Fête des mères
Cette année j’ai fait appel à vos
instincts maternels pour la grande secousse psychique et physique de mon Miel
Home, Miel Homme,
Alors chères dames de mes
lecteurs et chers "Monsieurs" de mes lecteurs
bonne fête des mères.
Evidemment ce ne sera pas un
magnifique collier de nouilles, quelques tableaux quand j’aurai resolu le
mystère de mon scann.
Je fête les mères qui n’ont pas
eu d’enfants et toute leur vie de travail se sont trouvés dans des gardes
arrangeant les mamans en entreprise.
Ces femmes qui l’auraient tant
voulu et ne l’ont pu, parce que le
ventre a ses raisons,
parce que sur le chemin l’autre masculin était trop écervelé pour conjuguer avec lui le gage heureux d’une bonne éducation d’amour et d’équilibre pour l’enfant...... Et que dans un choix c’est l’enfant et son futur bonheur qui comptent.
parce que sur le chemin l’autre masculin était trop écervelé pour conjuguer avec lui le gage heureux d’une bonne éducation d’amour et d’équilibre pour l’enfant...... Et que dans un choix c’est l’enfant et son futur bonheur qui comptent.
A toutes ces femmes célibataires
dans l’âme mére parce qu’elle n’avait pas la main verte en matière masculine et qu'
c’est sur le plus pimpin qu’elle avait l’art de tomber ou le plus pervers de la
basse cour ou grande cour.
Ces femmes là avaient le cœur à s’ouvrir dans des
appels profonds d’une âme maternelle à faire quelques gestes pour permettre à
la pulsion de vie de se ravigoter.
Je suis sur que dans cette liste
j’oublie des cas.
Mais je n’honore pas ces mères qui ne le firent jamais
et qui n’ont su qu’être femme, et les bouts de chou à Soixante ans attendent encore leur mére à venir alors la femme leur est déjà partie au ciel. ou....en stand bye au purgatoire....
Mais je n’honore pas ces mères qui ne le firent jamais
et qui n’ont su qu’être femme, et les bouts de chou à Soixante ans attendent encore leur mére à venir alors la femme leur est déjà partie au ciel. ou....en stand bye au purgatoire....
Je ne salue pas
les mères aujourd’hui entourée de leurs progénitures et de leurs petits enfants car elles sont comblées, qu’aujourd’hui elles sont loin de tout elles sont au cœur de leur œuvre.
les mères aujourd’hui entourée de leurs progénitures et de leurs petits enfants car elles sont comblées, qu’aujourd’hui elles sont loin de tout elles sont au cœur de leur œuvre.
Vous avez compris cette fête des mères
très spéciales…
de moi quoi attendre ?
Des spécialités hors concours, hors normalité…
de moi quoi attendre ?
Des spécialités hors concours, hors normalité…
Bonnes fêtes à vous ces mamans et papas
mamans aux postures d'emprunts, au cœur avenant à qui va crever si
un geste si important et simple n’est pas produit….Et vous savez le faire et vous l'avez fait plus du nombre de doigts de vos mains.
Merci à la vie de vous avoir dans la vibration de vos pleines et tendres humanités.....
Merci à la vie de vous avoir dans la vibration de vos pleines et tendres humanités.....
Merci à toutes ces intuitions exquises et fondamentales.
Merci à tous vos gestes salvateurs.
Votre frankie Map's Monde
merci pour ces beaux bouquets!!!
RépondreSupprimerbises, Frankie!!!
Merci Frankie et aussi pour les mamans qui ramassent les oisillons tombés d'un nid et qui sont parties rejoindre les étoiles .
RépondreSupprimerBises et rebises ma belle Frankie
Merci pour ces jolies fleurs et bon dimanche.
RépondreSupprimerMerci pour ces jolies fleurs et bon dimanche.
RépondreSupprimerBel éloge de la femme mère... mais qui ne me touche pas, puisque je fais partie des femmes n'ayant voulu qu'être femmes! Sans remords, sans regrets et sans peur, ni reproche!
