La tablette 13 2eme jet La fin d’une mise à mort.

 

La tablette 13 2eme jet

en citronniers de Sienne

La fin d’une mise à mort.

De cet amour ardent


Je reste émerveillée
Du clapotis de l’eau
Des oiseaux gazouilleurs
Ces bonheurs de la terre
Je reste émerveillée
D’un amour
Invincible
Toujours présent
Je reste émerveillée
De cet amour
Ardent
Qui ne craint
Ni le torrent du temps
Ni l’hécatombe
Des jours accumulés
Dans mon miroir
Défraîchi
Je me souris encore
Je reste émerveillée
Rien n’y fait
L’amour s’est implanté
Une fois
Pour toutes.
De cet amour ardent je reste émerveillée.

 

Andrée Chedid

Une tentative ratée en aout 2018 ;

Une femme péremptoire dit : « c’est la dernière fois. »

Elle avait déjà tué sa mère,

 déclenchait une cour martiale à son père.

 sa famille à part sa cousine, ses chiots,

 le reste était une salle d’attente à l’amour,

 Disparue du paysage pour tous.

Sa jouissante : le suintement de nos longues attentes.

Madame aimait sa famille au cimetière

 une fois dans le cercueil rebouché.

Voir plus le cimetière que les vivants.

 Elle ignore totalement qui est Abell Âmén.

Elle lui parle, lui coupe tout le temps la parole

et raccroche. Elle a eu ce qu’elle voulait savoir

 Pour elle Abell Âmén ce fut à vie : un sac de Seccotine.

Un soir avec une multitude de stress causer par l’ aide de Lulu la rue, les ambulanciers, ….

 Après le repas léger comme à son habitude

Abell Aimée se pose.

Elle ne regarde plus son Smartphone aux messages verges de tous, toutes .

Déjà dans les limbes.

Là, Abell sent son  cœur lui faire très mal.

 Elle ne peut pas regarder son portable et mesurer son pouls.

Elle appelle  l’autre- dame- sœur.  EElle est chez  chez son Monsieur.

C’est l’heure de l’apéro. Heure faisable.

Rien.

Abell ne pense pas appeler le 15 ,  les files sont surchargées, elle mourra sur le brancard.

Elle veut son pouls

Elle appuie sur des boutons jamais pratiqués,

tombe sur monsieur chronomètre.

Elle appelle :« j’ai le chronomètre »

 A droite, à gauche : c’est haut.

Tous les quarts d’heure, elle reprend.

Fait des gestes de yogas  pour ralentir le cœur.

Toute la nuit Abell ne dort pas,

 elle se mesure le pouls /

tâte son coeur /mesure le pouls.

Le lendemain se créa le début de la grande conclusion

 comme dit Lacan. « Conclure dit –il »

La dame-soeur n’a rien lu au récit sauf  elle écrit

  à Abell Âmén

Bouillie verbale.

Abell fut remercie d’avoir lâché le morceau.

Bella la poésie de la dame sœur.

La dame-sœur voulait vivre ses vieux jours. Sans se preoccuper d’Abell vous parler un coup de fil tous les 6 mois dire / tu n’as jamais éte visible pur moi depuis ta naissance

……….. coupure necessaire very big micmacdo

Elle avait oublié que pendant 5 ans, Abell avait du travailler jour et nuit pour se rendre chez leur mère pour le petit frére , confié  par le père mourant à Abell.

16 ans de sa vie, à s’occuper du petit dans les meilleures années de sa vie.

 Abell ; l’amour du petit démâter en 3 ans après sa garde chez dame-soeur

Abell avait 5 ans de plus pour cela , La dame-sœur ; pour les hématologues les années de travail nuit –jour compte double Le glas avait sonné matine/ sonné matine/ Sonner matine.

. « Faites sonner la fanfare » comme avait dit Le Prince de Homburg. Ce qui lui valut la prison. (Heinrich Von Kleist)

La fin d’un éternel désamour.

Les pervers : leur force leur intelligence aussi, juste là de voir quand la brèche de l’autre est  grande ouverte.

Non c’était ne jamais avoir à appeler Abell et avoir de ses nouvelles pour le secteur qui environnait Abell.

Garce jusqu’au bout.

Abell lui conseille de faire un vrai deuil.

 Plutôt que de ligoter le tout dans un torchon

lancer à la mer  avec « bon débarras. »le debarras

Abell la prévient qu’un lien familial se traite avec délicatesse  7 générations d’anciens peuvent s’exprimer.

Abell les malfaçons familiales est à son 4eme cancer .

Celui là des séquelles à vie.

Vols dans la maison de tous les objets et Tableaux tissus de qualité . L’intiution était là : elle va crever cette fois. Prenons les meilleurs. La dame Sœur parle au petit frére 20 de moins. Tout avait été regardé au peigne fin.

Tous Les livres dans des cageots

 Abell les avait mis sur les murs de l’atelier.

  Les bijoux intéressants disparus.

Déni global.                           Atchoum                                        

Bell a attendu plus d’une semaine pour écrire

 cette bouillie de miasmes d’abjections et de répulsions.

Rien à faire avec la perverse  narcissique primaire avec quelques ventouses de psychose à cause des dénis permanants sur les coups à te couper le souffle et tansformer l’essai en cancer.

Ou crise cardiaque. Psoriasis géant.

Abell est rassurée . Rien en verbalisation. Que dalle. Tout dans sa gueule. Abell vous demande d’excuser sa vulgarité.

Un BEP lui suffit.

La dame soeur ignore de quoi est faite sa petite sœur.

Elle veut les informations pour rien en faire ; se regaler  çà chauffe, ça brûle, ca va gagner de sans suicide . chouet.

L’assurance vie.

Tout est généralisé. L’église  le doudou  de la dame- sœur aucune compassion en vue  Trop tard jamais..

Abell le Pape à Marseille, elle s’y rend.

Fin de cette daube humaine.

  Avec la guerre ouverte sur Israël….

L’auteur a oublié son non, son nom

Droits d’autrice reservés

Interlude

oiseau fetiche

du Sénegel de l'ornitologue de là bas

fin de traitement Mandala de frankie

sous la cortisone

Espace cardin

Dali

 chez cardin frankie cree son costume . j'ai grondé  Ce cher Monsieur cardin  le producteur

Amie de dali caresse grossbee. Photo de presse