mardi 31 juillet 2012

Mois d'aôut : la légéreté et la solidité


1er  aout
paris se vide
les amis sont absents, 
la famille sur répondeur.
j'ai toujours un frison de flip mais à y regarder de plus prés
 je ne suis pas plus seule  maintenant qu'avant . 
Il se doit d'assumer , d'affirmer oui le mot . Solitude. alors en phrase quinine, quintonine, j'ai mis la bonne dose
vous en trouverez bien une qui vous convienne


bonne méditation Françoise :  "je vous embrasse"

Hwang Sok-Yong

Il ne faut pas avoir peur des vagues qui agitent votre âme. C'est ça, la vie.

Carlos Fuentes

Il n'est pire servitude que l'espoir d'être heureux. 

Christiane Singer

Pour exister, il faut naître, sortir de l’ombre, faire un pas vers. Sans cet élan, il n’y a pas d’existence.

Abbé Pierre

L’espérance, c’est croire que la vie à un sens.


Avoir souffert rend tellement plus perméable à la souffrance des autres.

Abe Kobo

La solitude est un enfer pour ceux qui tentent d'en sortir ; elle est aussi le bonheur pour les ermites qui se cachent.

Une haute sympathie pour les autres provient d'un grand degré d'adhérence à soi-même.

Abraham Lincoln

Pour la plupart, les gens sont aussi heureux qu’ils décident de l’être.


Puisque nous sommes confrontés à du neuf, nous pensons penser neuf et agir neuf.

Alexandra David-Neel

Dès que la moindre parcelle de sagesse est entrée dans l'esprit d'un homme il aspire à la solitude.

Si tu ne profites pas du temps que tu as de libre, tu n'en profiterais pas d'avantage quand ce temps serait dix fois plus considérable.

La vérité apprise d'autrui est sans valeur. Seule compte, seule est efficace la vérité que nous découvrons nous-mêmes.

Carl Gustav Jung

Là où l’amour règne, il n’y a pas de volonté de puissance et là où domine la puissance, manque l’amour. L’un est l’ombre de l’autre.

Bouddha

Soyez votre propre lampe, votre île, votre refuge. Ne voyez pas de refuge hors de vous-même.

Amin Maalouf

L'identité n'est pas donnée une fois pour toutes, elle se construit et se transforme tout au long de l'existence.

Andre Gide

Regarde le soir comme si le jour y devait mourir, et le matin comme si toute chose y naissait. Que ta vision soit à chaque instant nouvelle ! Le sage est celui qui s’étonne de tout.

Ose devenir ce que tu es. Ne te tiens pas quitte à bon compte. Il y a d'admirables possibilités dans chaque être. Persuade-toi de ta force et de ta jeunesse. Sache te redire sans cesse : « Il ne tient qu'à moi. »

Le présent serait plein de tous les avenirs, si le passé n'y projetait déjà une histoire.
Une chose ne vaut que par l'importance qu'on lui donne.
Il entre dans toutes les actions humaines plus de hasard que de décision.

Le meilleur moyen pour apprendre à se connaître, c'est de chercher à comprendre autrui.

L'expérience instruit plus sûrement que le conseil.



bye bye lovely see you soon

frankie

 

lundi 30 juillet 2012

le lien pour le feuilleton de Marilyn france culture

J'ai écouté, c'est absolument "divin". Le lien de France culture pour écouter est celui-ci: http://www.franceculture.fr/emission-les-grandes-traversees-moi-marilyn-docGROS BECS Frankie.


sur Les Grandes traversées / Moi, Marilyn (feuilleton) aujourd'hui france culture
de la part de marité










bon écoute et belle journée Françoise


feilleton maryline voir le post de ce matin celui du matin

 j'ai écouté et j'ai tremblé 
c'est excellent .
le choix de la comédienne qui interpréte et pile poils avec les grain de la voix de marylin 
les montages autant musicaux ainsi que des éléments de la bande de magnétophone de marilyne 
 c'est interresant subtile 


guére de temps acar en préparation de   ... actrice  and the voice 
mais jsute le coucou du soir pour votre journée demain

soyez à l''écoute avec moi 
 vous entendrez qui je suis
mon amie frankie
et Juliette sutout juliette la réalisatrice qui nous offere une superbe reconstitution
oeuvre plein de finesse

il n'y a que mon coeur qui parle
bye frankie


dimanche 29 juillet 2012

Les Grandes traversées / Moi, Marilyn (feuilleton) aujourd'hui france culture


 


j'ai fait dans ce feuilleton une intervention  improvisée la mère du psychanalyste  de Marylin lors d'une réception  j'étais très touchée d'être si prés d'un grand mythe qui fut vivant  à ce moment là et toujours dans mon coeur   c'est aujourd'hui que çà commence

 c'est une belle réalisation   la réalisatrice Juliette serait intéressée de votre avis alors laisser moi un commentaire  ici ou sur mon blog lamangou@yahoo.fr


dans son dernier film tv "something 's got to give"

Les Grandes traversées / Moi, Marilyn (feuilleton)

du lundi 30 juillet au vendredi 3 août de 11h à 11h50 Durée moyenne: 46 minutes
Le Feuilleton, c’est une adaptation radiophonique du roman de Michel Schneider « Marilyn, Dernières séances ».

