter ses qualités, non
ses années : tu verras qu’il a vécu assez longtemps. » Reste enfin le geste et le toucher, aux
effets si puissants quand les mots viennent à manquer.
Si M. Fœssel
se défend de proposer un mode d’emploi – « il n’y a pas de formule pour une
consolation réussie » –,
son livre
Mickaêl Foessel
« Le temps de la consolation »
Traité de gourmandise autour du Cornet de Murat 2005 Cantal
mise en voix , écriture, mise en scéne, décor
frankie pain
la fontaine avait été transformée
en baignoire de lait
imaginez le moment du bain
comme la foule est venue, c'était dingue de jubilation
Cà kiffer !!!
c'était drôle. performance d'une journée...
Là le personnage, j'ai oublié quel nom je lui avais donné pour l'occasion, était entrain de mettre quelques vagues dans son bain avec une pagaie....
le rapport au temps dans le costume permettait dans le direct qu'est la rue de gagner en distance
sortir du quotidien.
Pour cette séance qui ne fut que factice, j'avais des gardes du corps...
toujours Daum
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