Chers lecteurs,
j'avance dans un épais brouillard depsuis trois semaines.
Je crains devoir cesser d'écrire.
mon écriture n'est absolument pas dans les lignes d'édition.
c'est quelque chose assez insurmontable
et je suis plus fragile que jamais.
je vais continuer mes ateliers au moins finir l'année pour les jeunes auteurs.
je tenais à vous le dire car je sais que vous comprendrez.
et je me devais le poser ici
où je suis lu avec assiduité.
je pers ma grande amie, on ne comprend rien à ce que j'écris, je pensais avoir une ligne d'écriture , j'étais lon d'imaginer que je faisais du sous cadavre exquis.
Je n'aurai pas du reste de ma vie pour ecrire là où il faut .. alors
cette veine , je ne sais pas quelle force va me seconder pour rebondir.
je resterai je l'espére lectrice.
J'écris dans ma toute conscience, je ne cesse de pleurer.
Vous êtes mes amis, et malheureusement tant d'autres ont quitté le navire.
les artistes qui ne font ^pas la première page des journaux fait plus peur.
C'est là qu'ils auraient raison d'avoir peur mais ils sont figé et moulés dans leur socle de la mode de ses année 2015 et plus
Bye bye pour longtemps encore j'espére.
Françoise Pain
je pense que cette photo vient d'un blog Ici et maintenant.
Textes du jour de la blog-woman, phrases : colonne vertébrale, contes, légendes, mots d'humeurs, d'amour, lettres à la mer, recherche de connivence, complicité, ses dessins, ...la jazzeuse des grands chemins et sentes, écrivaine nomade des murmures de la vie intérieure et des happening minimalistes nés au hasard d'un banc public dans un parc aromatique , un abri bus , un train , un marché, les pas perdus d'un aérogare tous les lieux insolites pour une rencontre.
Pas Adieu mais Au-revoir à l'écriture. Un petit coup de mou, ma jolie ?
RépondreSupprimerTu n'as pas fini de nous régaler de tes folies, circonvolutions, envols poétiques peut-être peu "éditables" mais vraiment "régalables" ...
Bizzzzzzzzzzzzzzzz
Une pause peut-être, mais tu ne peux pas renoncer! Non, l'écriture ne nourrit pas son écrivaine, mais tiens bon, pour notre bonheur à lire tes histoires rebondissantes et poétiques.
RépondreSupprimerUn ami peintre qui soumettait ses oeuvres à une galeriste s'est entendu dire d'un ton revêche "Ce n'est pas vendable". On en a ri pendant des années... Il en a pourtant vendu - pourtant! Alors, ne baisse pas la main qui tient la plume!
Courage!
Mais c'est un moment normal que le doute et le manque d'envie d'écrire... plus rien à dire Frankie ? je ne le croirais jamais juste un temps de "digestion" de décantation et un jour les mots se mettrons en place... Prends ton temps et respire fort le temps qui passe, c'est le stress suite à ton malaise chocolaté. Je compte sur toi pour nous stimuler les neurones.
RépondreSupprimerManouche a raison
Gros gros bisous
merci les chéres lectrices.
RépondreSupprimerpour vous bien sur il y aura des mots...
Gros bisous.
merci de vos mots.
A te lire
RépondreSupprimeret même entre les lignes,
dans les points de suspension
ou d'interrogation.
Dans la marge aussi
ou
à l'encre invisible
qui fleure bon les agrumes.
A te lire
comme tu voudras!
Bisous
jj
Ah… Chère Frankie ! Comment lire sans émotions vos lignes ? Je devine votre souffrance de devoir dire adieu à une part si précieuse de vous-même.
RépondreSupprimerMais, sans vouloir donner des espérances qui ne seraient pas lucides, il me semble qu’il y a dans le fait d’écrire un ressort absolument essentiel : c’est la jouissance de produire quelque chose qu’on ne savait pas posséder, quelque chose qui apparaît là, dans notre esprit et sous nos yeux, et qui marque un pas dans une direction qu’on ne connaît peut-être pas encore, mais dont on devine que ça va quand même dans le bon sens.
Mais surtout : n’écrivons pas pour être lus, même si c’est un plaisir de plus : écrivons pour savoir ce que nous avons à dire.
Je vous embrasse affectueusement chère Frankie,
Jean-Pierre
merci merci beaucoup
RépondreSupprimercela me fait du bien de vous entendrequand j'ai réalisé la perte de mon désir d'être edité le corps à compris et il a trouver m'importe quoi pour me mettre sur le carreau...
j'ai vu la vie passé à un fil.
(cf) le papier sur l'épisode suffocation les pompiers , les urgences.
mon corps est une structure hystérique et nous faisons bon ménage mais il est une lame fine , il ne lâche rien et hop au cas où je n'aurait pas compris .
je me donne un an pour rebondir.
merci merci de vos mots , même sans elle, quoique que ce vous m'écrivez jean pierre, je vais un jour bient^to la regarder d'une autre manière, pour l'instant
je suis une petite chose.
merci beaucoup d'avoir pris un peu de temps pour comprendre et me dire.
je vous embrasse toute la glignée des correspondants
COURAGE !!!! Bises.
RépondreSupprimerl'écrivain écrit d'abord pour lui même ... comme le peintre etc..et ensuite..un concours de circonstances peut changer la donne..
RépondreSupprimerpensons à van gogh et à tant d'autres! courage...je t'embrasse
Je vous avais laissé un message l'autre jour et je ne le retrouve pas....
RépondreSupprimerIl faut garder courage et continuer à écrire puisque c'est cela que vous aimez faire. Peu importe le regard des autres.
Maintenant, je vois que ça va mieux et j'en suis contente pour vous.
Bonne journée.