07.2012 - Les Grandes traversées / Moi, Marilyn (feuilleton)
"Marilyn, dernières séances" de Michel Schneider 1/5

Réalisation : Juliette Heymann     Trente mois durant, de janvier 1960 au 4 août 1962, ils formèrent le couple le plus improbable : la déesse du sexe et le psychanalyste freudien. Elle lui avait donné comme mission de l'aider à se lever, de l'aider à jouer au cinéma, de l'aider à aimer, de l'aider à ne pas mourir. Il s'était donné comme mission de l'entourer d'amour, de famille, de sens, ...

Marilyn, dernières séances" de Michel Schneider 2/5

31.07.2012 - 11:00
Réalisation : Juliette Heymann

Trente mois durant, de janvier 1960 au 4 août 1962, ils formèrent le couple le plus improbable : la déesse du sexe et le psychanalyste freudien. Elle lui avait donné comme mission de l'aider à se lever, de l'aider à jouer au cinéma, de l'aider à aimer, de l'aider à ne pas mourir. Il s'était donné comme mission de l'entourer d'amour, de famille, de sens, comme un enfant en détresse. Il voulut être comme sa peau, mais pour avoir été la dernière personne à l'avoir vue vivante et la première à l'avoir trouvée morte, on l'accusa d'avoir eu sa peau. Telle est l'histoire. Deux personnes qui ne devaient pas se rencontrer et qui ne purent se quitter. Des mots noirs et des souvenirs blancs. Dans la lumière adoucie d'un cabinet de psychanalyste se redit la dernière séance de Marilyn.
Biographie de l'auteur
Né en 1944, Michel Schneider, écrivain et critique littéraire, a été directeur de la musique et de la danse au ministère de la Culture de 1988 à 1991. Il est l'auteur de La Comédie de la culture et de plusieurs ouvrages sur la musique, notamment Glenn Gould piano solo, Prima donna, Musiques de nuit. Il a reçu le prix Médicis de l'essai en 2003 pour Morts imaginaires et le prix Interallié 2006 pour Marilyn dernières séances.


Deuxième épisode

Clothilde Morgiève : Marilyn Monroe
Georges Claisse : Ralph Greenson 
Mohammed Rouabhi : Le narrateur 
Johanna Nizard : La narratrice 
John Arnold : John Huston 
Alain Fromager : William Weatherby 

Et avec :
Alexandre Aubry
CLaire Beaugé
Brice Berrier
Anne Cart
Patrick Fontana
Frédéric Lebret
Christophe Gauzeran
Marie-Anne Mestre
Florent Oullié
Lybert Ramade
Sandra Vellocia

Bruitages : Patrick Martinache
Prise de son, montage, mixage : Claude Niort, Sylvain Dangoise
Assistante à la réalisation : Cécile Laffon

Marilyn, dernières séances de Michel Schneider est publié aux éditions Grasset

Invité(s) :
Michel Schneider, écrivain, énarque, haut fonctionnaire et psychanalyste français




photo inédite


 

dimanche aprés midi merci à toutes mes chers commentatrices de cette fin de semaine

Merci de tous vos charmants post alors  je vais d'abord vous rassurez si j'ai eu l'humeur guerrière  c'est que je me prépare à un rôle  où je vais être une femme très dénudée qui va sauver .... le blanc du droit de réserve obligatoire .... et pour me donner du courage je me suis  imaginée pour commencer sous le regard d'Elmut Newton photographe de cette photo qui sait si splendidement  embellir ses modèles et donner de la crête, de l'écume , du flux et du ressac à ses images. 

Je vois votre hyper sensibilité  et j'en suis ravie car nous ne pouvons aller loin que dans la subtilité.

Tôt le matin , je suis allée vers l'île Saint Louis pour offrir ma journée au silence à l'heure où tout dort pour mieux capter les zones  nourrissantes de la pensée qui nous ravive le cœur  et nettoie ce qu'il est essentiel pour laisser venir à nous de belles choses simples et belles . 

