1 Friedrich Nietzsche
Chaque homme cache en lui un enfant qui veut jouer.2 Victor Hugo
Aimer, c'est savoir dire je t'aime sans parler.3 Karen Salmansohn
Aime la vie intensément et tu n'auras plus de temps pour la haine, le regret ou la peur.4 Jana Stanfield
Je ne peux pas faire tout le bien dont le monde a besoin, cependant le monde a besoin de tout le bien que je peux faire.
mon dos
5 Voltaire
Pour s'élever, il faut d'abord descendre en soi.6 André Gide
L’âme heureuse, par l’irradiation de l’amour, propage le bonheur autour d’elle.7 Thich Nhat Hanh
Dès l'instant où vous comprendrez l'importance de s'aimer soi-même, vous cesserez de faire souffrir les autres.
claudia en expo à paris en ce moment
8 Deepak Chopra
Les êtres humains se sont battus contre l'ombre depuis la nuit des temps, pourtant elle n'a jamais été vaincue. Les seules personnes qui arrivent à la vaincre le font en la transcendant.
9 Lorsqu'on veut accomplir des choses
exceptionnelles, ça passe forcément par le risque, donc par le jeu.
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Frankie dans "seul contre tous"
de Gaspar Noé avec Philippe Naon
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10 Le bonheur, c'est de continuer à désirer
ce que l'on possède.
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11
Avec mes gains au casino, je me suis acheté une casquette de yachtman;
avec mes pertes, j'aurais pu me payer le bateau.
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plume d'eau
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12 Le mieux que
nous ayons à faire c'est de rêver d'un monde meilleur. Le malheur de l'homme,
c'est d'avoir trop souvent rêvé d'un monde parfait.
Franz Bartlelt (Petit éloge de la vie de tous les jours,
p.28, Folio n°4954, 2009)
13 Sauf pour les personnes de bretagne et du
sud est
Les cours d'eau sont des invitations au voyage, ce sont des
routes nomades de l'imaginaire, les radeaux désamarés de nos espérances.
Bernard Tirtiaux (Le passeur de lumière, p.50, Folio n°2688)
plume d'eau 2
14 Le but peut-être
ne justifie rien, mais l'action délivre de la mort.
Antoine de Saint-Exupéry (Vol de nuit, p.158, Livre de
Poche n°3)
15 Comme c'est drôle
d'entendre quelqu'un vous poser des questions que vous étiez seule jusqu'à
présent à vous poser à vous-même...
Patrick Modiano (La Petite Bijou, p.140, Folio, n°3766)
tête de belle mére
16 Éléna Andréevna:
Il fait bon aujourd'hui, Pas trop chaud.
Voïnitzki: Un temps magnifique pour se pendre. Anton Tchékhov (Oncle Vania, Folio n° 521, trad. Génia Cannac et Georges Perros, p.182)
Voïnitzki: Un temps magnifique pour se pendre. Anton Tchékhov (Oncle Vania, Folio n° 521, trad. Génia Cannac et Georges Perros, p.182)
17 [...] je
n'avais pas assez vécu au diapason de mon corps.
(Truismes, p.103, Coll. Folio n°3065)
(Truismes, p.103, Coll. Folio n°3065)
Marie Darrieussecq
Philipe Delherm
18 ...] je me
souviens de ce bonheur-désordre sur ta table.
(Le Cinquième Saison, p.17, Éd. du Rocher)
(Le Cinquième Saison, p.17, Éd. du Rocher)
19 Si tu n'étais
pas morte... Ces mots ne dansent pas sur mon cahier, mais blessent le silence
de la marge.
(Le Cinquième Saison, p.31, Éd. du Rocher)
(Le Cinquième Saison, p.31, Éd. du Rocher)
le port de Cassi
pensées pour les sinistrés
du sud est
et de Bretagne par lien associatifs
20 Tu ne revivras
pas, mais il y a ce chemin des mots qui mène un peu plus près de ton
sourire ; le souvenir ne te rend pas, mais tu sourds quelquefois de cette
folie douce de t'écrire, avec au bout le son-vertige de ta voix.
(Le Cinquième Saison, p.43, Éd. du Rocher)
(Le Cinquième Saison, p.43, Éd. du Rocher)
21 Les filles
sont un autre monde, et je m'en souviendrai. Elles deviendront cet ailleurs
difficile où je te reconnais, pays à inventer pour le bonheur de passer la
frontière.
