expression française :la fléche du parthe . phrase de christiane Singer
http://www.le198.com/2008/11/11/une-bataille-d-oreiller/
« La flèche du Parthe »
L'attaque ou la plaisanterie hostile
lancée à la fin d'une conversation.
Est-ce que tout le monde sait ce qu'est la flèche du Parthe ?
Sans quoi l'explication qui suit n'aurait pas vraiment lieu d'être.
Les Parthes étaient un peuple guerrier d'Asie ; ils avaient les yeux
persans, puisqu'ils vivaient à peu près dans ce qui est l'Iran actuellement,
donc anciennement la
Perse.
Habitués des batailles et fins cavaliers, ils avaient une
tactique particulière qui consistait, alors qu'ils simulaient une fuite devant
l'ennemi, à tirer des flèches vers l'arrière, par dessus leur épaule, ciblant
ainsi leurs poursuivants.
C'est de cette tactique que notre expression est née au XIXe siècle pour
désigner la phrase assassine ou la plaisanterie désagréable lâchée par
quelqu'un au moment où il arrête la conversation et s'éloigne, empêchant ainsi
l'interlocuteur de répliquer.
belle semaine
L’amour n’est pas aveugle… il perce les épaisseurs et toutes les cuirasses.
Notre
devoir le plus impérieux est peut-être de ne jamais lâcher le fil de la
Merveille. Grâce à lui, je sortirai vivante du plus sombre des
labyrinthes.
Pour exister, il faut naître, sortir de l’ombre, faire un pas vers. Sans cet élan, il n’y a pas d’existence.
Quelqu'un qui ne laisse pas la réalité déranger ses rêves est un sage.
Oui, je connaissais l'expression, mais il est bon de revisiter ses classiques ... merci.
RépondreSupprimerBonne semaine Frankie.
Ma chère Krankie tu donnes du blé à moudre aux boyaux de ma tête pour toute la semaine!
RépondreSupprimerPas de flèche mais en Partant un bisou du Parthe... dans le rétro.
oui ma chère quelles richesses que l'histoire ancien qui condense le tigre , la naissance de l’Euphrate et la route de la soie vraiment comment une expression fait voyager
RépondreSupprimerJ'ignorais tout, de l'expression et de son origine! Merci!
RépondreSupprimerOn peut évoquer aussi l'expression "in cauda venenum" : dans la queue le venin, pour signifier une attaque inattendue à la fin d'une rencontre, lorsqu'on a endormi la méfiance de l'adversaire.
SupprimerC'est une évocation évidente au scorpion, mais certains y voient l'occasion d'allusions salaces.
Honte à eux !
Contente d'apprendre quelque chose. C'est quand même plus élégant que "lancer une vanne".
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