La guerre est plus tournée vers moi même , avec douceur il en convient,  pour je , jeu , ne pas donner d'accroches et de racines de chiendent à des  humeurs qui ne mériteraient plus à mon âge de me faire parfois tourner en bourrique .. alors oui à cet endroit précis , ce réel pointé.  Oui  : Guerrière.

Je suis contente de t'avoir fait rire , Armarita (pardon  j'avais fait une erreur d'adresse ),  Giné avec  "Tout pour une tranche de jambon Serena". et que tu en ris encore .  Si ma plume a cette faculté : c'est ma plus grande joie .  Le rire est subversif et toi qui par le travail de ton râteau, sécateur , binette  arrosage  , serres , dépotages , replantations ,  ect      je suis nourrie  de tes photos du jour de ton jardin et tes bouquets de dimanche  dans mes cellules pour faire éclater des images avec ma plume.

Et après avoir suivi , pas à pas, mes trois héros de roman,  gambader dans une prairie  libre comme les chevaux que l'on lâche de l'écurie  , je me suis régalée   dans les sillons de mon imagination.  Folle de joie elle était  Madame Imagination , l'autre soir sous l'Orme avec mes deux jeunes auteurs en atelier ,que je ne lui donne pas les rennes . Un  lecteur ou mille lecteurs pour moi c'est pareil , la transmutation a eu lieu  et les mots sonnent ailleurs  et c'est joyeux ...  et un des élément fondamental : le rire , le pleur a été ressenti.  

In challa !


Armarita, tu es partie dans ta nouvelle semaine et tes invités alors surprise du prochain instantané

Manouche "le dimanche pas catholique "et pour jouer dans "le pacte des loups" le rôle de la grande mère maquerelle pour une scène   de haut en couleur dans sa grande maison.... j'avais du faire une enquête très spéciale et j'avoue  que  le signifiant que porte cette photo est une charnière de signes mais en photo  cela peut être beau mais dans la réalité, et dans un   rôle faut travailler  très haut pour ne pas être emportée par tout ce que cela véhicule. Et bien se protéger avant, pendant et après le tournage. C'est  ce que j'aime dans mon métier d'actrice : ces étranges rencontres.

Je suis aller voir ma marchande de fleurs ce midi  pour me faire un petit cadeau de fleurs et lui renvoyer les petits mots gentils que vous avez eu à son égard. Elle fut très touchée .  et le sourire qu'elle m'a fait  était comme quand le soleil se lève dans les couleurs claires  pur de l'éther. 

Je vais faire cuire le poisson et manger 
pas très en avance   mais la bouche peut attendre quand on fut câliner de si jolis petit mots

et Solveig le nom du Photographe tu l'as en haut du texte 

Je vous salue à la japonaise , chères Demoiselle et Dames 

et que la joie demeure   je l'adore comme hôte.

Françoise dans le civile.




le sourire de Bruno Gans : un acteur que j'adore


vendredi 27 juillet 2012

mes instantanées

et chez Armarita  beaucoup d'autres instantanés









ma marchande de fleurs connait mon amour des fleurs et aujourd'hui mes faibles moyens alors achetant un lys elle me donne celles qui vont mourir avant son nouveau marché et je fait la petite clinique des fleurs et je suis ravie  de ses couleurs mon jardin de l'atelier







http://mesinstantanes.blogspot.fr/

photos Frankie P()in la Mangou


 

logo

Pour une tranche de jambon Sérena.


Sous la treille, sur la terrasse d’un petit bistrot de village, à la récolte des courants d’air, un soir en attendant l’orage, quelques hommes parlent  en sirotant de l’eau citronnée : la veille avait été très arrosée.
1
Elle disait pouvoir tout donner d’elle pour une tranche de jambon Sérena. Alors tu la voyais partir en se « dondolinant », la truffe à l’air, elle se faisait juste payer un jambon Serena.

C’était une beauté dans ce village juste à la sortie des gorges du rio Verdé.

…Les hommes avaient remplacé l’argent au jeu par des fèves sèches pour faire leur bas de laine et un jour s’acheter un jambon Serena.

2
Son mari était mort sur les terres à poilus de L’Argonne  disait son voisin, un jour elle l’avait fait rentrer chez elle. C’était un hôtel de bondieuseries. Les jambons Serena étaient  pendus aux poutres  de son plafond et elle disait que quand elle avait arrosé ses tranches de jambons elle levait les yeux , elle entendait les corps agonisés et plus le plafond était chargé de  ces jambons là, plus les plaintes étaient précises .Elle entendait son Augusto, son poilu. Pas de prix à cela . Et  de comment elle avait eu son jambon.