(Le Cinquième Saison, p.53, Éd. du Rocher)
(Le Cinquième Saison, p.53, Éd. du Rocher)
22 Elle en parle
sans larmes, avec au fond des yeux le poids de l'habitude du chagrin.
(Le Cinquième Saison, p.68, Éd. du Rocher)
(Le Cinquième Saison, p.68, Éd. du Rocher)
sous le regard du réalisateur de Christophe Gans le réalisateur de la Belle et la bête en salle
le pacte des loups
la mère maquerelle
23 J'apprends
comme il est simple et fort d'aimer tout seul.
(Le Cinquième Saison, p.69, Éd. du Rocher)
(Le Cinquième Saison, p.69, Éd. du Rocher)
24 On se surprend
à marcher sur le bord du trottoir comme on faisait enfant, comme si c'était la
marge qui comptait, le bord des choses.
(La première gorgée de bière, p.20, Éd. L'Arpenteur)
(La première gorgée de bière, p.20, Éd. L'Arpenteur)
en auto portrait, je ne sais ce que vous en pensez....
dans mon petit
atelier de l'HajatCaseMajore
et bonne semaine
Frankie
sachez que compte tenue que je dois encore montrer mon nez , je ressors des image pour que l'on ne m'oublie pas
même à la retraite tourner quelques beaux rôles
me permettrait simplement de récupérer tout ce que j'ai investi pour servir le 7 eme art alors
régulièrement j'envoie dans cette bouteille à la mer .On me connait les gens dans la rue m'arrête encore mais je ne fais pas partie du bestiaire banquetable mais pour le mystère des rôles que ...
etc.
bye bye
lovers blogosphére
bye bye
lovers blogosphére
Belle brassée effectivement généreuse Frankie !
RépondreSupprimerNe change surtout pas tu es belle d'esprit et belle d'apparence !
La 3, la 6 et la 14 et aussi la 11 pour l'humour de Mr Tristan Bernard.
Je souhaite que tes bouteilles à la mer remplies de SOS trouvent les rivages que tu espères.
Je t'embrasse très fort jolie blonde.
Belle soirée
quel douceur dans ton regard..et quelle force que tu dégages dans tes films.. il faut qu'un cinéaste te redécouvre! absolument!!! je t'embrasse fort!
RépondreSupprimerIl y a encore de la place pour quelqu'un qui a autant de présence.Je te souhaite cette chance.
RépondreSupprimerBelle et chaleureuse Frankie que de beaux mots encore ce soir...
RépondreSupprimerCette bouteille atteindra un rivage ami je n'en doute pas !
( il est tard je reviens du théâtre où j'ai vu Eurydice d'Anouilh des amies m'avaient enlevées)
je t'embrasse
- Le but peut-être ne justifie rien, mais l'action délivre de la mort. Antoine de Saint-Exupéry (Vol de nuit)
RépondreSupprimerNoble pensée : l’action ne délivre pas de la mort, ça se saurait. Mais ça en donne l’espoir : et c’est déjà beaucoup. En tout cas, suffisant pour justifier l’action.
- Le bonheur, c'est de continuer à désirer ce que l'on possède. – Saint-Augustin
Superbe paradoxe : j’essaierai de la commenter sous peu.
- Aimer, c'est savoir dire je t'aime sans parler. – Victor Hugo
Oui, faites comme les chiens : remuez la queue
… Oups ! Pardon, Frankie, je n’ai pas su me retenir…
Je vous embrasse
Jean-Pierre
Belle amie, couvre toi, la saison n'est pas aux violoncelles "à poil" !
RépondreSupprimermerci merci de vos mots humours et vibrations de sens et d'appréciation sur les mots et les auteurs...
RépondreSupprimerje reconnais bien la plume de chacune et c'est un regale de découvrir à l'ouverture de cet ordi recalcitrant vos vbouilles de mots...
merci de comprendre que je relance régulièrment des images car elles vont se collectionner à l'endroit de image et comme mon nom est encore dans les bouches on ne sait jamais ce ne sera que de cette pêche là que l'on me prendra en panne d'un rôle qui saute mais tant mieux le cooinosche s'il éyait moins sectaire gagnerait à me prendre , la vioque à du talent mais dn'est pas banquetable à qui la faute diable ?§§§§ nous le savons......