entre le mondial nos bleus et la fête de la musique
si les fêtes existent couper de leur sens fondamental
le renforcement de l'autisme de la capitale perdure aussi
Je vais pour m'assoir en terrasse ombrée pour le match des bleus il y avait encore de nombreuses places
en choeur : "toi barres -toi t'es obése et en plus handicapée tu vas nous faire chier."
tous ainsi que les serveurs ont fait les sourds
charmants
des bobos de la porte saint martin
je ne pouvais dans un tel vivier de connerie et bassesses humaines poser mon cher pachiderme popotin et surtout mettre mes chéres gazelles mes cannes de confort mes amies dans une liesse qui a oublié ce que signifie la fête de l'été , et le sens du sport.
en face chez le pizzarollo je trouvais une table avec un homme et son fils:" puis-je regarder le match auprés de vous ?
oui, bien sur."
des enfants sont venus s'assoir à la table avec les petits garçons. Nous apprimes qu'à l'école on leur avait appris à miser et nous nous trouvions le papa et moi abassourdis d'apprendre qu'à l'école ; l'apprentissage de la mise , du jeu faisait partie du programme.
les gains des ventes sont peut-être pour la piscine de Macroms ainsi que pour le service de Sévres porcelaines de l'Elysée...
Je me tais sur la suite autrement je vais encore être plus zappée, et j'ai besion de notre douce amitié blogosphére.
pour aller lire les autres 24 heures
tapez
chemindestables.over-blog.com
belle semaine les potos
Frankie 'S map Monde
toi, tu te décris obèse et handicapée... mais tu nous fais chanter et danser avec tes mots... chier font les autres...
RépondreSupprimerElfi a si bien répondu Frankie !
RépondreSupprimerje suis outrée d'apprendre que la mise est introduite "officiellement" à l'école. j'espère que les programmes seront remis à jour prochainement d'après le lecture d'un article ce matin dans le journal.
je t'embrasse et que les malappris aillent au diable
merci les dames moi je ne me décris pas et j'essaie d'arr^^eter les horreurs que quiconque se permet de faire
RépondreSupprimercomme je viens de faire quelques achats pour manger et un mec dans la file me dit : qu'est ce que vous avez dans votre assiette ,
et moi de repondre et vous dans votre lit.
c'était justement la soirée de la fête de la musique et du foot.
moi je suis une belle femme plantureuse.
mais le cons s'offre n'imoorte quoi car une femme forte certains la lunch comme d'autres viol les jeunes ado même pas majeure.
c'est là que l'on voit que la zone d'ozone touche même les cerveaux et leur besion de pouvoir ca gtombe sur ceux qui sortent de la norme.
merci les filles
oui
c'est impressionnant la mise à l'école
avec le papa nous étions outrés
Pfff... on ressort sonnée de ton récit! Bêtes et méchants, cela continue! Il semble que désormais nous ne pourrons plus revenir à un vivre ensemble apaisé!
RépondreSupprimerAmitiés
Je comprends que tu aies du mal à "jubiler" dans certaines circonstances, quand tu rencontres la bêtise humaine à l'état pur. Même si je ne commente pas, je lis "les bonheurs du jour" et je t'y ai rencontrée ce matin!!
RépondreSupprimerIl nous faut jubiler d'être nous et ne pas nous laisser atteindre par le regard des autres. C'est très difficile et j'ai mis longtemps à le comprendre. Je n'y réussis pas toujours mais j'essaie.
Heureusement que tu as rencontré ce père de famille et les enfants. Quand une porte se ferme une autre s'ouvre!!
L'histoire des paris à l'école est à rester la bouche ouverte!!!
Bonne semaine la plus jubilatoire possible chère Frankie!
Je prends le "pari" que ces petits crétins n'auront pas la belle vie qui est la tienne si riche de tous les talents et des qualités de cœur qui nous attirent et nous font t'aimer.
RépondreSupprimerMerci mes très chéres dames de coeur de pensées profondes et de sens de la jubilation au quotidien
RépondreSupprimerje me suis fait un chapeau et je me chache derrière pour ne pas me meler à méler . et il doit être reussi car aujourd'hui que des rencontres jubilatoires
ouf
comme quoi les mots qui s'écrivent reondissent dans le bon sens
et la vie est si belle dans le soleil et les livres que l'on trouve et qui nous baigne de nous mêmes avec des complicités qui n'ont pas leur égales
bravo mes dames.
par des petites bréves pas toujours alléchantes ces bréves de rue car de jour en jour nous voyons le monde et s'ouvrir car il y ades etres aussi très piquant de peti bonheur au quotidien
àdemain.
grands aiser contenants
Ces mal élevés un jour se feront remettre à leur place.
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