3
Tu parles dit le cocu du village qui avait une dent contre toutes les femelles., les jambons elle les revend et très chers. Elle dit que c’est moins sale que de se faire payer en argent et au moins le prix est le prix. Pas besoin d’ergoter car t’as toujours un membru pour te retirer un billet, deux billets comme la main du boucher jauge l’aiguille de la balance et te retire  une pince de chair à saucisses pour faire le poids , bon poids , moins de poids… et à la fin elle se retirait avec  un presque rien pour sa Gorge du Rio Verdé

4
Le voisin  de la femme aux jambons Serano dit : et alors tu peux parler si tu donnais ce qu’il fallait à ta femme, elle ne t’aurait pas fait porter cette belle paire de cornes de Miroua. Il ya toujours une sacré raison pour arriver à cet extrême de l’usage de son corps. Veuve de guerre et 4 marmots. La marmite pois chiches, fèves et cebolia par tous les temps. Une tranche de jambon même pas Serena çà améliore l’ordinaire et t’as vue comme ses gosses travaillent au lopin de terre que lui a donné la commune. Ses oliviers quand ils donneront on la suppliera avec deux jambons Serena et rien que pour marchander, la tenter et ils les lui  laisseront sans lui avoir touché le bout du têton. Converser avec elle. C’est devenu plus important que de se satisfaire avec un tour de reins…

5
Et dans un coin un qui ne l’avait encore ouverte dit : qui ici a vraiment fait l’amour avec elle ?
Temps
Hum, qui ?
Et levez la main et jurez : «  si je mens , cracher, jurer , je vais en enfer…
Personne n’est-ce pas ? !

C’est une femme qui a su faire marcher le moulin à fantasmes et de vous voir en catimini traverser la village pour aller à la prairies aux juments, la colline des moutons. Revenir les mains vides avec de l’herbe collée à différents endroits de vos paletots…

Faire monter la chaleur dans votre sac à couilles mal secoué par vos femmes à barbe. Sur votre orgueil elle vous fit : Coqs. Elle vous a mené la dragée haute. Tout à son honneur et à sa débrouillardise. Elle est l’innocence même.

Je me présente , je fais partie du jury de la Rosière de Pessac. C’est elle cette année à qui nous allons décerner ce titre et la décorer.
6

Maugréant l’homme aux cornes de Miroua : et be putas , où çà mène les jambons Serena. Je sens que je deviens musulman. 
«  Rosière de Pessac »«  Rosière de Pessac » «  Rosière de Pessac »


texte de Françoise P()in




























premier jet hier sous l'orme  

belle soirée

L'atelier



jeudi 26 juillet 2012

le point de vue : couper la langue de frankie pain




hier je donnais un cours sur le point de vue
sous mon orme

Texte écrit le 4 février 2012

« Couper la langue ! ».
La plus belle basse.
Si elle avait pu la mettre dans sa poche.
Dans certaines conditions çà peut se recoudre…
On va lui faire la peau à cette meuf.
A 5 heures du mat, qu’est-ce qu’elle avait à trainer
 sur une aire d’autoroute ?

La sangria musquée.
Les danseuses terrifiques,
 Leur chutes de reins,
leur coup de talon,
 la castagnette.
On les avait encore dans l’oreille
Tout le chemin.
Pecho ,nos corps de matchos :
Aldente à des ruts à la boulette Russe.

Merde ses graves.
Cette nuit avait dégoupillé
son futal noir-cuir du gaucho
 en goguette-concert.
Quel con ! Quel con !

Dolorés l’aurait bien pris chaud comme çà.
L’exotisme. Le grand frisson.
Qu’est-ce qu’il va dire à Dolores ?
 Sans langue ; çà va parler tout court.
Dans la prise : l’embrasser.
Il se fait toujours avoir avec son côté
 rock-rome-antique, Saint Mitouche de la mer.
Dolores va l’éclater de ses trois pots de géraniums.
10 jours à peine que je lui ai chapardés.

Tiens les v’là qui déboulent.
 Tant mieux : ce couloir au sous sol !
Et la Mercédes refaite pleine de sang :
C’est trop.
                                         Le guitariste            

L’autre témoin.

Les accidents du petit matin
Les yeux dans les bottes aseptisées
Une envie de camélia dans la rosée
Avec le rouge gorge qui attend ses graines
à trois mains de soi
Le café son odeur, les fesses appuyées contre
la paillasse de la cuisine du déchoc.
Les croissants chauds que les flics ont portés
En même temps que la victime.
Fallait les séparer.