RépondreSupprimerBonne nuit, Frankie!
Je l'ai choisi aussi et comme toi, je suis absolument sans remords !
Supprimeril y a un petit contre sens , cart je fête les femme qui n'ont pas eu d'enfant par choix par obligation d'un corps s'y refusant...
Supprimerla femme avec ses oisillons je ne les fête pas car elles sont au coeur de leur oeuvre....
et si je parle de la femme mére qui ne sait qu'être une femme.
Il erst important de connaitre ses choix très profond car l'enfant qui souffre d'abandon d'hospitalisme c'est parfois une vie entière qui est soumise à de drôle de douleur et il n'y éclate pas de rire et encore bon si ils ne s'autodétruisent pas .
j'aime les femmes comme toi qui ont ce choix et l'assume comme mireille d'ailleurs et comme moi...
Gros bisous
J'aime les mamans et la mienne me manque en ce jour.
RépondreSupprimerJ'ai malgré une enfance très heureuse (je le précise pour les psys à deux balles) eu aucune envie d'enfanter et de materner et n'en déplaise à certain(e)s, ce n'est pas par égoïsme mais simplement que je n'en sentais pas le besoin.
Et comme Gine c'est sans aucune gène que je l'assume !
Gros bisous Frankie.
Bravo pour ce choix assumé Mireille et Gine, je connais bien des femmes dans ce cas et la vie est aussi très belle ainsi.
SupprimerMême sentiment que toi Mireille! Une enfance heureuse, et je m'occupe de ma vieille maman maintenant! Les rôles se sont inversés, même si je n'y avais jamais pensé auparavant... Mais je ne le fais pas parce que je suis frustrée de n'avoir pas voulu d'enfant, je le fais par simple empathie. J'assume, comme tu le dis!
Supprimer« L’âme maternelle /c’est/ faire quelques gestes pour permettre à la pulsion de vie de se ravigoter »
RépondreSupprimerQuel beau texte chère Frankie… J’ai commencé à le lire comme on lit un poème et puis je me suis ravisé : c’est un peu de votre chair, un peu de votre âme qu’on trouve ici, cette âme qui sait recevoir comme elle sait donner. Et surtout, c’est dans le manque et dans l’incomplétude que ça se passe, pas dans la situation de la femme comblée par sa progéniture et qui se pelotonne dedans comme dans un cocon bien fermé.
Oui – il fallait tant de tourments pour arriver à tant d’humanité…
Merci de ce beau texte – Je vous embrasse chère Frankie
Jean-Pierre
merci hean pierre ce ce beau commentaire qui me va droit au coeur. La lecture de votre blog m'a donné l'élan de dire profondément ce que je ressentais ce jour là.
SupprimerJe vous embrasse très cher jean Pierre.
Bonjour Frankie,
RépondreSupprimerEn te lisant, cette chanson de Brassens m'est revenu:
"La Jeanne, la Jeanne,
Dans ses rose’ et ses choux n'a pas trouvé d'enfant,
Qu'on aime et qu'on défend contre les quatre vents,
Et qu'on accroche à son corsage,
Et qu'on arrose avec son lait…
D'autres qu'elle en seraient tout' chagrines…
Mais Jeanne, la Jeanne,
Ne s'en souci’ pas plus que de colin-tampon
Etre mère de trois poulpiquets, à quoi bon !
Quand elle est mère universelle,
Quand tous les enfants de la terre,
De la mer et du ciel sont à elle… "
Il y a des oisillons tombés du nid qui ne s'en remettent vraiment jamais, même si ils deviennent parents...
Je t'embrasse :)
merci chére fany de ce beau poéme de Brassens.
Supprimeret de ta présence sur ce blog. Gros bisous
j'ai été très émue et bien brassée en te lisant Frankie
RépondreSupprimertrès dur pour moi certaines choses autour d ela maternité, mais je apsse vite, pas envie de remuer tout ça .....
très beau ton texte et j'y sens fort je pense du moins ton coeur, ton âme, ta chair....
merci de ce très fort moment
bisous
patricia