en flirtant avec le livre de
Pierre Torreilles
parage du séjour
poéme
chez Grasset
de porte de Vincennes au café des phares à Bastille
en mangeant des nioquis - piperade - tranche de veau de Hollande
Mes
mains, mes mots, la lumière : mon luxe.
Langage sans accès
Elle fut bien ferme « surtout sache que tu ne parleras
pas » avait dit l’aînée.
Soudain ma cicatrice est abolie
De cette déchirure glauque
Et enfin s’y absentent les chevaliers de la mort.
Les algues sur le galbe du jour
M’offre dans mon amphore
Des brumes d’air iodé
L’horizon affranchi de tout sens m’emboit des voix de noyées
« Tiens bon Toutoune
Tiens bon »
Les roches en transhumance me promettent un détour
Pour secouer la « cabessa » ( la tête ) la calebasse
la Martha mon aînée
Afin de lui mettre le cœur dans le bon sens
Dure mais dérive la discorde
Je vibre ma bouche
de douleur
métissée de richesse de sens
Dans la clairière de
ma voix
Séquestrée
Des cônes d’albâtre la protègent
Eh ! la lectrice à
France culture,
mes « tapas
littéraire »
mon atelier d’écriture 2018- 2019 MaharaBouroua
Les contes aux enfants et aux grands blessés
La lumière s’incurve en moi
Comme si j’étais
Sa maman. Je
savais bien
Qu’un jour ma fille
Pélagie
Me reviendrait des
limbes.
Elle a choisi sa forme.
Ca gît al dente
la
lumière est si vite chavirée,
Lumière , lumière, plus de lumière
Comme disait Goethe quand il glissa dans la mort
Lumière,
lumière, plus de lumière.
Quel fleuve oublie la mer ?
J’ai fait ma robe de l’été
En taillant
L’échancrure ; la
mer a débarqué. Quel « décolté » !
Mes mains, mes mots créent mon luxe.
Malgré la maltraitance gravée au poinçon de sa haine
de son ADN même,
Depuis que le ventre de Madame Mère se gonfla de moua.
de son ADN même,
Depuis que le ventre de Madame Mère se gonfla de moua.
Martha a fait sa
psychanalyse en Une séance.
Elle a gagné le concours Guinness.
Tous les psys du monde ne se sont pas posé la question :
Comment elle a
fait ?
C’est la signature même
sa structure.
16 au 22 aout,au séminaire
Montcalm de Vannes.
Muselière de mots quand nous
devrons nous voir.
« tu ne parleras pas »
-
achètez tous les sabliers d’Emmaüs,
permettez moua de peindre , de lire à table , d’écrire. Alors.
Tout ira bien ainsi,
à l'or des couché de fin aout !
à l'or des couché de fin aout !
si vous pouvez vous procurer le livre cité ci dessus..
je remercie le poéte de m'avoir si grandement inspiré à travers ses mots
pour une douleur si terrible pour une femme de la parole.
merci de votre lectures
merci cher très grand poéte
jamais je n'ai lu de tels mots et créations dans leur implantation de la page
merci.
Quand le silence est le luxe de la parole...avec le mime qui crie les mots qu'on voudrait dire !
RépondreSupprimermerci Belle Frankie pour te pages et ton sourire
@ de leila
RépondreSupprimerBonjour Frankie, bonjour à toutes,
merci pour ce poème Frankie.
j'allais dire tu poètise comme tu respires. ça a l'air tellement fluide en te lisant, la présentation nous redonne du souffle par la lumère, le décolleté.
la table, les objets, on est dans la vie. bravo!!!!
@Sabrina
RépondreSupprimersuperbes les moyens de ton luxe
ton texte sinue
beau
douloureux
lumineux
que v. se passe au mieux
je t'embrasse fort
Du silence à l'écriture... comme si l'une ne pouvait se passer de l'autre!
RépondreSupprimerMerci Frankie!
merci chére giné, l'une ne peut se passer de l'autre !
RépondreSupprimeret aprés çà tu nous dis que tu n'écris pas , et ta plume est belle crois m'en ...
inviter toi à nous la partager plus souvent
il n'y a que les auteurs qui peuvent ecrire çà
et en plus la photo est aussi écriture
et tes titres
!
merci de ta venue
et je garde çà en mon coeur.
merci
@ pearl buisine
RépondreSupprimerDoux jour,
" Il eut l'intime conviction que les êtres humains ne naissent pas une fois pour toutes à l'heure où leur mère leur donne le jour, mais que la vie les oblige de nouveau et bien souvent à accoucher d'eux-mêmes. "
(L'amour au temps du choléra, Gabriel Garcia Marquez)
" Avenir : je vais où je m’ignore. "
(Jean Cayrol)
" J'arrive où je suis étranger. " (Aragon)
"quel fleuve oublie la mer" ? questionnement de tout un été...
RépondreSupprimerBizzzzzzzzzzzzzz
@ francis azemmar
RépondreSupprimerQue ta plume ne soit pas coupée, jamais, tu dresse les mots comme un dompteur ses ours blancs tu le sais bien.
Je t’embrasse
Francis
@ cher francis, le doute existe, et de temps en temps nous avons besoin du retour de nos amis.
RépondreSupprimerIl y a des personnes qui obligatoire s'arrange pour que tu doutes
du style
je t'ai assez lu pourquoi lire un texte de plus , ce que j'ai en boite me durera bien jusqu'à ma mort.Martha.
ou je commence à lire et çà m'ennuie alors j'arrête...O. B.
et le reste c'est déjà noté sur ce blog
allons vers la lumière.
désolée de t'avoir dérangée.
avec ce texte de trop.
Le silence , ne jamais solliciter qui que ce soit même les amis
quelle vie tu traces.
A oui à la différence entre moi et toi , c'est que tu vis avec une dame.
Ca fait la grande différence.
je t'embrasse