variations prosodique du noir des habits de la capitale
Attention au choix des
émissions à force de faire de soirée sur
la violence la course à si à çà
Nous créons des héros urbains
Mais la bourgeoisie s’y met
aussi
Quelques personnes obligée
les valeur hier je me suis fait jetée d’un coup de coupe sur le pavé à
odéon par un groupe de bourges qui squattaient
le trottoir et moi assez large oui, mais
quand même habillée veste Channel foulard de soie Dior oui , j’avais mon caddy
de course j’allais donné mon cours à la ressourceries j’avais voulu essayer un
autre itinéraire question de "relooker" les livres rue des écoles .
Un détour où j’ai failli
finir sur une civière et personne pour me relever , voir si j’avais mal on
avait du zapper sur mon pantalon un peu troué et pour eux malgré mes atouts haut de qualité le caddy m’avait
identifié pour une SdF
Quelques contusions mais de
quoi faire mon cours.
La petite Ramalane, ma chère
assistante photographe de l’atelier et
plume en grande progression dans l’atelier
à vue que je n’étais pas la même je devais être livide , heureusement
mon métier d’actrice m’a appris au moins çà à travailler même le jour où vous enterrez
votre meilleur amie, et l’ouvrière du cinéma français avait intérêt de produire
comme il le souhaitait et vite car la liste noire on la file assez facile quand
on appartient pas au gratin.
Alors l’atelier eut lieu dans
une très grand concentration , et j’ai pu évaqué les toxines d’une adrénaline
non programmées Ramalane avait apporté
un thermos rempli de tisane délicieuse.
Mais elle n’a pas osé faire
des photos il y avait un peu de
défiguration. La gravité se portait sur mon visage.
Cet état dans le voyage d’Odéon à Parmentier dans le 96,
m’a permis de regarder la ville les trottoirs
J’ai vue des milliers de
fourmis, la mode est au noir à Paris variations chrosomiques car j’ai découvert
qu’ils pouvaient y avoir sur les trottoir dans les groupe 5 types de noir de
bleu marine et marron très foncé . dans le marais de temps en temps une écharpe
orange avec des chaussettes orange . j’ai senti l’angoisse des mois de
décembre oh au lieu de se concentré sur l’esprit de Noêl et bien non, c’est l’afflux
consommation impressionnant.
là les fourmis ont le cul vert et le gout du citron
Aujourd’hui gag dans mon
franprix je fais course je suis dans les rayons et une mec arrive comme un éléphant
dans un jeu de quille et il renverse une
pile entière de boite de conserve et déjà j’avais eu peur car il avait failli
me passer dessus et là je dis comme j’aurai dit à n’importe qui et bien ramassez maintenant , quoi qu’est ce
que tu veux tu veux te faire enculer
- pardon.
- je ne te parle pas
- pardon j’aime simplement
savoir ce que l’on me dit quand on cause.
Je continue mes courses. Et j’arrive
au fromage et là trois mecs
- mais qu’est ce que fais là
la grosse tu nous suis c’est çà !
- j’ai besoin d’accès à mes produits, c’est tout.
La violence renchérissait
- et be ! dites donc
quelle jouissance vous avez à la violence, vous prenez votre pied.
-oui, yayaya on plaisante .
Je prends mon gruyère rapé ma
plaquette de beurre demi sel et je me les retrouve à la caisse devant moi .
Je les ignore . en partant
ils balancent plein pot Voice, salut vieille peau.
l'autre la vieille
la vieille
"Vous repasserez dans 50 ans
les barboteuses."
Et j’éclatais de rire à l’africaine
Je suis arrivée chez moi l’appétit
coupé , et j’ai éclaté en larmes .
Dans mon quartier c’était la
première fois que les gars me manquaient de respect.
On ne leur a jamais dit si
prés de réparer leur connerie . et on ramassait
boites après boite.
Et je savais que si je m’écrasais dans le magasin
j’allais rendre ma vie impossible dans mon quartier car il allaient jouer avec
ma peur.
Mon corps a répondu , excusez moi le détail cela m’a donné une terrible courante.
dans ma bulle
Bon je me rappelle de la
sortie du film « La haine » de
Kazovich les héros avait une surévalue de
leur drôle de narcissisme et j’avais pendant
au moins trois semaines après la sortie assez emmerdée de ce genre.
Les programmes de tv de la semaine dernière étaient
hyper chargé de documentaires sur la violence
L’abréaction aristotélicienne
fait de super identification mais quand on travaille sur du réel , le réel s’enflamme.
Merci de vos commentaires sur l’anniversaire des
100eme des instantanées d’Aramarita.
A la 200édevrions prendre le magique
bus à la Madeleine là bas.. moi je suis partante
et
Je suis très lâche Frankie, je fuis la violence et je ne regarde presque plus la télé, je me contente de Calvi vers 23 h. de temps en temps !
