1 | Nous devons nous y habituer : aux plus importantes croisées des chemins de notre vie, il n'y a pas de signalisation. | ||
Ernest Hemingway |
2Félix Leclerc
Le verbe aimer pèse des tonnes de chagrins, de joies, d'inquiétudes, de chair, de sang, de doutes, d'extases et de cris. Ne le fuis pas ! Le verbe ne pas aimer pèse encore plus lourd.3 Roland Barthes
A chaque instant de la rencontre, je découvre dans l'autre un autre moi-même.4 La bonne humeur a quelque chose de généreux: elle donne plutôt qu'elle ne reçoit.
alain
5Jacques Salomé
Lorsque nous aimons, nous déposons nos défenses, nous abattons nos barrières, nous laissons entrer, au cœur de ce que nous avons de plus vulnérable en nous, l'imprévisible de l'autre.6 On accède aux choses en y renonçant. | ||||
Christophe Malavoy |
7 Rûmi
Si tu souhaites être une mine de joyaux, ouvre l'océan profond à l’intérieur de ton cœur.8 Il n’y a pas de fin. Il n’y a pas de début. Il n’y a que la passion infinie de la vie. | |
Federico Fellini |
9
Mooji
Ayez confiance en votre cœur et en son intuition. Faites le choix d’abandonner la peur et de vous ouvrir au Vrai, et vous vous éveillerez à la liberté, à la clarté et à la joie de l’être.10 | L'amitié est un sentiment aussi mystérieux que l'amour. | ||
Jean Dutourd |
11 | Un regard est dans tout pays un langage. | ||||
George Herbert |
12 Gangaji
Soyez nu dans la splendeur de la vérité de qui vous êtes.13
Nous sous-estimons souvent le pouvoir d'un contact, d'un sourire, d'un mot gentil, d'une oreille attentive, d'un compliment sincère, ou d'une moindre attention ; ils ont tous le pouvoir de changer une vie. | |
Leo Buscaglia |
14 | Quand le dernier arbre sera abattu, la dernière rivière empoisonnée, le dernier poisson pêché, alors vous découvrirez que l'argent ne se mange pas. | ||||
Proverbe indien |
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de la hauteur en ses jours d'Avent
très tendrement vôtre
frankie
Merci Frankie pour ces paroles, aujourd'hui une "aminaute" est en très grand deuil et je suis près d'elle par la pensée.
RépondreSupprimerje t'embrasse
en attendant noël, je te souhaite une belle semaine!
RépondreSupprimerLa 4, la 6 et comme je suis une adepte de Jean Dutourd la 10.
RépondreSupprimerJe t'embrasse bien fort ma Frankie et je vais me coucher car demain je file à Marseille.
Lever aux aurores.
Douce nuit.
Il n’y a pas de fin. Il n’y a pas de début. Il n’y a que la passion infinie de la vie.
RépondreSupprimerJe ne sais pas, chère Frankie. Je ne sais pas, je ne sais plus. Je dirais plutôt : Il n'y a ni fin ni début. Il n'y a que cette saleté de vie qui tôt ou tard nous jouera un sale tour. Oh oui, un sale tour, chienne de vie. Aujourd'hui je ne peux pas être gai.
Aujourd'hui je pleure pour mon amie Suzanne à qui les mois sont comptés. Je pleure pour mon amie Suzanne qui ne verra pas l'été. Je pleure pour son mari. Et je hurlerais ma haine de cette saleté de vie.
Aujourd'hui je n'ai pas le goût de vivre. Peut-être demain, qui sait. Je n'ai pas encore tiré mon mauvais numéro.
Je te souhaite avant un bel avent , après un meilleur à pré où se cache l'amour...
RépondreSupprimerà à vous merci de vos mots, mémé si je sens que des vos amies vous partager grandement la tristesse et l'accompagnement pour Josette et Roger
RépondreSupprimerrecevez mes tendres voeux dempathie.
Il faut profiter au maximum des bons moments car la vie est cruel bien souvent.
RépondreSupprimerMerci Frankie pour ces mots qui calment, c'est comme une petite respiration en fin de journée...
RépondreSupprimerBonne soirée, amie!
La mort est un poignard qui plonge dans le coeur de la vie et personne ne lui échappe jamais, quel que soit son destin, tout est question de temps et de tempo.
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RépondreSupprimerMes pensées vont également vers Josette et Roger. Et vers Suzanne bien sûr.
RépondreSupprimerQue nous ayons la clairvoyance, ici et maintenant, de choisir le chemin de vie qui NOUS définit, et non les impasses vers lesquelles nous orientent ceux qui ne sont parfois que les guides inconstants de leur propre cécité.
Que nous gardions, ici et maintenant, quelles que soient les tempêtes qui feront chavirer notre bateau, le cap vers la réalisation éclatante de nous-mêmes.
Avant que le sol revienne nous border dans son berceau d'humus et de cèdre.
Envoyons notre belle énergie à tous ceux qui en sont assoiffés. Courage, Josette, son amie, Roger, Suzanne, son mari, et tous ceux qui, pris dans la tempête, s’accrochent de tout leur être à la proue de leur bateau.