Lui : recoudre quoi ? avec quoi  ? Nette, franche.
Couper la langue.
 Couper comme à l’emporte pièce.
Désinfectée , cautériser : colmater l’hémorragie.
Anesthésie locale ? !.
Je file la métaphore de la jeune fille  .
Faire sens . Mémoire indélébile. L’indicible tatouage.
Après 10 heures de bloc… je ragoutonne.

« Ouvrez la bouche. Je vais vous mettre un speculum
Pour la laisser ouverte. »

La jeune fille est en salle de déchocage.
 Sous une couverture de survie.
Constater.
Je déteste ses moments
 pourtant je préfère que ce soit une femme.
 Qui sait un interne plus doux
 que ce qu’elle a pâti :
serait lui offrir une bouée s’opposant à l’autre image mnésique.

Elle a les yeux égarés, éclaté de sang :
« Tenez voila son bout de langue :  cela pourrait encore servir 
Sa puissance m’a rendu plus hard que lui… »

« Ramenez là vite chez elle, elle vit avec des copines
Elle sera mieux qu’ici.
Ils vont pas tarder de débarquer…
C’est toujours comme çà qu’ils font.
Il vaut mieux qu’elle ne soit plus là. »
                                                           La chef de clinique

  La jeune fille 

« ne rien dire surtout pas à mon fiancé,
Il serait capable de me dire :
« je ne peux plus t’aimer, tu as appartenu à un autre homme »
J’ai un intuition d’animal.
C’est cela même.


Frankie vous souhaite une belle journée

















l'atelier  des écritures sous l'orme avec Anna Jo et Chantal S

vendredi suite des pantins

Mes chers pantins , et poupées furent très bavards et ils sont pires que leur 

Abuelita j'ai un travail de réécriture colossale 

alors nous verrons la suite de leurs digressions la semaine prochaine et comme

 la canicule nous fut généreuse



j'ai choisi ce que j'adorais quand svelte de glorieuse des sommets des 

pyrénéens et de Gorges du Rio Verdé en Espagne, j'affectionnais les cascades et

 le baïne d'eau , rien sans grandiloquence après une journée administrative

alors  moi au corps de loutre bleue

 cascade chevelure

je suis sur que vous apprécierai  cette cueillette

 

je vous embrasse très de loin en vous souhaitant à la fraiche

mercredi 25 juillet 2012

je viens de découvrir une auteure

http://mariannejaegle.over-blog.fr/

"
"en tapant je viens de finir d'écrire mon roman",

 j'avais envie de voir d'autre témoignage sur cette grande aventure. Certes ce n'est pas mon premier écrit mais c'est la première fois que le premier jet avec quelques chapitre bien écrits pour tenir une logique de langue tous les matins de plus en plus tôt pour tenir les autres obligatoins de la journée, j'avais lu que beaucoup d'auteurs font çà ainsi  et du coup j'ai pris cette habitude déjà il y a très longtemps 
et 
je tombe sur le livre de cette auteure 
son blog
alors si vous aimer l'écriture et la belle écriture  faite un petit voyage chez elle 

bon jeudi.

mardi 24 juillet 2012

petites grandes comme vous voudrez de sagesse


Yahya Haqqï

Celui qui aime n'a pas besoin de comparer: quand la comparaison entre par la porte, l'amour sort par la fenêtre.

Ibn’ Arabi

Si le connu disparaissait, la connaissance apparaîtrait.

Socrate

Le temps malgré tout a trouvé la solution malgré toi.

Bashō Matsuo

Ne marche pas sur les traces des anciens ; Cherche ce qu’ils cherchaient.

Maître Eckhart

La connaissance, c'est l'expérience que fait l'homme de l'unité qui unit tous les hommes.

Jean-Yves Leloup

Car qu'est-ce que l'enfer si ce n'est être " enfermé " ; enfermé en soi-même, dans ses mémoires, ses craintes, ses refus, ses culpabilités... 

Jacques Lanzmann

Tous les chemins mènent à soi ...

Andre Gide

Regarde le soir comme si le jour y devait mourir, et le matin comme si toute chose y naissait. Que ta vision soit à chaque instant nouvelle ! Le sage est celui qui s’étonne de tout.

Prem Rawat

La paix attend que nous la trouvions. Elle attend que chacun de nous se sente à nouveau complet, et non plus morcelé par tout ce qui divise notre vie.

Boris Cyrulnik

L'évolution ne connait pas la marche arrière.

Osho

La seule raison d'être de la douleur, c'est de secouer votre sommeil. Quand l'intelligence consciente s'éveille, s'en est fini de souffrir.

 belle journée