RépondreSupprimerbravo d'avoir répliqué à ces malappris qui caracolent partout.
je t'embrasse et je te souhaite une soirée sereine
il y a des situations où on peut être lâche comme tu, dis mais quand on 24 h sur 24 seule la lâcheteé sce transforme à ton encontre et quand je vois des personnes qui disent mais ce n'est rien , c'est la vie j'ai envie de leur foutres des paires de claques car aprés les mères qui n'ont n'ont pu donner aucunes régles aprés leur chers dieux sortie de leur cuisses , par c'est la vie on le continue
Supprimerce n'est pas ton cas car dieu sait si tu as été courageuse à sentir tout ce qui était contenue dans mes écrits. tu sais que le bonnet après deux fois de demandes d'adresse je ne l'ai pas encore pour envoyer le bonnet multiplier par deux de la petite a. et de ce skipper junior je pense que je vais les vendre sur eBaye.
belle soirée d'avoir répondue à ce brocard.
je vais muiltiplier mon entrainement en piscine pour pouvoir répondre aux violence sde décembre car elles vont être très nombreuses.
bisous
Il ne faut pas se laisser faire ma Frankie, car sinon ça va être l'enfer !
RépondreSupprimerC'est vrai que lorsque l'on vit dans un endroit privilégié, on n'a pas idée de ce que peut-être actuellement la vie dans les grandes métropoles. Ce n'est pas nouveau Starmania en parlait déjà. Mais c'est de pire en pire.
Courage ma Frankie.
Et va te muscler afin de pouvoir faire face !
Je t'embrasse bien fort.
Belle soirée.
Besoin d'aide pour nettoyer les rues près de chez vous ? Faites-moi signe. Non mais je suis vraiment fâché. Il y a des fois où j'ai vraiment honte de faire partie de la moitié de l'humanité dont je fais partie. Je veux pas dire, c'est uniquement les gars. Il y a aussi des filles pas mal vaches. Mais les gars, tabouère (juron québécois), ils sont plus forts. Elle est là la vacherie. La vraie.
RépondreSupprimerEt j'ai un peu honte…
Déménagez à Montréal, Frankie , là où une femme peut se promener n'importe où à n'importe quelle heure.
merci à vous deux aussi Mimi du sud et Roger. ce qui m'a aidé c'est d'avoir était éducatrice de rue à une époque et j'avais acquis quelques reflexes pour faire face.mais c'est vrai on a pas les meêmes ressorts et touts ces gens en couple mêmequi se taisent de plus trop longtemps qui font comme si ils ne voyaient rien
RépondreSupprimeron ouvre des autoroutes pour ce genres de comportement et je pense que le parisiens des quartiers chics furnt aussi pire violent que dans mon quartier populaire.
heureusement qu'avec ma marche avec canne me rend toujours très attentive, cest ce qu'il m ' sauvé dans les deux situations.
j'ai mal à l'humanité.
et merci de vos mots . gros bisous
Je tombe des nues... et j'avais, je pense, oublié que parfois les grandes villes, ce n'est pas très sûr! J'ai aussi la réponse - et la colère - facile, mais je ne suis jamais rassurée des réactions des jeunes qui sont pour moi des Martiens: je ne me reconnais plus en eux! Fais attention à toi, Frankie, l'intelligence et la bonté n'ont jamais pu faire face à la bêtise et à la force!
RépondreSupprimerC'est très inquiétant ces manières, ça va devenir désagréable de sortir.
RépondreSupprimerMa chère Frankie, dans quel monde vivez-vous ? Faut-il dire que nous replongeons dans le moyen-âge et que seuls les archers du Roi y peuvent quelque chose ? Non, n’est-ce pas : les amis ce sont eux qui peuvent protéger de cette lie de l’humanité.
RépondreSupprimerEt pour ça, vous avez aussi les amis de la toile, qui, pour être virtuels n’en sont pas moins réels.
Et j’espère que vous me comptez parmi eux.
Je vous embrasse, chère Frankie
Jean-Pierre
Je tombe des nues, comme dirait Gine. Oui, c'est le mot. Tu ne t'es pas laissée faire et tu leur as répondu. Mais avec dignité et neutralité. Ne pas augmenter encore d'un cran la violence.
RépondreSupprimerOui, ta démarche, ton sang-froid et ton ancien statut d'éducatrice t'ont sauvée.
Je suis consternée. J'ai mal moi aussi à l'humanité. Tu as été d'un courage notoire. Un incroyable courage. Il y a ceux qui franchissent des montagnes, qui se voient décernés des prix Nobel. Et il y a ceux et celles qui réagissent, luttent dans l'ombre, les chevaliers de l'ordinaire, guerriers du quotidien. Ce sont eux, les vrais héros. Et tu en fais partie. Ta réaction a été admirable. Sans violence, avec répartie, puis superbe ignorance, tu les as remis à leur place.
Oh bien sûr que le corps a répondu. Pouvait-il en être autrement? Aussi sensibles que nous sommes, la chair répond instatanément à l'esprit. Lorsque les gifles sont verbales, l'impact charnel n'en est que plus violent.
BRAVO Frankie. Prends soin de ton être formidable, chouchoute-toi, enveloppe-toi du léger cocon de nos mots, des enfants qui gardent ta maison, des infimes petits "rien" qui comptent et font un merveilleux grand Tout.
Je t'embrasse très fort, Mama Courage.